[Twilight - Sans titre pour le moment ]
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[Twilight - Sans titre pour le moment ]
Disclaimer : Twilight ne m'appartient pas et je ne tire aucun profit monétaire de cette histoire.
Présentation : L'histoire est basée sur le personnage de Rosalie Hale, et d'un loup garou que j'ai moi même inventé. Haine, amour, la barrière entre les deux est dur à définir surtout pour deux races qui se détestent depuis la nuit des temps ...
1–La rencontre.
«On rencontre sa destinée souvent par les
chemins qu'on prend pour l'éviter»
(Jean de la fontaine )
L'ennui.Si un terme définissait bien ce que je ressentais à ce moment précis c'était cela : l'ennui. Le cour d'histoire se passait de la même manière depuis des années et dans tous les lycées que j'avais fréquenté. Des professeurs, historiens, très patriote, prenaient un malin plaisir à vanter les mérites de présidents morts depuis des années. Lassant! J'écoutais le monologue de mon enseignant d'une oreille distraite, prenant quelques notes de temps à autre pour faire comme tous les autres étudiants. Ma libération allait se faire dans exactement six minutes. Durant cette heure éternelle, ma montre avait été ma meilleure amie. Faute de mieux, je la fixais me demandant pourquoi je n'avais pas le don de faire avancer la petite aiguille pour la faire passer directement à l'heure d'après ! Lorsque que la sonnerie retentie, je me redressais prête à bondir à l'extérieur de cette salle,une course vampirique dans une classe pleine d'étudiants aurait fait désordre, je me contentais simplement de prendre mes affaires et sorti calmement en lançant un «aurevoir», à mon professeur.
Second cour de la journée: Italien. C'était la nouvelle langue que j'avais décidé d'apprendre. Je parlais déjà couramment, l'anglais, le Français, l'espagnol et le Russe. L'italien manquait à l'appel. Je m'installa à ma place
habituelle, dernier rang, juste devant une plante verte qui avait l'air d'avoir un besoin vital d'eau! L'ennui m'amenais à me focaliser sur des détails insignifiant des salles de cours
dans lesquelles je passais mes journées. Le cour aurait pu se
dérouler comme d'ordinaire, si il n'était pas entré ... L'odeur m'assailit aussitôt et je sentis le besoin de remettre mon écharpe sur mon nez, comme si je voulais me protéger de cette fragrence désagréable. Si les humains se reconnaissaient à leur senteur si délicieuse, les loups-garou se reconnaissaient à leur puanteur! Du moins pour les vampires. Étant seule, c'est tout naturellement que le professeur l'envoya s'asseoir à ma table. Malgrès moi mes yeux prirent leur teinte miel, comme lorsqu'un danger était présent. L'odeur qui se rapprochait en même temps que lui était de plus en plus désagréable, c'était
un peu comme si quelqu'un avait lancé une boule puante dans la salle de cour, sauf que j'étais la seule à le sentir. Le jeune homme s'assit à côté de moi. J'avais l'impression que la situation l'amusait.
Les vampires et les loup-garou se haïssaient depuis la nuit des temps. A Forks, le clan de loup-garou était représenté
par les indiens Quileutes et les vampires par notre famille, les
Cullen. Un traité avait été signé il y a des années par mon père adoptif et les chefs Quileutes pour délimiter une frontière entre nos deux camps, ainsi qu'une règle primordiale qui consistait à ce que nous nous engagions à ne pas tuer d'être humains pour nous nourrir ainsi qu'à ne pas en transformer non plus. C'est ainsi que, même si la haine entre nos deux clan perdurait, nous arrivions à cohabiter sans trop de mal.
Le loup semblait trouver mon animosité des plus amusantes, ce qui ne faisait qu'accroître ma haine envers lui. J'essayais de l'ignorer, même si cette odeur était comment dire ... très présente. Je me concentrais donc sur un groupe de
jeunes filles à l'extérieur qui semblaient regarder un catalogue de mode, sans doute en prévision du bal de fin d'année. Qu'allais – je porter ce soir là ? Je n'y avais pas encore réfléchit, mais je comptais bien entraîner Alice à Port Angelès pour nous trouver les tenues parfaites! Je n'avais aucun doute sur le fait que ma soeur se ferait une joie de m'accompagner. Sa passion pour la mode et les vêtements était presque une obsession pour elle! Au lieu de faire comme si je n'existais pas, le chien s'approcha de moi pour me dire d'un air moqueur :
- Je t'impressionne tellement que tu préfères te concentrer sur l'extérieur?
Non mais il me cherchait ! Impressionnée par lui, même pas en rêve ! C'était surtout pour ne pas le massacrer que je détournais mon attention de ses yeux verts ... D'accord son regard était superbe, mais ça compensait seulement son
odeur nauséabonde! *Calme toi, calme toi * me sermonnais– je. Ce n'était pas le moment de déclencher une guerre. Un meurtre aurait fait mauvais effet sur mon dossier scolaire qui était, il fallait l'avouer, quasiment parfait. Je planta mes yeux dans les siens, il voulait me défier, il n'allait pas être déçut. Je n'était pas du genre à me laisser faire, loin de la et il allait bientôt le savoir.
- Si tu crois que c'est un chien qui va m'impressionner!
Je haussais les épaules, d'un air totalement détaché
alors qu'il continuait à me fixer. Ses yeux étaient hypnotisant, ce fut une sensation étrange que je ressentis quelques instant, comme si c'était ma place d'être ici, à ces côtés. Ce fut son sourire narquois qui me fit revenir sur terre. Quel arrogant
- Un conseil Médor, fais comme si je n'étais pas là, ça vaudra mieu pour nous deux!
Ce n'était pas une menace, du moins pas tout à fait, juste un avertissement, un conseil, même si tout en moi disait le
contraire. Mon regard était aussi dur et froid que le ton sur lequel je venais de lui adresser la parole. On me disait arrogante et hautaine, alors comment qualifier le tas de poil assis à côté de moi? Il semblait beaucoup plus sur de lui que je ne l'avais jamais été, certains aurait pu dire qu'on était fait
pour se rencontrer ... Qui sait, ça aurait pu être vrai si je n'avais pas été une vampire et lui un loup garou. Mais surtout si son but principal dans la vie n'était pas de m'énerver !
- Vu ton odeur ça va être dur !
Si mes yeux avaient été des fusils, si serait mort. Je
crispa mes mains sur les rebords de la table qui nous servait de
bureau, allant même jusqu'à arracher un morceau de bois sous le sourire moqueur de mon voisin de classe. * Contrôle
toi Rosalie *. Je ne devais pas craquer maintenant. J'essayais
tant bien que mal de contrôler ma rage et mon envi de lui
régler son compte. Je ferma les yeux essayant de me concentrer sur autre chose que sur ma colère. Si seulement Emmet était là, il saurait trouver les mots pour me calmer. Je n'ouvris de nouveaux les yeux que lorsque l'enseignante m'interpella. J'avais dû garder les yeux fermés plus longtemps que prévu, ce qui avait dû alerter la Signora Camigli:
- Melle Cullen, vous vous sentez bien ?
Je posa le regard sur mon interlocutrice. Mon visage devait être figé par la concentration dont j'essayais de faire preuve, ce qui pourrais passer, au yeux d'un humain, pour un visage malade. Je saisis cette porte de sortie qui m'étais offerte de m'échapper, de ne plus avoir à supporter cette odeur,
ses yeux posés sur moi, ce sentiment de haine qui commencer à devenir véritablement insoutenable. D'ordinaire, je n'était
pas pour la fuite, bien au contraire. J'étais plutôt du genre à affronter les problèmes en face, à ne pas me voiler la face, mais là, je devais partir. La survie du secret de ma famille était en jeu. Je ne serais pas la seule impliquée si je venais à perdre mon sang froid et attaquer le loup. Toute ma famille en subirait les conséquences et je ne pouvais pas leur infliger ça. Forks était l'endroit idéal pour nous et tous le monde y avait trouvé
ses marques, alors pas question de mettre tous cela en péril
pour une simple question d'orgueil.
-Pas vraiment. Puis – je quitter la classe pour me rendre à l'infirmerie?
La politesse était la clé de tout. Mon enseignante me
donna son accord d'un signe de tête. Je ne me fis pas prier
pour prendre en main mes affaires et me lever de table, évitant
du mieu possible le regard vert du loup, qui semblait déçu
que notre affrontement se termine aussi vite. Passant devant mon professeur je la remercia. Elle ne se doutait pas combien je lui était reconnaissante de m'avoir offert cette délivrance:
- Grazie Signora.
Je
me précipita, hors du lycée. Passant devant une fenêtre
ou se déroulait un cour, je croisa le regard de ma soeur qui
était plutôt inquiet. J'en fut réduite à déduire qu'Alice avait sans doute eu une vision de qui ce qui allait se passer. Ma sortie de cour prématuré aura changé la donne. Les visions de ma soeur adoptive se modifiaient en fonction des décisions des gens, ce qui donnait une belle pagaille dans sa tête. Ce qu'elle avait vu au préalable me concernant n'avait pas dû avoir le temps de changer, vu que la décision de ma sortie de cour avait été prise au dernier moment. Son visage se détendit en me voyant, elle semblait aussi soulagée que moi que je sois sorti du lycée. Qu'avait – elle donc vu qui puisse la rendre si
inquiète? Dans sa vision, elle me voyait sans doute attaquer
le loup, ne pas réussir à me contrôler. J'en serais sans doute plus ce soir, quand nous serions tous à la villa. En attendant, j'avais besoin de me défouler un peu. Une petite course de quelques kilomètres dans les bois ne me ferait que le plus grand bien.
A suivre...
Pour les comms c'est ici
Présentation : L'histoire est basée sur le personnage de Rosalie Hale, et d'un loup garou que j'ai moi même inventé. Haine, amour, la barrière entre les deux est dur à définir surtout pour deux races qui se détestent depuis la nuit des temps ...
1–La rencontre.
«On rencontre sa destinée souvent par les
chemins qu'on prend pour l'éviter»
(Jean de la fontaine )
L'ennui.Si un terme définissait bien ce que je ressentais à ce moment précis c'était cela : l'ennui. Le cour d'histoire se passait de la même manière depuis des années et dans tous les lycées que j'avais fréquenté. Des professeurs, historiens, très patriote, prenaient un malin plaisir à vanter les mérites de présidents morts depuis des années. Lassant! J'écoutais le monologue de mon enseignant d'une oreille distraite, prenant quelques notes de temps à autre pour faire comme tous les autres étudiants. Ma libération allait se faire dans exactement six minutes. Durant cette heure éternelle, ma montre avait été ma meilleure amie. Faute de mieux, je la fixais me demandant pourquoi je n'avais pas le don de faire avancer la petite aiguille pour la faire passer directement à l'heure d'après ! Lorsque que la sonnerie retentie, je me redressais prête à bondir à l'extérieur de cette salle,une course vampirique dans une classe pleine d'étudiants aurait fait désordre, je me contentais simplement de prendre mes affaires et sorti calmement en lançant un «aurevoir», à mon professeur.
Second cour de la journée: Italien. C'était la nouvelle langue que j'avais décidé d'apprendre. Je parlais déjà couramment, l'anglais, le Français, l'espagnol et le Russe. L'italien manquait à l'appel. Je m'installa à ma place
habituelle, dernier rang, juste devant une plante verte qui avait l'air d'avoir un besoin vital d'eau! L'ennui m'amenais à me focaliser sur des détails insignifiant des salles de cours
dans lesquelles je passais mes journées. Le cour aurait pu se
dérouler comme d'ordinaire, si il n'était pas entré ... L'odeur m'assailit aussitôt et je sentis le besoin de remettre mon écharpe sur mon nez, comme si je voulais me protéger de cette fragrence désagréable. Si les humains se reconnaissaient à leur senteur si délicieuse, les loups-garou se reconnaissaient à leur puanteur! Du moins pour les vampires. Étant seule, c'est tout naturellement que le professeur l'envoya s'asseoir à ma table. Malgrès moi mes yeux prirent leur teinte miel, comme lorsqu'un danger était présent. L'odeur qui se rapprochait en même temps que lui était de plus en plus désagréable, c'était
un peu comme si quelqu'un avait lancé une boule puante dans la salle de cour, sauf que j'étais la seule à le sentir. Le jeune homme s'assit à côté de moi. J'avais l'impression que la situation l'amusait.
Les vampires et les loup-garou se haïssaient depuis la nuit des temps. A Forks, le clan de loup-garou était représenté
par les indiens Quileutes et les vampires par notre famille, les
Cullen. Un traité avait été signé il y a des années par mon père adoptif et les chefs Quileutes pour délimiter une frontière entre nos deux camps, ainsi qu'une règle primordiale qui consistait à ce que nous nous engagions à ne pas tuer d'être humains pour nous nourrir ainsi qu'à ne pas en transformer non plus. C'est ainsi que, même si la haine entre nos deux clan perdurait, nous arrivions à cohabiter sans trop de mal.
Le loup semblait trouver mon animosité des plus amusantes, ce qui ne faisait qu'accroître ma haine envers lui. J'essayais de l'ignorer, même si cette odeur était comment dire ... très présente. Je me concentrais donc sur un groupe de
jeunes filles à l'extérieur qui semblaient regarder un catalogue de mode, sans doute en prévision du bal de fin d'année. Qu'allais – je porter ce soir là ? Je n'y avais pas encore réfléchit, mais je comptais bien entraîner Alice à Port Angelès pour nous trouver les tenues parfaites! Je n'avais aucun doute sur le fait que ma soeur se ferait une joie de m'accompagner. Sa passion pour la mode et les vêtements était presque une obsession pour elle! Au lieu de faire comme si je n'existais pas, le chien s'approcha de moi pour me dire d'un air moqueur :
- Je t'impressionne tellement que tu préfères te concentrer sur l'extérieur?
Non mais il me cherchait ! Impressionnée par lui, même pas en rêve ! C'était surtout pour ne pas le massacrer que je détournais mon attention de ses yeux verts ... D'accord son regard était superbe, mais ça compensait seulement son
odeur nauséabonde! *Calme toi, calme toi * me sermonnais– je. Ce n'était pas le moment de déclencher une guerre. Un meurtre aurait fait mauvais effet sur mon dossier scolaire qui était, il fallait l'avouer, quasiment parfait. Je planta mes yeux dans les siens, il voulait me défier, il n'allait pas être déçut. Je n'était pas du genre à me laisser faire, loin de la et il allait bientôt le savoir.
- Si tu crois que c'est un chien qui va m'impressionner!
Je haussais les épaules, d'un air totalement détaché
alors qu'il continuait à me fixer. Ses yeux étaient hypnotisant, ce fut une sensation étrange que je ressentis quelques instant, comme si c'était ma place d'être ici, à ces côtés. Ce fut son sourire narquois qui me fit revenir sur terre. Quel arrogant
- Un conseil Médor, fais comme si je n'étais pas là, ça vaudra mieu pour nous deux!
Ce n'était pas une menace, du moins pas tout à fait, juste un avertissement, un conseil, même si tout en moi disait le
contraire. Mon regard était aussi dur et froid que le ton sur lequel je venais de lui adresser la parole. On me disait arrogante et hautaine, alors comment qualifier le tas de poil assis à côté de moi? Il semblait beaucoup plus sur de lui que je ne l'avais jamais été, certains aurait pu dire qu'on était fait
pour se rencontrer ... Qui sait, ça aurait pu être vrai si je n'avais pas été une vampire et lui un loup garou. Mais surtout si son but principal dans la vie n'était pas de m'énerver !
- Vu ton odeur ça va être dur !
Si mes yeux avaient été des fusils, si serait mort. Je
crispa mes mains sur les rebords de la table qui nous servait de
bureau, allant même jusqu'à arracher un morceau de bois sous le sourire moqueur de mon voisin de classe. * Contrôle
toi Rosalie *. Je ne devais pas craquer maintenant. J'essayais
tant bien que mal de contrôler ma rage et mon envi de lui
régler son compte. Je ferma les yeux essayant de me concentrer sur autre chose que sur ma colère. Si seulement Emmet était là, il saurait trouver les mots pour me calmer. Je n'ouvris de nouveaux les yeux que lorsque l'enseignante m'interpella. J'avais dû garder les yeux fermés plus longtemps que prévu, ce qui avait dû alerter la Signora Camigli:
- Melle Cullen, vous vous sentez bien ?
Je posa le regard sur mon interlocutrice. Mon visage devait être figé par la concentration dont j'essayais de faire preuve, ce qui pourrais passer, au yeux d'un humain, pour un visage malade. Je saisis cette porte de sortie qui m'étais offerte de m'échapper, de ne plus avoir à supporter cette odeur,
ses yeux posés sur moi, ce sentiment de haine qui commencer à devenir véritablement insoutenable. D'ordinaire, je n'était
pas pour la fuite, bien au contraire. J'étais plutôt du genre à affronter les problèmes en face, à ne pas me voiler la face, mais là, je devais partir. La survie du secret de ma famille était en jeu. Je ne serais pas la seule impliquée si je venais à perdre mon sang froid et attaquer le loup. Toute ma famille en subirait les conséquences et je ne pouvais pas leur infliger ça. Forks était l'endroit idéal pour nous et tous le monde y avait trouvé
ses marques, alors pas question de mettre tous cela en péril
pour une simple question d'orgueil.
-Pas vraiment. Puis – je quitter la classe pour me rendre à l'infirmerie?
La politesse était la clé de tout. Mon enseignante me
donna son accord d'un signe de tête. Je ne me fis pas prier
pour prendre en main mes affaires et me lever de table, évitant
du mieu possible le regard vert du loup, qui semblait déçu
que notre affrontement se termine aussi vite. Passant devant mon professeur je la remercia. Elle ne se doutait pas combien je lui était reconnaissante de m'avoir offert cette délivrance:
- Grazie Signora.
Je
me précipita, hors du lycée. Passant devant une fenêtre
ou se déroulait un cour, je croisa le regard de ma soeur qui
était plutôt inquiet. J'en fut réduite à déduire qu'Alice avait sans doute eu une vision de qui ce qui allait se passer. Ma sortie de cour prématuré aura changé la donne. Les visions de ma soeur adoptive se modifiaient en fonction des décisions des gens, ce qui donnait une belle pagaille dans sa tête. Ce qu'elle avait vu au préalable me concernant n'avait pas dû avoir le temps de changer, vu que la décision de ma sortie de cour avait été prise au dernier moment. Son visage se détendit en me voyant, elle semblait aussi soulagée que moi que je sois sorti du lycée. Qu'avait – elle donc vu qui puisse la rendre si
inquiète? Dans sa vision, elle me voyait sans doute attaquer
le loup, ne pas réussir à me contrôler. J'en serais sans doute plus ce soir, quand nous serions tous à la villa. En attendant, j'avais besoin de me défouler un peu. Une petite course de quelques kilomètres dans les bois ne me ferait que le plus grand bien.
A suivre...
Pour les comms c'est ici
Dernière édition par Miss O'Neill le Sam 31 Jan - 13:42, édité 1 fois (Raison : Modération)
Black poison- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 23/01/2009
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