Recherche beta-lecteur/trice motivée

Bonsoir (ou bonjour)
Je recherche un béta lecteur ou béta lectrice qui pourrais m'aider et relire ma fiction ... (qui est ma deuxième ^^)
j'espère que quelqu'un pourra m'aider vu que c'est la première fois que je me mets vraiment à écrire une fic et que mon niveau est plutôt bas (même terriblement bas ).
Mais j'espère tout de même que l'histoire de ma fic pourrais être interressante ...

c'est quelle série qui est mise en jeu, quel genre, etc??

ce n'est pas une série c'est une fic que j'ai inventé de toutes pièces ... c'est un peu fantastique je vous mets le début pour vous montrez un peu le genre ... (c'est du tapé a la va vite ^^''')

Dans la pénombre d’une chambre d’un grand hôtel parisien une horloge numérique indique 4h en chiffres rouges scintillants.
La lune éclaire faiblement un visage calme, les yeux grands ouverts.

April fixait intensément, de ses yeux d’un mauve profond, le plafond de sa chambre provisoire.
Ce matin sa première pensée alla à ses amis, qu’elle n’avait plus vus depuis longtemps.
Le souvenir de ceux-ci faisant apparaître un léger sourire sur son beau visage.
Malheureusement celui-ci ne tarda pas à disparaître faisant place à une mine sombre et lasse.
Et dire qu’aujourd’hui encore, elle allait devoir jouer un rôle et vivre une fois de plus l’ennuyante routine qui était devenu depuis bientôt un an son quotidien.
Pourtant, elle espérait, encore, inlassablement, qu’un jour elle les rejoindrait, elles, ces personnes si importantes à ses yeux, ses personnes dont son cœur ne pouvait se passer.

Ce dont elle ne se doutait, c’était qu’elle n’allait pas tarder à les revoir mais pas vraiment dans les circonstances voulues.
Le jour où elle les reverrait ne tarderait pas à arriver entraînant de nombreux malheurs avec lui, autant pour elle que pour les habitants de cette planète bleue appelée « Terre ».



* * *



April courait précipitamment vers une grande grille en fer, son sac noir en bandoulière heurtant ses hanches à chacun de ses pas rapides.
Dépassant la grille où la rouille commençait à ronger les barreaux

Ralentissant sa course, elle s’arrête devant une porte de bois vernis où était accrochée une petite plaque en métal terni par les années. De petits chiffres en bronze y était collés formant le nombre « 810 ».
April toqua main hésitante et entra sans attendre une quelconque réponse.
La pièce dans laquelle elle se trouvait était une salle de cours en demi-cercle.
Elle ressemblait à un amphithéâtre ou encore à une salle de cours d’université.
Elle soupira, à cette heure matinale la salle était encore vide et aucun bruit à part le son de ses pas sur le sol, ne faisait entendre.
Elle était comme toujours arrivée avec une bonne demi heure d’avance à son premier cours, histoire.
Elle s’assit sur une chaise du fond, place qu’elle avait en prédilection, et sortit de son sac un livre du nom un peu enfantin de « L’histoire au fil des pages », entreprenant de relire son cours en attendant que son professeur daigne enfin arriver.
Peu à peu au fur et à mesure que ses doigts fins tournaient les longues pages blanches du livre, la salle se remplissait d’élèves tous plus différents les uns que les autres.
Cela faisait plus de trois quarts d’heure qu’elle était assise sur cette chaise qu’elle trouvait décidément très inconfortable et la salle était à présent bondé et agitée, les élèves attendant avec impatiente leur professeur.
Mais elle n’y prêtait aucune attention, quelque chose de bien plus important la tracassait, un pressentiment, cette chose que vous ronge peu à peu le stress devenant de plus en plus dur à vivre. April en était sure, quelque chose de mauvais, de très mauvais allait arriver, et ses intuitions ne lui mentaient jamais.
Pas une seule fois elles ne l’avaient trompée, ou même induite en erreur.
L’arrivée de son professeur la sorti de sa torpeur.
Secouant la tête pour se débarrasser de ses sombres pensées elle redirigea son attention sur son livre, et le refermant d’un coup sec, faisant au passage sursauter les jeunes gens se tenant assis à ses cotés, le rangea dans son sac noir puis reporta son regard vers une estrade au milieu de la pièce où se tenait un homme d’âge certain, son professeur d’histoire.
Il paraissait avoir une quarantaine d’années mais en avait en fait dix de plus et, sous ses airs sévère et un peu bourru de campagnard, il était pour April l’enseignant le plus vrai, et le plus apte à enseigner.
Avec son éternelle barbe de plusieurs jours et sa carrure imposante ainsi que ses profondes cernes sous ses yeux on l’aurait facilement confondu avec un bûcheron, s’il n’avait pas porté de petites lunettes carrées, telles celles d’une bibliothécaire acariâtre.

April l’écouta déblatéré vainement contre la société, ses élèves écoutant pour la plupart attentivement son cours, sachant ce qu’il risquait d’arriver à la première incartade.
Soudain, il se tut fronçant les sourcils, ceux-ci se rejoignant en ailes d’oiseaux, et tapa du poing contre la petite table qui lui servait de bureau intimant ainsi le silence aux quelques récalcitrants qui discutaient dans le fond de la salle.
Après ce petit « contretemps » le cours reprit son cours dans le … calme ?
Non,…
Comme toujours, le cours d’histoire ce finit dans un débat, chacun exprimant son opinion avec acharnement, seul April restait calme, répondant avec assurance et sérénité.
Une sonnerie stridente retentit et les élèves se précipitèrent vers la porte, se poussant les uns les autres.
April, elle préférait attendre que le calme revienne, elle rangeait donc ses affaires à son aise, elle semblait dégager une aura de sérénité et de confiance qui intriguait les personnes l’entourant.
Elle inspirait aussi respect et … crainte.
En effet de par son apparence et son attitude froide, elle dressait une barrière entre elle et les autres.
De longs cheveux noirs ainsi que des yeux d’un mauve peu commun lui conférait un soupçon de mystère et une beauté que beaucoup de filles lui enviaient.
Sa fine silhouette moulée par des vêtements noirs et mauves, s’accordant parfaitement avec ses cheveux et ses yeux accentuait encore ce sentiment de inaccessibilité que les gens avaient envers elle.

Hum ! Tu as une pas trop mauvaise plume !

Je veux bien te corriger ! Ca à l'air sympa !
Mais je te préviens d'une ou deux choses je n'ai pas le net en semaine
Donc on ne pourra se contacter que le week-end mais je ne penses pas que ça pose problème !
Et... je peux être impitoyable !

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