Bonne saint valentin
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Megane Carter
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Bonne saint valentin
Titre : Bonne saint Valentin
Auteurs : PtiteLili
Email : bonorely@msn.com
Catégorie : Romance S/J humour
Spoiler : Saison 8 avec quelques changements Sam dit non à Peter.
Résumé : C’est le jour de la Saint Valentin, Sam n’aime pas particulièrement cette journée.
Disclamer : Les personnages appartiennent à la MGM
Note de l’auteur : Merci de faire-part de vos commentaires, critiques etc.… c’est toujours bien pour avancer.
Fan fic commencée le 14 février 2006 et finie le 18 mars 2006
Il était 10h00 lorsqu’elle ouvrit les yeux, aujourd’hui c’était la saint Valentin, à cette pensée elle grimaça et enfouit son visage sous l’oreiller, elle ne pouvait pas aller à la base et travailler, le général O’Neill lui en avait donné l’ordre de ne pas s’en approcher. En effet, les membres de SG1 venaient d’effectuer une mission éprouvante et tous avaient besoin de repos. Elle détestait cette journée surtout depuis que Peter était parti, enfin depuis qu’elle avait dit non à sa demande en mariage, elle ne pouvait pas épouser un homme alors qu’elle doutait de ses sentiments, ce dernier prit la chose plutôt bien en apparence, il était partit après cette annonce, la mort dans l’âme.
Elle décida donc de passer la journée à déprimer au lit, lorsque son téléphone sonna, Sam hésita mais répondit quand même.
S : Carter !
J : Bonjour Carter !
S : (étonnée) Mon général ?
J : C’est bien moi, je ne vous dérange pas trop ?
S : Non je suis encore au lit « mais quelle conne tais-toi ! » Pensa t-elle immédiatement.
J : Cela a l’air tentant !
S : (Mal à l’aise et rougissant) Désolée !
J : Arrêtez de rougir Colonel !
S : (Changeant de sujet) Un problème à la base ?
J : Non… enfin si… enfin ce n'est pas très grave…
S : Vous avez besoin de moi ?
J : Ecoutez, je ne sais pas ce qui c’est passé avec M. SHANAHAN et cela ne me regarde pas mais il est devant la base, ivre mort et veut vous parler.
S : (Plus que gênée et ne voulant pas qu’il voit Pete dans cet état) Vous êtes dans votre bureau ?
J : Non je suis devant lui !
S : Je suis désolée, je… j’arrive…
J : D’accord, je vous attends et je surveille qu’il ne prenne pas sa voiture !
S : Merci mon général ! (elle raccrocha)
Elle se dépêcha de prendre une douche et de s’habiller, il lui avait semblé que Pete avait bien prit la chose alors pourquoi se mettre dans un tel état. Une fois arrivée sur les lieux son ex-fiancé hurlait à la mort devant des dizaines de personnes ne se gênant pas pour rire du jeune policier.
P : (S’approchant de Jack) Je suis malheureux… Elle ne m’aime pas… Elle me l’a dit (levant le doigt) Hier…
S : (Descendant de sa voiture, folle de rage) Peter arrête !
P : Ce n’est pas très bon signe le Peter ?
S : Mais ça ne va pas, qu’est-ce qu’il t’arrive ! Qu’est ce que tu veux ?
P : (Déterminé) Te reconquérir !
S : Et bien c’est loupé, je te ramène à l’hôtel et tu rentres à Denver dès que tu auras dessoulé.
P : (Essayant de l’embrasser) Sam ma chérie…
S : (Lui détournant la tête) Ne m’appelle pas comme ça ! (A Jack) Je m’arrangerais pour faire venir un dépanneur pour sa voiture.
J : (Profitant de la situation) Je peux vous suivre et vous me ramènerez à la base après ?
S : D’accord ! Vous me suivez, je connais le chemin ?
J : Oui pas de soucis, je vais vous aider à l’installer dans votre voiture !
S : Merci c’est très gentil. (Une fois dans la voiture avec Peter) Pourquoi tu as fais cela ?
P : Parce que je t’aime, et que c’est la Saint Valentin…
S : Et tu croyais quoi que j’allais arriver et te dire que l’on recommençait tout ? Que je reviendrais sur ma décision ?
P : (Perdu et dégrisé) Oui, je ne comprends pas ta réaction pourquoi ce non ?
S : Je suis désolée Pete, je ne voulais pas te faire de la peine, je ne peux pas te faire ça, te faire souffrir car tu n’aurais pas eu l’amour que tu mérites.
Pendant ce temps, Jack suivait dans la voiture du policier, il y découvrit une boite, ou plus exactement un écrin, au feu il se baissa et le ramassa, prit de curiosité, il l’ouvrit et y vit la bague que Sam lui avait tendu quelques jours plus tôt, alors elle avait dit non. Malgré sa réponse elle avait répondu à la négative pour la demande en mariage, son cœur se rempli de joie, il était heureux qu’elle ait dit non, il devait faire quelque chose pour ne plus la perdre, il s’arrangerait de la loi de non-fraternisation après. Mais comment devait il si prendre, puis alors que le feu passait au vert, il vit une publicité pour la Saint Valentin ! Quoi de mieux que ce jour là pour avouer que l’on tenait à une personne ! Le reste du voyage, tout en gardant un œil sur les deux personnes de la voiture devant lui, il cherchait des idées. Arrivé devant l’hôtel, il vit Pete sortir de la voiture de Sam en furie.
P : Alors c’est comme ça, tu ne veux même plus me voir, d’accord j’ai un peu débordé, mais ce n’est pas une raison.
S : (Essayant de le calmer) Pete, s’il te plait pas de scandale !
P : Pourquoi tu fais ça ?
S : Je te l’ai déjà expliqué, je ne peux pas te dire oui alors que…
P : Je comprends pourquoi tu es toujours célibataire, ce n’est pas parce que tu as beaucoup de travail, c’est parce que tu n’aimes personne à par toi.
S : (tristement) Pete…
P : Arrête maintenant c’est toi qui va m’écouter, j’ai fais des concessions pour toi et toi qu’as-tu fais à par me mettre en danger ?
S : (médusée, écœurée, les larmes aux yeux) Si tu penses réellement cela, alors j’ai bien fais de te dire non !
J : (Voulant stopper la discussion) Bon ce n’est pas que je m’ennui de vos états d’âme Monsieur Shanahan mais vous avez fait assez de scandale aujourd’hui (lui tendant les clefs) tenez vos clés de voiture. (Doux mais autoritaire) Carter, nous devons y aller !
S : Bien mon général !
Elle s’installa au volant et attendit patiemment le général, une fois celui-ci assis à ses côtés, elle démarra et partit, elle resta silencieuse tout au long du trajet, alors c’est ce que les gens pensaient d’elle.
Jack lui n’osait pas la sortir de ses pensées, il savait pertinemment ce qui l’a travaillait, pourquoi doutait-elle, elle était courageuse, prête à sacrifier sa vie pour des milliers de personnes comme tous les hommes et femmes de sa base. Néanmoins il décida de respecter son silence, elle retrouverait le sourire plus tard, il en était sûr.
Lorsqu’ils arrivèrent à la base, Sam arrêta la voiture et attendit que Jack descende, mais il n’était pas décidé, il fallait qu’il la rassure.
J : Carter !
S : (Une boule dans la gorge) Je suis désolée pour son comportement !
J : Vous n’y êtes pour rien, il était ivre, demain il ne s’en souviendra pas.
S : Mais moi oui !
J : Je comprends que vous soyez déçue, mais vous n’êtes pas comme il vous a décrit, il ne vous connaît que peu et mal, pour vous avoir dit ceci (souriant) et il n’a pas apprécié de se faire plaquer !
S : Ce n’est pas moi qui ai rompu, il a interprété mon non mais je voulais juste du temps, je me rends compte que j’ai encore fait souffrir quelqu’un ! N°5 a raison, où je passe, je fais du mal.
J : Ecoutez, rentrez chez vous et oubliez cette histoire ! (Voulant détendre l’atmosphère et souriant) C’est un ordre !
S : (blessée) A vos ordres !
Jack sorti de la voiture et regarda son colonel s’éloigner, elle n’allait pas bien, il fallait qu’il trouve vraiment le cadeau exceptionnel surtout face à la gaucherie dont il venait de faire preuve, il se détourna quand le véhicule ne fut plus en vue et repartit en direction de son bureau ou il pourrait réfléchir à une idée. Il demanderait l’avis de Daniel, celui-ci pouvait être de bon conseil, vu qu’il connaissait bien Sam. Quand il fut assis dans son siège, il prit son téléphone et composa le numéro personnel de son meilleur ami.
D : Allô !
J : Daniel ! C’est Jack !
D : Jack que me vaut cet honneur ?
J : Je ne vous dérange pas ?
D : Non, Sarah n’est pas encore arrivée !
J : Oh ! Vous passez la Saint Valentin ensemble ?
D : Euh… (soupirant) Oui !
J : C’est bien, alors je me dépêche pour vous laisser tranquille !
D : C’est important ?
J : Non… enfin oui… Comment vous le dire ! Voilà j’ai appris que Carter était célibataire.
D : Ah ! Il fallait s’en douter, 15 jours de réflexion pour entendre non ce n’est pas l’idéal dans une relation.
J : Oui mais Shanahan est venu clamer son amour devant la base, je crois qu’elle n’a pas apprécié !
D : Notre Sam si discrète, vous m’étonnez ! Mais dites-moi les ragots ce n’est pas votre habitude !
J : Bah, c’est qu’aujourd’hui c’est le 14 février et je voulais un conseil d’ami !
D : Un cadeau pour une femme ?
J : Oui, mais pas n’importe qu’elle femme comme vous dites, elle est comment dire…
D : (souriant et lui coupant la parole) exceptionnelle !
J : Oui… Euh non… enfin… Vous voyez quoi !
D : Oui je vois mais quel message voulez vous faire passer ?
J : Daniel !
D : Jack ?
J : Je savais que je n’aurais pas dû vous le demander !
D : Bon d’accord, et bien pour commencer des fleurs, des roses rouges en nombre impair toujours !
J : Merci Daniel j’ai déjà offert des fleurs !
D : Ah bon !
J : Arrêtez !
D : (souriant) Bon Sam adore l’improviste, elle déteste dans son travail, mais elle adore les hommes qui débarquent avec un repas de dernière minute, elle n’aime pas trop les restaurants surtout en période de Saint-Valentin.
J : Comment connaissez-vous tout cela ?
D : Sam et moi sommes très proches, nous aimons nous confier l’un à l’autre.
J : Ok et avec le repas ?
D : Elle adore les peluches, surtout Garfield !
J : Vous voulez parler de ce chat, gros et orange !
D : Il est marron mais oui je parle de lui, elle n’en trouve pas, mais elle adore.
J : Donc si le tout est réuni, elle passera une bonne soirée ?
D : Exactement… Tiens Sarah est à la porte, il faut que je vous laisse… bonne journée
J : Bonne journée !
Jack raccrocha le sourire aux lèvres, il était content, sachant très bien que son ami lui avait donné de bon conseil. Où allait-il trouver une peluche Garfield ? Jack commença par le début, il reprit son téléphone et contacta le fleuriste en face de chez lui. Une fois raccroché, il appela Harriman afin que celui-ci l’aide à surfer sur le net afin de trouver cette peluche, à l’air amusé du Sergent, il inventa que c’était pour l’anniversaire d’une cousine éloignée dont l’anniversaire était dans peu de temps. Une fois le site trouver, il décida de se rendre dans le magasin lui-même après avoir téléphoné pour le mettre de côté. Le général ne pouvait plus faire marche arrière, il devait affronter ses sentiments et cette femme.
Le colonel était chez elle, ne pouvant arrêter de tourner en rond, cela faisait environ 2h00 qu’elle était rentrée, gardant toujours en tête les paroles de Pete. Comment il pouvait penser cela d’elle, elle l’aimait, pas assez pour l’épouser, que pouvait-elle y faire, elle éprouvait de fort sentiments envers son supérieur et malgré la gentillesse, la douceur, la patience et l’amour de Pete. Elle lui avait demandé la permission, il avait répondu, alors pourquoi elle avait dit non ? Sam en était arrivée à cette question lorsque quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’elle ouvrit la porte, une surprise l’attendait, un livreur avec un énorme bouquet de roses dans les bras.
S : Bonjour !
Livreur : Samantha Carter ?
S : Oui c’est moi !
Livreur : C’est pour vous, (lui tendant un calepin) une signature s’il vous plait !
S : (Signant) Bien sûr ! Puis-je connaître le nombre de roses ?
Livreur : Oui, Il y en a 29, (lui tendant le bouquet) une belle déclaration !
S : Oui… Enfin je ne sais pas…
Livreur : Bonne journée madame !
S : Bonne journée.
Elle referma sa porte et prit la petite carte, l’ouvrit et découvrit « Pour ma valentine, une femme exceptionnelle qui ne devrait jamais en douter. Votre Valentin. » Un sourire béat naquis sur ses lèvres, elle ne pouvait faire autrement, flattée et heureuse que quelqu’un pense à elle, cela ne pouvait pas venir de Pete, il devait encore être sous l’emprise de l’alcool. Mais qui ? Qui pouvait la considérer comme quelqu’un d’exceptionnel ! Elle passa donc sa journée à espérer que son Valentin se montre, sinon elle mènerait l’enquête pour le retrouver.
Il était environ 20h00 lorsque l’on vient sonner à sa porte, elle alla ouvrir, un peu angoissée mais contente. Devant elle un livreur de cuisine chinoise, elle accepta, tout était réglé, c’était un repas pour deux, l’homme lui avait confirmé. Alors, l’attente reprit son cours, mais pour très peu de temps, en effet, à peine ressortie de la cuisine, la sonnerie retentie une autre fois. La première chose qu’elle vit c’est une grosse peluche, Garlfied, son personnage de Bande dessinée préféré. Un sourire éclatant était sur son visage.
S : Aurais-je l’honneur de connaître mon valentin ?
J : (toujours caché derrière la peluche) Bien sûr !
S : (surprise et rougissant) mon général !
J : (Baissant la peluche) Ce soir c’est Jack, Sam.
S : Entrez !
J : (Lui tendant la peluche) Bonne saint Valentin !
S : (L’embrassant sur la joue) Bonne saint Valentin.
J : J’espère que cela vous a plus ?
S : Il ne fallait pas, je me serais remis de l’histoire Peter vous savez !
J : (Malicieux) Oh mais je n’en doute pas, ce n’est pas pour cela que je l’ai fais !
S : (Perdue) Je ne vous comprends plus, vous me dites que rien ne changera et maintenant vous êtes là devant moi !
J : Il n’y a que les imbéciles qui ne change pas d’avis non ? Le traiteur est passé ?
S : Oui ! Ne restez pas dehors entrez !
J : Merci, vraiment très gentil de votre part !
S : (Riant) Vous êtes sur que vous allez bien ?
J : J’ai pris de bonne résolution donc je vais très bien !
S : Oh !! (allant à la cuisine) Vous voulez boire quelque chose ?
J : Oui, je veux bien, ce que vous voulez ! (il l’incitait à improviser-elle aussi)
A suivre
Auteurs : PtiteLili
Email : bonorely@msn.com
Catégorie : Romance S/J humour
Spoiler : Saison 8 avec quelques changements Sam dit non à Peter.
Résumé : C’est le jour de la Saint Valentin, Sam n’aime pas particulièrement cette journée.
Disclamer : Les personnages appartiennent à la MGM
Note de l’auteur : Merci de faire-part de vos commentaires, critiques etc.… c’est toujours bien pour avancer.
Fan fic commencée le 14 février 2006 et finie le 18 mars 2006
Il était 10h00 lorsqu’elle ouvrit les yeux, aujourd’hui c’était la saint Valentin, à cette pensée elle grimaça et enfouit son visage sous l’oreiller, elle ne pouvait pas aller à la base et travailler, le général O’Neill lui en avait donné l’ordre de ne pas s’en approcher. En effet, les membres de SG1 venaient d’effectuer une mission éprouvante et tous avaient besoin de repos. Elle détestait cette journée surtout depuis que Peter était parti, enfin depuis qu’elle avait dit non à sa demande en mariage, elle ne pouvait pas épouser un homme alors qu’elle doutait de ses sentiments, ce dernier prit la chose plutôt bien en apparence, il était partit après cette annonce, la mort dans l’âme.
Elle décida donc de passer la journée à déprimer au lit, lorsque son téléphone sonna, Sam hésita mais répondit quand même.
S : Carter !
J : Bonjour Carter !
S : (étonnée) Mon général ?
J : C’est bien moi, je ne vous dérange pas trop ?
S : Non je suis encore au lit « mais quelle conne tais-toi ! » Pensa t-elle immédiatement.
J : Cela a l’air tentant !
S : (Mal à l’aise et rougissant) Désolée !
J : Arrêtez de rougir Colonel !
S : (Changeant de sujet) Un problème à la base ?
J : Non… enfin si… enfin ce n'est pas très grave…
S : Vous avez besoin de moi ?
J : Ecoutez, je ne sais pas ce qui c’est passé avec M. SHANAHAN et cela ne me regarde pas mais il est devant la base, ivre mort et veut vous parler.
S : (Plus que gênée et ne voulant pas qu’il voit Pete dans cet état) Vous êtes dans votre bureau ?
J : Non je suis devant lui !
S : Je suis désolée, je… j’arrive…
J : D’accord, je vous attends et je surveille qu’il ne prenne pas sa voiture !
S : Merci mon général ! (elle raccrocha)
Elle se dépêcha de prendre une douche et de s’habiller, il lui avait semblé que Pete avait bien prit la chose alors pourquoi se mettre dans un tel état. Une fois arrivée sur les lieux son ex-fiancé hurlait à la mort devant des dizaines de personnes ne se gênant pas pour rire du jeune policier.
P : (S’approchant de Jack) Je suis malheureux… Elle ne m’aime pas… Elle me l’a dit (levant le doigt) Hier…
S : (Descendant de sa voiture, folle de rage) Peter arrête !
P : Ce n’est pas très bon signe le Peter ?
S : Mais ça ne va pas, qu’est-ce qu’il t’arrive ! Qu’est ce que tu veux ?
P : (Déterminé) Te reconquérir !
S : Et bien c’est loupé, je te ramène à l’hôtel et tu rentres à Denver dès que tu auras dessoulé.
P : (Essayant de l’embrasser) Sam ma chérie…
S : (Lui détournant la tête) Ne m’appelle pas comme ça ! (A Jack) Je m’arrangerais pour faire venir un dépanneur pour sa voiture.
J : (Profitant de la situation) Je peux vous suivre et vous me ramènerez à la base après ?
S : D’accord ! Vous me suivez, je connais le chemin ?
J : Oui pas de soucis, je vais vous aider à l’installer dans votre voiture !
S : Merci c’est très gentil. (Une fois dans la voiture avec Peter) Pourquoi tu as fais cela ?
P : Parce que je t’aime, et que c’est la Saint Valentin…
S : Et tu croyais quoi que j’allais arriver et te dire que l’on recommençait tout ? Que je reviendrais sur ma décision ?
P : (Perdu et dégrisé) Oui, je ne comprends pas ta réaction pourquoi ce non ?
S : Je suis désolée Pete, je ne voulais pas te faire de la peine, je ne peux pas te faire ça, te faire souffrir car tu n’aurais pas eu l’amour que tu mérites.
Pendant ce temps, Jack suivait dans la voiture du policier, il y découvrit une boite, ou plus exactement un écrin, au feu il se baissa et le ramassa, prit de curiosité, il l’ouvrit et y vit la bague que Sam lui avait tendu quelques jours plus tôt, alors elle avait dit non. Malgré sa réponse elle avait répondu à la négative pour la demande en mariage, son cœur se rempli de joie, il était heureux qu’elle ait dit non, il devait faire quelque chose pour ne plus la perdre, il s’arrangerait de la loi de non-fraternisation après. Mais comment devait il si prendre, puis alors que le feu passait au vert, il vit une publicité pour la Saint Valentin ! Quoi de mieux que ce jour là pour avouer que l’on tenait à une personne ! Le reste du voyage, tout en gardant un œil sur les deux personnes de la voiture devant lui, il cherchait des idées. Arrivé devant l’hôtel, il vit Pete sortir de la voiture de Sam en furie.
P : Alors c’est comme ça, tu ne veux même plus me voir, d’accord j’ai un peu débordé, mais ce n’est pas une raison.
S : (Essayant de le calmer) Pete, s’il te plait pas de scandale !
P : Pourquoi tu fais ça ?
S : Je te l’ai déjà expliqué, je ne peux pas te dire oui alors que…
P : Je comprends pourquoi tu es toujours célibataire, ce n’est pas parce que tu as beaucoup de travail, c’est parce que tu n’aimes personne à par toi.
S : (tristement) Pete…
P : Arrête maintenant c’est toi qui va m’écouter, j’ai fais des concessions pour toi et toi qu’as-tu fais à par me mettre en danger ?
S : (médusée, écœurée, les larmes aux yeux) Si tu penses réellement cela, alors j’ai bien fais de te dire non !
J : (Voulant stopper la discussion) Bon ce n’est pas que je m’ennui de vos états d’âme Monsieur Shanahan mais vous avez fait assez de scandale aujourd’hui (lui tendant les clefs) tenez vos clés de voiture. (Doux mais autoritaire) Carter, nous devons y aller !
S : Bien mon général !
Elle s’installa au volant et attendit patiemment le général, une fois celui-ci assis à ses côtés, elle démarra et partit, elle resta silencieuse tout au long du trajet, alors c’est ce que les gens pensaient d’elle.
Jack lui n’osait pas la sortir de ses pensées, il savait pertinemment ce qui l’a travaillait, pourquoi doutait-elle, elle était courageuse, prête à sacrifier sa vie pour des milliers de personnes comme tous les hommes et femmes de sa base. Néanmoins il décida de respecter son silence, elle retrouverait le sourire plus tard, il en était sûr.
Lorsqu’ils arrivèrent à la base, Sam arrêta la voiture et attendit que Jack descende, mais il n’était pas décidé, il fallait qu’il la rassure.
J : Carter !
S : (Une boule dans la gorge) Je suis désolée pour son comportement !
J : Vous n’y êtes pour rien, il était ivre, demain il ne s’en souviendra pas.
S : Mais moi oui !
J : Je comprends que vous soyez déçue, mais vous n’êtes pas comme il vous a décrit, il ne vous connaît que peu et mal, pour vous avoir dit ceci (souriant) et il n’a pas apprécié de se faire plaquer !
S : Ce n’est pas moi qui ai rompu, il a interprété mon non mais je voulais juste du temps, je me rends compte que j’ai encore fait souffrir quelqu’un ! N°5 a raison, où je passe, je fais du mal.
J : Ecoutez, rentrez chez vous et oubliez cette histoire ! (Voulant détendre l’atmosphère et souriant) C’est un ordre !
S : (blessée) A vos ordres !
Jack sorti de la voiture et regarda son colonel s’éloigner, elle n’allait pas bien, il fallait qu’il trouve vraiment le cadeau exceptionnel surtout face à la gaucherie dont il venait de faire preuve, il se détourna quand le véhicule ne fut plus en vue et repartit en direction de son bureau ou il pourrait réfléchir à une idée. Il demanderait l’avis de Daniel, celui-ci pouvait être de bon conseil, vu qu’il connaissait bien Sam. Quand il fut assis dans son siège, il prit son téléphone et composa le numéro personnel de son meilleur ami.
D : Allô !
J : Daniel ! C’est Jack !
D : Jack que me vaut cet honneur ?
J : Je ne vous dérange pas ?
D : Non, Sarah n’est pas encore arrivée !
J : Oh ! Vous passez la Saint Valentin ensemble ?
D : Euh… (soupirant) Oui !
J : C’est bien, alors je me dépêche pour vous laisser tranquille !
D : C’est important ?
J : Non… enfin oui… Comment vous le dire ! Voilà j’ai appris que Carter était célibataire.
D : Ah ! Il fallait s’en douter, 15 jours de réflexion pour entendre non ce n’est pas l’idéal dans une relation.
J : Oui mais Shanahan est venu clamer son amour devant la base, je crois qu’elle n’a pas apprécié !
D : Notre Sam si discrète, vous m’étonnez ! Mais dites-moi les ragots ce n’est pas votre habitude !
J : Bah, c’est qu’aujourd’hui c’est le 14 février et je voulais un conseil d’ami !
D : Un cadeau pour une femme ?
J : Oui, mais pas n’importe qu’elle femme comme vous dites, elle est comment dire…
D : (souriant et lui coupant la parole) exceptionnelle !
J : Oui… Euh non… enfin… Vous voyez quoi !
D : Oui je vois mais quel message voulez vous faire passer ?
J : Daniel !
D : Jack ?
J : Je savais que je n’aurais pas dû vous le demander !
D : Bon d’accord, et bien pour commencer des fleurs, des roses rouges en nombre impair toujours !
J : Merci Daniel j’ai déjà offert des fleurs !
D : Ah bon !
J : Arrêtez !
D : (souriant) Bon Sam adore l’improviste, elle déteste dans son travail, mais elle adore les hommes qui débarquent avec un repas de dernière minute, elle n’aime pas trop les restaurants surtout en période de Saint-Valentin.
J : Comment connaissez-vous tout cela ?
D : Sam et moi sommes très proches, nous aimons nous confier l’un à l’autre.
J : Ok et avec le repas ?
D : Elle adore les peluches, surtout Garfield !
J : Vous voulez parler de ce chat, gros et orange !
D : Il est marron mais oui je parle de lui, elle n’en trouve pas, mais elle adore.
J : Donc si le tout est réuni, elle passera une bonne soirée ?
D : Exactement… Tiens Sarah est à la porte, il faut que je vous laisse… bonne journée
J : Bonne journée !
Jack raccrocha le sourire aux lèvres, il était content, sachant très bien que son ami lui avait donné de bon conseil. Où allait-il trouver une peluche Garfield ? Jack commença par le début, il reprit son téléphone et contacta le fleuriste en face de chez lui. Une fois raccroché, il appela Harriman afin que celui-ci l’aide à surfer sur le net afin de trouver cette peluche, à l’air amusé du Sergent, il inventa que c’était pour l’anniversaire d’une cousine éloignée dont l’anniversaire était dans peu de temps. Une fois le site trouver, il décida de se rendre dans le magasin lui-même après avoir téléphoné pour le mettre de côté. Le général ne pouvait plus faire marche arrière, il devait affronter ses sentiments et cette femme.
Le colonel était chez elle, ne pouvant arrêter de tourner en rond, cela faisait environ 2h00 qu’elle était rentrée, gardant toujours en tête les paroles de Pete. Comment il pouvait penser cela d’elle, elle l’aimait, pas assez pour l’épouser, que pouvait-elle y faire, elle éprouvait de fort sentiments envers son supérieur et malgré la gentillesse, la douceur, la patience et l’amour de Pete. Elle lui avait demandé la permission, il avait répondu, alors pourquoi elle avait dit non ? Sam en était arrivée à cette question lorsque quelqu’un sonna à sa porte. Lorsqu’elle ouvrit la porte, une surprise l’attendait, un livreur avec un énorme bouquet de roses dans les bras.
S : Bonjour !
Livreur : Samantha Carter ?
S : Oui c’est moi !
Livreur : C’est pour vous, (lui tendant un calepin) une signature s’il vous plait !
S : (Signant) Bien sûr ! Puis-je connaître le nombre de roses ?
Livreur : Oui, Il y en a 29, (lui tendant le bouquet) une belle déclaration !
S : Oui… Enfin je ne sais pas…
Livreur : Bonne journée madame !
S : Bonne journée.
Elle referma sa porte et prit la petite carte, l’ouvrit et découvrit « Pour ma valentine, une femme exceptionnelle qui ne devrait jamais en douter. Votre Valentin. » Un sourire béat naquis sur ses lèvres, elle ne pouvait faire autrement, flattée et heureuse que quelqu’un pense à elle, cela ne pouvait pas venir de Pete, il devait encore être sous l’emprise de l’alcool. Mais qui ? Qui pouvait la considérer comme quelqu’un d’exceptionnel ! Elle passa donc sa journée à espérer que son Valentin se montre, sinon elle mènerait l’enquête pour le retrouver.
Il était environ 20h00 lorsque l’on vient sonner à sa porte, elle alla ouvrir, un peu angoissée mais contente. Devant elle un livreur de cuisine chinoise, elle accepta, tout était réglé, c’était un repas pour deux, l’homme lui avait confirmé. Alors, l’attente reprit son cours, mais pour très peu de temps, en effet, à peine ressortie de la cuisine, la sonnerie retentie une autre fois. La première chose qu’elle vit c’est une grosse peluche, Garlfied, son personnage de Bande dessinée préféré. Un sourire éclatant était sur son visage.
S : Aurais-je l’honneur de connaître mon valentin ?
J : (toujours caché derrière la peluche) Bien sûr !
S : (surprise et rougissant) mon général !
J : (Baissant la peluche) Ce soir c’est Jack, Sam.
S : Entrez !
J : (Lui tendant la peluche) Bonne saint Valentin !
S : (L’embrassant sur la joue) Bonne saint Valentin.
J : J’espère que cela vous a plus ?
S : Il ne fallait pas, je me serais remis de l’histoire Peter vous savez !
J : (Malicieux) Oh mais je n’en doute pas, ce n’est pas pour cela que je l’ai fais !
S : (Perdue) Je ne vous comprends plus, vous me dites que rien ne changera et maintenant vous êtes là devant moi !
J : Il n’y a que les imbéciles qui ne change pas d’avis non ? Le traiteur est passé ?
S : Oui ! Ne restez pas dehors entrez !
J : Merci, vraiment très gentil de votre part !
S : (Riant) Vous êtes sur que vous allez bien ?
J : J’ai pris de bonne résolution donc je vais très bien !
S : Oh !! (allant à la cuisine) Vous voulez boire quelque chose ?
J : Oui, je veux bien, ce que vous voulez ! (il l’incitait à improviser-elle aussi)
A suivre
Ptitelili- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 120
Age : 45
Localisation : Garges (95)
Date d'inscription : 06/07/2006
Bonne saint Valentin 2ème partie
Sam revint après 5 minutes, deux verres de champagne dans les mains, elle avait bien fait d’en garder une bouteille, elle savait qu’elle en aurait besoin, certes pas avec Jack O’Neill, mais elle préférait ce cas de figure à un autre. Elle n’avait pas éteint la musique, la chanson qui passait, elle l’adorait, et d’après les murmures de son supérieur il appréciait aussi. Elle se mit en face de lui et lui tendit la coupe, un sourire aux lèvres, d’avoir surpris son supérieur en train de siffloter une chanson.
Jack paraissait plutôt gêné d’avoir été surpris, certes il appréciait cette chanson, mais de là à la chanter à voix haute, il devenait fou… Mais le sourire de la jeune femme lui permettait de devenir un peu moins sévère et plus ouvert qu’à l’accoutumer. Il avait fait le bon choix en se présentant chez elle pour cette soirée, un peu spéciale, un peu contre ce qu’il c’était toujours promis de faire, penser à lui, à son autre bonheur disparu en même temps que son fils. Il s’offrait une seconde chance.
S : Vous allez bien ?
J : Très bien ! J’espère que cela vous plait ?
S : (Souriant) Je crois que Daniel a beaucoup parlé, mais je ne regrette pas !
J : J’avoue, j’avais besoin de conseils.
S : Ca va être prêt ! Vous avez faim ?
J : Oui je commence, pour finir tôt je ne suis pas sortit de mon bureau de la journée.
S : Vous n’auriez pas dû !
J : Le jeu en valait la chandelle Sam !
Troublée par ce regard si tendre et si parlant, elle se détourna et partie dans la cuisine suivit de son supérieur. La table mise, ils étaient assis l’un en face de l’autre, un dîner parfait, il n’y avait peut-être pas les bougies, les beaux habits, mais ils n’en avaient pas besoin, ils étaient ensemble. Ils parlaient de tout et de rien, pas de sujet précis, il fallait juste qu’ils s’habituent à ne pas parler travail et surtout ne pas s’appeler par leur grade ou par leur nom.
Les divers silences n’étaient pas lourd, mais au contraire serein, tout ce qui ne pouvait pas être avant existait dorénavant. Les deux militaires étaient installés dans le canapé, proche, ils ne se touchaient pas mais Jack lui prit la main doucement et entrecroisa ses doigts à ceux de la jeune femme dans une infinie douceur. Sam ne fut pas surprise, toute la soirée l’avait préparé à ce qui se passait maintenant, alors elle accrocha son regard à celui de cette homme si peu ouvert à cette tendresse. Tout naturellement leurs lèvres se retrouvèrent sellées, après un baiser doux et sensuel, ils se séparèrent sans se quitter des yeux, ils n’avaient pas besoin d’explication, tous deux savaient que cela devait arriver à l’issue de cette soirée. Sam pensait avoir déjà trop attendu. Jack rompit le silence.
J : Je passe une bonne soirée, merci !
S : Moi aussi et je dois vous en remercier également !
J : Il est tard, je vais vous laisser vous reposer !
S : Oui d’accord, vous travaillez demain ?
J : J’ai une journée pleine de réunion !
S : Oh !!! Alors je peux préparer un soufflet au fromage pour demain soir ?
J : Avec plaisir ! Je rapporte quelque chose ?
S : Oui, vous !
Avant de sortir, Jack embrassa une dernière fois la jeune femme et sans se détourner de ses yeux rejoignit sa voiture. Il était heureux, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas passer une aussi bonne soirée.
Durant plusieurs Jours, Sam et lui se voyait pour le dîner, il rentrait à la base ensuite. La plus part du temps c’est la jeune femme qui cuisinait, elle était en vacances avait-elle dit. Daniel lui avait respecté la confidentialité des propos de Jack et ne l’avait même pas rappeler, ce que son ami appréciait beaucoup. C’était le dernier jour des congés de SG1, Teal’c venait de rentrer sur terre et proposa à Jack de faire quelque chose le soir, le général ayant déjà rendez-vous avec son second refusa l’offre du Jaffa, mais il lui demanda de veiller sur la base durant son absence.
Il arriva sur les coups de 21h chez son colonel, comme tous les soirs, la jeune femme l’attendait, à peine arrivé sur le pas de la porte celle-ci s’ouvrit et une Sam au sourire enjôleur lui fit face, il l’embrassa furtivement tout en laissant son manteau glisser, son hôte lui prit et le rangea en lui indiquant le salon. Il lui raconta dans les grandes lignes sa journée de travail et elle lui raconta la sienne. Ils dînèrent ensuite rapidement et s’installèrent dans le canapé, dans les bras l’un de l’autre, regardant un film. Pendant la pub, Jack embrassa Sam, mais ils ne purent se détacher. Une chose en entraînant une autre, ils se retrouvèrent dans la chambre de la jeune femme, se livrant et se découvrant comme ils le souhaitaient, avec passion et sensualité. A bout de souffle et plus serein que jamais, Jack prit Sam dans ses bras.
J : (Souriant) Désolé pour la fin du film !
S : (riant) Pas grave je l’avais déjà vu…
J : Voilà tout le côté romantique de Jack O’Neill, je suis désolé…
S : (relevant la tête pour le regarder) Je m’attendais à ce genre de discours…
J : Quoi que je te parles du film ?
S : Non, que tu tournes à la dérision le passage à l’acte !
J : Oh ! Oui… Enfin tu sais nous ne sommes pas dans la légalité, et je…
S : Je sais mais si c’était à refaire, je le ferais exactement pareil !
J : (Charmeur) Oh et bien moi j’aurais deux ou trois petites choses à changer…
Puis il s’approcha de son oreille et lui murmura le reste de sa phrase, il avait décidé de passer la nuit à profiter de ce nouveau rapprochement.
Le lendemain, alors qu’ils dormaient encore, la sonnerie de la porte les fit sursauter, étonnée Sam s’habilla à la hâte et descendit, laissant Jack émerger, qu’elle ne fut pas sa surprise de voir son père en face d’elle.
S : Papa ! (Elle alla dans ses bras) Qu’est ce que tu fais ici ?
Jac : Salut ! Bah, je suis en désaccord avec la Tockr’a, alors j’ai pris des vacances !
S : (Le faisant entrer) Ils étaient d’accord pour que tu reviennes sur terre ?
Jac : Non et je ne suis pas sûr d’être le bienvenu en rentrant. Mais, changeons de sujet ! Je te réveille ?
S : Euh oui, je suis en vacances jusqu’à lundi !
Jac : Oui Teal’c me l’a dit… Par contre je n’est pas vu Jack, il est dans le Minnesota ?
S : Euh non il est à Colorado Springs !
Jac : Oh ! Et comment le sais tu ?
S : (Gênée) Euh… c’est-à-dire que… Il est derrière toi !
Jac : (Se retournant) D’accord, qu’est ce que vous faites ici ?
J : Bonjour Jacob ! (Souriant) Vous me réveillez !
S : Jack !
Jac : Jack ????? Sam vous deux ????
S : Oui !
Jac : (Souriant) Je suis content que vous vous soyez enfin trouvé… Alors comment vous avez fait pour le règlement ?
Sam regarda Jack, d’un coup la réalité de leur situation revient comme un boumerang, comment pouvait elle annoncer à son père qu’aucune solution n’avait été trouvé.
J : (Gêné) Nous sommes dans l’illégalité la plus totale Jacob !
« Ah oui comme ça c’est pas mal aussi » pensa Sam.
Jac : Oh ! Mais bon je pense qu’il y a pas mal de solutions, si cela est récent, c’est normal que vous n’y pensiez pas encore, mais sachez que je veux des petits enfants, Selma’c aussi d’ailleurs.
S : Pour les petits enfants on va encore attendre papa !
J : Oui, mais bon pas trop longtemps non plus.
S : (Haussant la voix) Jack ! (Réalisant) Tu veux des enfants ?
J : (malicieux) Ah ! Je te l’ai pas dis ?
S : (riant) Non !
Jac : Alors je vais les avoir mes petits enfants ?
S/J : Oui !
S : Enfin, dans quelques temps, pas maintenant, histoire que nous nous connaissions un peu plus !
Jac : 8 ans ne vous suffit pas !
S : (rougissant) Je parle d’intimité papa !
Jac : (Réalisant) Oh !!!! Je ne veux plus rien savoir !
S : Et pour ce qui est de la solution à notre problème, je vais donner ma démission !
J : Non mais ça va pas !
Jac : Je vais dans la cuisine préparer le café… (Sa phrase mourut alors que les deux militaires se regardaient)
Sam et Jack se regardaient, ce n’est pas la colère qui transparaissait dans leurs yeux, mais le lourd choix qu’ils devaient faire était en face, ils connaissaient le prix à payer pour leur relation, une démission ou un éloignement, et le deuxième choix n’était pas concevable. C’est Sam qui rompit le silence.
S : Si je veux des enfants, il est hors de question que je reparte en mission, toi tu ne pars plus, si je démissionne, je pourrais te voir plus souvent et si tu le veux bien je travaillerai dans mon labo uniquement !
J : Mais tu adores ton travail !
S : Oui, mais je t’adore bien plus !
J : (S’approchant) Je ne sais pas si je dois accorder ta démission ?
S : Si mon père n’était pas dans la pièce d’à côté je te trouverais des arguments imparable !
J : (Faussement déçu) Oh ! Je peux lui dire de partir !
S : (riant et se blottissant dans les bras de Jack) Jack !
J : D’accord, mais ce n’est que partie remise !
S : (L’embrassant) Promis ! Alors ma démission !
J : Accordée ! Mais c’est bien parce que c’est toi !
C’est une fois la décision prise et sellée que Jack et Sam retrouvèrent Jacob dans la cuisine, une nouvelle vie commençait, pour eux trois, car il était hors de question à Jacob de retourner sur une autre planète, il voulait rester près de sa famille !
Fin !
Jack paraissait plutôt gêné d’avoir été surpris, certes il appréciait cette chanson, mais de là à la chanter à voix haute, il devenait fou… Mais le sourire de la jeune femme lui permettait de devenir un peu moins sévère et plus ouvert qu’à l’accoutumer. Il avait fait le bon choix en se présentant chez elle pour cette soirée, un peu spéciale, un peu contre ce qu’il c’était toujours promis de faire, penser à lui, à son autre bonheur disparu en même temps que son fils. Il s’offrait une seconde chance.
S : Vous allez bien ?
J : Très bien ! J’espère que cela vous plait ?
S : (Souriant) Je crois que Daniel a beaucoup parlé, mais je ne regrette pas !
J : J’avoue, j’avais besoin de conseils.
S : Ca va être prêt ! Vous avez faim ?
J : Oui je commence, pour finir tôt je ne suis pas sortit de mon bureau de la journée.
S : Vous n’auriez pas dû !
J : Le jeu en valait la chandelle Sam !
Troublée par ce regard si tendre et si parlant, elle se détourna et partie dans la cuisine suivit de son supérieur. La table mise, ils étaient assis l’un en face de l’autre, un dîner parfait, il n’y avait peut-être pas les bougies, les beaux habits, mais ils n’en avaient pas besoin, ils étaient ensemble. Ils parlaient de tout et de rien, pas de sujet précis, il fallait juste qu’ils s’habituent à ne pas parler travail et surtout ne pas s’appeler par leur grade ou par leur nom.
Les divers silences n’étaient pas lourd, mais au contraire serein, tout ce qui ne pouvait pas être avant existait dorénavant. Les deux militaires étaient installés dans le canapé, proche, ils ne se touchaient pas mais Jack lui prit la main doucement et entrecroisa ses doigts à ceux de la jeune femme dans une infinie douceur. Sam ne fut pas surprise, toute la soirée l’avait préparé à ce qui se passait maintenant, alors elle accrocha son regard à celui de cette homme si peu ouvert à cette tendresse. Tout naturellement leurs lèvres se retrouvèrent sellées, après un baiser doux et sensuel, ils se séparèrent sans se quitter des yeux, ils n’avaient pas besoin d’explication, tous deux savaient que cela devait arriver à l’issue de cette soirée. Sam pensait avoir déjà trop attendu. Jack rompit le silence.
J : Je passe une bonne soirée, merci !
S : Moi aussi et je dois vous en remercier également !
J : Il est tard, je vais vous laisser vous reposer !
S : Oui d’accord, vous travaillez demain ?
J : J’ai une journée pleine de réunion !
S : Oh !!! Alors je peux préparer un soufflet au fromage pour demain soir ?
J : Avec plaisir ! Je rapporte quelque chose ?
S : Oui, vous !
Avant de sortir, Jack embrassa une dernière fois la jeune femme et sans se détourner de ses yeux rejoignit sa voiture. Il était heureux, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas passer une aussi bonne soirée.
Durant plusieurs Jours, Sam et lui se voyait pour le dîner, il rentrait à la base ensuite. La plus part du temps c’est la jeune femme qui cuisinait, elle était en vacances avait-elle dit. Daniel lui avait respecté la confidentialité des propos de Jack et ne l’avait même pas rappeler, ce que son ami appréciait beaucoup. C’était le dernier jour des congés de SG1, Teal’c venait de rentrer sur terre et proposa à Jack de faire quelque chose le soir, le général ayant déjà rendez-vous avec son second refusa l’offre du Jaffa, mais il lui demanda de veiller sur la base durant son absence.
Il arriva sur les coups de 21h chez son colonel, comme tous les soirs, la jeune femme l’attendait, à peine arrivé sur le pas de la porte celle-ci s’ouvrit et une Sam au sourire enjôleur lui fit face, il l’embrassa furtivement tout en laissant son manteau glisser, son hôte lui prit et le rangea en lui indiquant le salon. Il lui raconta dans les grandes lignes sa journée de travail et elle lui raconta la sienne. Ils dînèrent ensuite rapidement et s’installèrent dans le canapé, dans les bras l’un de l’autre, regardant un film. Pendant la pub, Jack embrassa Sam, mais ils ne purent se détacher. Une chose en entraînant une autre, ils se retrouvèrent dans la chambre de la jeune femme, se livrant et se découvrant comme ils le souhaitaient, avec passion et sensualité. A bout de souffle et plus serein que jamais, Jack prit Sam dans ses bras.
J : (Souriant) Désolé pour la fin du film !
S : (riant) Pas grave je l’avais déjà vu…
J : Voilà tout le côté romantique de Jack O’Neill, je suis désolé…
S : (relevant la tête pour le regarder) Je m’attendais à ce genre de discours…
J : Quoi que je te parles du film ?
S : Non, que tu tournes à la dérision le passage à l’acte !
J : Oh ! Oui… Enfin tu sais nous ne sommes pas dans la légalité, et je…
S : Je sais mais si c’était à refaire, je le ferais exactement pareil !
J : (Charmeur) Oh et bien moi j’aurais deux ou trois petites choses à changer…
Puis il s’approcha de son oreille et lui murmura le reste de sa phrase, il avait décidé de passer la nuit à profiter de ce nouveau rapprochement.
Le lendemain, alors qu’ils dormaient encore, la sonnerie de la porte les fit sursauter, étonnée Sam s’habilla à la hâte et descendit, laissant Jack émerger, qu’elle ne fut pas sa surprise de voir son père en face d’elle.
S : Papa ! (Elle alla dans ses bras) Qu’est ce que tu fais ici ?
Jac : Salut ! Bah, je suis en désaccord avec la Tockr’a, alors j’ai pris des vacances !
S : (Le faisant entrer) Ils étaient d’accord pour que tu reviennes sur terre ?
Jac : Non et je ne suis pas sûr d’être le bienvenu en rentrant. Mais, changeons de sujet ! Je te réveille ?
S : Euh oui, je suis en vacances jusqu’à lundi !
Jac : Oui Teal’c me l’a dit… Par contre je n’est pas vu Jack, il est dans le Minnesota ?
S : Euh non il est à Colorado Springs !
Jac : Oh ! Et comment le sais tu ?
S : (Gênée) Euh… c’est-à-dire que… Il est derrière toi !
Jac : (Se retournant) D’accord, qu’est ce que vous faites ici ?
J : Bonjour Jacob ! (Souriant) Vous me réveillez !
S : Jack !
Jac : Jack ????? Sam vous deux ????
S : Oui !
Jac : (Souriant) Je suis content que vous vous soyez enfin trouvé… Alors comment vous avez fait pour le règlement ?
Sam regarda Jack, d’un coup la réalité de leur situation revient comme un boumerang, comment pouvait elle annoncer à son père qu’aucune solution n’avait été trouvé.
J : (Gêné) Nous sommes dans l’illégalité la plus totale Jacob !
« Ah oui comme ça c’est pas mal aussi » pensa Sam.
Jac : Oh ! Mais bon je pense qu’il y a pas mal de solutions, si cela est récent, c’est normal que vous n’y pensiez pas encore, mais sachez que je veux des petits enfants, Selma’c aussi d’ailleurs.
S : Pour les petits enfants on va encore attendre papa !
J : Oui, mais bon pas trop longtemps non plus.
S : (Haussant la voix) Jack ! (Réalisant) Tu veux des enfants ?
J : (malicieux) Ah ! Je te l’ai pas dis ?
S : (riant) Non !
Jac : Alors je vais les avoir mes petits enfants ?
S/J : Oui !
S : Enfin, dans quelques temps, pas maintenant, histoire que nous nous connaissions un peu plus !
Jac : 8 ans ne vous suffit pas !
S : (rougissant) Je parle d’intimité papa !
Jac : (Réalisant) Oh !!!! Je ne veux plus rien savoir !
S : Et pour ce qui est de la solution à notre problème, je vais donner ma démission !
J : Non mais ça va pas !
Jac : Je vais dans la cuisine préparer le café… (Sa phrase mourut alors que les deux militaires se regardaient)
Sam et Jack se regardaient, ce n’est pas la colère qui transparaissait dans leurs yeux, mais le lourd choix qu’ils devaient faire était en face, ils connaissaient le prix à payer pour leur relation, une démission ou un éloignement, et le deuxième choix n’était pas concevable. C’est Sam qui rompit le silence.
S : Si je veux des enfants, il est hors de question que je reparte en mission, toi tu ne pars plus, si je démissionne, je pourrais te voir plus souvent et si tu le veux bien je travaillerai dans mon labo uniquement !
J : Mais tu adores ton travail !
S : Oui, mais je t’adore bien plus !
J : (S’approchant) Je ne sais pas si je dois accorder ta démission ?
S : Si mon père n’était pas dans la pièce d’à côté je te trouverais des arguments imparable !
J : (Faussement déçu) Oh ! Je peux lui dire de partir !
S : (riant et se blottissant dans les bras de Jack) Jack !
J : D’accord, mais ce n’est que partie remise !
S : (L’embrassant) Promis ! Alors ma démission !
J : Accordée ! Mais c’est bien parce que c’est toi !
C’est une fois la décision prise et sellée que Jack et Sam retrouvèrent Jacob dans la cuisine, une nouvelle vie commençait, pour eux trois, car il était hors de question à Jacob de retourner sur une autre planète, il voulait rester près de sa famille !
Fin !
Ptitelili- Lecteur de Voici
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Date d'inscription : 06/07/2006
Re: Bonne saint valentin
Superbe fanfic
sammy o'neill- Lecteur de Voici
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Re: Bonne saint valentin
Roh que c'est romantique, mon côté shippeuse reviens au galop
N'Ka'K- Lecteur du Journal
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Re: Bonne saint valentin
doooo c'est mimi
Nosnica- Lecteur de Harlequin
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Re: Bonne saint valentin
Superbe fic, très bien écrite.
mkikine- Lecteur de Prospectus
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Date d'inscription : 02/12/2006
Re: Bonne saint valentin
Ahlala je veux bien en lire plus souvent des fics comme ça! Excellente!
Kate O'Connor- Lecteur du Télé 7 jours
- Nombre de messages : 47
Date d'inscription : 06/06/2006
Re: Bonne saint valentin
Pas mal du tout!
- Spoiler:
- Ok question stupide mais je dois la poser: pourquoi les fleurs doivent absolument être en nomre impair? On vend les roses à la douzaine il me semble....
Ariel- Lecteur du Journal
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Age : 39
Localisation : Québec
Date d'inscription : 24/08/2006
Re: Bonne saint valentin
je l'avais deja lu mais j'adore toujours autant
petitesouris- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 112
Date d'inscription : 10/01/2006
Re: Bonne saint valentin
hyper mimi et comme je suis à fond dans le ship...
- Spoiler:
- par contre, la confrontation Jacob/Jack m'a paru un peu bizarre
yunae- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 119
Age : 34
Loisirs : ship toujours
Date d'inscription : 04/10/2006
Re: Bonne saint valentin
Ariel a écrit:Pas mal du tout!
- Spoiler:
Ok question stupide mais je dois la poser: pourquoi les fleurs doivent absolument être en nomre impair? On vend les roses à la douzaine il me semble....
Réponce spoiler a la quesion spoiler !
- Spoiler:
- "Cette règle de l'impaire, qui fut instorée depuis longtemps par les fleuristes, ne tient qu'au fait que les chiffres paires sont pour l'oeil humain disgracieux. En effet, il est impossible de composer un bouquet de fleurs avec un chiffre paire, l'oeil humain reconnaîtera systématiquement une forme géométrique apprise à l'école. Cependant il est reconnu dans la profession qu'au delà de 10 fleurs, l'oeil humain n'est plus en mesure de faire la relation avec cette règle. C'est pour cela qu'au delà de 10 fleurs tout vous est permis pour composer votre bouquet, si celui-ci n'est composé que de la même fleur, si vous voulez faire des mélanges, vous devrez toujours respecter cette notion du chiffre impaire jusqu'à 10. Enfin il faudra pour faire un beau bouquet ne pas commettre de faute de goût, mais cela est une autre question. "
source
Re: Bonne saint valentin
Merci pour cette réponse, c'est ce que j'allais dire lol
Ptitelili- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 120
Age : 45
Localisation : Garges (95)
Date d'inscription : 06/07/2006
Re: Bonne saint valentin
Merci GJC je vais me coucher moins stupide ce soir!
Ariel
Ariel
Ariel- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 193
Age : 39
Localisation : Québec
Date d'inscription : 24/08/2006
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