Harry Potter et le Retour aux Sources

Pour les coms, c'est ICI

T'y étais presque, fallait aussi créer un topic pour les commentaires
Tu devrais relire les règles.
Gjc


Disclamer: Harry Potter est une marque déposée par J.K. ROWLING et la WARNER BROS, en l’occurrence, les personnages ne m’appartiennent pas, je ne fait que les enprunter pour les rendre en l'état après...
Auteur: Lestat de Lioncourt
Genre: Romance/Action
Rating: Tous public




Le temps avait passé, six ans pour être exact, Voldemort avait était détruit par Harry, mais à quel prix, beaucoup avait été tués : son père de cœur : Arthur Weasley, Bill et Charlie Weasley : ses frères de cœurs, le professeur Flitwick, Fleur Delacour Weasley et Dean Thomas.
Ron avait perdu son bras gauche, Hermione était restée six mois dans le coma, quant à Ginny, elle avait perdu goût à la vie, elle était hospitalisée depuis quatre ans au service psychiatrie de l’hôpital Sainte Mangouste.
Molly Weasley, s’occupait de sa petite fille, Emma Anna, la fille de Bill et Fleur qui maintenant était âgée de sept ans. Ron était marié avec Hermione depuis cinq ans et avait un petit garçon prénommer Sirius Harry âgé de trois ans.
Quand à notre Harry, il avait quitté le monde magique voilà cinq ans, juste après le mariage de ses meilleurs amis. Il vivait à Montréal au Canada, il avait vidé son coffre à Gringott’s, acheté un billet d’avion et était parti pour le Canada. Là bas, il trouva une maison qu’il paya cash et s’installa. Il avait des nouvelles de ses amis, grâce aux hiboux qu’ils lui envoyaient, mais il ne répondait jamais.
Ce matin là, Harry fût réveillé par des coups donnés à sa porte, il se leva, mis un tee-shirt et descendit en courant. Il ouvrit la porte, et trouva la dernière personne au monde qu’il attendait ce matin là : son cousin Dudley Dursley avec un couffin dans les bras. Il paraissait épuisé, il vacillait et le couffin semblait tomber, Harry attrapa le couffin alors que Dudley s’effondrait par terre.
Il posa le couffin sur la table du salon et retourna chercher son cousin, il le prit dans ses bras, Dudley avait perdu du poids, il avait une corpulence normale Il l’installa dans le canapé. Il retourna fermer la porte et remarqua un sac de voyage qu’il prit et referma la porte.
Harry regarda le bébé, il paraissait n’avoir que quelques jours, il trouva dans le couffin, un petit carnet venant de la maternité, il remarqua que le cachet du Ministère de la Magie Français.
Harry se posa des questions et regarda son cousin, le comportement de Dudley avait changé le jour où Harry lui sauva la vie d’un Mangemort qui voulait se venger de la destruction de Voldemort.

* Flash back : *

Harry venait de détruire à tout jamais le plus redoutable des mages noirs de tous les temps, il allait fêter ses 18 ans le mois suivant, il était rentré chez les Dursley pour entériner sa protection magique avec sa tante, ce jour là, il se leva comme d’habitude, sa tante avait préparé le petit déjeuner, son oncle et son cousin était attablé.

- Bonjour, lança t-il sans attendre de réponse.
- Bonjour, répondit la tante Pétunia, bien dormit mon chéri ?

Harry regarda sa tante avec méfiance, et vit son oncle et son cousin faire la même chose. Alors contre toute attente, la tante Pétunia sortit une baguette magique.

- Tu croyais pouvoir t’en tirait comme ça, cria t-elle
- Me tirer de quoi ? demanda Harry qui chercher sa baguette dans sa poche
- Pétunia ma chérie, dit l’oncle Vernon, que signifie ça…

Il pointer sa baguette magique.

- Que croyait vous Dursley, dit alors la tante Pétunia, que j’étais votre femme
- Ben oui, dit bêtement l’oncle Vernon
- Vous vous tromper, s’exclama t-elle en se transformant en une grande femme blonde
- VOUS, hurla Harry qui chercha toujours sa baguette qu’il ne trouva pas,
- Alors bébé Potter, cria Bellatrix, tu…….
- Vous êtes ignoble comme femme, cria Harry qui sentit sa baguette dans sa main droite et remarqua que c’était son cousin qui lui avait donné,
- Allons, allons un peu de respect pour ta tante, dit Bellatrix
- Ma tante, s’exclama Harry, laissez moi rire, vous étiez la sœur de mon parrain, et Sirius n’était pas mon oncle
- C’est pareil, dit Bellatrix
- Vous allez sortir de cette maison maintenant madame, dit l’oncle Vernon
- Oh, râla Bellatrix, les Moldus commencent à m’énervé, AVADA KEDAVRA, AVADA KEDAVRA

Harry jugea la situation, l’oncle Vernon était trop loin, mais Dudley était juste à côté de lui et se jeta devant lui et prit le sortilège impardonnable dans le dos, il hurla tandis que le sort était renvoyé vers son envoyeur et il tomba sur Dudley qui tomba à terre.
Dudley regarda la scène avec effroi, son père effondré par terre, la femme blonde également, et son cousin sur lui, inconscient.
Il se dégagea et alla voir son père qui ne bougeait plus, il alla voir la femme pareille et son cousin, lui respirait péniblement, il prit un verre d’eau, s’agenouilla à coté de son cousin, lui prit la tête et le fit boire.
Harry ouvrit les yeux et vit son cousin lui donner à boire.[/i]

- Dudley, dit-il
- Oui, répondit-il
- Que fais-tu ?
- Je te donne à boire, tu m’as sauvé la vie
- Oui, mais j’ai rien pu faire pour ton père
- Peut-être, mais tu ne pouvais pas nous sauver tous les deux

Ils entendirent frapper à la porte du placard sous l’escalier. Dudley aida Harry à se relever et ils allèrent voir. Ils trouvèrent la tante Pétunia, la vraie, ligoter dans le placard. Harry la libéra. Ils lui expliquèrent. Et elle le prit plus ou moins bien.

* Fin du flash black *

Harry se douta que le bébé était le bébé de son cousin, il se demanda pourquoi tout de même l’acte de naissance était signé de Kévin Cosmao, la ministre de la magie française.
Mais il sortit de ses pensées car Dudley se réveilla péniblement.

- Harry ?
- Oui Dudley, répondit Harry en s’asseyant sur le bord du canapé
- Désolé de débouler comme ça, dit Dudley les larmes aux yeux, mais je ne savais pas où aller…
- Je ne t’en veux pas, dit Harry, tu es mon cousin
- Oh Harry si tu savais, pleura t-il, tous es si compliqué…
- Raconte, dit Harry, tu me connais, je ne te jugerais pas
- Ce n’est pas ça, dit Dudley, il y a trois ans, tu sais que j’ai rencontré Anna
- Oui
- Et que l’année dernière on s’est marié
- Mais oui, dit Harry, puisque j’étais ton témoin
- Anna est tombé enceinte, est la semaine dernière, Anna a accouché, elle est morte en couche
- Oh Dudley, dit Harry en le prenant dans ses bras, je suis désolé
- Je me retrouvé seul avec Joséphine, continua Dudley, j’ai prit le premier avion pour Londres et je suis allé voir Maman, et là je la trouve dans le salon, inconsciente, je l’ai fait transporté à l’hôpital, mais elle est morte aux urgences.
- Non, pleura Harry à son tour, Dudley je suis vraiment désolé, tu peux rester autant que tu veux ici.
- Je suis venu pour te demander de venir à l’enterrement d’Anna et Maman
- Mais bien sur, dit Harry, vient on va manger un morceau.

Ils mangèrent tous en mangeant.

- Dis-moi Dudley, comment cela ce fait que l’acte de naissance de Joséphine est signé de Kévin Cosmao, le ministre de la magie français ?
- En fait, expliqua Dudley, Anna était une sorcière, elle me l’a avoué après notre mariage.
- D’accord, dit Harry, tu es arrivé quand de Londres ?
- Ce matin, juste le temps de louer une voiture de l’aéroport et je suis arrivé, ça fait 48 heures que je n’ai pas dormi
- Va dormir un peu, dit Harry, tu connais la maison, va donc dans ton lit
- Je préfère aller dans la chambre d’amis
- Fait comme tu veux, dit Harry en mettant les assiettes au lave-vaisselle, tu es ici chez toi.
- Merci Harry, dit Dudley.

Il monta l’escalier et se coucha dans la chambre d’amis et s’endormit de suite.

Harry s’occupa de Joséphine toute la journée, jusqu'à ce que Dudley se lève.

- Harry, dit Dudley
- Je t’en prie, dit Harry, j’ai prit les billets d’avion par Internet, on part tous à l’heure
- Comment te remercier Harry ?
- Arrête de parler pour rien dire, dit Harry, et regarde ta fille
- Tu as réussi à t’en occuper ?
- Difficilement, je n’ai pas l’habitude, mais bon
- Je veux que tu sois son parrain
- Mais avec plaisir !

Deux heures plus tard, Harry s’installa au volant de la voiture de location de Dudley, pendant que Dudley installa le couffin de Joséphine à l’arrière avec la ceinture, puis monta à l’avant à côté de son cousin.
Ils arrivèrent quelques heures plus tard à l’aéroport international de Londres, où ils louèrent une voiture et se rendit au 4 Privet Drive, là où Harry fût déposé quand il avait que un an.
Cela faisait six ans qu’il n’avait pas remis les pieds dans cette maison, un tas de souvenir lui revenait en mémoire.
Ils se préparent à dîner et allèrent se coucher.

Harry se réveilla le lendemain matin, Joséphine dormait dans les bras de son père, Harry sourit et descendit.
Il avait dormi dans son ancienne chambre, dans la maison de sa tante qui avait bien changé depuis la mort de son oncle. La vente de la Grunning avait assuré à la tante Pétunia une fin de vie paisible. Mais celle-ci avait décidé de l’abandonner. Des photos de Dudley et sa femme trônaient un peu partout, mais des photos de Harry à diverses occasions : après la mort de son oncle, à ses 20 ans, au mariage de son cousin.
Harry c’était rapproché de sa famille : sa tante et son cousin ainsi que sa femme. Ils se voyaient régulièrement, mais toujours sa tante et son cousin venait à Montréal, ou lui allait en France. Il n’avait pas remis les pieds en Grande Bretagne, depuis le mariage de Ron et Hermione.
Il bu un café et s’habilla et sorti pour acheter des croissants à la boulangerie. Il ne s’attendait pas à croiser la personne qu’il rencontra.

- Harry, Harry Potter, cria une vieille dame.
-Arabella, dit Harry en embrassant la vieille dame.
- Tu es revenu quand ?
- Je suis juste là pour l’enterrement de ma tante et d’Anna.
- Pétunia est morte ? - Oui, répondit Harry avec une pointe au cœur, avant-hier.
- Et Anna, c’est qui ? - La femme de Dudley.
- Tu iras voir tes amis ?
- Arabella, dit Harry, vous savez que la magie c’est terminé pour moi.
- Je ne t’ai toujours pas comprise, la magie était toute pour toi, et depuis que Voldemort est mort, la magie te dégoûte.
- Elle me dégoûte pas, mais Hermione à passer six mois dans le coma, Ron à perdu un bras, Arthur Weasley, Bill et Charlie Weasley, le professeur Flitwick, Fleur Delacour Weasley et Dean Thomas sont mort, tous ça à cause de moi...
- Ce n’est pas ta faute, dit Arabella.
- Si !
- Je vous sert quoi ? demanda la boulangère.
- Quatre croissants et une baguette, s’il vous plait
- Voilà monsieur, deux livre sterling s’il vous plait.

Harry paya et sortit de la boulangerie avec Arabella.

- Tu passera bien avec Dudley me voir, dit Arabella.
- Vous savez on est pas tous les deux.
- Comment ça ?
- Dudley est papa.
- Ah bon !
- Oui et sa fille est ma filleule.
- Félicitations.
- Merci, aller, à plus tard.

Harry rentra dans la maison, Dudley donnait le bain à sa fille, Harry prépara du café, lorsque Dudley descendit, Harry lui servit un petit déjeuner.

- Merci, dit Dudley.
- Je t’en pris.
- Il faut aller à l’hôpital- Oui, je vais y aller, tu t’occuperas de la petite puce
- D’accord, répondit Dudley.
- Bon, on met au lave-vaisselle et on met les voiles.
- Ok, répondit Dudley, mais c’est moi qui conduis !
- D’accord, mais pas d’imprudence, tu à des responsabilités maintenant.
- Oui, ne t’inquiète pas, répondit Dudley.

Harry prépara Joséphine, pendant que Dudley s’habilla. Quinze minutes plus tard, Dudley s’engagea sur l’autoroute de Londres. Ils s’arrêtèrent à la mairie, pour déclarer officiellement Harry comme le parrain de Joséphine. Après ils se rendirent chez les Pompes Funèbres pour organiser les funérailles de la Tante Pétunia et de Anna.
Harry alla après à la morgue de l’hôpital pour dire au revoir à sa tante et retrouva Dudley et Joséphine au parc de l’hôpital. Harry prit le volant pour le retour.
A la sortie de l’autoroute, à la bretelle de Little Whinning, Harry sortit, mais un semi-remorque grilla le stop et percuta la voiture de plein fouet. Le choc fut terrible et un fracas assourdissant se fit entendre.
Le camion s’immobilisa au bout de cent mètre, mais la voiture partit en tonneaux et s’écrasa le long d’un lampadaire devant de 6 Privet Drive, la maison de Arabella Figgs.
Les pompiers arrivèrent dix minutes plus tard, la voiture n’était plus qu’un amas de ferraille, Joséphine pleurait à l’arrière du tas de ferraille. Les pompiers découpèrent la voiture pour extraire Harry, Dudley et Joséphine.
Arabella hurla à la vue des corps de Harry et Dudley, elle coura et demanda l’état des victimes.

-Le blond est mort madame, lui expliqua un pompier, quant à l’autre, il est salement amoché, les médecins pourrons en dire plus.
-Et le bébé ?
-Il n’a rien, répondit le pompier, il s’en est sortit avec plus de peur que de mal.
-Son père est mort, expliqua Arabella, mais son parrain est toujours en vie pour le moment.
-Vous connaissiez ces jeunes hommes ?
-Bien sur, le blond s’appelé Dudley Dursley et le l’autre jeune homme est Harry Potter
-Vous savez si ils ont de la famille.
-La mère de Dudley et la tante de Harry est décédée il y trois jours, les parents de Harry sont mort quand il avait un an. Mais il à une mère de cœur.
-Vous ferez bien de la prévenir, lui répondit le pompier
-D’accord, répondit Arabella, et le bébé ?
-On l’emmène à l’hôpital.
-Merci

Harry et Joséphine furent hélitreuiller jusqu'à l’hôpital de Londres où les médecins diagnostiquèrent un caillot de sang dans le cerveau de Harry qui n’était pas opérable.
Ils le laissèrent dans une chambre, car ils lui donner pas longtemps à vivre. Pour eux, Harry Potter allait mourir, car la pression de sang dans son cerveau était-elle qu’elle allait lui faire exploser.

Molly Weasley avait déposé Emma Anna chez Fred et Georges avant de transplaner dans une ruelle près de l’hôpital Portland à Londres. Elle couru jusqu'à l’accueil et s’écria

- Bonjour, je viens voir Harry, Harry Potter, il a eu un très grave accident de voiture
- Attendez madame, dit la jeune hôtesse, je vais me renseigner.

Elle prit un combiné de téléphone et appela, resta quelques minutes et raccrocha

- Vous êtes sa mère de cœur ? demanda la jeune hôtesse
- Oui, je suis Molly Weasley
- Bien, continua la jeune hôtesse, le jeune homme là bas va vous accompagner
- Je vous remercie mademoiselle, dit Molly en se dirigeant vers un grand jeune homme aux cheveux noir.
- Bonjour Molly, dit le jeune homme
- On se connaît ?
- Oui, dit le jeune homme, je suis Neville Londubat
- Neville, s’écria Molly en le prenant dans ses bras, comme tu as grandis et tu as perdu du poids à ce que je vois
- C’est grâce à Timna, dit Neville
- Timna ?
- Ma femme
- C’est bien, dit Molly, ça fait combien de temps qu’on c’est pas vu ?
- Depuis le mariage de Ron et d’Hermione
- Ça date
- Oui, tenez, je vous présente le Docteur Tom Burton,
- Bonjour madame, comme vous as dit Neville, je suis le Docteur Tom Burton, c’est moi qui est soigné monsieur Potter à son arrivé, mais nous ne pouvons plus rien faire pour lui, c’est blessures sont trop grave, nous ne pouvons pas le soigné. Malheureusement, il est plongé dans le coma et il ne lui reste que quelques heures, je suis désolé madame.

Molly éclata en sanglots, tandis que Neville la prit dans ses bras, les larmes aux yeux.

- Neville ? demanda le Docteur Burton, ça va
- Je connais Molly, expliqua t-il, c’est la mère de mes meilleurs amis, et Harry en fait parti
- Je suis désolé Neville, j’aurais aimé en faire plus, mais je ne peux pas.

Il mit sa main sur l’épaule de Neville et dit

- Je suis désolé Madame Weasley, je suis sincèrement avec vous.
- Merci, sanglota-elle sur l’épaule de Neville

Il s’éloigna, les laissant seuls

- Neville, demanda Molly, tu pratiques toujours ?
- Oui
- Tu as ta baguette ?
- Oui
- Dès que je serais partie, expliqua Molly, tu feras subir le sortilège d’oubliette à tous le monde dans la pièce, et rejoint moi à l’hôpital Sainte-Mangouste
- Vous êtes sures de vous Molly, demanda Neville
- Je ne peux pas le laisser mourir, dit Molly en poussant la porte
- Madame, cria une infirmière, ceci est une pièce stérile vous ne pouvez rentrer
- Je m'mêle !

Elle s’approcha du lit d’Harry, débrancha le respirateur et lui prit la main avant de transplaner à Sainte-Mangouste où elle se mit à crier

- Appeler Angelina Johnson et Olivier Dubois VITE

Les deux concerné accouraient, et Angelina porta les mains sur sa bouche

- Il a eu un accident de voiture, expliqua Molly, les Moldus le considère comme perdu
- Donnez le moi Molly, dit Olivier, on va le sauver

Il prit Harry et l’emmena dans une pièce derrière Molly. Neville arriva portant Joséphine dans ses bras.

- A qui est ce bébé ? demanda Molly
- A Harry maintenant, dit Neville, c’est la fille de Dudley, le cousin d’Harry qui est mort dans l’accident. Harry est son parain.
- D’accord, dit Molly, donne la moi

Neville donna Joséphine à Molly.

- Tu es infirmier Moldu ? demanda Angelina
- Oui, répondit Neville, je vais y aller, sinon je vais perdre ma place
- Tu reviendras nous voir ?
- Bien sur, je passe après mon service prendre des nouvelles d’Harry
- A toute à l’heure alors, dit Molly en berçant Joséphine
- Elle s’appelle Joséphine, dit Neville avant de transplaner.

Molly attendit dans la salle de pause où Angelina l’avait installé. Olivier poussa la porte et s’installa devant Molly.

- Il s’en sortira sans dommage, dit Olivier, il est dans le coma, mais il va se réveiller.
- Merci, dit Molly, tu l’as installé dans une chambre ?
- Oui, venez Molly, dit Olivier

Ils l’entraîna et la guida jusqu’au chevet d’Harry. Elle y resta jusqu'à ce que Ron et le professeur McGonagall rentrent.

- Molly, dit le professeur McGonagall, Fred ma hiboueté tout à l’heure pour me dire que vous aviez déposé Emma Anna chez lui et que vous lui a dit que vous veniez ici, depuis plus de nouvelle.
- Et en arrivant, dit Ron, nous Olivier nous à dit que Harry était ici, dans le coma à la suite d’un accident de voiture.
- Oui, dit Molly, Arabella m’a prévenu ce matin, je suis venu tout de suite et depuis je m’occupe de lui et de Joséphine…
- Joséphine ? coupa le professeur McGonagall
- Oui Minerva, répondit Molly, c’est la fille du cousin à Harry, c’est sa filleule, Dudley est mort dans l’accident aux côtés de Harry.
- D’accord, dit Minerva, Emma Anna est bien avec Fred, Georges et leurs femmes, que je connais d’ailleurs toujours pas
- Bientôt Minerva, dit Ron, bientôt.
- Le professeur de Défense contre les Forces du Mal qui me dit ça...

Ron sourit en la regardant.

- Bon, je vais rentrer à Poudlard, dit Minerva, Ron je vous laisse avec votre mère et Harry. Prévenez moi quand Harry se réveille.
- Comptez sur moi Minerva, dit Molly, je vous envoi un hibou.
- Bonne soirée, dit Minerva en sortant.
- Maman, dit Ron, Harry n’est pas marié ?
- Je ne sais pas Ron, répondit Molly, tous ce que je sais, c’est que depuis qu’il est parti, il habite à Montréal au Canada, il vit seul. Il se rendait régulièrement en France chez son cousin et sa femme. Il était à Londres car la femme de Dudley venait de mourir en accouchant et que en revenant voir sa mère, elle était malade et elle est décédée à l’hôpital. Et il est revenu pour les enterrements.
- Et que c’est-il passer ?
- D’après Arabella, reprit Molly, à la sortie de l’autoroute à Little Whinning, un camion les percuté à très grande vitesse, Dudley est mort dur le coup.
- Par la barbe de Merlin, dit Ron, quand Hermione va apprendre ça.
- Ronald Weasley, dit Molly, pour le moment, il faut rien lui dire, tous comme ta sœur
- Je vais passer la voir, dit Ron
- Si tu lui dis, dit Molly en enfonçant son index dans le ventre de son fils, tu auras affaire à moi.
- Ne t’inquiète pas Maman.
- Justement, dit Molly.

Quelques jours passèrent, et toujours aucun signe de la part d’Harry.

Molly, Ron, Neville, Minerva, Olivier et Angelina commencèrent à désespérer, mais au bout d’une semaine, Harry ouvrit les yeux.

Il aperçut Molly, tous ses souvenirs d’avant sa vie au Canada lui revint en mémoire.

- Oh Molly, dit-il, je suis si désolé d’être parti comme ça
- Tu avais tes raisons, dit Molly, même si personne n’a compris, tu avais tes raisons, et c’est ce qui compte.
- C’est à cause de moi si Arthur, Charlie et Bill sont morts, tous les malheurs qui sont arrivé après la destruction de Voldemort est de ma faute.

Il éclata en sanglots, et Molly le prit dans ses bras. Des bras qui lui avait manqué pendant cinq ans. Il se lâcha et serra Molly.

Olivier rentra avec Angelina dans la chambre.

- Bonjour Harry, dit Olivier, tu t’es enfon réveillé
- Bonjour mon attrapeur préféré, dit Angelina
- Bonjour vous deux, dit Harry, vous êtes Médicomages ?
- Comme tu vois, dit Olivier, si tu es en forme, tu peux sortir.
- Merci Olivier, dit Harry
- Tu vas venir au Terrier avec Joséphine, tu ne vas pas rentrer à Montréal maintenant. Surtout que Minerva veux te voir.
- Pourquoi le professeur McGonagall veut me voir ?
- Je ne sais pas moi, répondit Molly, tu verras bien.

Harry s’habilla derrière le paravent et il prit un taxi avec Molly jusqu'au Terrier.

Harry, Joséphine et Molly arrivent au Terrier. Harry est surpris de voir que la maison est toujours pareille.

- Rien n’a changé tu vois Harry chéri, dit Molly
- Je vois ça.
- Je vais t’installer dans la chambre de Charlie, je vais ressortir le berceau de Emma Anna pour Joséphine.
- Je vous remercie Molly, dit Harry, de vous êtes occupé de Joséphine.
- Je t’en pris

Ils rentrent dans la maison.

- Je te laisse monter, dit Molly, je vais préparer le déjeuner.
- Merci Molly, répondit Harry en se dirigeant vers l’escalier.

Il arrive en haut et retrouve la chambre de Charlie malgré la repeinte des murs de la maison. A la place de la chambre de Bill se trouve celle de Emma Anna. Harry eu un pincement au cœur en pensant à Bill.
Harry rentra dans l’ancienne chambre de Charlie, la chambre avait était changée, un double lit était présent, un canapé et une grande armoire. Il sortie sur le palier et demanda à Molly :

- Molly, Le berceau, il est où ?
- Au grenier mon chéri
- Merci.

Il monte au grenier et vit le berceau. Il voulu le porter, mais il était trop lourd, et comme il n’a pas sa baguette, il n’a pas refait de magie depuis la destruction de Voldemort. Il descend voir Molly.

- Molly, dit Harry, j’ai honte de vous avouez ça, mais je ne peux pas porter le berceau, il est trop lourd.
- Sert toi de la magie, répliqua Molly
- C’est de ça que j’ai honte Molly, dit Harry, je n’ai pas refait de magie depuis que j’ai détruit Voldemort, et toutes mes affaires de magie sont rangées chez moi à Montréal.
- C’est pas grave mon chéri, dit Molly en l’embrassant, si tu veux pas en refaire, tu es libre, je te forcerai pas.
- Merci Molly, dit Harry, mais je suis resté trop longtemps en exil, il est temps de rentrer chez moi, c'est-à-dire ici.
- Il va y avoir des gens heureux, dit Molly.
- J’espère bien, dit Harry
- Bon, je vais chercher le berceau, dit Molly en allant vers l’escalier
- Je m’occupe du déjeuner, dit Harry

Molly préparé du gigot d’agneau avec des flageolets. Harry mit la table et cinq minutes plus tard, Molly descendit avec Joséphine dans ses bras. Elle installa Joséphine dans un maxi-cosy et s’installa à table avec Harry.

- Vous pouvez me dire ce qu’est devenu les Weasley sans moi ? demande Harry
- Alors, dit Molly, les choses ont bien changer, tout d’abord Percy habite toujours à Londres, j’ai très peu de contact avec lui, les dernières nouvelles que j’ai de lui, c’est qu’il s’est marié le mois dernier
- Et je connais l’heureuse élue ? demanda Harry
- En fait il s’agit de Kyle Dubois, dit Molly
- Un homme ? s’exclama Harry
- Le frère d’Olivier, expliqua Molly, ils ont inauguré la nouvelle loi qui autorise le mariage homosexuel en Grande Bretagne.
- Je ne savais pas que Percy était de l’autre bord, dit Harry
- Je ne le savais pas non plus, dit Molly, mais bon, ensuite viennent Fred et Georges, tous deux sont mariés, Fred avec Katie Bell et Georges avec Alicia Spinnet. Ils vivent tous les quatre à Pré au Lard dans une grande maison. Ils ont chacun un enfant, Fred une fille nommée Emily âgée de 2 ans, et Georges un petit garçon, Dylan qui à 3 ans. Ensuite vient Ron, qui comme tu sais est mariés avec Hermione est ont un petit garçon qui a 3 ans et s’appelle Harry Sirius. Côté travail, Percy est responsable du Service des Détournement de fonds magiques à la banque Gringott’s. Fred et Katie tienne la boutiques de Farces attrapes de Pré au Lard et Georges et Alicia celle du Chemin de Traverse. Ron est le professeur de Défense Contres les Force du Mal à Poudlard, Hermione elle est journaliste à la Gazette de Poudlard. Voilà mon chéri, tu sais tout.
- Non Molly, dit Harry, vous ne m’avez pas parlé de Ginny
- Je ne t’en ai pas parlé car ça va te faire de la peine, dit Molly.
- Pourquoi de la peine ?
- Elle ne t’a pas oubliée, dit Molly, elle ta attendu,
- Elle s’est mariée ?
- Non mon chéri, dit Molly
- Alors dites moi ! s’exclama Harry
- Elle à tenté de mettre fin à ses jours pour toi, dit Molly les larmes aux yeux, elle te voilait toi, et personne d’autre, elle est depuis au services psychiatrie de Sainte-Mangouste.
- C’est grave ?
- Non, juste en dépression nerveuse, dit Molly.

Ils finirent de manger, et Harry donne à manger à Joséphine avant de la mettre au lit. Harry s’installa dans le canapé et s’endormit.
Molly le réveilla vers quinze heures.

- Harry chéri, dit-elle, réveille toi, il va y avoir du monde
- Ah bon est qui ?
- Tu vas voir, dit Molly en fermant la porte.

Harry descendit l’escalier, et quelle ne fût pas sa surprise, il dévala l’escalier et se jeta dans les bras d’un géant.

- Harry, dit le géant, que je suis content de te revoir
- Et moi donc Hagrid, dit Harry

Hagrid reposa Harry au sol.

- Bonjour Harry, dit une grande femme à l’allure sévère, contente de vous revoir
- Bonjour professeur McGonagall, dit Harry en lui serrant la main, moi aussi de suis content de vous revoir.

Molly prépara du thé et tout le monde s’installa au salon.

- Harry, dit Hagrid, tu peux nous dire ce que tu as fait pendant les cinq années que tu as passées loin de nous ?
- En fait, comme vous le savez, expliqua Harry, je suis parti le lendemain du mariage de Ron et d’Hermione. Trop de souvenir me hantait, trop de gens était mort de ma faute, alors j’ai décidé de partir, je suis passé à Groggott’s où j’ai vidait la quasi-totalité de mon coffre. J’ai prit mes affaires et je suis parti. On m’a que le Canada était un beau pays, personne ne me connaissait là-bas. J’ai acheté une maison à Montréal et je me suis cherché un travail. Mais sans diplôme c’est difficile. J’ai fini par trouvé en gardant des enfants.
- Et depuis tu fait ça ? demanda Molly
- Oui et non, expliqua Harry, j’ai aussi fait quelques travaux pour des voisins.
- D’accord, dit Molly, mais regarde, tous le monde de ta classe est marié et on des enfants, et toi de se côté-là
- En fait, dit Harry, mes histoires passent et partent comme elles sont venues. A chaque fois que j’étais avec telle ou untelle, je pensais toujours à la même fille, elle me hante et me hantera toujours.
- Et pouvons nous savoir, dit le professeur McGonagall, qui est l’heureuse élue qui fait chavirer votre cœur au point de vous empêcher d’avoir une relation normale avec une fille.
- Professeur, s’exclama Harry, je n’ai pas de problème avec les filles, ceci va très bien ! c’est seulement que je n’arrête pas de penser à Ginny. La seule fille avec qui j’ai envie de finir mes jours.
- Alors pourquoi tu las laissé comme ça, dit Hagrid, dans le doute, elle croyait que tu ne voulait pas d’elle.
- C’est pas ça ! dit Harry, mais j’avais besoin de faire le point.
- Le point sur quoi ? s’exclama le professeur McGonagall, votre vie est ici, vous êtes un sorcier, un sacré bon sorcier, vos pouvoirs égalisent ceux du regretté Dumbledore. Aucun sorcier au monde n’a vos dons pour la magie.
- Peut être, dit Harry, mais maintenant c’est clair, je reviens parmi les miens, je vais me trouver une maison, un emploi et reprendre ma vie avec Joséphine.
- Qui est Joséphine ? demanda Hagrid
- Ma filleule, répondit Harry, la fille de Dudley.
- Ton cousin ?
- Oui, répondit Harry, mais j’ai l’enterrement de ma tante, mon cousin et sa femme à organiser.
- Je m’en suis occupé, dit Molly, pendant quand tu étais à l’hôpital, cela aura lieu demain matin.
- Merci Molly, dit Harry, je ne sais comment vous remercier
- Tu n’as pas besoin de le faire, dit Molly. Tu es mon…

Des cris se fit entendre dans la cours

- Où est-il, Harry, où est-il, Harry
- Calme-toi ma chérie

Une femme hystérique aux cheveux long en broussailles fit irruption dans la pièce.

- Harry, cria t-elle en arrivant dans le salon.
- Voyons ma chérie, dit Ron, calme-toi !
- Oh Harry je suis si heureuse de te revoir, dit Hermione en se jetant dans ses bras.
- Moi aussi je le suis Hermione, dit Harry en la serrant dans ses bras
- C’est si bon de te sentir en moi, dit Hermione
- Pardon ? demanda Ron
- Je veux dire, de me sentir dans tes bras, dit Hermione en descendant des bras d’Harry et se dirigeant vers Ron, tu sais bien que c’est toi que j’aime.

Elle l’embrassa avec fougue.

- Je vois que l’amour est toujours au beau fixe, dit Harry
- Et comment, dit Ron en l’accolant, tu croyais que notre amour n’était pas assez fort ?
- Bien sûr que si, dit Harry, personne n’en doutait.
- Oh que non, dit le professeur McGonagall, il existait un pari chez les professeurs
- Vous pouvez expliquer Minerva, dit Hermione
- Celui qui devinerai lequel de vous deux déclarerez votre flamme à l’autre et le lieu
- Chez les élèves pareil, dit Harry, sauf que nous c’était le premier baiser
- Vous n’aviez donc rien d’autre à faire, dit Ron
- Si mais bon
- Et qui à gagner ? demanda Hermione
- Chez les professeurs, c’est le professeur Chourave, dit le professeur McGonagall en disant que cela serait le soir du nouvel an pendant votre septième année devant la salle commune.
- Chez les élèves, dit Harry, c’est Colin Crivey et il vous à prit en photo, c’était dans la salle de métamorphose le soir du nouvel an durant notre septième année.
- Et elle est où cette photo ? demanda Ron
- Chez moi, dit Harry
- Et comment à tu fait pour l’avoir ? demanda Hermione
- J’ai donné une photo dédicacée à Colin, expliqua Harry

Ils restèrent à parler jusque dans la soirée, quand Hermione déclara qu’il était temps de rentrer pour s’occuper de Sirius Harry.


Harry passa sa soirée avec Molly, il se coucha tôt, et tomba dans les bras de Morphée.