Espoir

Titre: Espoir.
Résumé: Parfois, l’ignorance peut être fatale…
Saisons: Avant la 8ème je dirai mais ça n’a pas d’importance.
Date: 30 Octobre 2005
Disclamer: Rien n’est à moi.
Genre : plutôt drame avec introspections des personnages.


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La vie, événement toujours imprévisible. Une naissance, un décès, tout cela s’écoule au rythme impétueux de l’existence, touchant souvent une minorité de gens seulement. Nous vivons sans nous préoccuper de ce qui nous entoure, en étant repliés sur notre petit monde familier. Combien de morts et d’accouchements chaque jour sans pour autant en prendre conscience ? Une certaine régulation dans le cycle de la vie qui nous intéresse assez peu au bout du compte alors que nous sommes au centre de ce phénomène. A l’aurore nous vivons, au crépuscule nous mourons. Ces instants sont éphémères et jamais nous ne nous arrêtons pour observer le chemin que nous venons de traverser. Si tout à coup nous nous rendions compte de la terrible erreur dans laquelle nous venions de nous engager sans possibilité de retour, sachant que ce sentier nous mènera sûrement vers la fin du voyage, pire, et si cette voie était parsemée d’embûches, de souffrance et de déchéance. Une lente agonie nous attend avant de parvenir au crépuscule de la vie.

L’odeur âcre qui m’enveloppait commençait doucement à me réveiller. J’admets qu’on fait plus agréable comme réveil. Je ne sais plus depuis combien de temps je suis endormie, je sais seulement que je ne suis pas seule dans la pièce. Le colonel, Daniel et Teal’c ont été capturés en même temps que moi. Il faut quelques minutes à mes yeux pour s’habituer suffisamment à l’obscurité ambiante. J’observe les alentours, la visite visuelle est rapide, quatre murs grisâtres qui commencent à s’effriter, une paillasse dans une matière qui m’est totalement inconnue et mes compagnons. Ils ne dorment plus mais n’ont pas l’air très dynamique non plus. Nos regards se croisent, aucun mot n’est échangé, nous savons tous que nous aurons besoin de toute notre énergie pour faire face à ce qui nous attend.
Plusieurs minutes s’écoulent sans trace d’activités et l’ennui se fait sentir. Dans notre cellule de 5 mètres carrés, nous commencions à nous sentir oppressés mais toujours aucun geste de nos geôliers. Le colonel se leva, soupira et fit quelques pas. Ses traits étaient durs, les mains dans les poches, le regard fixé au sol, il tournait, traînant des pieds et soupirant à chaque avancé. Daniel se frotta énergiquement le visage à l’aide de ses paumes et resta assis, les genoux pliés devant lui. Teal’C, calme, il méditait, je ne sais pas sur quoi mais cela avait l’air très prenant.
Je réfléchissais à une solution pour nous sortir de là, je savais que mon supérieur n’allait pas tarder à me le demander, le temps qu’il fasse le tour des possibilités. Cela ne manqua pas, j’ai eu droit au sempiternel : « Carter, une idée ? ». Il savait pertinemment que je n’en avais pas alors il ne fut pas surpris de ma réponse négative et se rassit. Nous revoilà au point de départ sans savoir combien de temps il fallait attendre avant qu’on sache ce qui allait se passer, d’un côté, je n’étais pas vraiment pressée de savoir. Teal’c n’avait pas pu reconnaître l’emblème de nos agresseurs, nous étions dans l’ignorance totale, sachant seulement que nous avions perdu notre liberté. Le colonel proposa qu’on se repose pour préserver nos forces, n’ayant rien de mieux à faire, nous acceptions.

Depuis combien de temps étais-je assoupi ? Quelle importance puisque j’étais toujours prisonnier. Toujours pas la moindre visite de nos assaillants, stratégie bien étrange, habituellement ils venaient nous effrayer en nous proposant un vaste programme de tortures mais là, rien. L’idée qu’ils nous avaient oubliés me traversa simplement l’esprit avant de considérer cela comme complètement farfelu. Jetant un coup d’œil autour de moi, observant Sam, Jack et Teal’c, je m’apercevais qu’ils étaient aussi perdus que moi. Devions-nous être rassurés par une telle ignorance ou plutôt effrayés ? Si personne ne nous sortait de là avant deux ou trois jours, nous ne ferons pas de vieux os et mourir de déshydratation n’a jamais été mon rêve. Il ne nous restait aucune ration de survie, nos sacs, nos vivres et nos armes nous avaient été subtilisés. Le SGC allait se rendre compte de notre disparition et il nous enverrait des équipes de secours, voilà comment nous allons nous en sortir. C’était notre seul espoir, il était bien maigre ne sachant pas où nous sommes, comment allaient-ils nous retrouver ? Arrêtons de penser de manière si pessimiste, j’aurai bien parlé avec le reste de mon équipe mais en les regardant de plus prêt, ils ne paraissaient pas très enclins à une conversation. Chacun était perdu dans ses pensées, cherchant peut-être une solution ou simplement, s’imaginant ailleurs.
Nos montres étaient toujours à nos poignées, jusque là je n’y avais jamais prêté attention. Je regardais l’heure, 01h24 a.m., cela faisait une dizaine d’heures que nous étions bloqués là. Les estomacs commençaient à réclamer et je ressentais un début de déshydratation. Rester calme, ne pas penser à ce que je pourrai avoir, m’imaginer sur une plage de sable fin avec l’océan à perte de vue. Le soleil qui caresse ma peau sans la brûler. Je ferme les yeux et j’entends presque les vagues qui se meurent sur les rochers. L’humidité et le froid de la pièce me ramènent à la dure réalité. Je m’ennuie, personne n’a l’air de vouloir parler, tout a l’air si mort, ça en deviendrait presque déprimant. Mes yeux balayent à nouveau cette salle, toujours aussi petite, sombre avec une seule ouverture verrouillée au centre du plafond. Impossible d’y accéder. Je fermais les paupières avec comme seul réconfort l’espoir de me réveiller à l’infirmerie de la base.

Daniel sombrait sans arrêt, je ne pouvais pas le blâmer, il n’y avait rien de mieux comme activités dans ce trou. Je regrettai d’avoir amené mon équipe dans une situation si désespérée, malgré tout, il ne fallait pas perdre espoir, c’est bien connu, Sg-1 s’en sort toujours. Nous attendions un geste de nos ravisseurs, quel qu’il soit, juste pour nous montrer que nous n’étions pas seuls. Cela peut paraître contradictoire puisqu’on risque d’être torturés, voire tués mais, au moins cela signifierait qu’on pourrait lutter, or contre qui se battre lorsqu’on est seuls ?
J’avais du mal à rester en place, j’admirais la patience de Teal’c à rester immobile, on le croirait presque mort, lorsqu’on le connaît, on sait qu’il est dans un état profond de méditation, c’est celui qui résiste le mieux à la fatigue, à la faim et le plus important, à la soif. À cet instant, je l’enviais, ma bouche était sèche et j’avais beau avaler ma salive, rien n’y faisait.
Comment avons-nous pu en arriver là ? Je ne me rappelle de rien, seulement d’une obscurité sans fin et ensuite de mon réveil ici. Rien de très réjouissant. Dans 6h30, des équipes Sg se mettront notre recherche, elles nous rejoindront soit pour nous sauver, soit pour mourir avec nous ou bien alors, elles ne nous retrouveront jamais. Je me sentais responsable de cet échec, en tant que chef d’équipe, je devais être capable d’éviter ce genre d’ennuis or j’avais l’impression de porter la poisse à tout ceux qui me côtoyaient, un véritable aimant à problèmes.
Mon ventre gargouilla ouvertement, attirant les regards compatissants de mes compagnons, bien joué pour la discrétion. Nous avions tous une envie insatiable de manger et de boire, enfin pour Teal’c, nous ne pouvions pas vraiment savoir, il reste toujours si stoïque. Daniel paraissait être celui qui souffrait le plus de cette absence de nourriture et aussi de conversation apparemment, lui habituellement si bavard sur tout, là il ne pipait mot. On ne peut pas dire que ce n’était pas agréable mais cela restait surprenant de sa part. Trop faible pour parler ou avait-il simplement compris que quoiqu’ils pourraient dire, cela ne servirait qu’à les fatiguer davantage ? L’ennui se lisait sur les traits de chacun, j’étais sincèrement désolé de les avoir entraînés dans cette galère. Mes yeux se fermèrent.

Contrairement au colonel O’Neill, au Major Carter et à Daniel Jackson, je pouvais rester plusieurs jours sans manger ni boire. J’étais en Kel’no’rim pour éviter d’utiliser trop d’oxygène dans cette pièce non-aérée ainsi que de pouvoir survivre plusieurs temps sans avoir besoin de nutriments. Je m’inquiétais pour mes compagnons qui n’avaient pas la possibilité de lutter aussi bien contre les désagréments de la physiologie du corps humain. O’Neill jetait de rapides coups d’œil assez discrets à ses hommes pour vérifier qu’ils allaient bien avant de laisser la fatigue prendre le dessus. Carter avait peur, elle refusait de le montrer mais lorsqu’on la connaît, on peut percevoir son malaise. Daniel, le plus surmené de tous, essayait tant bien que mal de garder ses yeux ouverts et sa bouche fermée. Puisque le colonel veillait sur l’équipe, je me permis de méditer pour le bien de tous.

Le temps passait, nous avions sous-entendu des tours de garde au cas où il y aurait un quelconque signe de vie de nos agresseurs. Il était 18h36, toujours rien dans le ventre et une soif qui devenait de plus en plus intense sans oublier un air bien trop dépourvu en oxygène. Je tentai de rester concentrée sur quelque chose en particulier pour ne pas perdre connaissance. J’ai peur de mourir et pourtant à chaque seconde qui passe, je me sens approcher de l’issue finale. Tant d’actes manqués, tant de choses que je ne vivrai pas, une existence qui aurait mérité d’être plus approfondie. Je chasse de mon esprit toutes les ondes négatives, la situation est suffisamment insupportable, évitons de ne voir que les aspects négatifs. Facile à dire, plus difficile à réaliser, il n’y a que ça. Avons-nous une réelle chance de nous en sortir ou entretenons-nous seulement un désir irréalisable ? Nous étions là, assis ou couchés, perdus dans nos pensées, nous posant des questions sans réponses, redoutant d’exprimer nos interrogations à voix haute. Quelle importance puisque nous étions bien trop éreintés pour extérioriser notre malaise.
Je commençais à ressentir les effets du manque d’oxygénation de mon cerveau, ma vue devenait plus trouble, ma tête me faisait atrocement souffrir et j’allais de nouveau perdre connaissance.

Sam venait de s’effondrer, ce n’était pas la première fois, ni pour elle, ni pour Jack et moi. Teal’c supportait pour le moment ces conditions insoutenables mais pour combien de temps encore ? Je ne remarquerai rien lorsque cela arrivera, j’aurai succombé bien avant lui, il vaut peut-être mieux. Partir avant ses amis doit être plus facile que de les voir s’éteindre un après l’autre. Plus le temps passe et moins il y a de possibilités à ce qu’une équipe de secours arrive. Nous le savons tous mais nous n’y pensions plus, notre esprit avait du mal à rester concentré sur un sujet bien précis. Comment en étions arrivés là ? Le seul souvenir qu’il me reste de la mission est une planète inhabitée et puis le noir, avant de me réveiller dans cette salle.
J’avais déjà pensé à la manière dont j’allais périr, en sauvant une peuplade opprimée, en évitant la destruction du monde, en luttant contre les Goa’ulds, jamais je n’aurai pu imaginer mourir d’une manière si peu héroïque. Cela peut sembler idiot, le mieux est de faire de vieux os dans une maison de retraite à Miami. Je n’aurai pas cette chance, à moins d’un miracle mais je n’y croyais plus. À partir de l’instant où l’espérance de revoir le soleil se lever devient inexistante, c’est comme si on venait de signer son arrêt de mort. J’ai mal mais je n’arrive pas à déceler l’origine de cette douleur. Je voulais hurler mais n’en avais plus la force. Tout s’embrouille dans mon esprit. Je repense à tous les bons moments de ma courte existence, mes yeux se closent.

Daniel et Carter étaient tous les deux inconscients et si personne ne venait à notre secours, ce serait pour toujours. Une larme perla au coin de mon œil, dernier vestige de mon eau corporelle. Teal’c était sorti de sa méditation, cela était devenu inutile aux vues des circonstances alors il veillait sur nous bien que rien n’allait changer. Ce fut un honneur de combattre à ses côtés, c’était un valeureux guerrier, j’aurai aimé mieux le connaître.
Je gardais toujours le maigre espoir qu’une troupe arrive pour nous sauver mais il faut bien admettre que les probabilités de survivre à cette mission sont quasi-nulles. De toute façon, il était trop tard désormais. Qu’était devenue la vaillante Sg-1 ? La moitié de mon équipe est dans les vapes et l’autre partie n’est pas loin de rejoindre les abysses fantasmagoriques de l’au-delà. Je me sentais de plus en plus mal, ne pouvant rien faire pour modifier le cours des choses. J’observai mes compagnons, Teal’c, Daniel et Sam, son corps était mi-allongé contre le mur, ses membres ne bougeaient pas, seul son diaphragme gonflait son abdomen à intervalles irréguliers indiquant qu’elle vivait toujours. Elle paraissait si paisible, je m’en voulais terriblement de l’avoir entraînée là-dedans. Nous savions qu’à chaque fois que nous passions la porte, nous prenions des risques mais qui aurait pu croire qu’on allait mourir étouffés. Je restais à la contempler, gravant son image dans mon esprit pour toujours. Ce fut la dernière chose que j’emportai avec moi avant de rejoindre les mystères du sommeil profond.

O’Neill fut le dernier à résister, en vain, personne n’est venu nous aider et aucune visite de nos agresseurs. À quoi bon continuer de lutter puisque les espérances de nous sortir de là avaient disparu ? J’étais fier d’avoir combattu à leurs côtés, je ne regrette pas mes décisions. Je porte en moi le désir que la Taur’i continuera la lutte contre les Goa’ulds même si je ne pourrai pas voir leur chute.
Voir mes compagnons succomber à un manque d’oxygénation et d’hydratation n’était pas chose aisée, je préférai attendre mon heure en Kel’no’rim, avec beaucoup de chances je me réanimerai dans un lit sur Terre.


Parfois, certains actes sont décisifs. Nous ne savons pas dans quoi nous embarquons, espérant nous en sortir grâce à notre chance. Malheureusement, il arrive aussi que cette chance n’est pas au rendez-vous, alors nous faisons face à notre perte. Mais le plus difficile est d’observer la mort de nos amis en attendant la nôtre…


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Note de l'auteur :
C'est la fic qui m'a posé le plus de problèmes au niveau de l'écriture, des idées, je savais comment la finir mais le développement fut laborieux à un point que j'ai cru je ne jamais la finir.
J'essaie d'en faire une 4ème plus comique

J'aime bien ta fic, elle fait réfléchir.

Spoiler:

si la 4ème est drôle, j'ai hâte de la lire.

j'ai pas pu lire

j'ai lu tes 2 autres et a chaque fois ca finissai mal alors j'ai pas eu le courage de lire celle la

pourquoi tant de haine ???

enfin j'aime bcp ton style, juste que je peux pas me resoudre a ce que ca finisse mal

too sad pour mes heros préférés, je suis pas contre du drame, dans la mesure ouca fini a peu pres bien, sinon c'est trop dur pour mon petit coeur !

HEY, SHÂNTI.... LA VIE EST BELLE !

alors pourquoi tant de rancoeur !

il y a quelques incohérence dans le texte... mais ton style n'est pas mal du tout...

j'ai vraiment envie de me marrer alors j'attend la prochaine....

Bon alors -_-... Cette fic est superbe, j'adore tes intros et tes conclusions, je trouve que ça élargit la fic et en fait plus qu'un simple divertissement. Ca fait réfléchir. D'accord c'est du drame, mais c'est tellement bien écrit... D'accord on se sent complètement déprimé après, mais c'est le but Je l'ai adorée... Pas plus que Château de cartes, qui reste ma préférée, mais j'ai adoré quand même (ça sent la fille qui a pas grand chose à dire ça non? ) Petit bémol, c'est vrai que certaines expressions sont étranges comme "eau corporelle", ça sent le manque de bêta lectrice ça (pardon de pas avoir été là quand tu t'es mise à écrire ). Mais c'est un peu ton habitude, tu as parfois du mal à trouver les mots... Mais ça s'améliore dans la dernière apparemment, EH OUI, ELLE ECRIT UNE FIC NON DRAMATIQUE!!! Scoop de l'année Ca devrait faire des heureux

@Cubrea :

Spoiler:

mais merci quand même .

@nanoo : ce sont des drames et, en général, les vrais drames ne sont pas très gais et ce n'est pas de la haine, je n'éprouve aucune haine, c'est juste que j'apprécie le genre dramatique, j'arrive mieux à l'exploiter donc je l'écris.
Désolée pour ton petit coeur .

@lolo : il n'y a pas de rancoeur et la vie est belle, yep... parfois. Enfin je ne vais pas te redire les mêmes choses que j'ai dites à nanoo donc je vais just erevenir sur les quelques incohérences.
Je voudrai juste savoir de quoi tu parles ? Je sais que parfois, comme le dit Juju, j'ai des problèmes de vocabulaire mais les incohérences, cela concerne plutôt l'histoire il me semble Donc comme j'ai un petit côté perfectionniste, si je pouvais modifier les quelques erreurs, ce serait bien.
Merci.

@Juju : merci ma Juju et yep les drames sont déprimants .
Oui à l'époque tu ne relisais pas donc comme j'ai des problèmes de vocabulaire parfois, certaines expressions peuvent sembler bizarres.

Spoiler:

Oui, une fic non dramatique...

Ha... tu me rassure si la vie est belle!
je ne suis certainement pas la personne la plus apte à faire des remarques mais bon...je vais essayer de me justifier ( je passe ton préambule car c'est ton avis perso)

je te livre en vrac ce qui m'a chiffonné:

dès la première strophe le temps m'a géné, tu commences à l'imparfait puis tu passes au présent et tu repars sur l'imparfait ( je pense qu'il vaut mieux choisir un temps et s'y tenir...) Relis toute ta fic au présent, elle devient beaucoup plus poignante!

ensuite c'est la fin des pensées de Daniel. Je ne suis pas sûre que tu t'ennuis dans ces moments là... et penser au soleil lorsque tu te déshydrates( je suis sceptique sur ce coup là)

Spoiler:

franchement , je vais me répeter mais j'aime beaucoup ton style et sans ces petits détails ta fic aurait vraiment été top ! ( qu'est ce que je raconte moi! voilà que je vais aimer les drames maintenant ? bon je file.... et je vais chez le psy )

encore un drame.... jusqu'au bout j'ai espéré un revirement de situation

g quand même bien aimé l'ensemble de la fic, (sans s'attacher aux details qui ont deja été cités) et particulièrement les paragraphes de debut et de fin.

mais le drame me laisse toujours perplexe et un petit gout amer... (surtout avec la fin que tu as fait)

vivement ta fic comique
en tout cas bravo tout de même, car moi même je serai incapable d'ecrire un drame (je trouve la serie bien trop frustrante pour en rajouter, lol, mais vive la diversité dans les auteurs )

Je suis désolé mais j'aime pas ! C'ets pas que ej trouve que c'ets mal ecrit au contraire mais c'est beaucoup trop noir pour moi.
D'habitude les drames me posent pas de probleme mais là j'ai vraiment du mal!

Mais je en remets pas en cause ta fic, cela depend des gouts des personnes.

Bisous quand même

Truk