Rembrance of things past (saison 5)

Je prépare cette fic depuis environ une semaine en me basant sur les spoilers du final. Donc l'action se passe 8 ans après le final mais j'ai juste changé quelques détails que vous remarquerez très vite. Je suis très ouverte aux critiques donc dîtes moi ce qui ne va pas pour que je m'améliore. je peux déjà vous dire qu'il y aura :

- du svs
- des come back
- des nouveaux personnages
Et sans doute beaucoup plus si mon imagination me le permet

Enjoy.....

Rembrance of things past

Chapitre 1

- William, Alex ! Allez rangez votre chambre !!!

Deux petites têtes blondes foncées apparurent dans le salon en protestant.

- Maman, on peut le faire plus tard ! On veut encore jouer !

- Non mes chéris, vous le faites maintenant. Je veux que tout soit propre avant que votre père soit de retour sinon ça va barder.

- On parle de moi ?

- Papa !!!!

Les deux bambins se ruèrent sur leur père qui les accueillie chaleureusement.

- Les enfants, ne pensez pas mettre votre père dans votre camp, prévient la mère.

- Qu’est-ce qu’ils ont fait encore Syd ?

- Juste mis le bazar dans leur chambre.

- On veut pas aller la ranger, on veut aller jouer. On a tout le temps de ranger plus tard, dit le dénommé William.

- Oui, on pourra le faire ce week-end, renchérit son frère jumeau Alex.

Les deux frères se plantèrent devant leurs parents en leur faisant leurs plus admirables sourires d’anges.

- Syd, comment peux-tu résister à ces deux petits anges ?

Sydney lança un regard noir à son mari du genre « si tu me soutiens pas, ta petite soirée en amoureux va te passer sous le nez ». Vaughn comprit qu’il valait mieux ne pas se mettre sa femme à dos. Il se mit à genoux pour être au niveau de ses enfants.

- Ok, les p’tits monstres. Vous avez 4 ans donc vous êtes grands, n’est-ce pas ?

William et Alex s’empressèrent d’acquiescer.

- Donc, vous êtes capable de gérer votre temps alors vous faîtes ce que vous voulez mais je veux que votre chambre soit rangé ok ?

- ok. On peut aller jouer maintenant ?

- Ranger d’abord votre chambre, vous irez plus vite jouer après. C’est juste un petit conseil en passant.

William et Alex sortir en courant du salon, laissant les deux adultes seuls. Vaughn se releva pour prendre Sydney dans ses bras alors qu’elle lui jetait un regard méfiant.

- Qu’est-ce que j’ai fait encore ? demanda-t-il.

- Comment tu fais ? Ils t’écoutent toujours ! ça fait depuis ce matin que je bataille avec eux pour me faire obéir et toi tu arrive et pouf ! Tu nous mets tous dans ta poche en moins de deux. Comment tu fais ?

- Un magicien ne révèle jamais ses secrets, tu le sais bien.

- Un magicien ? rien que ça ?

Vaughn sourit et embrassa tendrement sa femme. Puis ils se séparèrent, Sydney allant leur servir un verre et Vaughn se débarrassant de sa veste et de sa mallette.

- Comment étais les cours aujourd’hui ? demanda Sydney.

- pas si mal. J’ai encore une montagne de dossiers à étudier, sans doute tous aussi inintéressant les uns que les autres mais bon.

- Tu vas encore passer le week-end à travailler, c’est ça ?

- Je vais aussi dormir.

- Alors là mon pauvre Vaughn, te fais pas d’illusion !

- Des plans en tête ma chère Sydney.

- Oui plusieurs qui incluent au moins toi, moi et un lit ou un canapé. Et plus selon ton imagination.

- Je vois… viens par ici.

Sydney s’approcha de son mari assis sur le canapé et se laissa enlacer. En quelques secondes, elle s’abandonna contre lui, laissant toute la fatigue de la journée s’évaporer.

- Et toi, ta journée ? demanda Vaughn.

- Comme d’habitude. La maison, les courses, les enfants, les devoirs…

- En parlant d’enfants, où est Isabelle ?

- Chez une amie. Elles font leurs devoirs ensemble, je crois.

- Tu crois ?

- Vu notre petite Isabelle, je penses que les devoirs vont être vite fait et qu’elles vont vite allez jouer !

Vaughn se contenta de sourire et de serer sa femme un peu plus contre lui. Soudain, il demanda :

- ça ne te manque pas trop le travail ?

- Bizarrement non. Qui aurais pu croire que je deviendrais une gentille femme au foyer ?

- Tu me le dirais si tu voulais autre chose ?

- Ne t’inquiète pas. Et puis, je ne suis pas totalement inactive. J’ai toujours à faire. Heureusement qu’on a des enfants sages.

- Attends un peu que nos petits jumeaux aient 8 ans et tu verras…

- Merci Vaughn, tu vas vraiment me convaincre d’avoir un quatrième enfant ! tu es sur la bonne voix !

Vaughn leva les yeux au ciel. Il est vrai que depuis quelques mois, il voulait donner un autre enfant à Sydney mais celle-ci ne se sentait pas encore prête à racheter des habits de femmes enceintes !
Il faut dire que depuis 8 ans, leurs vies avaient radicalement changé. Après l’ultime bataille contre Sloane et Irina, Sydney et Vaughn s’étaient mariés et avaient déménager en Argentine, dans la ville de Necochea. Vaughn avait pris un travail d’analyste pour une cellule de la CIA et Sydney avait réalisé son rêve de devenir professeur. Elle avait arrêté de travailler après la naissance des jumeaux. Ils menaient leurs petites vies tranquillement, loi de la vie chaotique de Los Angeles. Sydney avait peur que les missions et l’adrénaline lui manquent mais elle se fut très rapidement au mode argentin. Sydney avait tenu à venir vivre dans ce pays pour se sentir proche de sa sœur, elle ne voulait plus vivre à LA ; plus rien ne les retenait là-bas : l’Argentine était leur seconde chance de vivre la vie qu’ils voulaient.



Une semaine plus tard, les vacances commencèrent. Sydney se réjouissait d’avance de cette période car Vaughn serait à la maison en train de s’occuper de leurs petits garnements pendant qu’elle pourrait aller se faire dorer la pilule sur la plage et prendre un peu soin d’elle. Cependant, aujourd’hui, elle restait sans rien faire à la maison. Vaughn l’avait pourtant poussé à sortir mais rien ni faisait. Elle restait là, à traîner, à lire ou simplement à rester allongée sur leur lit, les yeux dans le vide. Le soir, Vaughn vient la rejoindre sur la terrasse et l’enlaça.

- C’était aujourd’hui n’est-ce pas ?demanda-t-il en embrassant son cou.

- Ai-je besoin de répondre ?

- Non. Juste, tu peux m’en parler, tu sais que je n’aime pas quand tu t’enfermes comme ça…

- Je ne peux pas m’en empêcher, il me manque…

- Je sais, moi aussi…

IL restèrent tranquillement l’un contre l’autre, simplement heureux d’être là et de se respirer l’un l’autre. Ce fut Isabelle qui les interrompit en rentrant dans le jardin.

- Eh bien jeune fille, en voilà une heure pour rentrer, lui dit son père.

- Dis papa… Comment est mort grand-père ? Je veux dire… Grand-père Jack.

Vaughn fut décontenancé par sa question. Ils parlaient si peu souvent de leurs familles. Le fait qu’Isabelle pose la question était suspect. Mais peut-on blâmer une fille de vouloir en savoir plus sur son origine ? Vaughn vit bien que Sydney n’était pas en mesure de répondre, même après 8 ans, le sujet était toujours délicat.

- Tu sais Isabelle, commença-t-il, ton grand père était un homme très courageux. Il combattait des personnes très méchantes…

- Ce sont ces personnes qui l’ont tué ?

- En quelque sorte. Disons plutôt que ton grand-père a du se sacrifier pour que ces personnes ne fassent plus le mal.

- Mais comment il est mort réellement ?

- Isabelle, intervint Sydney, peut importe la façon dont il est mort, le plus important est de savoir qu’il a sauvé le monde et…

- Vous pensez que je suis trop jeune pour le savoir c’est ça ? répondit la jeune fille en s’énervant.

- Non ma chérie, reprit Vaughn. C’est juste, je ne pense pas que tu comprendrais. Même maman et moi, parfois, nous avons du mal à comprendre.

Isabelle ne sembla pas satisfaite de cette réponse mais n’ajouta rien. La petite fille allait rentrer dans la maison lorsqu’elle se retourna et dit :

- Est-ce que je peux voir des photos de grand-père ?

Les deux adultes acquiescèrent avec enthousiasme. Ils passèrent une bonne soirée en famille à regarder d’anciennes photos, à se remémorer des souvenirs, des évènements. Bref, une simple soirée normale dans une famille normale


Plus tard dans la soirée, alors que Vaughn venait de se coucher près de Sydney, celle-ci demanda :

- Tu ne trouves pas ça bizarre ?

- Quoi ?

- Qu’Isabelle pose des questions sur mon père juste le jour de sa mort ?

- Syd… c’est normal, on en parle jamais. Isabelle veut juste savoir d’où elle vient. Elle a d voir ses amis aller avec leurs grands-parents et elle s’est demander pourquoi elle n’en avait pas. Rien de plus banal.

- Tu es sûr ?

- Sydney, Isabelle a huit ans, tu ne vas pas te poser de question juste parce qu’elle veut connaître Jack.

- Tu as raison. Je m’inquiète pour rien. Désolée.

- Ce n’est rien Syd, dit-il en déposant un léger baiser sur ses lèvres. Dors bien.

- Bonne nuit Vaughn.




Le lendemain matin, Vaughn fut étonné de voir sa fille déjà levée à 8h.

- Hey, Isabelle, pourquoi tu ne dors pas ?

- J’ai pas bien dormi cette nuit.

- Des cauchemars ?

- Non. Des questions ?

- Des questions ? Qu’est-ce qui peut bien te turlupiner comme ça ma petite demoiselle ?

- Papa… je crois que j’ai fait une bêtise…

- De quoi tu parles mon cœur ?

- tu vois, hier j’ai croisé un homme et il a commencé à me parler. Je lui ai répondu que je n’avais pas le droit de parler aux étrangers mais il m’a dit qu’il n’était pas un étranger. En fait, il me rappelait quelqu’un… alors je lui ai dit qu’il fallait qu’il me dise son nom parce que quand tu connaît le nom de quelqu’un ce n’est plus un étranger, pas vrai papa ?

- Oui, si on veut… Continue ma chérie.

- IL m’a dit qu’il s’appelait jack mais que si je voulais, je pouvais l’appeler Grand-pa.

J'adoooooooooooore ta new fic! Ils st trop mignons les jumeaux! Elle me fait délirer la Sydney avec ses enfants!mdr
Sinon c'est vraiment bien écrit, et je suis archi fan de tes fics!
Surtout le SVS coquin, j'aiiiiiiiiiiiiimeeeeeeeeeeeee!ptdr on me reconnait bien là!

Gros kiss ma Super clairette, je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeee et si BatChoupi passe par là, je t'attends et mon épilogue aussi!!!!!!!!!!!!!

mdrrrrrrrrrrr t'es trop excellente mon chou fleurrrrrrrrrrrrrrrrr !! raaaaaaaaaahhhhh que c'est bon du svs !! ça faisait longtemps !!!

Ton histoire j'adooooooooooooreeeeeeeeeee !! des jumeaux !! rien que ça !! mdrrrrrrr tant qu'il ressemble à VAughn, jme plains pas !!

sinon pour l'épilogue : y'en aura pas !! et oui j'ai encore changé d'avis... mais en fait ça sera une suite comme pour Destiny !! ce qui je pense est loin de vous déranger !! donc je poste quand j'aurais tout écris Ouais ouais je sais, je suis une e*********


Ah oui et merci pour le BatChoupi je savais bien que ma liste de pseudo allait s'allonger

Voilà la suite toute chaude sortie du clavier. ça va encore un peu doucement, mais c'ets le temps de mettre l'intrigue en place, promis au prochain chap, ça va s'accélérer.


Chapitre 2

- Il m’a dit qu’il s’appelait Jack mais que si je voulais, je pouvais l’appeler Grand-pa.

- ça ne veut pas dire que c’est lui.

- Mais il ressemblait comme deux goûtes d’eau aux photos d’hier.

Vaughn n’en crut pas ses oreilles. Son beau-père serait-il encore en vie ? Ou alors un double ? A vrai dire, ils n’avaient jamais pu accéder à la grotte où il avait péri avec Sloane. Mais comment ? Et surtout pourquoi ? Pourquoi Jack irait voir Isabelle et pas Sydney ? Peut-être est-ce un moyen d’entrer en communication avec eux… Tant de questions traversèrent son l’esprit.

- Qu’est-ce qu’il t’a dit d’autres, chérie ?

- Pas grand-chose, juste qu’il était heureux de me voir. Mais il m’a aussi demandé de n’en parler à personne.

Un classique pour être sûr qu’Isabelle racontera tout.

- tu crois qu’il m’en voudra si je vous l’ai dit ?

- Non ma chérie, il ne te grondera pas. Mais dis moi, où est-ce que tu l’as vu ? C’est important.

- Juste quand je suis sorti de chez Amy, je crois. Une ou deux rues plus loin.

- Il était seul ? Je veux dire, est-ce qu’il y avait d’autres personnes dans la rue ?

- je sais plus…

- C’est important chérie.

- Mais je sais plus moi !!! C’était le soir, je vais pas m’amuser à compter combien de gens sont dans la rue !!!!

- Désolé mon cœur, c’est difficile ce que je te demandes. C’est pas grave. Ecoute, si jamais grand-père viens te revoir, tu lui dis que s’il veut te parler, il faut qu’il vienne à la maison d’accord ?

Isabelle hocha de la tête et disparut dans sa chambre. Vaughn mangea son petit déjeuner sans grand intérêt, la pensée que Jack pourrait être vivant lui torturant l’esprit.

- Vaughn ?

Sydney apparut dans la salle à manger, sortant Vaughn de sa rêverie.

- Oui ?

- ça fait 2 minutes que tu trempes ta tartine dans ton café…

- hein ? oups ! je rêvais.

- je vois ça ! tu rêvais de quoi ?

- de toi.

- menteur !!

S’il y avait bien une chose que Vaughn ne supportait pas, c’était qu’il ne pouvait jamais mentir à Sydney : elle lisait en lui comme dans un livre ouvert.

- Quel est le problème Vaughn ?

Vaughn redoutait ce moment plus que tout. Sydney menait enfin la vie qu’elle menait, ils étaient si heureux avec leurs trois enfants… Mais apparemment, quelqu’un avait décidé que ce bonheur n’avait que trop duré. Pourtant Vaughn décida de le prolonger encore un petit peu. Il pris Sydney dans ses bras et l’embrassa longuement et passionnément.

- En quel honneur ? demanda Sydney lorsqu’ils se séparèrent.

- Je t’aime, répondit-il simplement.

- Tu es bien amoureux ce matin dis-moi.

Vaughn ne répondit pas et se contenta de sourire. Sydney se leva et alla se préparer du café.

- Tu sais, commença Vaughn en hésitant, Isabelle m’a parlé de quelque chose de très étrange.

- ah oui ?

Vaughn prit son courage à deux mains et après une seconde d’hésitation, il lui avoua :

- Elle m’a dit que Jack, ton père, était venu la voir et lui avait parlé…

La tasse de café se brisa sur le sol et le liquide se répandit sur le carrelage mais Sydney ne s’en soucia même pas.

- Qu’est-ce que tu as dit ? répondit-elle, sous le choc.

- Elle m’a dit que Jack lui avait parlé et-

- C’est impossible Vaughn !!! on a jamais pu retrouver le cadavre de mon père !! Et pourquoi Isabelle ? pourquoi pas moi ? C’est mon père Vaughn !!!

Sydney devenait de plus en plus hystérique. Vaughn tenta de la calmer mais elle n’entendait plus rien. Elle se repassait encore et encore la nouvelle de Vaughn et un infime espoir naquit dans son cœur. Elle voulait tellement croire que son père était vivant quelque part dans ce monde mais en même temps, elle avait tellement peur que ce nouvel espoir soit déçu. Elle alla se réfugier dans les bras de son mari ce qui eu pour effet de la calmer. Vaughn avait toujours eu ce pouvoir sur elle. Un simple regard, un simple sourire, une simple caresse et elle allait beaucoup mieux. Cependant, le problème était long d’être réglé et Sydney se dégagea doucement.

- Je veux revenir à la CIA, dit-elle froidement.

Vaughn n’en cru pas ses oreilles.

- Quoi ?

- Je reprends du service. Il faut que je découvre ce qui se cache là-dessus…

- Non, répondit Vaughn, catégorique.

- quoi non ?

- Non. Je ne veux pas que tu y retournes sur un coup de tête.

- Vaughn, c’est mon père et-

- je sais très bien que tu as envie d’en savoir plus, moi aussi mais…

- Mais quoi ?

- Et Isabelle ? et William ? et Jonathan ? qui va s’occuper d’eux ?

Sydney se tut soudain. Une tempête semblait faire rage dans son esprit.

- Vaughn, murmura-t-elle.

- Je sais, chérie, je sais… écoute, il est important qu’on garde la tête froide. Pas de précipitation. Je vais aller travailler, même si je suis en vacances, et demander à ce que des agents vous surveille. Ensuite, j’appelle LA pour savoir ce qu’on doit faire.

- des agents ? Pour nous surveiller ? T’es sûr que c’est pas un peu trop ?

- Je ne veux rien risquer. Ils seront là dans la journée.

Sydney hocha la tête. A cet instant, leurs deux jumeaux firent leur apparition dans la cuisine et monopolisèrent l’attention de leur mère en réclamant un câlin. Vaughn voyant sa progéniture entre de bonnes mains décida de partir pour une longue journée de travail.

*******

- Agent Davison et agent Scott, dans mon bureau.

Les deux jeunes filles Clara Davison et Aline Scott, surprises, se dirigèrent vers le bureau de leur supérieur, l’agent Vaughn.

- Je vous en pris, asseyez-vous, les invita Vaughn. vous allez enfin effectuez votre première mission ici.

- après une semaine seulement ? s’étonna Clara.

- On ne vous envoie pas à l’autre bout du monde, ne vous en faîtes pas. C’est… disons une mission de proximité. Vous allez devoir protéger ma femme et mes trois enfants. J’ai mes raisons de croire qu’ils sont en danger et on ma dit de vous mettre sur cette tâche.

- On va faire du baby-sitting ? s’exclama Aline.

- Pas exactement. Je ne veux pas qu’on sache qu’ils sont surveillés. Restez extrêmement discrètes. Je ne veux pas que ma femme vous remarque et croyez moi, elle a été un excellent agent.

- Et pourquoi autant de précaution ? demanda Clara.

- Je veux savoir qui nous menace et s’il sait que des agents sont présents…

- il n’interviendra pas.

- vous avez tout compris agent Scott.

- Quand commence notre mission ? demanda cette dernière.

- aujourd’hui. Vous voyez avec notre technicien et vous partez dès que vous êtes prêtes. Vous pouvez disposer.

Les deux agents n’insistèrent pas et sortirent et Aline se retourna pour demander.

- doit-on avertir votre femme de notre présence ?

- Non, répondit Vaughn. Elle doit à peine savoir que vous êtes là.

Les deux agents sourirent et sortir.

Vaughn décida d’appeler Dixon, son contact avec Langley.

- Bureau du directeur Dixon bonjour.

Vaughn fut étonné de tomber sur la secrétaire. Même en prenant en compte le décalage horaire, Dixon était toujours présent à cette heure-ci.

- Bonjour, pourrais-je parler au directeur Dixon de la part de l’agent Vaughn de la cellule d’Argentine ?

- Vous n’êtes pas au courant ?

- Au courant de quoi ?

- Je vous passe le directeur Chase, elle est mieux informée pour vous renseigner. Veuillez patienter.

Tout cela ne présageait rien de bon.

- Directeur Chase ?

- Bonjour, ici Agent Vaughn, je voulais parler à Dixon.

- Oh mon dieu… écoutez Vaughn… Dixon est dans le coma !

- Comment ? dans le coma !!! mais… qu’est-ce qui s’est passé ?

- Je ne sais pas très bien. Selon ses enfants, quelqu’un serait venu chez eux et aurais essayé de les enlever. Dixon est rentré à ce moment là et il s’est pris une balle…

- Oh mon dieu… et les enfants ?

- ils sont sains et saufs. Je ne sais pas trop comment… De quoi vouliez vous lui parler ?

- Eh bien…

Vaughn s’interrompit en entendant un bruit de fond dans le téléphone, comme si quelqu’un entrait violement dans le bureau de Chase. Il fut d’autant plus surpris d’entendre la voix de Marshall !

- M. Flinkman, s’exclama Chase. Qu’est-ce que vous faîtes ici ? Vous êtes supposé vivre au Canada !!!!

Vaughn n’entendit pas la réponse de Marshall. Il l’imagina en souriant en train de déballer son petit monologue en bafouillant avec Chase lui demandant d’aller droit au but. Puis il y eu un long silence qui inquiéta Vaughn.

- Directeur Chase ?

- Vaughn, où sont vos enfants ?

- Pardon ?

- Je viens d’apprendre que les enfants de Marshall viennent d’être enlevés. C’est la deuxième fois avec Marcus. Et vous savez que je ne crois pas aux coïncidences.

- Moi non plus. Je vous appelais à ce sujet. Mes enfants vont biens mais Isabelle a fait une étrange rencontre.

Il lui parla de Jack puis des deux agents qu’il venait de poster. Chase lui conseilla de ne pas bouger pour ne pas prendre de risque inutile. Vaughn décida donc de ne pas prévenir Sydney avant d’avoir plus d’informations, pour ne pas lui faire peur.


********

Au même moment, Sydney ouvrit sa porte sur les agents Davison et scott. Celle-ci montrèrent leur badge et se présentèrent.

- Bonjour dit Clara. Agent Scott et Davison. Votre mari nous a chargé de vous surveiller.

- Oh très bien, entrer, entrer.

- Si vous voulez qu’on vous aide, commença Aline.

- Non non, vous n’êtes pas venu faire du baby-sitting.

- ça ne nous dérange pas, répondit Clara.

Sydney parut réfléchir puis décida :

- Très bien. Vous pouvez les garder pendant que je monte prendre ma douche ? je me prépare te on va au parc. J’ai promis aux jumeaux de les emmener.

Sydney monta, laissant ses trois enfants avec Clara et Aline. Celles-ci attendirent quelques instants avant de se tourner vers les enfants et leur dire.

- Bien, et si on allait au parc ?

- On doit pas attendre maman ? demanda William.

- Non, répondit Clara. On s’occupe de tous.

Alors qu’elles les faisaient monter dans la voiture, Aline souffla à Clara :

- c’était plus facile que prévu….

- et dire que c’est censé être la meilleure agent de la CIA, répondit Aline.

Elle prit son portable et composa un numéro.

- allo ?

- Mission accomplie, dit Aline.

- Très bien rendez vous comme convenu.

Non de non!!!! Je m'aime! mdrrrrrrrr non j'aime le fait d'être méchanteeeeeeeeeee grrrrrrrrrrrrrr c balo pour Syd j'lui ai embarqué ses mômes!sorry ma sydney!
En tout cas, j'adore comment c'est écrit!! Génialisime!!!!!!!!!!!!!!!!! J'adooooooooooooore!!!!!!!!!!!!!!!!

Vaughn et Sydney st trop chous mais ça risque de chauffer avec la disparition de leurs bébés!lmdrrrrrrrr

Kissouille ma clairette et mets vite la suite, jveux suivre mes aventures passionantes et dangereuses!

Ca va etre marrant un combat entre moi et Sydney!ptdrrrrrrrrrrrrrrrr (je te prends pas Vaughn!mdrrrrrrrrrrrr I'm not blond!)

Oui mais nonnnnnnnnnn!!!!!!!!! chouuuuuuuuuuuuuuu qu'est ce qu'a foutuuuuuuuuu ????????

t'as foutu quoi de mes gniards ?????? raaaaaaaaaahhhh et la Aline je vais mela faire !! j'ai envie de la boxer !! par contre ta pas intéret à toucher à vaughn et moi, ou alors je te refais la face !!!!

sinon j'attends la suite !

poutouuuuuuuuuuuuuuuuuu mon chou

ça pète tout mon chou fleur


Tomate qui a rien à dire mdr

Désolé pour cette longue attente mais j'avais le bac français (à mon plus grand bonheur).

Kiss à ma Syd et à ma fran qui va être toute contente de découvrir l'homme de savie dans ce chapitre !!


Chapitre 3

Vaughn se fraya un chemin entre les voitures de police et aperçu sa femme un peu à l’écart dans leur jardin.

- Sydney !!!!

Celle-ci se retourna et se jeta dans les bras de son mari en pleurs.

- Oh, ma chérie, je suis tellement désolé…. J’aurais du me méfier….

- Non Vaughn, personne ne pouvait savoir.

Vaughn fut impressionné par l’attitude de Sydney car malgré ses pleurs et sa détresse, elle faisait tout pour tenter de garder sa capacité de réflexion et d’analyse. Après tout, sa formation d’agent restait imprégné en elle. Vaughn se laissa encore un peu aller contre sa femme pour la rassurer et surtout se rassurer lui-même. Mais il n’y avait pas de temps à perdre, il soupira et se dégagea doucement.

- Syd, j’ai reçu un coup de fil de Chase…

Il lui expliqua la situation de Dixon et de Marshall. Sydney fut choquée d’apprendre que son ancien partenaire était dans le coma.

- Je suppose que tout est lié, dit finalement Sydney.

- je suppose aussi. Tous les enfants des anciens membres de APO ont disparus, le retour de Jack…

- Qui pourrait faire ça ?

- N’importe qui ! Sark, des nouveaux dans le métier… qu’est-ce que j’en sais moi ?!

- Vaughn !! On n’a pas le temps de se disputer !

- Désolé.

- Non, tu ne peux pas répondre à cette question.

Ils restèrent quelques minutes en silence, chacun redoutant la décision qu’ils allaient devoir prendre. Vaughn prit son courage à deux mains et murmura :

- Il faut qu’on retourne à LA.

- Je sais, répondit Sydney doucement. Je ne veux pas….

- Moi non plus. On reviendra, Sydney, ce n’est que temporaire.

- Je connais le temporaire, ça peut durer longtemps. On m’avais dit la même chose quand tu as du te cacher au Népal.

- Je sais. Mais on ne va pas s’engager là-dessus. On retrouve les enfants et on revient.

- Quoi ? Tu ne veux pas démanteler le réseau ?

- ce n’est plus notre combat Syd ! Nous ne sommes plus des agents de terrain. Tous ce qu’on peut faire, c’est leur donner des infos à partir de la cellule argentine.

- je ne vivrais pas avec une menace au dessus de nos têtes Vaughn !

- La CIA va mener l’enquête et-

- je ne fais pas confiance, je veux m’en occuper !

- et les enfants ! Qu’est-ce que tu en fais ? Si on doit partir en mission tous les deux ?

Sydney ne répondit rien. Vaughn la reprit doucement dans ses bras.

- On est plus dans la course Sydney.

- retrouvons d’abord nos petits anges. On verra après.

Vaughn hocha la tête. Il mena sa femme à la voiture puis démarra en direction de l’aéroport.


********

- Quand même, on n’est pas payé pour faire les baby-sitters !

Clara se plaignit pour la millième fois au près d’Aline.

- Je sais. Crois moi, ça m’enchante pas plus que toi. Même s’ils sont mignons.

- C’est vrai, heureusement d’ailleurs qu’on soit pas tomber sur des hyperactifs !

- je peux te dire que les hyperactifs, je les aurai calmé aussi sec !

- Lucas nous a dit de nous en occuper.

- Il en à de belle celui-là, répliqua Aline. Il a beau être mon homme, parfois, il nous sort des idées !

Clara laissa sa coéquipière rêver de son homme et reporta son attention sur les enfants Vaughn. Les jumeaux étaient de part et d’autre de leur grande sœur, comme pour se rassurer. Isabelle se tenait droite et fière comme pour se donner du courage mais à l’intérieur, elle était morte de trouille. Pourtant c’était son père qui leur avait envoyé ces deux filles, pourquoi avoir peur ? Pourtant, elle savait que quelque chose clochait.

- Vous n’êtes pas des agents hein ? demanda-t-elle enfin.

- Futée la petiote, répondit Clara. Je suis désolée mais je ne te répondrai pas.

- Pourquoi ?

- ne commence pas ce petit jeu d’accord ! Je ne suis pas ton amie, alors tu restes bien sage et il n’arrivera rien à tes frères.

- Vous êtes lâche à ce point ? siffla Isabelle.

- je t’avais prévenu !

Clara se leva, menaçante, mais un homme entra dans la pièce et la stoppa.

- Lucas ! s’exclama Aline. C’est pas trop tôt !

Celle-ci se leva et alla l’embrasser. Lucas était assez grand, plutôt musclé, les cheveux noir de jais en bataille et des yeux qui selon la lumière passaient du bleu au vert.

- Notre employeur m’a appelé, commença-t-il, il faut qu’on bouge. Le couple Vaughn est déjà en direction de LA.

- On va où ? demanda Clara.

- On rejoint notre employeur en Espagne. Pas de temps à perdre.

********

Sydney et Vaughn entrèrent dans les locaux de la CIA. En 8 ans, rien n’avait changé à part le personnel. Pourtant, Sydney se sentait comme étrangère, ce n’était plus son monde. Sa vie était maintenant en Argentine avec sa famille. Le directeur Chase les accueillit rapidement et les emmena en salle de réunion. Là se trouvaient Rachel, Marshall, Eric et un autre agent nommé Paul McCasey. Sydney enlaça rapidement Rachel.

- C’est bon de te revoir, dit cette dernière.

- Toi aussi, même si j’aurais aimé que ce soit dans d’autres circonstances.

Rachel sourit et salua Vaughn pendant que Sydney s’approcha de Marshall.

- Sydney Bristow ! Enfin Vaughn ou Bristow Vaughn enfin Syd…

Sydney rit de bon cœur, c’était typiquement Marshall de chercher le compliquer dans une situation simple.

- Sydney Vaughn, mais Syd suffira Marshall.

- Evidement, répondit-il en l’enlaçant.

Chase les invita à prendre place et fit un résumé de la situation.

- Nous avons donc 5 enfants dans la nature, tous des enfants d’anciens membres du APO. Les enfants de Dixon ont eu de la chance mais ils peuvent revenir à l’assaut. Nous n’avons qu’une seule piste : les agents Davison et Scott (leurs photos s’affichent sur l’écran), responsables de l’enlèvement des enfants Vaughn. Elles ont été envoyées en Argentine il y a quelques semaines suite à leur demande.

- Donc, c’était prévu depuis longtemps, en déduit Sydney.

- Oui, reprit chase. Nous les avons identifiés montant dans un avion avec cet homme, Lucas Adams, inconnu à la CIA. Ils sont en ce moment même en direction de l’Espagne.

- Bien, répondit Sydney. Qu’est-ce qu’on attend pour y aller ?

- Agent Bristow !

- Madame Vaughn s’il vous plait ! je ne suis plus agent directeur Chase !

- c’est ce que j’allais vous faire remarquer. Vous ne pouvez pas faire parti de l’équipe d’extraction. De plus, nous ne savons si les autres enfants seront là.

Sydney allait répondre mais Vaughn l’en dissuada en posant une main sur sa jambe.

- Est-ce que je peux me permettre ? demanda Paul.

- Allez-y, répondit Chase.

- Je trouve ça trop facile. Tout est trop évident.

- Vous pensez qu’il y a quelque chose derrière ? demanda Rachel.

- Oui, tout cela est trop suspect.

- Et quoi ? interrogea Vaughn.

- je ne sais pas, il est trop tôt pour le dire.

- Et qu’est-ce que vous conseillez ? de laissez nos enfants à la porté de ses terroristes ? Je vous rappelle que ce sont des jeunes recrus et un homme dont nous ne connaissons pas l’expérience. Ce sont sans doute des bleus, c’est pour ça semble facile.

- je ne crois pas M. Vaughn.

- Vous vous basez toujours sur vos suppositions ?

- Mon instinct me trompe rarement.

- j’ai beaucoup entendu ça dans ma carrière vous savez.

- Stop, s’exclama Chase, ne vous chamaillez pas comme des gamins. Agent McCasey, je comprends votre scepticisme mais nous n’avons pas le temps. Je vous charge de filer l’avion des nos suspects et vous me faites un compte rendu de la situation en Espagne. Quand à vous quatre, je veux que vous travaillez sur « l’apparition » de Jack Bristow. Nous n’avons pas le choix, il faut faire des fouilles en Italie.

- Vous voulez dire…. Retrouvez les cadavres, murmura Sydney. Après 8 ans.

- Oui, nous devons être fixé. Vous partez dans une heure.

Tout le monde se leva rapidement. Sydney et Vaughn s’isolèrent pour parler.

- Vaughn, je sais pas si je peux le faire…

- je sais, moi non plus. Je veux dire, on a jamais voulu le faire et je croyais que c’était impossible.

- Moi aussi. Mais je crois qu’on n’a pas le choix. J’ai peur d ce que je vais y trouver…

Vaughn ne sut pas quoi répondre alors il l’enlaça aussi fort qu’il put.

- Quoi qu’il arrive, on sera ensemble Syd, on sera toujours ensemble.

- je t’aime.

- Moi aussi ma chérie.

*******

Clara, Aline et Lucas portèrent les enfants endormis au près des enfants Marshall déjà présent sur les lieux et attendirent leur employeur.

- Il fait quoi ce Sark de mes deux ? demanda Aline au bout d’une demi-heure.

- Heyy ! parle pas de lui comme ça, répliqua Clara. C’est de lui que vient notre fric ok ?

- c’est bon. Juste, il est pas super ponctuel.

Lucas l’embrassa doucement pour la calmer. On a toujours tendance à penser que les idylles entre criminels étaient passionnées et fusionnelles. Mais la relation entre Lucas et Aline était clame et tendre, ils s’aimaient et rien d’autre ne comptait, à part leur travail. Se sentant fatigué par le voyage, lis se retirèrent rapidement dans une chambre, laissant à Clara le soin d’attendre Sark. Celui-ci arriva bientôt.

- Bon voyage ?

- Tu ne t’es jamais occupé d’enfants toi.

- Non, ce n’est pas dans mon style de vie, répliqua Sark.

- La CIA a mordu à l’hameçon ?

- Oui, out se passe comme prévu.

*******

Sydney, Vaughn, Rachel et Marshall était enfin arrivé sur le champs de ruine qui avait été témoin il y a 8 ans de la folie de Sloane. une équipe de fouilles était déjà sur place, dégageant les plus gros morceaux. Un employé vint les voir.

- On est près à rentrer dans la chambre où doivent être les corps.

Sydney pris une longue inspiration puis dit :

- Allez-y…

Great!!!!!!!! énormisime!j'adore trop! Puis mon homme, waaaaaaaaa je fonds! Il est so nice, so hot, so perfect bref pas touche!

J'adore ce tit chapitre! Parfaitement écrit et tout et tout! bref veux la suite comme d'hab!!!!!!!!!!!

Kiss kiss kiss

Fran