Aveu - Suite de A deux doigts de la cata

Titre : Aveu (Suite de A deux doigts de la cata)

Auteur : Megane Carter

E-mail : meg.carter@voila.fr

Genre : Romance







Adossée contre le mur, les bras croisés dans le dos, Sam fixait ses pieds depuis plusieurs minutes déjà. D’une poussée des mains, elle s’écarta du mur, fit quelques pas dans le couloir, puis reprit sa position précédente un peu plus loin. Cela faisait une demi-heure, qu’elle se trouvait là. D’habitude, elle parcourait ce couloir presque en courant, avec un sourire sur le visage, toujours impatiente de frapper à la porte du fond. Mais aujourd’hui, le sourire n’y était pas, et l’impatience avait été remplacée par l’angoisse.

La jeune femme se détacha une nouvelle fois du mur et leva enfin les yeux vers la porte du fond. Elle avait peur. Plus peur que jamais. Elle s’était bien sûr retrouvée dans des situations que beaucoup auraient trouvées plus terrifiantes, des situations où elle aurait pu perdre la vie. Mais là, en un sens elle avait encore beaucoup plus à perdre. Elle pouvait le perdre lui.

Doucement elle s’approcha de la porte du fond. Sa porte. Le plus souvent possible, elle prenait un avion pour Washington, et n’attendait que le moment où elle se retrouverait à cet endroit précis, le moment où il ouvrirait la porte, le moment où elle verrait son sourire, ce sourire qui n’était que pour elle. Mais là tout était différent.

Debout devant la porte, elle leva la main, puis ferma les yeux et laissa son bras retomber le long de son corps. Elle inspira profondément pour se donner du courage, et rouvrit les yeux en soufflant. Elle avait pris une décision et maintenant elle devait s’y tenir. Elle soupira et frappa finalement à la porte. Plus possible de s’enfuir. Mais de toutes manières, ce n’était pas son genre.

La porte s’ouvrit sur un Jack étonné. En jeans avec un t-shirt blanc froissé et une bière à la main, il regarda la jeune femme avec de grands yeux. Son regard descendit le long du corps de Sam, son sourire était une évidence, il appréciait la tenue de sa compagne. Ses yeux remontèrent vers le visage de la jeune femme. Trop heureux de la voir, il ne remarqua pas l’air inquiet qu’elle affichait et la serra contre lui. Au bout d’un instant, il s’écarta et l’embrassa furtivement.

« Ça me fait plaisir de te voir », lui murmura-t-il à l’oreille.

Elle mit tout le cœur possible dans un sourire mais l’inquiétude était toujours là. Il n’avait rien remarqué. Il attrapa la jeune femme par la taille et l’emmena jusqu’au salon. Il posa ensuite sa canette sur la table basse avant d’entraîner Sam sur le canapé avec lui. Elle se lova dans ses bras et Jack se rendit compte qu’elle n’avait pas dit un mot.

« Sam ? Ça va ? » lui demanda t il brusquement inquiet.
« Oui ça va », lui répondit elle avec un sourire qu’elle voulait rassurant.
« Hank m’a parlé de cette nouvelle histoire de réalité alternée. Je n’ai pas pu me libérer, mais j’aurais bien aimé revoir Janet. Ça n’a pas été trop dur ? »
« Un peu. »

Maintenant conscient que quelque chose clochait, Jack resserra son étreinte autour de Sam. Mais il ne pouvait se douter du pourquoi de sa visite, il pensait seulement que ces histoires de réalités alternées l’avaient un peu chamboulées et qu’elle avait ressenti le besoin de le voir. Elle débarquait souvent sans prévenir après une mission difficile, ayant juste besoin de ses bras pour reprendre des forces et pour continuer.

Après quelques minutes contre lui, elle s’éloigna légèrement de son étreinte et plongea son regard dans le sien.

« Il faut qu’on parle », lui murmura t elle en s’écartant complètement.

Le ton qu’elle avait employé ne le rassura pas. Il savait qu’elle n’aimait pas la situation, qu’elle n’aimait pas le fait qu’ils ne puissent se voir que quelques week-ends par mois. Et si elle ne voulait plus continuer ainsi ? Si elle préférait tout arrêter ? Il déglutit lentement, attendant le verdict. Il regarda la jeune femme en face de lui, inspirer profondément. Il la vit parler rapidement, si rapidement qu’il se demanda si elle avait effectivement parlé. Un « j’ai failli embrasser Martouf » lui était bien parvenu aux oreilles, mais il n’arrivait pas à saisir ce que cela signifiait. Il ne s’était pas attendu à ça. Il fronça les sourcils, tout en gardant son regard fixé à celui de la jeune femme.

« un... Martouf d’une… réalité alternée » ajouta t elle finalement.

Commençant à comprendre la situation, Jack se leva du canapé et fit quelques pas. Sam resta assise, attendant une réaction qui tardait à venir. Nerveuse, elle serra ses mains l’une contre l’autre, fixant son compagnon qui lui tournait toujours le dos.

« En fait, je l’aurais probablement embrassé, si nous n’avions pas été interrompu. »

C’était peut être suicidaire, mais elle avait besoin d’être franche avec lui. Ses paroles ne semblèrent avoir aucun effet sur Jack, qui resta parfaitement immobile. Les secondes semblaient durer une éternité. Impatiente Sam se leva, sans pour autant s’approcher de lui.

« Jack ? Je t’en prie, dis quelque chose. »

Son ton suppliant n’eut pas plus d’effet. La jeune femme fit un pas vers lui et il se retourna enfin. Elle resta figée. Elle ne pouvait lire aucune expression sur son visage. Ses traits étaient parfaitement neutres, il était très doué pour ça. Mais la colère se sentit dans sa voix.

« Sors de chez moi ! »

Il la fixait sans bouger, et Sam eut l’impression que tout autour d’elle s’effondrait. Elle voulait qu’ils en parlent. Ils devaient en parler. Il le fallait.

« Jack ? » commença t elle doucement, mais il ne la laissa pas poursuivre et son ton se fit plus ferme.

« Je t’ai dis de sortir ! »

Il pivota et lui tourna le dos, lui montrant ainsi que la conversation était finie. Sam le connaissait assez pour savoir que ça ne servirait à rien d’insister. Il s’était refermé sur lui-même et quoiqu’elle dise, il ne l’écouterait pas. A contre cœur, elle se dirigea vers la porte, tentant de se rassurer en se disant que dans quelques temps il serait calmé et ils pourraient discuter tranquillement. Dans quelques temps, tout ira mieux. Mais il brisa ses derniers espoirs en une seconde.

« Et ce n’est pas la peine de revenir. »

Il aurait pu parler sous l’effet de la colère, ça n’aurait rien voulu dire, et elle aurait gardé espoir. Mais ce n’était pas le cas. Toute colère avait déserté sa voix. Il ne restait que de la tristesse. Ce n’était pas une parole en l’air. Il ne voulait plus la revoir.

Sam ferma la porte derrière elle et resta là, dans ce couloir où elle avait attendu si longtemps. Elle s’adossa contre le mur, juste à côté de la porte du fond sur laquelle ses yeux restaient fixés. Il venait de lui demander de sortir, pas seulement de sortir de chez lui, il voulait qu’elle sorte de sa vie. C’était fini. Une larme roula sur sa joue. Elle posa la paume de sa main contre la porte. Elle espérait qu’elle s’ouvre et qu’il soit là à lui sourire. Mais rien ne se passa. Espérer ne suffisait pas. Le cœur en morceaux elle quitta les lieux.

De l’autre côté de la porte, Jack n’avait pas bougé. Il se laissa finalement tombé sur le canapé et reprit sa bière. La colère qu’il avait d’abord ressenti suite à l’annonce de Sam s’était très vite dissipée, laissant place à un abattement total, comme si la nouvelle ne l’avait pas surpris, comme s’il se doutait que c’était trop beau pour durer. Il n’avait pas voulu entendre ce qu’elle avait à dire. Il ne voulait pas connaître les sentiments de la jeune femme pour ce Tok’ra. Il n’était pas jaloux, mais il n’avait pas envie de la retenir, il n’avait plus envie de se battre. Il jeta la canette vide sans prendre garde de l’endroit où elle allait atterrir et partit en chercher une autre. Avachi sur le canapé, il se trouvait ridicule. Ridicule, parce qu’il y avait cru. Mais il devait s’y résoudre. La solitude lui allait si bien, c’était une évidence.

La deuxième canette alla bientôt rejoindre la première sur le sol et Jack laissa tomber sa tête en arrière. Le visage triste de Sam quand il lui avait demandé de partir restait imprimé dans sa mémoire. Elle lui parlait d’un autre homme, et lui, arrivait à s’en vouloir de l’avoir rendu triste. Il était vraiment un cas désespéré. Peut être devrait il l’appeler pour qu’ils discutent, peut être… il soupira. Non, c’était mieux comme ça. Il n’aurait jamais dû espérer autre chose.

Dans l’avion qui la ramenait dans le Colorado, Sam continuait de repenser à la scène qui s’était déroulée dans l’appartement de Jack. Elle regrettait amèrement de lui avoir dit. Et elle s’en voulait beaucoup, elle s’y était mal prise. Elle avait été égoïste, elle ne lui avait pas raconté ce qui c’était passé parce qu’elle pensait qu’il devait le savoir, elle lui avait dit parce qu’elle se sentait coupable. Et elle avait seulement voulu se débarrasser de ce sentiment de culpabilité. Ce n’est pas pour lui qu’elle l’avait fait, mais pour elle. Alors le résultat, bien que d’être loin de celui qu’elle avait souhaité, était probablement celui qu’elle méritait. Et puis la solitude lui allait si bien.

Arrivée à Colorado Springs, Sam avait directement pris la direction de la base. Elle n’avait aucune envie de rester chez elle seule, à se morfondre. Le travail l’aiderait à tenir et à ne pas penser. Il était tard quand elle arriva, mais peu importait, elle n’avait aucunement l’intention de dormir. Elle préféra donc se rendre dans son labo et ferma la porte pour ne pas être dérangée. Après plusieurs heures elle s’endormit sur son bureau. La journée du dimanche fut similaire, elle ne quitta quasiment pas son labo et s’y endormit encore. C’est Daniel qui réussit à la sortir de là le lundi matin. Elle n’avait pas vraiment envie d’un petit déjeuner avec toute l’équipe, mais elle avait seulement accepté pour faire taire son ami.

Attablée en face de Teal’c, Daniel et Cameron à leurs côtés, Sam jouait avec sa nourriture plus qu’elle ne mangeait. Daniel et Mitchell, en grande conversation, ne prêtait pas vraiment attention à leur collègue, mais Teal’c la fixait, conscient qu’elle n’était pas en forme. Sentant son regard fixé sur elle, Sam releva la tête. Elle lui fit un sourire triste, puis se décida à manger.

Sam s’était remise au travail depuis quelques minutes, quand Teal’c arriva. Elle ne fut pas surprise de sa venue, et elle lui en était même reconnaissante. Janet n’était plus là pour l’écouter, et même si Teal’c n’avait pas tout à fait le profil de « meilleure amie », il lui était toujours d’un grand secours. Il s’avança silencieusement et se posta devant elle.

« Vous n’avez pas dit un mot pendant le petit déjeuner. »
« Je suis désolée, j’avais la tête ailleurs », répondit simplement Sam en baissant la tête.
« Avez-vous parlé à O’Neill ? »

Là, au moins c’était clair. Il n’y allait pas par quatre chemins.

« Je suis allée le voir et je lui ai dis. »

Sam s’arrêta là. Le silence s’installa pendant que les doigts de la jeune femme jouaient avec un stylo. Teal’c se rendit bien compte, que lui demander si ça c’était mal passé, était stupide, il préféra donc attendre qu’elle parle d’elle-même.

« Il n’a même pas voulu qu’on en discute, il m’a demandé de partir. »

Une larme roula sur sa joue. Teal’c contourna le bureau et posa une main apaisante sur l’épaule de Sam. Elle se tourna vers lui le regard humide, avant de se caler entre ses bras.

« Teal’c, il ne veut plus me voir, il ne veut plus me voir. »

Le Jaffa garda son amie contre lui quelques minutes. Quand il la sentit calmée, il l’éloigna un peu. Elle avait les yeux rouges et les joues couvertes de larmes, il n’aimait pas la voir comme ça.

« Je vais parler à O’Neill. »
« Ca ne servira à rien. »
« Faites moi confiance. O’Neill doit venir voir le Général Landry demain, je lui parlerai », la rassura Teal’c.
« Merci pour tout Teal’c. »

Le Jaffa inclina la tête. Alors qu’il s’apprêtait à sortir, Sam l’interpella.

« Teal’c ? »
« Oui Colonel Carter. »
« Vous, comment auriez-vous réagi ? » murmura t elle timidement.
« Probablement comme O’Neill. »

Sam baissa la tête, regrettant sa question.

« Comme O’Neill, je peux être impulsif. Il a juste besoin d’un peu de temps. »

Sur ces paroles rassurantes, il quitta finalement le labo, laissant derrière lui une Sam pensive. Elle n’était pas sûre que Jack change d’avis, mais elle préférait garder espoir.

Le lendemain, elle resta encore dans son labo toute la journée. Elle souhaitait à tout prix discuter avec Jack, mais elle redoutait encore plus de le croiser dans les couloirs. S’il l’ignorait complètement, ce serait vraiment trop dur à supporter. Elle dû malgré tout se résoudre à quitter son refuge en fin d’après-midi, pour venir en aide à quelques scientifiques. De retour dans son labo, elle s’arrêta surprise devant son bureau. Une enveloppe où il était simplement écrit Sam s’y trouvait. Mais elle avait de suite reconnu son écriture. Il était venu.

Elle attrapa d’une main hésitante l’enveloppe qu’elle ouvrit doucement. Elle retira la feuille qui se trouvait à l’intérieur, puis attendit quelques secondes avant de la déplier :

Ça devait être bon signe, ce ne pouvait être que bon signe. Après tout, il avait déjà dit qu’il ne voulait plus la revoir, alors il ne pouvait pas lui demander de venir, pour lui redire la même chose. Ça ne pouvait pas être pire, donc ça ne pouvait qu’être mieux. Sam secoua la tête. Il fallait vraiment qu’elle arrête de penser. Si elle ne cessait de s’imaginer toutes sortes de scénarios, elle n’arriverait jamais à attendre jusqu’à 20h. Mais elle avait beau essayer d’arrêter, sa tête ne voulait pas.

Elle se l’imagina d’abord arriver très en colère, il lui crierait dessus, lui dirait ses quatre vérités avant de repartir en claquant la porte. Ou peut être qu’il arriverait avec un bouquet de fleur, en disant que tout était oublié, et qu’il s’agenouillerait devant elle pour la demander en mariage. Ou bien alors, il la remercierait, en lui racontant qu’après sa venue, il était sorti qu’il avait rencontré une femme et qu’il allait se marier. Rhaaa ! Elle secoua la tête en fermant les yeux. Trouver quelque chose pour se changer les idées devenait une priorité. Mais le travail, cette fois-ci, ne suffisait pas.

Elle préféra donc rentrer chez elle et se fit couler un bon bain chaud. Malgré ça, elle était toujours aussi tendue, et elle attendit jusqu’à 20h en tournant en rond. Pile à l’heure, la sonnette retentit et c’est presque en courant que Sam alla ouvrir. Elle trouva Jack en uniforme sur le pas de la porte. Il devait probablement venir directement de la base. Sans un mot, elle s’écarta pour le laisser entrer et il la suivit jusqu’au salon.

« Merci d’être venu. »

Elle avait les yeux baissés et n’osait pas le regarder.

« Tu veux boire quelque chose ? »
« Non c’est bon. »

Il ne voulait pas. Est-ce que ça voulait dire qu’il ne voulait pas s’éterniser ? Qu’il allait repartir dans 5 minutes. Stop ! Arrêter de penser et laisser les choses se faire. Ce n’était pas dans les habitudes de Samantha Carter, mais là c’était ça ou devenir folle en s’imaginant tout et n’importe quoi.

Elle sentit la main de Jack attraper la sienne et ses yeux se posèrent sur leurs doigts enlacés.

« Sam, détends-toi », lui murmura-t-il doucement.

Il s’était aperçu immédiatement de sa grande nervosité. Il n’aimait pas la voir ainsi. Elle releva vers lui un visage inondé, émue de la douceur avec laquelle il lui avait parlé. C’était si différent du ton dur qu’il avait employé quelques jours auparavant.

« Viens t’asseoir.»

Il l’entraîna vers le canapé et elle se laissa faire docilement.

« Teal’c est venu me parler. Il a menacé de me démembrer vivant si je ne venais pas te parler. »

Il grimaça et un léger sourire apparut sur le visage de Sam.

« Teal’c dit que … que tu n’as jamais aimé Martouf. »
« C’est vrai », répondit Sam rapidement, puis continua « ça ne voulait rien dire Jack, je t’assure que… »

Jack posa un doigt sur ses lèvres pour l’empêcher de continuer.

« Sam. Ça ne voulait rien dire et on oublie tout ça »

Elle lui sourit à travers ses larmes et il l’attira contre lui.

« Merci Jack. »
« Pourquoi ? »
« Pour être là. »
« Toujours. »



FIN

Je suis contente que tu aies fait une suite. Bravo!

Ari

j' ai beaucoup aimé mais j' ai trouve la fin bacle

Super sympa ta fic, je trouve que tu es trés réaliste dans les réactions des persos, bravo ^^

c'est très beau, très intense mais je trouve également que la fin est trop rapide ...

Tout le début très beau, mais j'aurais pas pris le même angle, je serais restée du POV de Jack je pense que cela aurait eu plus de force...

j'ai beaucoup aimer, malgré la fin trop rapide a mon gout aussi !

J'ai beaucoup aimer, et tu as tres bien respecter les personnages

Bravo

Merci d'avoir fait la suite, tu as bien fais réagire Jack. La fin peut-être un peu rapide mais j'ai beaucoup aimé

J'ai bien aimé ta fic^^

Spoiler:

Relativement crédible, et malgré ça une bonne fic. Mais moi j'aurais préféré qu'elle en bave quoi

rauz a écrit:c'est très beau, très intense mais je trouve également que la fin est trop rapide ...

+ 1

J'ai voulu d'abord la faire du point de vue de Jack, mais je n'y suis pas vraiment parvenu. J'arrive beaucoup mieux à écrire avec Sam qu'avec Jack.

@Sganzy :

Spoiler:

Sans compter que je l'aurais trucidée si elle avait fait une fin triste!

Ari

ça, je m'en doute Ariel

à va répété donc tu prends le tout +1

Très bonne idée d'avoir fait la suite... Mais je suis déçu pour la fin trop rapide, comparé avec le reste de la fic qui est très bien écrit !

Chew

Moi je l'aime bien comme ça ta fic, je trouve pas la fin trop rapide ! Elle est juste comme il faut à l'image des persos ! Pis ils ont perdu assez de temps comme ça sans en perdre d'avantage !

sa serai cool de faire d'autre fanfictions comme celle ci jack a wasghinton et sam au sgc

ouaip comme tu dis!!

Ah je suis vraiment contente que tu ais fait une suite !

Pour moi ta description des sentiments des personnages sonne très juste,

Spoiler:

(bon par contre après avoir vu l'épisode j'en suis restée au stade de la colère, je dois être plus regardante lol).

Le tout dans une écriture fluide et qui me touche toujours autant, un vrai plaisir !

Spoiler:

Super fic bravo !

par Miss O'Neill le Sam 9 Sep - 11:50

Moi je l'aime bien comme ça ta fic, je trouve pas la fin trop rapide ! Elle est juste comme il faut à l'image des persos ! Pis ils ont perdu assez de temps comme ça sans en perdre d'avantage !

+1