Quand le passé réapparaît (en 4 parties)

C'est mon premier Fanfic

Titre : Quand le passé réapparaît
Auteur : ptitelili
Email : bonorely@msn.com
Catégorie : Romance S/J
Spoilers : après la saison 4
Rating : Tout public
Résumé : Le major Samantha Carter et le Général Hammond on un secret en commun…
Disclamer :
Note de l’auteur : C’est mon premier Fanfic alors j’espère que ça vous plaira.

*** pensée des personnages***


BUREAU DU GENERAL HAMMOND

TOC, TOC, TOC…..

Il pris sa respiration à fond, il savait que la nouvelle n’allait pas l’enchantée, d’ailleurs elle ne l’enchantait pas non plus, certes il était heureux, mais il devait lui annoncer.

H : Entrez

Elle ouvrit la porte de façon timide, la referma et se mit au garde à vous.

S : Mon général vous vouliez me voir ?
H : Oui, Sam. Je vous en prie, installez-vous ?
S : Sam ???
H : J’ai reçu un appel de France, plus exactement de l’ambassade Américaine au sujet d’une personne qui dit nous connaître….
S : (inquiète) Cela concerne la porte des Etoiles, mon général ?
H : Non c’est personnel, Sam.

Toutes sorte de question venait l’inonder, son regard, son attitude elle l’avait reconnu dès qu’elle était rentrée dans le bureau. Pouvait-il s’agir de lui ? Non ce n’est pas possible. Non ça ne pouvait pas être ça.
Hammond voyant le major pâlir se leva de son fauteuil et s’installa à ses côtés.

H : C’est Chris…. Il est vivant.
S : (les larmes aux yeux) Non… Il est mort vous me l’avez dit. Je ne suis pas folle…
H : Sam, je vous en prie… Ecoutez-moi !
S :…
H : Il a été arrêté pour détournement de fond.
S :…
H : Il veut nous voir, il est à la prison de la santé à Paris, j’ai pris deux billets d’avion un pour vous et un pour moi, mais si vous ne voulez pas venir je ne vous en tiendrait pas rigueur je comprends que trop bien ce que vous ressentez.

Il dit cette dernière phrase d’une traite tellement c’était difficile pour lui, il prit la main de Sam.

S : (sous le choc) Il faut que je réfléchisse... Est-ce possible ?
H : Bien sur. Je partirai à 17h00 l’avion décolle à 18h00. Je vais convoquer SG1 de suite pour leur annoncer que la prochaine mission est annulée.
S : Ah ! Je comprends (l’esprit militaire réagis) mais qui prendra la direction du SGC pendant votre absence ?
H : Le colonel O’Neill, c’est pour ça que je vais leur parler de mon départ ainsi que la cause.
S : (se levant brusquement) Puis-je me retirer pour pouvoir réfléchir ?
H : Bien sur, je veux que vous soyez en salle de briefing dans 30 minutes.
Sam, je peux juste vous posez une question ?
S : Oui.
H : que ressentez-vous ?
S : J’ai peur… (Elle sentit les larmes coulées sur sa joue) Je ne sais pas quoi penser… Tout se bouscule dans ma tête… Vivre pendant 10 ans en croyant que la personne que vous aimez est morte et apprendre qu’il est en vie alors que vous avez une autre vie… Et vous ?
H : Je suis content qu’il soit en vie.
S : Je comprends, et je suis contente pour vous.

Elle sortit du bureau et alla directement dans ses quartiers, elle ne voulait pas croiser Jack, ne pas montrer ses faiblesses mais elle se sentait défaillir elle n’avait pas le droit de perdre le contrôle. Elle avait peur de le revoir, de se retrouver en face de cet homme. Elle avait tout fait pour l’oublier, elle s’était renfermée dans son travail, elle s’était refusée de tomber amoureuse.

DANS UN COULOIR DU SGC

Elle percuta le colonel. S’excusa et se dirigea vers ses quartiers.
Jack, Daniel et Teal’c étaient étonnés du comportement de Sam.

J : (criant pour qu’elle l’entende) Oh mais ce n’est rien major vous êtes pardonnées de m’avoir donné un coup dans l’estomac.
D : Jack, je crois que Sam pleurait…
T : Je l’ai également constaté Daniel Jackson.
J : Je sais, vous êtes perspicace... (Il n’eut pas le temps de finir sa phrase)

« SG1 est demandée en salle de briefing dans 30 minutes, SG1 est demandée en salle de briefing dans 30 minutes »

J : Tiens, notre briefing n’a pas déjà eu lieu ce matin ?
T : En effet, O’Neill au sujet de notre mission sur P5X356.
J : (souriant) C’est peut-être pour nous donner des vacances.
D : Quoi ? (Levant les yeux au ciel) On rentre de vacances Jack !
J : Quoi on peut toujours rêver.

Sur ces bonnes paroles ils se séparèrent, Daniel prit la direction de son bureau, Teal’c de la salle de sport et Jack voulait voir son major, mais après une demi-heure ses recherches restaient infructueuses.

SALLE DE BRIEFING

Tout le monde était en salle de briefing, sauf une personne…
Le général Hammond arriva et constata l’absence du 4ème membre de SG1. Il n’était pas d’humeur, il s’installa et commença le briefing.

H : Votre mission sur P5X356 est annulée.
D : Quoi mais…
H : (Haussant la voix) Je ne veux pas revenir sur le sujet Docteur Jackson. (Se calmant) Je vous ai convoqué pour…

Le major Carter venait d’arriver, elle avait les yeux rouges. elle s’installa à côté de son colonel.

S : Désolé mon général, je n’ai pas vu l’heure.
H : Ce n’est rien Sam. J’allais leur expliquer.

Jack, Daniel et Teal’c se regardaient pour se sonder, ils avaient bien entendu le général appeler le major « Sam ».
Il prit une profonde respiration et regarda Sam qui avait baissé la tête, il savait qu’il allait devoir tout raconter.

H : Avant que le major n’arrive je voulais vous dire que vous alliez vous occuper du commandement du SGC Jack.
J : Quoi ? Moi pourquoi, où allez-vous ?
H : Je pars en France. Ce matin j’ai été contacté par l’ambassade Américaine de Paris…
S : (lui coupant la parole) Mon mari est en prison là bas pour détournement de fond.
D : Votre mari, Sam, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
J : C’est un rêve, je vais me réveiller, s’il vous plait dite moi que c’est un rêve !
T : Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un rêve, O’Neill.
J : Merci de votre soutiens Teal’c.
T : C’est naturel. Pour accentuer sa réponse le jaffa baissa la tête.
D : Juste une question, général. Pourquoi est-ce que vous partez là bas ? C’est le mari de Sam.
S : Chris et moi nous nous sommes rencontrés grâce à nos parents. (Elle regarda le général pour avoir son accord, il lui fit signe que oui de la tête. Elle continua Chris est le fils du général Hammond, on avait 6 ans lorsque nos parents se sont connus, nous étions inséparable, (elle sourit) On se passionnaient pour la même chose, les sciences, la musique, etc.… Nous avons fait les mêmes écoles et à la mort de ma mère il a été très présent, il m’a beaucoup soutenu. A 16 ans nous avons commencés à flirter, et puis à sortir ensemble…Après 3 ans il m’a demandé en mariage, Je suis ensuite rentrée au Pentagone et lui à la Nasa il travaillait sur la conception d’un nouveau modèle de navette spatiale.
J : Ca ne devait pas être facile de vous suivre dans une discussion.

Sam sourit et Jack en fut très content, le regard qu’ils se jetaient n’échappa pas à Daniel.

Sam : Un jour en rentrant du pentagone, j’ai trouvé une lettre de Chris disant qu’il était désolé mais qu’il n’était pas heureux, qu’il ne m’aimait plus mais ne voulait pas me faire du mal, il préférait partir. C’était le jour de nos 2 ans de mariage. (Les yeux dans le vague) C’est bizarre je m’en souvient comme si c’était hier.

Sa gorge se noua, ses larmes coulaient de nouveau. Le général repris la parole.

H : Pendant 2 jours nous n’avons pas eu de nouvelles, nous avons avertis la police, lancés des avis de recherche, puis un soir où nous étions avec Jacob chez Sam pour essayer de comprendre… La police téléphona, elle nous a dis que sa voiture avait été retrouvée dans un fossé. Alors avec Jacob nous sommes allés sur place… (Il regarda Sam le FBI était déjà sur les lieux ils nous ont dis que le corps n’avait pas été retrouvé, qu’ils étaient sur l’enquête car Chris était un de leur indic.

A ses mots Sam releva brusquement la tête.

S : Un indic ?
H : Le FBI nous a dis que pour sa sécurité il fallait que tout le monde le croit mort. Alors nous sommes repartis chez vous et nous vous avons annoncé que nous avions vu son corps.
S : (Criant presque) Ce jour là ma vie s’est écroulée une seconde fois, je me suis consacrée à mon travail évitant toute vie sociale. J’ai la réponse à votre question Georges, c’est non, je ne viendrais pas avec vous et dite lui bien que je ne veux plus le voir, jamais vous m’entendez.

Puis elle partit en trombe. Jack se leva et allait sortir quand le général Hammond lui dit.

H : Il y aura aussi le FBI je voulais lui dire une fois dans l’avion il sera rapatrié à Colorado Springs dans 3 jours. Jack je vous la confie. Je ne peux pas le laisser c’est mon fils mais sachez que je lui en veux.
J : Ne vous en faite pas mon général tout se passera bien.
D : (pour détendre l’atmosphère) Oui mais vous n’avez pas peur de confier la base à Jack ?
Un sourire se dessina sur le visage du général, lorsque Jack jeta un regard assassin à Daniel, tandis que Teal’c haussa le sourcil gauche.

J : Daniel, je vais commencer par vous torturer, plus de traduction pendant 3 jours…
D : (avec un sourire) …
J : Non Daniel n’y pensez même pas l’infirmerie vous est également interdite.

Georges se mit à rire, et Teal’c afficha un grand sourire avant de dire.

T : Et vous O’Neill, vous allez faire quoi, pendant 3 jours, à part aller voir votre second.
J : ...
Daniel rigolait la bouche grande ouverte.
H : Bon j’y vais, aucune équipe n’est de sortie, Jack s’il vous plait allez voir Sam.
Jack : J’y vais de ce pas Mon général, bonne chance et bon voyage.

Puis il partit sans demander son reste, il fallait maintenant qu’il trouve son major. Sam, il pensait tout connaître sur elle, depuis le test Zatarc il avait beaucoup réfléchi mais maintenant il comprenait sa décision d’en rester sur cet aveu, toutes les personnes qu’elle aimait, à commencer par sa mère, disparaissaient.

A suivre

QUARTIER DE SAM

Toc, toc, toc…

Toc, toc, toc…

J : Major je sais que vous êtes ici alors ouvrez moi !
S : Allez vous en mon Colonel, S’il vous plait.
J : Sam, ne me forcez pas à vous l’ordonner.
S : (en ouvrant la porte) Quoi ?
J : (en entrant) Major jamais je n’aurais imaginer rentrer dans vos quartiers alors que ceux-ci sont plongés dans le noir. (Sur ces paroles il lui fit son plus beau sourire.)
S : (qui souriait) Je suis désolée mais la lumière me fait mal aux yeux.

Jack se dirigea vers la salle d’eau alluma la lumière pris un gant de toilette, le passa sous l’eau froide et retourna dans la chambre en le tendant à Sam, qui c’était assise sur son lit.

Jack : Tenez, Carter ! Mettez sa sur vos yeux ça ira mieux dans 5 minutes.
S : (en prenant le gant) Merci, je suis désolée de vous avoir infligé ça, mais apprendre qu’ils m’ont mentis… Chris a été égoïste, je me suis trompée pendant toutes ces années ou j’ai continué à penser à lui. Je me sens idiote, vous ne pouvez pas savoir à quel point.
J : Vous ne devez pas vous sentir coupable dites-vous que c’est ce que l’on appelle le destin. Je sais je ne vous réconforte pas trop mais sachez que vous pouvez nous faire confiance à Teal’c, Janet, Daniel et moi et que si vous avez des doutes il ne faut pas hésiter à nous en parler ou à nous le dire. Nous sommes là pour vous.
S : Rien que votre présence me suffit pour savoir que je suis en de bonne main.

Elle rougit à cette phrase, car elle aimait sa présence, son regard, son parfum. Elle savait qu’elle pouvait lui confier sa vie, ce qu’elle ferait sans aucune hésitation.
Elle ne pouvait plus retenir les larmes. Jack la prit dans ses bras et la berça, ils restèrent l’un contre quand Jack décida de briser le silence.

J : Pourquoi ne pas nous en avoir parler plus tôt, pour votre m… mari (Il ne supportait pas cette appellation)
S : Je ne sais pas peut-être les préjugés, je ne voulais pas que l’on me voie comme la belle-fille du Général Hammond. C’est déjà difficile d’être la fille de Général Carter
J : Je comprends, mais nous, nous ne sommes pas les autres, Sam, nous sommes vos amis.
S : J’ai essayé de vous en parler mais vous ne supporter pas le piston et comme je sais que vous n’aimez pas trop les scientifiques je n’ai pas voulu en rajouter. (Mettant une main sur son front) J’ai un de c’est mal de tête…
J : Vous devriez aller à l’infirmerie.
S : Oui, mais je suis bien là, je n’ai pas envie que les soldats me voient dans cet état.
J : Venez, je vous accompagne.
Il ne voulait pas non plus se séparer d’elle, il sentait que sa présence était désirée.
S : D’accord (dit-elle en se levant).
Elle n’avait pas envie de se retrouver seule. Elle avait peur de se retrouver seule et de ne plus contrôler les sentiments qui n’arrêtaient pas de la submerger.
J : Je vais pouvoir voir ce cher doc, mais je refuse les piqûres.
S : (Souriant) Promis… Quand le général doit-il rentrer ?
J : Dans 3 jours mais il m’a dit de vous dire… (En cherchant ses mots) qu’il ne serait pas seul.
S : Quoi ?
J : apparemment il rentre avec Chris !
S : (s’arrêtant net) Chris, mais je croyais qu’il était en prison ?
J : (lui prenant la main) Le FBI va le faire rapatrier, apparemment il sera libre.
S : Oh ! (Elle reprit sa marche) je ne m’attendais pas à devoir le revoir si vite.
J : Si vous voulez je serais présent.
S : Merci, Mon colonel serait-il possible d’avoir la permission de sortir de la base ? J’ai besoin d’air.
J : Bien sûr… (Prenant son courage à deux mains) Puis-je vous inviter à aller dîner. Je cuisine très bien et je n’ai pas envie de vous laissez seule.
S : Avec grand plaisir, pour être franche, je n’ai pas envie de me retrouver seule.
J : Alors on dit dans 30 minutes sur le parking. La votre ou la mienne ?
S :…(Elle le regarde bizarrement)
J : Votre voiture ou la mienne ?
S : Je pense que la votre serait très bien car je ne pense pas être une bonne conductrice ce soir.
J : Bon alors je vous laisse allez voir le doc. et vous changer, moi je vais voir Daniel et Teal’c pour qu’il surveille la base d’après Hammond aucune équipe n’est de sortie alors la soirée devrait être calme mais il faut qu’ils sachent ou nous joindre en cas de problème.
S : Ok, à tout de suite.
J : (Souriant et lâchant sa main à regret) A tout de suite Carter.

INFIRMERIE

La pièce était entièrement vide, c’est vrai qu’en ce moment les missions des équipes SG étaient plutôt calme. Pas de blesser ce qui ne déplaisait pas à Janet car elle pouvait rattraper son retard dans ses rapports et les dossiers en cours.

S : Janet ?
Ja : (la tête dans ses dossiers) Oui Sam, Je suis dans mon bureau.
S : Bonsoir, vous n’auriez pas quelque chose pour le mal de tête s’il vous plaît ?
Ja : Bien sûr, (en relevant la tête) C’est pour vous ? Sam je suis désolée de vous dire cela mais vous avez mine affreuse.
S : Merci de votre soutien !
Ja : Vous ne préférez pas un sédatif pour mieux dormir cette nuit.
S : non merci, je vais dîner à l’extérieur et je n’ai pas envie de m’endormir à table.
Ja : Je vous comprends, puis-je connaître son nom ?
S : (devenant rouge pivoine) Le colonel.
Ja : A enfin, c’est pas trop tôt avec Daniel on commençaient à s’impatienter.
S : Janet ! Avec Daniel ? Y a-t-il quelque chose entre vous ?
Ja : Non ! Vous seriez au courant Sam vous le savez. Dit-elle avec le sourire.
S : Non en fait, j’ai appris que Chris était vivant. Il est en prison à Paris. Et je voulais prendre l’air j’étouffe. J’avais besoin de me changer les idées et le colonel m’a proposé de me faire un dîner.
Ja : Ok, je comprends maintenant pourquoi le général est parti. (Se levant et préparant un cachet) Comment a-t-il prit la nouvelle ?
S : Il est content, c’est normal il a cru pendant plus de 10 ans que son fils était m…, non en fait, avec mon père… comment dire… ils savaient tout les deux qu’il n’était pas mort, c’était un indic du FBI.
Ja : Oh, mon dieu. Bon je vais vous donnez ce cachet pour les maux de tête tenez buvez ça. Et vous prendrez celui-ci avant de vous coucher. D’accord ?
S : Merci, vous êtes super.

Janet s’avança vers Sam et la prit dans ses bras, Cette dernière répondit à son étreinte, elle était vraiment chanceuse d’avoir des amis comme SG1 et Janet. Toutes deux partageaient tous leurs secrets depuis l’épisode d’Hathor, et encore plus depuis qu’il y avait Cassandra. Elles se faisaient souvent des restaurant toutes les trois. Elles s’amusaient bien. Janet se détacha de Sam qui lui sourit.

Ja : allez-vous changer Sam !
S : Oui mais honnêtement je ne sais pas quoi mettre.
Ja : (Prenant Sam par le bras) Allons voir ça ensemble !
S : Ok. Merci mille fois Janet.

AU MEME MOMENT BUREAU DE DANIEL

Jack était aller se changer avant de parler à Daniel. Il portait un Jean noir et une chemise beige. Il entra dans le bureau et découvrit Daniel et Teal’c devant un match de tennis.

J : Alors, c’est comme cela que l’on travail ? C’est du sérieux !
D : Ah Jack ! On fais une pause, et j’en profite pour faire découvrir les joies du tennis à Teal’c.
T : (Sans détourner le regard de la TV) Ce sport est passionnant O’Neill, vous vous joignez à nous.
D : Non, vu qu’il est habillé en civil…
J : Je sors, Je vais dîner avec Carter…
D : (le coupant) Hourra !!!!!
J : Du calme Daniel ! Elle veut prendre l’air et je lui ai proposé de lui faire un dîner pour qu’elle se change les idées. Je ne pense pas qu’elle est besoins d’un RDV pour le moment mais d’un ami avec qui parler.
D : (avec une mine déçue) Ah ! (Retrouvant le sourire) toute façon faut bien un début. C’est une excellente idée.
T : Oui, le major Carter a eu une dure journée aujourd’hui.
D : Ou l’emmenez-vous ?
J : Chez moi ! Comme ça vous pourrez nous joindre en cas de problème et on ne sera pas loin de la base. Donc faite attention et appeler moi en cas de problème. J’arriverais très très vite.
D/T : Bien sûr Jack/O’Neill.
J : (à Teal’c) Vous me le surveillez bien d’accord ?
D : Mais…
T : D’accord O’neill
J : Bon je vais à la surface, elle ne devrait plus tarder.
D : Bonne soirée, ne faites pas trop de bêtises (lui dit-il avec un sourire malicieux).

PARKING

Jack était à la surface depuis 5 minutes quand Sam arriva.
Jack resta bouche bée lorsqu’il découvrit Sam, elle était magnifique. Le major portait une jupe noir arrivant sous le genou, ouverte jusqu'à mi-cuisse du côté gauche avec une chemise parme ouverte laissant apparaître un débardeur de couleur plus clair.

J : Sam, vous… Vous êtes magnifique.
S : (rougissant) Merci mon colonel, vous n’êtes pas mal non plus.
J : (avec un regard implorant) S’il vous plaît pas de colonel ce soir, juste Jack.
S : D’accord, juste Jack.
J : Très drôle Sam… Vraiment très sarcastique, vous traînez trop avec votre colonel, vous devenez comme lui.
Elle partit à rire pendant qu’il lui ouvrait la portière.
S : Merci
J : Mais de rien.

Le trajet fut très silencieux Sam regardait la route, elle avait l’air songeur. En arrivant devant chez Jack elle fut tout à fait ravi de voir cette maison si belle.

S : Elle est superbe votre maison Jack
J : Elle vous plaît vraiment ? Moi je la trouve trop sombre je pense que je vais la repeindre.
S : Non elle est très bien comme cela, avec ce décor, c’est Waou.
J : (tout sourire) Alors si vous aimez on ne changera rien.
Sam fut gênée par cette remarque, c’est vrai qui était-elle pour lui dire ce qu’il doit faire avec sa maison.
S : Désolée je ne voulait pas…
Ouvrant la porte et la laissant entrer dans la maison.
J : Ce n’est rien. C’est vrai qu’elle n’est pas trop mal et puis je préfère passer mes journées de congés à pécher ou à jardiner.
S : Vous jardinez ?
J : Oui j’adore… Et vous ?
S : Oui j’adore aussi…

Il lui dit de s’installer dans le salon et alla direction la cuisine pour commencer la cuisine il lui proposa à boire, elle prit du Vin blanc, cela faisait 10 minutes que Jack s’affairait dans la cuisine à préparer le repas tout en discutant de tout et de rien avec Sam. Puis il sentit sa présence, elle le regardait de bas en haut. Il fit comme si de rien était et continuait à préparer le repas, tel un vrai chef.
Elle restait silencieuse, elle ne pensait plus à sa journée, elle pensait à lui, à son charisme, elle le trouvait sexy et vraiment très attirant. Si Sam s’écoutait elle serait déjà aller vers lui pour lui donner un baiser fougueux, mais elle ne devait pas retombée amoureuse, il fallait qu’elle se sorte cette idée de la tête une bonne foie pour toute.

J : Sam ?
S : (Sortant de ses pensées) Euh… Oui.
J : Ca va ?
S : Bien merci, je pensais… Je ne savais pas que vous cuisiniez.
J : Major, il y a plein de chose que vous devez découvrir encore à mon sujet.
S : Je n’attends que ça… (Devant très rouge) Euh, je veux dire… c’est ce… ce que je vois.

Jack fut ravit du lapsus révélateur de Sam, ce qui le fit sourire, il prit les plats et passa devant elle qui était toujours adossée à l’entrée de la cuisine et il lui déposa un baiser sur la joue. Sam ferma les yeux pour savourer ce petit moment de tendresse, puis le suivit, ils mirent la table et dînaient.
Cette soirée fut pleine d’histoire concernant leur passé respectif et Jack avait voulu en savoir plus sur le général et Chris, Sam avait répondu à toutes ses questions.
Vers minuit ils rentrèrent à la base, tout était silencieux. Jack raccompagna Sam, jusqu’à ses quartiers, il voyait bien qu’elle angoissait de se retrouver seule. Il lui prit la main. Elle le regarda et lui fit son sourire spécial Jack.
Pendant ces 3 jours tout ce passa bien. Jack et Sam étaient très liés, même plus qu’avant, pourtant aujourd’hui Sam l’évitait elle n’avait pas envie de l’embêter avec sa peur de revoir Chris. Puis elle se dirigea vers le bureau du général elle savait qu’il était rentré le matin et voulait le voir.

A suivre

BUREAU DU GENERAL HAMMOND

Toc, Toc, Toc…
H : Entrez.
Le major rentra dans le bureau et se mit au garde à vous après avoir fermée la porte.
S : Mon général, après avoir aperçu le colonel assis elle le salua : Mon Colonel.
H : Repos, installez-vous Sam. Que vouliez-vous ?
S : (en prenant place à côté de Jack) Savoir comment c’est passé votre séjour à Paris, monsieur.
H : C’est bizarre tout le monde se passe le mot, c’est dingue. Daniel, Teal’c, le docteur Frasier, le colonel et vous ! Mais je pensais que vous seriez la première avec Le colonel. Plutôt bien, il va bien et il est libre le FBI la lavé de tout soupçon. Loin de moi l’idée de me déplaire mais ça a été trop facile par contre c’est bien Chris il n’a pas changé, (souriant) c’est le portrait craché de Maud. (C’est la femme du général)
Il m’a demandé si je vous voyais, je lui ai dit que l’on travaillait ensemble et que vous étiez la meilleure théoricienne en Astrophysique. Il veut se faire pardonné, il est venu s’installé à la maison, le temps de se reconstruire une vie. (Il regarda Sam) Il veut vous revoir…

Elle regarda Jack, il lui fit un signe de tête affirmatif.

S : D’accord mais à deux conditions !
H : Lesquelles ?
S : Que la rencontre se fasse ailleurs que chez moi et que Ja… Le colonel soit avec moi.
H : …
S : Oui il m’a beaucoup aidé à accepter ce qui c’est passé. Et pour tout vous dire je ne me sens pas prête à l’affronter toute seule.
J : Rassurez-vous si elle veut que je parte, à n’importe quel moment je le ferais, je suis juste là pour la rassurer.
H : Il n’y a pas de problème, demain 10h00 à la maison, vous convient-il major ?
S : Pas de problème pour moi. Et vous mon colonel ?
J : Idem ici, Major !
H : A moi maintenant. J’ai entendu dire que tout c’était bien passé.
J et S : (Se regardant) Oui, mon général.
H : J’ai également eu des échos sur votre rapprochement, certaines mauvaises langues vont jusqu’à dire que la loi de non fraternisation à été violé.
J : (sur la défensive) Non mais ça va pas c’est quoi cette histoire, alors maintenant on a plus le droit de s’occuper de remonter le moral sans qu’il y est rumeur. (Regardant Sam) Major dites quelque chose, défendez vous !
S : Je peux vous assurez mon général qui ne sait strictement rien passé. (Regardant Jack droit dans les yeux pour lui signifier de se rasseoir) Ce ne sont que des rumeurs les seules personnes qui seraient susceptible de connaître si la rumeur est fondée, elle ne l’ai pas je ne m’inquiète aucunement, sont Teal’c, Daniel et Janet. Et je doute fort que de telles absurdités viennent d’eux.
J : (impressionné par son calme) Le major à raison.
H : Je vous crois d’ailleurs Daniel est venu me prévenir que la rumeur était infondée. Les vrais amis sont rare alors surtout ne perdez pas ceux-la.
J et S : Merci nous le savions déjà.
H : Vous pouvez disposer, vous avez votre après-midi de repos, bonne journée et je ne veut pas vous voir dans votre labo major Carter.
S : (tout sourire) Bien mon général.

Les deux officiers décidèrent d’inviter leur amis le soir même Sam voulait faire un repas sympa, chez elle avec Jack, Daniel, Teal’c, Janet et Cassi. Jack et elle devaient se retrouver vers 18h30 pour préparer le repas. Etant donné, que les autres arriveraient vers 20h00.

MAISON DE SAM 18H00

Sam venait de finir de se préparer elle était habillée d’une jupe en jean lui arrivant sous le genou et d’un top bleu. C’était assez simple.
La sonnerie retentit lorsque Sam s’apprêtait à aller dans la cuisine.
Elle se dirigea vers la porte et dit

S : Jack à force d’arriver en avance, les rumeurs vont vraiment aller… (Elle ne put finir sa phrase).
En ouvrant elle découvrit Chris, elle resta interdite devant la porte.
S : Chris ?
C : Sam je suis désolée de te déranger, il faut que je te parle.
S : Demain 10h chez ton père, c’était convenu comme ça, je crois ?
C : Oui, mais je ne pouvait pas attendre, Sam ! Laisse moi rentrer s’il te plait. Puis s’en attendre la réponse il rentra dans la maison. C’est très beau, j’aime bien la décoration, pas comme notre ancienne maison.
S : Au cas ou tu l’aurais oublié, tu n’es pas chez toi et tu n’es pas le bienvenu.
C : Je sais que je t’ai fait du mal, mais s’il te plaît, laisse moi une chance de te rendre heureuse pendant toute ces années j’ai pensé à toi. Tu m’as manqué, je t’aime Sam j’en ai la certitude depuis que je t’ai vu sur le bas de ta porte. Tu es toujours aussi belle, mais je te préférais les cheveux plus courts.
S : Note pour plus tard ne plus me couper les cheveux. Ecoute-moi bien Chris ! Je veux que tu partes de chez moi…

Elle ne pu finir sa phrase qu’il l’embrassa déjà, trop surprise elle ne bougea pas, elle n’avait pas fermé la porte et donc Jack entra, il resta bloqué, Il s’apprêtait à partir lorsqu’il vu Sam se reculer et gifler Chris d’une telle force que celle-ci résonnait. Il retrouva son sourire immédiatement.

S : (En colère) Comment oses-tu ?
C : c’est qui ?
S : Quoi, qui ?
C : (en désignant Jack du doigt) Lui ?
J : Désolé la porte était ouverte et…
S : (Le coupant) Jack entrez, je vous en prie, vous avez bien fait ?
J : (lui tendant un bouquet de roses blanches) Tenez c’est pour vous ? Vos préférez d’après UN INDIC (en insistant bien sur le mot et regardant Chris) très fiable. Bonjour, je suis Jack O’neill, Colonel et supérieur de Sam et vous ?
S : Jack je vous présente Chris mon futur ex-mari !
C : à ce que je vois tu as refait ta vie.
S : Non et même si cela était le cas, ce ne sont plus tes affaires depuis 10 ans.
J : Si vous voulez Sam je peux repartir…
S : Non rester je vous en prie
Son regard n’était pas rassuré, il savait qu’elle craquerait et qu’elle ne le voulait pas.
J : Bien sur il faut juste me le demander. (Se rapprochant d’elle et lui faisant un bisou sur la joue, il lui murmura) N’ayez pas peur je suis là.
C : Si je vous dérange, vous pouvez me le dire. Mais je crois que vous êtes son supérieur non, les familiarités ne vous font donc pas peur.
J : Non je n’ai pas peur du règlement et vous pouvez toujours allez prévenir votre père. Au lieu de me regarder comme ça allez vous installer avec Sam on vous apporte à boire.
S : (Bas à Jack) Je suis désolé, il n’a pas voulu partir.
J : Ce n’est rien, à vrai dire je n’en reviens pas qu’il vous est embrassé.
S : Par surprise, et si vous voulez tout savoir, j’ai une envie de meurtre.
J : (à lui-même) Moi aussi…

Chris était dans le salon et regardait les photos de Sam avec son père, son frère, ses neveux et nièces, puis une photo de SG1 lorsqu’elle a été promue major, et une photo de Cassandra. De retour dans le salon Sam et Jack le regardaient.

C : (Se retournant) Tu as une jolie fille, elle a quel âge ?
S : (riant aux éclats avec Jack) Cassy n’est pas ma fille nous l’avons retrouvé sur un site après une bataille, ses parents sont morts, elle a 11 ans sur la photo. C’est le docteur qui travail à la base qui l’a adopté.
C : Et pourquoi ne l’a tu pas fais vous avez l’air assez proche toute les deux sur la photo.
J : Mais elles le sont. Vous vous voyez un samedi sur deux je crois.
S : Oui c’est exacte plus un soir par semaine au hasard quand nous ne sommes pas sur les satellites. Elle grandit très vite et voulait vous voir au sujet des étoiles.
J : Vous lui avez parlé ?
S : Oui hier soir, elle avait besoin d’aide pour un devoir de maths.
J : (souriant) trop compliqué pour moi, mais les étoiles sont mon domaine alors pas de soucis on en parlera ce soir.
C : Ce soir, je suis peut-être en train de gâcher votre soirée.
S : (haussant la voix) Tu ne crois pas qu’il est trop tard pour t’en préoccuper. Ca m’énerve tu n’as pas du tout changé, tu débarques après 10 ans, tu fais comme si il n’y avait pas eu de coupure, mais il y en a eu une Chris, jusqu'à il y a 3 jours je pensais que mon mari était décédé dans un accident de voiture après m’avoir laisser un mot m’annonçant qu’il n’était pas heureux le jour de notre 2ème anniversaire alors tu m’excusera si tu n’es pas le bienvenu dans Ma maison et que je n’ai pas envie de faire comme si rien de cela n’était arrivé.
C : Sam, je suis désolé, je ne savais pas quoi faire et quand le FBI m’a proposé cette façon de disparaître en échange de ma collaboration, j’ai sauté sur l’occasion, je voulais un enfant, je voulais que tu t’en occupes, que tu sois plus présente. Mais tu étais toujours absence où entre 2 RDV avec le Pentagone…
S : Non mais je rêve, tu es comme la plus part de ces hommes qui pense qu’une femme ne peut pas faire plusieurs chose à la fois, j’aimais mon travail il est vrai qu’après ta mort, je me suis lancée d’arrache pied dans le seul domaine où on ne pouvait pas m’annoncer qu’on pouvait se passer de moi car je l’avoue je suis l’une des meilleures dans mon domaine mais je t’aimais Chris.

Les larmes de Sam coulaient, elle s’installa dans un fauteuil, Chris fit de même mais à l’autre bout de la pièce. Jack qui ne dit pas un mot pendant cette altercation, s’assit sur la table base en face d’elle, lui prit la main, prit un paquet de mouchoir qui traînait sur la table et lui en tendit un. Elle le prit sans lâcher sa main.

J : (à Chris) Comment êtes vous venu ?
C : en taxi, pourquoi ?
J : Je vais appeler votre père pour qu’il vous ramène.
H : Ce n’est pas nécessaire, Jack, mais merci !
Jack se retourna et vit Hammond sur le bas de la porte.
S (A Jack) : Je vais dans la salle de bain.
J : Oui, pas de problème Carter (le mode militaire c’était enclenché dès que Jack eu entendu la voix du général).
Les trois hommes restaient dans la pièce, Jack allait se retirer quand le général lui demanda de rester.
J : Si vous voulez, vous voulez quelque chose à boire ?
H : Oui, un café.
J : Un café et vous Chris ?
C : J’ai déjà ma bière, merci.
J : Ok puis il se dirigea vers la cuisine
H : Chris je t’avais dit qu’elle viendrait demain ! Tu t’attendais à quoi en venant la voir, à ce qu’elle te pardonne, c’est déjà difficile pour moi qui suis ton père alors pour elle. Elle ne sort pratiquement jamais de la base, elle oh et puis zut pourquoi se justifier…
C : Je suis désolé pour le mal que je vous ai fait. Je repartirai demain.
H : (le prenant par les épaules) Tu es mon fils et même si tu as agit comme un crétin je suis content que tu sois revenu dans ma vie, dans la vie de ta mère et dans celle de ton frère. Tu vas connaître tes nièces.
C : Et pour Sam…
S : (Dans les marches) Chris, pour ce qui est de nous deux c’est fini, je me suis faite à l’idée il y a 4 ans quand je suis rentrée dans la base sous les ordres de ton père, il m’a contacter avec le président et je n’ai pas pu refusé. J’aime ma nouvelle vie, et elle ne t’inclut pas. Je suis désolé.
C : Tu aimes quelqu’un d’autre ?
S : (Rougissant) Non, je n’aime…
C : Malgré les années Sam tu ne sais toujours pas me mentir, puis-je connaître son nom ?
S : (criant) Tu le fais exprès, tu le sais très bien alors arrête, c’est notre carrière qui est en jeu.
J : (Revenant de la cuisine) Quelles carrières ?
H : La votre et celle de Sam.
S : (pâle) Mais…
H : Sam, je vous prie, mais malheureusement il y a la loi de non fraternisation. Quand vous n’avez pas dormis pendant 3 mois pour retrouver Jack. Le TEST, j’ai eu les résultats. Vos regards et vos sourires à toutes ses blagues stupides qu’il ne fait que pour vous voir sourire. Mais je ne peux faire faire de dérogation, et je veux vous garder tous les deux.
J : Sam vous avez fais ça et je ne vous ai même pas remercié.
S : Je ne l’ai pas fait pour les remerciements, juste pour vous revoir.
C : Sam, Jack je suis sincèrement désolé, je n’ai pas pensé que vous souffriez de la situation. Je perds ce que j’ai de plus chère. Je veux seulement que tu saches Sam que je n’ai jamais cesser de penser à toi et j’aimerai que l’on reste amis. Prends le temps qu’il faut mais je t’en prie laisse moi une chance en tant qu’ami.
S : Je vais réfléchir mais je pense que c’est faisable. Elle le prit dans ses bras.
J : (pour détendre l’atmosphère) Bah ce n’est pas tout mais je crois que l’on doit préparer à manger car les joyeux campeurs ne vont pas tarder.
S : Oui, vous allez rester tous les deux.
H/C : D’accord

Jack se dirigea vers la cuisine suivit de Sam.
Tout naturellement, Jack prépara le dîner avec Sam (elle en était ravie). Environ 45 minutes après la sonnerie retentie.

Sam : (criant) J’arrive !
Daniel : (qui avait remarqué la voiture de Jack) On ne vous dérange pas trop, c’est étonnant que Jack soit en avance. Y aurait-il anguille sous roche ?
S : (rougissant) Daniel ! Le colonel est venu m’aidé car nous sommes plus nombreux que prévue.
Ja : (en entrant et découvrant le général et un autre homme) Je crois que l’excuse tiens la route Daniel. Dommage pour toi tu as perdu ton pari.
J : Quel pari ?
T : Daniel Jackson et le Docteur Frasier on parié contre moi que vous seriez dans une position compromettante, c’est bien ça Daniel Jackson ?
D :…
Cassy : C’est bien ça Teal’c.
Tous rigolaient à la vue de Daniel qui faisait des grands signes à Cassandra pour qu’elle se taise.
D : Bonjour, (Serrant la main de Chris) Daniel Jackson.
C : Bonjour, Chris Hammond.
D : Oh, d’accord, enchanté, je vous présente Janet Frasier, Teal’c et la petite c’est Cassandra.
C : Enchanté de vous connaître pendant 3 jours mon père n’a fait que de parler de vous. Mais j’ai une question qu’est-ce que fait un archéologue civil dans les satellites et l’armée.
H : Secret défense.
D : Oui, c’est ça.
C : Ok, (à Cassy) Alors c’est toi qui fait briller les yeux de Sam.
Cassy : Ah non, ça c’est Jack, moi je suis la petite fille très courageuse. Puis elle se mit à rire.
Jack et Sam étaient devenus tous deux rouges comme des pivoines.
Sam : Et si on passait à table.
Tous : Super idée.

Pendant le repas tout se passa pour le mieux Chris raconta ses missions d’infiltration, de ce qu’il avait vu et entendu. Vers 1h30 tout le monde parti sauf qui Jack finissait de débarrasser la table pendant que Sam faisait la vaisselle.

S : Merci de m’avoir aidé pour le repas et pour cette histoire.
J : De rien. Il ferma la porte du lave vaisselle et s’essuya les mains. Je vais y aller, on se revoit demain.
S : (raccompagnant Jack à la porte) Bonne nuit Jack.
J : (déposant un bisou sur les joues de Sam) Bonne nuit Sam.
Sam n’en revenait toujours pas il avait encore osé, c’était si doux, elle crut défaillir. Elle le regarda partir. Verrouilla sa porte et partit au premier. Alluma son ordinateur, saisit un texte et le sortit de son imprimante griffonna dessus et rangea la feuille.
Puis se prépara pour la nuit. Elle s’endormit paisiblement avec une certitude, tout allait rentrer dans l’ordre.

A suivre

LENDEMAIN 9H00 BUREAU DU GENERAL HAMMOND

Toc, toc, toc…

H : Oui, entrez.
X : Puis-je vous parler mon général ?
H : Oui, à quel sujet ?
X : J’ai une proposition à vous faire.
H : Je vous écoute !

La personne lui expliqua ses intentions il n’était pas trop pour mais comprenais son agissement. Ils parlaient pendant une demi heure. Puis le voyant raccrocher l’air grave.

X : Alors.
H : Le président n’était pas très ravi de votre attitude. Mais, il accepte votre marché. Convoquez SG1 en salle de briefing à 10h00.
X : Bien mon général.
Puis l’individu sortit du bureau.

9H50 COULOIR SGC

Jack s’apprêtait à aller voir Sam elle lui manquait et voulait la voir avant qu’elle ne soit trop absorbée par son réacteur. Quand il entendit la voix du haut parleur :

« SG1 est demandé en salle de Briefing dans 10 minutes. SG1 est demandé en salle de briefing dans 10 minutes »

J : Jamais tranquille, ici.
Il vit Sam sortir du bureau. Elle le remarqua et lui sourit.
S : Bonjour, mon colonel.
J : Bonjour, major. Vous avez bien dormi ?
S : Très bien, (avec un sourire malicieux) j’ai fais un très beau rêve. Et vous ?
J : (coquin) Très bien. On n’a peut-être du faire le même car le mien était également très beau.

SALLE DE BRIEFING

Les 4 membres de SG1 étaient installés lorsque le général Hammond sortit de son bureau et alla s’installer dans son fauteuil.

H : J’ai une annonce à vous faire.
La plus une mouche volait dans la salle, tous étaient attentifs, Hammond ce dit que cette salle n’avait jamais été aussi calme.
H : SG1 je vais vous attribuer un nouveau membre à votre équipe.
J : Quoi ! Mais on est déjà 4, pourquoi nous attribuer un nouveau membre. Je ne vois pas l’utilité d’un 5ème membre à SG1, Mon général !
H : Colonel ! L’un des membres de votre équipe a donné sa démission.
J : Qui ?
S : Moi mon colonel.
J : Pourquoi ?
S : Je veux me concentrer sur mes recherches.
H : Major, nous vous écoutons.
S : D’abord, je tiens à vous demandez de ne pas m’interrompre s’il vous plait.
Tous : D’accord.
S : Si j’ai donné ma démission c’est surtout pour quitter l’armée et non le programme, je serais toujours dans la base mais je ne partirais qu’occasionnellement en mission. J’ai découvert hier que je ne voulait en aucun cas privilégier ma vie de soldat à ma vie de femme. Pour les autres membres, comprenez moi, je viens de découvrir que mon mari n’était pas mort et qu’une personne qui tient à moi est prête à sacrifier sa vie… (Voir diviser pour conquérir).

Jack qui ne la regardait pas leva les yeux et croisa les siens, ils étaient tellement expressifs qu’il se leva, tout en laissant ses yeux plongés dans les siens. Il la prit dans ses bras et lui murmura : « Bienvenue au SGC professeur Carter ».

H : Colonel, si nous vous dérangeons nous pouvons partir !
J : Bonne idée mon général.
S : Colonel.
J : Oups…
D : Bah on peut dire que ça commence fort la relation déjà les gros yeux. Faites attention Jack.
J et S : Daniel !
H : Bon SG1 votre départ pour P5X356 est prévue pour demain matin 9h00, docteur Jackson merci de briefer le sergent Haley qui sera la remplaçante du Major. Vous avez quartier libre jusqu’à demain matin.
J : Monsieur, demande permission de quitter la base ce soir, avec le professeur.
H : Bien sûr mais pas de retard demain matin colonel.
J : Promis. Vous venez Sam.
S : J’arrive. Merci Georges.
H : De rien.

1 HEURE PLUS TARD. MAISON DE JACK

En descendant de la voiture Jack prit Sam par la main et alla s’installer dans le canapé. Il la serra contre lui et lui dit :

J : Tu es sur que tu ne vas pas regretter ta décision, tu sais je suis vieux, grincheux…
S : (le coupant) Tu es doux, attentionné, marrant et pour finir terriblement sexy en civil, je ne pense pas regretter mon choix et je ne veux en aucun cas que tu te sentes responsable de mon choix cela fait un moment que j’y pense et quand Chris m’a embrassé hier j’ai cru t’avoir trahis, je sais c’est idiot mais je n’ai pas apprécié se contact de ses lèvres, je veux une famille et je veux qu’elle se fasse avec toi et personne d’autre.
J : Pourquoi ne pas me l’avoir dit ?
S : Je ne voulait pas me sentir influencée, je ne me met pas souvent en colère mais quand j’y suis-je dis n’importe quoi dans le but de vexer la personne. Je n’ai pas envie de te faire regretter mon et je dis bien mon choix.
J : Je tiens vraiment à toi Sam.
S : Moi aussi Jack alors t’a plutôt intérêt à me revenir entier après chaque mission.

Puis après cette phrase ils restèrent à se regarder, Jack s’avança doucement vers Sam et captura ses lèvres, elles étaient encore plus douces que ce qu’elle imaginait. Non elle n’allait pas regretter son choix, pensa-t-il.
Ils passèrent la journée ensemble à discuter, à écouter de la musique. Ils étaient enlacés. Vers 18h00, Jack repris pour la énième fois les lèvres de Sam.

J : Je reviens je vais faire à manger.
S : D’accord tu as besoin d’aide.
J : Non, (coquin) juste un bisou.

Jack prit le visage de Sam entre ses mains, puis au moment ou il allait se séparer d’elle il sentit une légère pression dans sa nuque, la main de Sam le retenais (Un peu comme dans la « théorie de Broca »). Alors il se pencha encore doucement sur elle pour faire en sorte qu’elle s’allonge sur le canapé puis ils laissèrent leurs mains se balader sur le corps de l’autre. Après une bonne vingtaines de minutes, le souffle court, ils restèrent l’un et l’autre enlacés. Jack fini par s’endormir et Sam aussi.

LENDEMAIN 7H30 MAISON DE JACK

Jack ouvrit les yeux pour se découvrir dans son salon habillé comme la veille, il n’y avait personne auprès de lui, la panique le gagna, était-ce un rêve ? Regrettait-elle son geste ? Il s’assit et découvrit les chaussures de Sam. Il se leva et partit à sa recherche, dans la cuisine le café était en train de couler, il fit toute les pièces mais aucune présence de Sam quand il retourna vers le salon, il la voyait, elle était dans le jardin. Il sortit et passa ses bras autour de sa taille, elle était dos à lui, elle s’adossa sur son torse.

S : Bien dormis ?
J : Comme un bébé et toi ?
S : Je n’ai pas rêvé mieux.
J : Désolé je crois que je me suis endormi bien avant toi.
S : Oui, mais j’étais également très fatiguée, et puis j’ai pu constater que rien ne te dérangeait pendant ton sommeil.
J : Tu m’étonnes, mais je connais d’excellente technique pour me réveiller. Je te les montrerais si tu veux ?
S : (se retournant et l’embrasant) Je crois que je sais de quoi tu parles. Tu viens ?
J : Un exemple déjà. Ou la la je suis gâté.
S : Désolée, mon colonel mais c’est le café il doit être prêt et on ne doit pas être en retard et je dois passé chez moi pour me changer. Elle se détacha et partie en direction de la cuisine.
J : (faisant la mine déçue) Oh non ! (La rattrapant) Mais dis moi, tu comptes vraiment arrivée à l’heure ?

Fin.

je l'avais déjà lu mais cette fic est quand même super

J'aime bien c'est un peu du déja vu mais ton style est agréable à lire et certaines répliques sont pas mal, c'est eux lol

J'aime bien, ça se lit tout seul, et c'est vraiment bien pour une première fic

c'est une bonne fic j'aime bien et ca se lit bien histoire interressante

c'est pas mal comme première fic, par contre fait attention aux fautes d'orthographes !!

C 'est pas mal du tout , c 'est facile a lire

Ca mériterait quelques coups de pinceaux par ci par là mais pour une première c'est pas mal du tout !

L'histoire est bonne, on sent le prétexte au ship mais c'est quand même bien monté ! Certains passages sont amusants et j'aime la complicité entre les membres d'SG1 Janet et Cassie. Et enfin, est ce n'est pas négligeable, c'est pas bourré de fautes^^ !

Maintenant les mais (parce qu'il y a toujours un mais....) comme souvent dans les premières fics (et en un sens c'est normal) on retrouve les pièges classiques du genre présentation théâtre (qui serait d'autant plus agréable à enlever qu'avec tes nombreuses "indications scénique" tu aurais vraiment de quoi animer tes dialogues), des passages ship parfois un peu trop guimauve, des personnages qui ne collent pas toujours ("C'est dingue" dans la bouche du général ? ), les clichés classiques (Daniel en marieuse officielle du SGC, tout le monde qui chambre Jack et Sam en permanence à propos du ship alors que c'est totalement improbable dans la série etc...)

Bref de très bonnes bases qui montre que tu devrais vraiment continuer mais peut être avec une relecture un peu plus attentive (ou sévère à toi de voir), et ça viendra tout seul