ADIEU
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ADIEU
Genre: Pensées.
Résumé: pour quoi faire?
disclaimer: stargate ne m'appartient pas, ni les persos, ni la Porte ...
Voila, vous êtes tranquilles pour un moment ! Ai plus rien à poster ... soulagés?
Je me suis approchée de lui, lentement. La lumière tamisée l'éclairait faiblement et faisait ressortir son teint blafard. J'ai posé mon regard sur ce visage que je connaissais par cœur, tout en essayant de dissimuler la tristesse qui m'envahissait. Il m'a souri tendrement tout en saisissant ma main. Et pour la première fois depuis des années, il a osé laisser parler son cœur. Ce n'était plus le militaire que j'avais face à moi, mais l'homme. Celui qui avait aimé, souffert, combattu, lutté. Celui qui avait perdu un être cher mais qui avait su se relever et continuer à vivre. Celui qui avait fait des erreurs, celui qui n'avait pas toujours su me parler. Mais à cet instant, tout était devenu différent.
Mon cœur était à la fois triste et heureux, quel drôle de mélange. Je me sentais libérée, ses paroles m'avaient apaisée. Il avait su trouver les mots, ceux que je rêvais d'entendre depuis longtemps. J'ai vu dans ses yeux tout l'amour qu'il avait pour moi. Comment ai-je pu douter un jour de cela? A croire que j'étais aveugle.
Sa main dans la mienne me réchauffait autant que son regard. J'avais besoin de cela et il le savait. Alors qu'il avait laissé tomber sa carapace et abattu le mur derrière lequel il se réfugiait d'habitude, il résuma ma vie, sa vie, mes espoirs, ses espoirs en quelques mots. Même lorsqu'il se décidait à parler, il le faisait avec parcimonie. Mais il savait qu'entre lui et moi, les longs discours étaient inutiles. Nous nous ressemblons, nous sommes fait du même bois. L'armée nous a forgés, endurcis. Elle nous a aussi séparés et rapprochés. Elle nous a offert des moments merveilleux et d'autres plus sombres…
Son regard se fit soudain plus intense, sa voix plus caressante et je sentis mon cœur se serrer au fur et à mesure que j'enregistrais les mots simples qu'il murmurait. J'eus beaucoup de mal à contenir les larmes qui menaçaient. Je me concentrais sur lui, je tentais de puiser dans ses yeux marron la force qu'il me fallait mais rien n'y fit. Je savais que pour ne pas craquer, j'aurais dû me fermer, revêtir ma parure de soldat mais je ne le voulais pas. Je ne pouvais pas lui faire cela. Pas à ce moment là. Alors, je l'ai laissé m'atteindre. J'ai laissé ses mots faire leur chemin dans mon esprit, ils me touchaient et me bouleversaient plus que je n'aurais cru. Il lisait en moi comme dans un livre ouvert. Je ne croyais pas qu'il me connaissait si bien. Je ne pensais pas qu'il avait découvert ce que je m'étais évertuée à cacher depuis tant d'années.
Je ne parvenais plus à contenir mes larmes, elles s'écoulaient lentement sur mes joues et je voyais dans ses yeux le reflet de ma tristesse. Il avait conscience de ce qu'il faisait. Il savait que ses paroles me transperçaient et mettaient à nu mes secrets ou plutôt mon secret. Et il n'était pas sans savoir que cela ne me plaisait guère. Lui non plus n'aimait pas être découvert. Mais il faisait tout cela pour moi, pour mon bien être, pour mon bonheur. Il était sûrement conscient qu'il fallait passer par là pour que j'ouvre enfin les yeux.
Il n'était pas dupe même s'il n'avait jamais rien montré. Pourtant, je ne lui mentais pas vraiment en lui disant que j'étais heureuse. Pour tout dire, je l'étais … en partie mais il me manquait quelque chose. Et c'était justement ça le sujet qu'il abordait. C'était sur ce point bien précis et douloureux qu'il insistait. Toujours à mots couverts bien sûr. J'ai souri malgré moi en songeant qu'il me rappelait un autre homme qui, lui aussi, parlait toujours par sous entendus. A la petite étincelle amusée qui éclaira brièvement ses yeux tandis qu'il me dévisageait, je sus qu'il avait deviné l'objet de mes pensées. Nous avons échangé un sourire, conscients de la complicité qui nous unissait et il s'est tu. Les mots étaient devenus superflus. Son message était passé, il avait dit ce qui lui tenait à cœur et moi, j'en appréhendais petit à petit tout le sens et toutes les implications. Nous avons laissé le silence nous bercer un instant puis sa voix chaude et familière envahit de nouveau la pièce.
Ses derniers mots furent ceux que j'avais attendus si longtemps. Il venait de fermer les yeux à jamais.
Je suis restée un moment près de lui, à le fixer, comme pour mémoriser chaque trait de son visage, maintenant si paisible. Toute trace de souffrance avait disparu et j'espérais juste qu'il était parti serein et rassuré. Il ne serait plus à mes côtés pour me soutenir et je réalisais douloureusement à quel point il allait me manquer. Des souvenirs affluaient tandis que je gardais sa main posée sur ma joue, pour immortaliser son dernier geste de réconfort, son ultime tendre caresse. A mesure que je sentais la vie déserter ce corps que j'aimais, je me demandais comment j'allais pouvoir vivre sans lui. Lui qui, en dépit de nos différents, avait toujours veillé sur moi. Lui qui venait de me guider une dernière fois. Un ultime conseil en guise d'au revoir.
Je revis la chaleur de son sourire, la lueur amusée dans ses yeux quand il me taquinait, toutes les images se bousculaient dans ma tête, je perdais pied. Il n'aurait pas dû me laisser comme ça, je n'étais pas prête… mais l'aurais-je été un jour? J'avais l'impression d'avoir la poitrine comprimée, ma gorge se nouait, un léger tremblement commençait à irradier mon corps et un picotement significatif irritait mes yeux. Mais je me refusais à laisser libre cours à ma peine, alors que n'importe qui pouvait surgir dans la pièce d'un moment à l'autre. Je ne l'avais pas quitté des yeux, mon regard n'était focalisé que sur lui, tout mon être, mon attention n'étaient que pour lui. Le monde extérieur n'existait plus, j'évoluais dans une bulle cotonneuse qui absorbait le bip long, strident et tristement définitif de la machine à laquelle il était toujours relié. J'étais seule avec lui.
Et soudain, l'harmonie que j'avais mentalement crée se brisa. Je ne percevais plus le bourdonnement de la machine. Quelqu'un venait de la débrancher. J'ai relevé la tête, prête à anéantir l'intrus et je l'ai vu. Il m'a souri doucement et s'est assis près de moi sans dire un mot. Je lui tournais le dos mais je sentais son regard sur ma nuque. Et tandis qu'il reposait sur le lit la main que je gardais encore précieusement contre ma joue, la colère d'avoir été dérangée retomba comme un soufflé. Je ne pouvais pas lui en vouloir de m'avoir rejointe. Bien au contraire.
Lui aussi me connaissait bien. Je devinais qu'il m'avait observée et qu'il attendait le moment opportun pour venir dans cette pièce. Lui aussi appréciait beaucoup l'homme allongé sur ce lit d'infirmerie. Par certains côtés, ils se ressemblaient. Ils étaient tous deux avares de mots, l'un comme l'autre était passé maître dans l'art de tout dire sans rien dire.
J'avais toujours le regard fixé sur le corps sans vie de mon père quand il passa ses bras autour de moi, m'attirant doucement contre lui, presque de la même façon qu'il l'avait fait quelques temps auparavant, à la mort de Janet. Et comme un écho à ce souvenir, je me suis tournée vers lui et j'ai passé mes bras autour de son cou. Il a resserré son étreinte et j'ai enfin laissé couler les larmes et les sanglots que je retenais. Tout en me caressant doucement les cheveux, il m'a à nouveau murmuré qu'il serait toujours là pour moi.
Ce n'était que de simples mots, mais pour lui, pour moi, cela signifiait beaucoup.
Mon père avait raison, maintenant, je pouvais avoir tout ce que je voulais.
FIN
Résumé: pour quoi faire?
disclaimer: stargate ne m'appartient pas, ni les persos, ni la Porte ...
Voila, vous êtes tranquilles pour un moment ! Ai plus rien à poster ... soulagés?
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Je me suis approchée de lui, lentement. La lumière tamisée l'éclairait faiblement et faisait ressortir son teint blafard. J'ai posé mon regard sur ce visage que je connaissais par cœur, tout en essayant de dissimuler la tristesse qui m'envahissait. Il m'a souri tendrement tout en saisissant ma main. Et pour la première fois depuis des années, il a osé laisser parler son cœur. Ce n'était plus le militaire que j'avais face à moi, mais l'homme. Celui qui avait aimé, souffert, combattu, lutté. Celui qui avait perdu un être cher mais qui avait su se relever et continuer à vivre. Celui qui avait fait des erreurs, celui qui n'avait pas toujours su me parler. Mais à cet instant, tout était devenu différent.
Mon cœur était à la fois triste et heureux, quel drôle de mélange. Je me sentais libérée, ses paroles m'avaient apaisée. Il avait su trouver les mots, ceux que je rêvais d'entendre depuis longtemps. J'ai vu dans ses yeux tout l'amour qu'il avait pour moi. Comment ai-je pu douter un jour de cela? A croire que j'étais aveugle.
Sa main dans la mienne me réchauffait autant que son regard. J'avais besoin de cela et il le savait. Alors qu'il avait laissé tomber sa carapace et abattu le mur derrière lequel il se réfugiait d'habitude, il résuma ma vie, sa vie, mes espoirs, ses espoirs en quelques mots. Même lorsqu'il se décidait à parler, il le faisait avec parcimonie. Mais il savait qu'entre lui et moi, les longs discours étaient inutiles. Nous nous ressemblons, nous sommes fait du même bois. L'armée nous a forgés, endurcis. Elle nous a aussi séparés et rapprochés. Elle nous a offert des moments merveilleux et d'autres plus sombres…
Son regard se fit soudain plus intense, sa voix plus caressante et je sentis mon cœur se serrer au fur et à mesure que j'enregistrais les mots simples qu'il murmurait. J'eus beaucoup de mal à contenir les larmes qui menaçaient. Je me concentrais sur lui, je tentais de puiser dans ses yeux marron la force qu'il me fallait mais rien n'y fit. Je savais que pour ne pas craquer, j'aurais dû me fermer, revêtir ma parure de soldat mais je ne le voulais pas. Je ne pouvais pas lui faire cela. Pas à ce moment là. Alors, je l'ai laissé m'atteindre. J'ai laissé ses mots faire leur chemin dans mon esprit, ils me touchaient et me bouleversaient plus que je n'aurais cru. Il lisait en moi comme dans un livre ouvert. Je ne croyais pas qu'il me connaissait si bien. Je ne pensais pas qu'il avait découvert ce que je m'étais évertuée à cacher depuis tant d'années.
Je ne parvenais plus à contenir mes larmes, elles s'écoulaient lentement sur mes joues et je voyais dans ses yeux le reflet de ma tristesse. Il avait conscience de ce qu'il faisait. Il savait que ses paroles me transperçaient et mettaient à nu mes secrets ou plutôt mon secret. Et il n'était pas sans savoir que cela ne me plaisait guère. Lui non plus n'aimait pas être découvert. Mais il faisait tout cela pour moi, pour mon bien être, pour mon bonheur. Il était sûrement conscient qu'il fallait passer par là pour que j'ouvre enfin les yeux.
Il n'était pas dupe même s'il n'avait jamais rien montré. Pourtant, je ne lui mentais pas vraiment en lui disant que j'étais heureuse. Pour tout dire, je l'étais … en partie mais il me manquait quelque chose. Et c'était justement ça le sujet qu'il abordait. C'était sur ce point bien précis et douloureux qu'il insistait. Toujours à mots couverts bien sûr. J'ai souri malgré moi en songeant qu'il me rappelait un autre homme qui, lui aussi, parlait toujours par sous entendus. A la petite étincelle amusée qui éclaira brièvement ses yeux tandis qu'il me dévisageait, je sus qu'il avait deviné l'objet de mes pensées. Nous avons échangé un sourire, conscients de la complicité qui nous unissait et il s'est tu. Les mots étaient devenus superflus. Son message était passé, il avait dit ce qui lui tenait à cœur et moi, j'en appréhendais petit à petit tout le sens et toutes les implications. Nous avons laissé le silence nous bercer un instant puis sa voix chaude et familière envahit de nouveau la pièce.
Ses derniers mots furent ceux que j'avais attendus si longtemps. Il venait de fermer les yeux à jamais.
Je suis restée un moment près de lui, à le fixer, comme pour mémoriser chaque trait de son visage, maintenant si paisible. Toute trace de souffrance avait disparu et j'espérais juste qu'il était parti serein et rassuré. Il ne serait plus à mes côtés pour me soutenir et je réalisais douloureusement à quel point il allait me manquer. Des souvenirs affluaient tandis que je gardais sa main posée sur ma joue, pour immortaliser son dernier geste de réconfort, son ultime tendre caresse. A mesure que je sentais la vie déserter ce corps que j'aimais, je me demandais comment j'allais pouvoir vivre sans lui. Lui qui, en dépit de nos différents, avait toujours veillé sur moi. Lui qui venait de me guider une dernière fois. Un ultime conseil en guise d'au revoir.
Je revis la chaleur de son sourire, la lueur amusée dans ses yeux quand il me taquinait, toutes les images se bousculaient dans ma tête, je perdais pied. Il n'aurait pas dû me laisser comme ça, je n'étais pas prête… mais l'aurais-je été un jour? J'avais l'impression d'avoir la poitrine comprimée, ma gorge se nouait, un léger tremblement commençait à irradier mon corps et un picotement significatif irritait mes yeux. Mais je me refusais à laisser libre cours à ma peine, alors que n'importe qui pouvait surgir dans la pièce d'un moment à l'autre. Je ne l'avais pas quitté des yeux, mon regard n'était focalisé que sur lui, tout mon être, mon attention n'étaient que pour lui. Le monde extérieur n'existait plus, j'évoluais dans une bulle cotonneuse qui absorbait le bip long, strident et tristement définitif de la machine à laquelle il était toujours relié. J'étais seule avec lui.
Et soudain, l'harmonie que j'avais mentalement crée se brisa. Je ne percevais plus le bourdonnement de la machine. Quelqu'un venait de la débrancher. J'ai relevé la tête, prête à anéantir l'intrus et je l'ai vu. Il m'a souri doucement et s'est assis près de moi sans dire un mot. Je lui tournais le dos mais je sentais son regard sur ma nuque. Et tandis qu'il reposait sur le lit la main que je gardais encore précieusement contre ma joue, la colère d'avoir été dérangée retomba comme un soufflé. Je ne pouvais pas lui en vouloir de m'avoir rejointe. Bien au contraire.
Lui aussi me connaissait bien. Je devinais qu'il m'avait observée et qu'il attendait le moment opportun pour venir dans cette pièce. Lui aussi appréciait beaucoup l'homme allongé sur ce lit d'infirmerie. Par certains côtés, ils se ressemblaient. Ils étaient tous deux avares de mots, l'un comme l'autre était passé maître dans l'art de tout dire sans rien dire.
J'avais toujours le regard fixé sur le corps sans vie de mon père quand il passa ses bras autour de moi, m'attirant doucement contre lui, presque de la même façon qu'il l'avait fait quelques temps auparavant, à la mort de Janet. Et comme un écho à ce souvenir, je me suis tournée vers lui et j'ai passé mes bras autour de son cou. Il a resserré son étreinte et j'ai enfin laissé couler les larmes et les sanglots que je retenais. Tout en me caressant doucement les cheveux, il m'a à nouveau murmuré qu'il serait toujours là pour moi.
Ce n'était que de simples mots, mais pour lui, pour moi, cela signifiait beaucoup.
Mon père avait raison, maintenant, je pouvais avoir tout ce que je voulais.
FIN
Dernière édition par le Dim 26 Aoû - 9:53, édité 1 fois
Re: ADIEU
Très émouvant GJC, poignant à souhait... c'est vraiment très beau Bravo...
Marine-CO- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1591
Age : 39
Date d'inscription : 27/02/2006
Re: ADIEU
WAOW Gjc, c'était vaiment magnifique. J'en ai eu des frissons tout le long,
Magnifique!!!
Dommage que tu n'ais plus rien à posté...
- Spoiler:
- mais j'avoue avoir eu peur jusqu'à la fin que ce soit Jack sur ce lit.... Tu as bien gardé le suspence!
Magnifique!!!
Dommage que tu n'ais plus rien à posté...
Miss_Vaughn- Modo: Phénix
- Nombre de messages : 1023
Age : 46
Localisation : Dans les bras de Vaughn...
Date d'inscription : 28/03/2006
Re: ADIEU
idem ici.... c'est vraiment magnifique et touchant... wah...
comme quoi tu peux vite nous faire passer du rire (j'ai lu tes autres fics avant celle ci) à l'émotion avec brio!
bravo
- Spoiler:
- moi aussi j'ai eu peur que ce soit jack dans le lit, je suis soulagée et émue
comme quoi tu peux vite nous faire passer du rire (j'ai lu tes autres fics avant celle ci) à l'émotion avec brio!
bravo
malice- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1080
Age : 46
Localisation : ile de la réunion...ahhh
Date d'inscription : 05/04/2006
Re: ADIEU
c'est très émouvant et très juste. Comme d'habitude, tu as très bien cerné les personnages...
Bravo. c'est magnifique.
Bravo. c'est magnifique.
mousticv- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 597
Age : 51
Localisation : dans les bras de Jack... non ? Bah tant pis !
Date d'inscription : 09/05/2006
Re: ADIEU
Le ton est poignant, les mots touchants! Je dois avouer que j'en ai eut mal pour elle, et la larme à l'oeil!
L'émotion est là, et tu sais te servir des mots pour nous la faire passer, en nous donnant l'impression que c'est simple de le faire!
Merci pour ce moment, où la magie de tes mots m'a emmené dans sa tête et m'a fait partager sa tristesse! merci et surtout bravo!
L'émotion est là, et tu sais te servir des mots pour nous la faire passer, en nous donnant l'impression que c'est simple de le faire!
Merci pour ce moment, où la magie de tes mots m'a emmené dans sa tête et m'a fait partager sa tristesse! merci et surtout bravo!
Re: ADIEU
Tous en finesse, les mots sont justes..........Félicitations et salutations à toi !
stargate girl- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 437
Date d'inscription : 20/03/2006
Re: ADIEU
émouvant, boulversant, magnifique !
Abon- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 305
Age : 37
Date d'inscription : 07/05/2006
Re: ADIEU
C'est étrange, je l'avais déjà lu ! Tu l'avais posté ailleurs ?
Sinon rien à redire : beaucoup d'émotion, un style auquel on a rien à redire, les suspense jusqu'au bout et l'émotion qui ne vous lâche pas...
Une très belle fic à lire absolument !
Sinon rien à redire : beaucoup d'émotion, un style auquel on a rien à redire, les suspense jusqu'au bout et l'émotion qui ne vous lâche pas...
Une très belle fic à lire absolument !
Miss O'Neill- Modo : La sulfateuse
- Nombre de messages : 1938
Localisation : L'autre bout de la galaxie
Loisirs : Des tas !
Date d'inscription : 23/11/2005
Re: ADIEU
éh bien que dire ... je suis scotchée la, vraiment très émouvant, magnifiquement bouleversant, profondément saisissant !
Ca m'a toute retournée !
Très fluide à lire, bourré d'émotions, fidèle aux persos et à la scène en question !
Merci d'écrire de si belles choses !
Ca m'a toute retournée !
Très fluide à lire, bourré d'émotions, fidèle aux persos et à la scène en question !
Merci d'écrire de si belles choses !
nanoo- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 673
Age : 42
Localisation : Nantes
Date d'inscription : 31/05/2006
Re: ADIEU
Miss O'Neill a écrit:C'est étrange, je l'avais déjà lu ! Tu l'avais posté ailleurs ?
Merci de me rassurer sur ma santé mentale !!! J'étais en effet persuadée de l'avoir mise en ligne cette fic ! Seulement... je ne sais plus où
Et encore merci pour vos commentaires
Re: ADIEU
Ah mince!! C'était drôle de te voir douter sur ta santé mentale justement!
Une fic magnifique et très très émouvante. Bien que l'ayant déjà lu, à chaque fois j'ai mon coeur qui se sert. Tu écris vraiment vraiment très bien. A te lire, ça semble tellement facile, tellement naturel. (Pas taper! )
Bref!! Bravo pour cette merveille!
Une fic magnifique et très très émouvante. Bien que l'ayant déjà lu, à chaque fois j'ai mon coeur qui se sert. Tu écris vraiment vraiment très bien. A te lire, ça semble tellement facile, tellement naturel. (Pas taper! )
Bref!! Bravo pour cette merveille!
Re: ADIEU
Ah ba bravo
Et sinon aussi...Waouh.
J'ai déjà dit bravo?
*Sganzy où l'art de pas savoir s'exprimer*
Et sinon aussi...Waouh.
J'ai déjà dit bravo?
*Sganzy où l'art de pas savoir s'exprimer*
Sganzy- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 233
Localisation : Metz
Date d'inscription : 14/08/2006
Re: ADIEU
no comment !Hito a écrit:Ah mince!! C'était drôle de te voir douter sur ta santé mentale justement!
Merci pour vos coms, ça me touche beaucoup
Re: ADIEU
Bravo Gjc ! je la relis avec plaisir, scene manquante écrite avec brio. bravo !
Tya- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1065
Age : 42
Localisation : La cité des Papes
Date d'inscription : 28/03/2006
Re: ADIEU
C'ets Waouh ...
le ton est juste, les mots touche en plein coeur et on ce laisse transporter dans son esprit !!
Tu as su tres bien cerner le personnage et j'en ai eu une larme à l'oeil
Vraiment bravo, c'ets magnifique
* alla quand ej suis emu, je sia splus faire de phrase correcte *
le ton est juste, les mots touche en plein coeur et on ce laisse transporter dans son esprit !!
Tu as su tres bien cerner le personnage et j'en ai eu une larme à l'oeil
Vraiment bravo, c'ets magnifique
* alla quand ej suis emu, je sia splus faire de phrase correcte *
Trukounette- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1004
Age : 35
Localisation : Rêve d'accent anglais !!
Loisirs : House, Hugh laurie, Alan rickman Colin Firth <3... sisi ce sont des loisirs ^^
Date d'inscription : 30/05/2006
Re: ADIEU
magnifikemen émouvant
- Spoiler:
- je savé ke c t son père et tu a arivé a me faire pleurer un grand bravo la facon don sam vit les dernière minute de la vie de son père son magnifikemen transcrite bravo bravo bravo
pikabad- Lecteur du Télé 7 jours
- Nombre de messages : 30
Age : 36
Date d'inscription : 20/05/2007
Re: ADIEU
Ah bah Sammie elle a po encore commenté celle là...
Moi aussi je vais dire bravo!
- Spoiler:
- Ben même si je ne suis pas tombé dans le panneau parce que j'ai immédiatement compris dans quelle scène on se situait, je me suis rendu compte combien Jacob et Jack peuvent se ressembler... Après on dit que les filles choisissent leurs amoureux en fonction de leur papa... Sam Carter où le complexe d'Oedipe refoulé...!
Moi aussi je vais dire bravo!
Re: ADIEU
Bravo pour cette fic.
- Spoiler:
- Au départ, j'ai cru à une déclaration de Jack à Sam, puis à la chute de Jack en mission, et au moment où quelqu'un débranche l'appareil,j'ai compris que c'était en fait Jacob.
C'est un beau suspence, très bien manié
Implicite- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 153
Localisation : Région Lyonnaise
Date d'inscription : 19/06/2007
Re: ADIEU
Superbe fic. J'adore
Kanastoch une nouvelle venue sur le forum mais une ancienne lectrice des fanfictions .Merci à tous de nous faire plaisir ainsi
Kanastoch une nouvelle venue sur le forum mais une ancienne lectrice des fanfictions .Merci à tous de nous faire plaisir ainsi
kanastoch- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 1
Loisirs : Astronomie
Date d'inscription : 22/11/2007
Re: ADIEU
C'est quand on lit des fics pareil qu'on se dit que deux pages de commentaires c'est vraiment pas assez
Ca en méritait plus du triple facile...
Pour ma part que dire que je n'ai pas déjà dit ?
Hormis ça je vais avoir du mal à décrire ce que m'a fait ressentir ton écriture sans me répéter car tu fais part de ce cercle privilégié d'artistes dont le talent ne semble pas varier d'une oeuvre à l'autre. Et je l'avoue, je t'envies pour cette constance.
Je pense que tu as compris il y a longtemps que c'était dans ce genre de textes, doux-amer, douloureux mais d'une incroyable beauté, que tu étais la plus douée. Et du coup ça ne manque pas, chaque fois que tu t'essaye à ce genre d'exercice on est, on ne peut qu'être, charmé. Encore une fic remplie d'émotions (pour les personnages comme pour le lecteur), de justesse et de clairvoyance, bref le genre qui nous fait regretter que tu ais laissé ta plume au vestiaire...
Un grand bravo à toi !
Ca en méritait plus du triple facile...
Pour ma part que dire que je n'ai pas déjà dit ?
- Spoiler:
- Bon d'accord je sais pas pourquoi j'ai tout de suite compris de ce dont il s'agissait (l'habitude de te lire peut être ?) même si on voit aussi que tu as voulu jouer -avec grand talent il est vrai - sur l'ambiguité.
Hormis ça je vais avoir du mal à décrire ce que m'a fait ressentir ton écriture sans me répéter car tu fais part de ce cercle privilégié d'artistes dont le talent ne semble pas varier d'une oeuvre à l'autre. Et je l'avoue, je t'envies pour cette constance.
Je pense que tu as compris il y a longtemps que c'était dans ce genre de textes, doux-amer, douloureux mais d'une incroyable beauté, que tu étais la plus douée. Et du coup ça ne manque pas, chaque fois que tu t'essaye à ce genre d'exercice on est, on ne peut qu'être, charmé. Encore une fic remplie d'émotions (pour les personnages comme pour le lecteur), de justesse et de clairvoyance, bref le genre qui nous fait regretter que tu ais laissé ta plume au vestiaire...
Un grand bravo à toi !
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