Château de Cartes
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Château de Cartes
Titre: Château de cartes.
Résumé: En fait je ne sais pas car je n’ai pas commencé à l’écrire et je ne sais vraiment pas ce que je vais sortir de ma tête .
Saisons: Avant la 7ème je dirai mais ça n’a pas d’importance.
Disclamer: Rien n’est à moi.
Genre : léger soupçon d'action avec un subtil moment ship tout ça dans un but dramatique...
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
La vie c'est comme un château de cartes, vous commencez à le construire en y mettant tout votre cœur et tous vos espoirs et il suffit d'un coup de vent pour qu'il s'écroule. Croyant encore que vous pourrez le terminer vous recommencez plus déterminés que jamais, vous approchez du but et à nouveau un coup de vent détruit tout. Et ainsi de suite, mais plus il se détruit, moins vous avez d'espoir de le finir alors vous le construisez moins haut sans jamais parvenir à le terminer mais vous vous accrochez encore et toujours…
C’était un jour comme un autre. Le ciel était clair, mais nous, enfermés dans cette base lugubre, ne pouvions profiter de cette douceur printanière. « Une mission de routine », nous avait-on dit, « juste avant vos jours de permissions pour permettre à tous d’être tranquilles pendant votre absence. Nous avions accepté, nous n’avions pas le droit de refuser de toute façon alors autant partir avec le sourire et puis ce n’était qu’une simple mission de routine…
Nous étions sur la passerelle d’embarquement, tous plus ou moins concentrés sur ce que nous allions devoir accomplir, pas grand-chose en y réfléchissant bien. Alors pourquoi envoyer l’équipe phare du SGC vers un objectif si facile. Il fallait simplement faciliter un accord entre un nouveau peuple, rencontré par SG-3, les Aenors, et nous, peuple de la Tau’ri.
Nous n’étions pas l’équipe la plus diplomate, mis à part Daniel qui se débrouillait bien lors de négociations, le colonel, Teal’c et moi-même étions loin d’être des pros dans le domaine. D’autres équipes étaient mieux formées pour ce genre d’activités. Alors pourquoi nous ?
Pourquoi je n’arrête pas de râler aussi ? Cela ne me ressemble pas, surtout pas face à ces situations, nous allons sur une nouvelle planète où le temps est agréable, encore meilleur que le nôtre d’après les relevés, le peuple n’a pas l’air bien méchant et notre mission est ce qu’il y a de plus tranquille, je n’aurai rien à faire pratiquement. Alors de quoi se plaindre ?
Faut que j’arrête de penser et me focaliser sur la mission, même si elle est dite simple, il suffit d’un manque de concentration pour que cela tourne au drame.
Les chevrons s’encodent les uns après les autres, le puissant vortex bleu crache son venin nous invitant à le pénétrer. Nous avancions d’un même pas, la tête haute, confiants, sans peurs ni craintes, c’était seulement une mission de routine.
Après que nos molécules soient arrivées des années lumières plus loin que leur point de départ, nous fûmes accueillis par le fameux peuple, enfin notamment par une dizaine de personnes, le reste de leur communauté devait être resté dans leur village. Ils étaient habillés simplement, de longues tuniques leur arrivaient aux chevilles, leur torse recouvert par un tissu ressemblant à du coton terrien mais leurs bras étaient nus ainsi que leurs pieds. Le troisième homme s’approcha de moi, m’examinant lentement puis il se recula et alla vers le colonel. Il était de taille moyenne, les cheveux crépus, le teint pâle et des yeux bleu transparent, un regard qui transperce.
« - Bienvenue noble peuple de la Tau’ri!
- Noble… noble, c’est vite dit ça… », marmonna O’Neill.
Cela commence bien. Alors qu’il allait recommencer à parler, Daniel se permit d’intervenir.
« - Merci de votre accueil… ?
- Siricus. Je me nomme Siricus et je suis le représentant de mon peuple face aux étrangers.
- Enchanté. Je m’appelle Daniel Jackson et je suis un peu votre équivalent. Voici le Colonel Jack O’Neill, le Major Samantha Carter et Teal’c. »
Le colonel avait légèrement tiqué sur la présentation de Daniel ce qui avait laissé échapper un léger sourire sur mes lèvres, sourire qui ne passa pas inaperçu à ses yeux.
Il aimait me faire sourire avec son air blasé, grincheux et avec son humour vraiment pas marrant. Il rendait les missions difficiles plus supportables et les ennuyeuses, plus attrayantes. Je fus sortie de mes intenses réflexions par la voix grave de notre hôte.
« - Si vous voulez bien me suivre, nous allons pouvoir commencer les négociations. »
Bien, on pouvait dire qu’il ne tournait pas autour du pot pendant des années lui. Comme il nous l'avait demandé si gentiment, nous exécutons ses volontés et après deux minutes de marche à travers le village, nous nous retrouvâmes devant une hutte assez rudimentaire mais lorsque nous y entrâmes, nous pouvions constater qu'elle disposait de tout le confort nécessaire.
Il y avait suffisamment de places pour nous tous, même un peu plus. Siricus était accompagné par une jeune femme d’une vingtaine d’années qui l’avait suivi depuis notre arrivée, sans jamais prononcer un mot. Son regard était perdu, une sorte de tristesse se dégageait d’elle mais je n’arrivais pas à mettre de mots dessus. Je ne sais pour quelle raison mais cela me mettait mal à l’aise, mauvais pressentiment... Intuition féminine peut-être mais je commençais à avoir quelques craintes concernant ce peuple. J’en ferai part plus tard à mes compagnons, j’attends d’avoir de plus amples informations à ce sujet avant de m’effrayer pour rien.
Le temps passa, Daniel continuait à débattre sur les meilleurs intérêts de nos peuplades respectives. Je m’ennuyais, n’écoutant que d’une oreille leurs longs monologues qui ne menaient à rien. Teal’c et le Colonel étaient dans le même cas que moi, nous commencions à avoir chaud sous cette hutte, le soleil devait taper à l’extérieur. D’un mouvement significatif de la tête, mon supérieur m’indiqua la sortie et en tant que second obéissant, et surtout parce que je commençais à suffoquer, j’ai pris le chemin de la sortie sans demander mon reste, tout en m’excusant tout de même auprès de Siricus et de la mystérieuse jeune femme.
Une fois sortie, il ne fallut pas trente secondes pour que le colonel me rejoigne, les mains dans les poches, le regard désinvolte, un petit sourire en coin, vraiment irrésistible.
« - Alors Carter, les conversations de Daniel ne vous intéressent plus?
- A vous non plus on dirait.
- Vous savez toutes ces affaires diplomatiques sur qui donne quoi en échange de quoi, ça ne m’a jamais vraiment passionné. J’ai toujours dit, on tire dans le tas, on prend tout ce que l’on peut et on se casse. »
Je ne pu retenir un petit rire face à l’attitude si enthousiaste de mon supérieur, mimant chacune de ses paroles.
« - Mon Colonel, vous savez tout aussi bien que moi que cette tactique, bien que sûrement très efficace, n’est pas recommandable. Pourtant je ne serai pas contre un peu d’action dans ce genre de situations.
- Je sais Carter et faites attention à ce que vous dites. Dans les films, c’est à cet instant que les gros méchants débarquent et tuent tout le monde et je n’ai pas envie que vous mourriez… enfin que nous mourrions. »
Pincez-moi, je dois rêver. Avais-je bien entendu ce qu’il venait de dire ? Vu son air, tout à coup très gêné, oui j’avais bien entendu. Il a tendu une perche, autant poursuivre sur cette voie.
« - Nous ne sommes pas dans un film mon colonel. Puis je n’ai aucune envie de mourir tout de suite, je pense avoir encore quelques belles années devant moi et des rêves à réaliser.
- Dans un film, le scénario aurait été différent. Je souhaite de tout cœur Carter que vous parveniez à vos buts. Personnellement je n’attends plus rien, ceci ne me dérangerait pas d’y passer. Quand même l'espoir a disparu… .
Il sentit qu’il avait trop parlé. Par pudeur, il préféra s’en aller mais je ne comptai pas l’abandonner ainsi, je voulais qu’il aille au bout de ses pensées.
« - Arrêtez. Ne partez pas. S’il vous plait.
- Depuis quand vous me donnez des ordres ?
- Ce n’est qu’une demande, pour votre bien. Pourquoi vous n'espérez plus ?
- Carter, cette conversation s’est terminée au moment où c’est devenu trop personnel. Je ne veux pas poursuivre là-dessus. »
Il commençait à repartir mais j’étais plus tenace qu’il ne le pensait.
« - Ne fuyez plus. Ne fuyons plus.
- Carter…
- Et si votre bonheur était à votre portée mais que vous refusiez de l’admettre ?
- Je n’en ai pas le droit, trop de gens ont souffert à cause de moi, cela n’en vaut pas la peine.
- Mais… »
La suite de ma phrase mourut avant même d’être sortie de ma bouche. Un dernier jeu de regard rempli de sous-entendus. Daniel et Teal’c venaient d’arriver en courant vers nous. Daniel avait l’air essoufflé mais il prit tout de même la parole.
« - Il faut fuir, et vite. C’est un piège »
Le colonel avait l’air aussi étonné que moi.
« - Daniel ? C’est quoi cette histoire ?
- Nous nous sommes fait avoir. Les Aenors ont passé un pacte avec les Goa’ulds pour nous livrer… morts ou vifs. C’est pour cela que c’est notre équipe qui a été envoyée car c’est celle qui a le plus de valeur.
- Mais comment diable savez-vous ça ?
- Quand les négociations ne progressaient plus, Siricus a fait un signe, deux Jaffas sont arrivés, la jeune femme nous a hurlés de fuir et nous a aidés à passer outre les Jaffas et les gardes. Avant que nous partions, elle nous a rapidement expliqués comment son peuple avait marchandé avec un maître goa'uld qui avait débarqué sur leur planète puis elle s'est fait tuer. Et si nous ne voulons pas que ça nous arrive, il faudrait ne pas traîner dans le coin. »
Résumé: En fait je ne sais pas car je n’ai pas commencé à l’écrire et je ne sais vraiment pas ce que je vais sortir de ma tête .
Saisons: Avant la 7ème je dirai mais ça n’a pas d’importance.
Disclamer: Rien n’est à moi.
Genre : léger soupçon d'action avec un subtil moment ship tout ça dans un but dramatique...
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La vie c'est comme un château de cartes, vous commencez à le construire en y mettant tout votre cœur et tous vos espoirs et il suffit d'un coup de vent pour qu'il s'écroule. Croyant encore que vous pourrez le terminer vous recommencez plus déterminés que jamais, vous approchez du but et à nouveau un coup de vent détruit tout. Et ainsi de suite, mais plus il se détruit, moins vous avez d'espoir de le finir alors vous le construisez moins haut sans jamais parvenir à le terminer mais vous vous accrochez encore et toujours…
C’était un jour comme un autre. Le ciel était clair, mais nous, enfermés dans cette base lugubre, ne pouvions profiter de cette douceur printanière. « Une mission de routine », nous avait-on dit, « juste avant vos jours de permissions pour permettre à tous d’être tranquilles pendant votre absence. Nous avions accepté, nous n’avions pas le droit de refuser de toute façon alors autant partir avec le sourire et puis ce n’était qu’une simple mission de routine…
Nous étions sur la passerelle d’embarquement, tous plus ou moins concentrés sur ce que nous allions devoir accomplir, pas grand-chose en y réfléchissant bien. Alors pourquoi envoyer l’équipe phare du SGC vers un objectif si facile. Il fallait simplement faciliter un accord entre un nouveau peuple, rencontré par SG-3, les Aenors, et nous, peuple de la Tau’ri.
Nous n’étions pas l’équipe la plus diplomate, mis à part Daniel qui se débrouillait bien lors de négociations, le colonel, Teal’c et moi-même étions loin d’être des pros dans le domaine. D’autres équipes étaient mieux formées pour ce genre d’activités. Alors pourquoi nous ?
Pourquoi je n’arrête pas de râler aussi ? Cela ne me ressemble pas, surtout pas face à ces situations, nous allons sur une nouvelle planète où le temps est agréable, encore meilleur que le nôtre d’après les relevés, le peuple n’a pas l’air bien méchant et notre mission est ce qu’il y a de plus tranquille, je n’aurai rien à faire pratiquement. Alors de quoi se plaindre ?
Faut que j’arrête de penser et me focaliser sur la mission, même si elle est dite simple, il suffit d’un manque de concentration pour que cela tourne au drame.
Les chevrons s’encodent les uns après les autres, le puissant vortex bleu crache son venin nous invitant à le pénétrer. Nous avancions d’un même pas, la tête haute, confiants, sans peurs ni craintes, c’était seulement une mission de routine.
Après que nos molécules soient arrivées des années lumières plus loin que leur point de départ, nous fûmes accueillis par le fameux peuple, enfin notamment par une dizaine de personnes, le reste de leur communauté devait être resté dans leur village. Ils étaient habillés simplement, de longues tuniques leur arrivaient aux chevilles, leur torse recouvert par un tissu ressemblant à du coton terrien mais leurs bras étaient nus ainsi que leurs pieds. Le troisième homme s’approcha de moi, m’examinant lentement puis il se recula et alla vers le colonel. Il était de taille moyenne, les cheveux crépus, le teint pâle et des yeux bleu transparent, un regard qui transperce.
« - Bienvenue noble peuple de la Tau’ri!
- Noble… noble, c’est vite dit ça… », marmonna O’Neill.
Cela commence bien. Alors qu’il allait recommencer à parler, Daniel se permit d’intervenir.
« - Merci de votre accueil… ?
- Siricus. Je me nomme Siricus et je suis le représentant de mon peuple face aux étrangers.
- Enchanté. Je m’appelle Daniel Jackson et je suis un peu votre équivalent. Voici le Colonel Jack O’Neill, le Major Samantha Carter et Teal’c. »
Le colonel avait légèrement tiqué sur la présentation de Daniel ce qui avait laissé échapper un léger sourire sur mes lèvres, sourire qui ne passa pas inaperçu à ses yeux.
Il aimait me faire sourire avec son air blasé, grincheux et avec son humour vraiment pas marrant. Il rendait les missions difficiles plus supportables et les ennuyeuses, plus attrayantes. Je fus sortie de mes intenses réflexions par la voix grave de notre hôte.
« - Si vous voulez bien me suivre, nous allons pouvoir commencer les négociations. »
Bien, on pouvait dire qu’il ne tournait pas autour du pot pendant des années lui. Comme il nous l'avait demandé si gentiment, nous exécutons ses volontés et après deux minutes de marche à travers le village, nous nous retrouvâmes devant une hutte assez rudimentaire mais lorsque nous y entrâmes, nous pouvions constater qu'elle disposait de tout le confort nécessaire.
Il y avait suffisamment de places pour nous tous, même un peu plus. Siricus était accompagné par une jeune femme d’une vingtaine d’années qui l’avait suivi depuis notre arrivée, sans jamais prononcer un mot. Son regard était perdu, une sorte de tristesse se dégageait d’elle mais je n’arrivais pas à mettre de mots dessus. Je ne sais pour quelle raison mais cela me mettait mal à l’aise, mauvais pressentiment... Intuition féminine peut-être mais je commençais à avoir quelques craintes concernant ce peuple. J’en ferai part plus tard à mes compagnons, j’attends d’avoir de plus amples informations à ce sujet avant de m’effrayer pour rien.
Le temps passa, Daniel continuait à débattre sur les meilleurs intérêts de nos peuplades respectives. Je m’ennuyais, n’écoutant que d’une oreille leurs longs monologues qui ne menaient à rien. Teal’c et le Colonel étaient dans le même cas que moi, nous commencions à avoir chaud sous cette hutte, le soleil devait taper à l’extérieur. D’un mouvement significatif de la tête, mon supérieur m’indiqua la sortie et en tant que second obéissant, et surtout parce que je commençais à suffoquer, j’ai pris le chemin de la sortie sans demander mon reste, tout en m’excusant tout de même auprès de Siricus et de la mystérieuse jeune femme.
Une fois sortie, il ne fallut pas trente secondes pour que le colonel me rejoigne, les mains dans les poches, le regard désinvolte, un petit sourire en coin, vraiment irrésistible.
« - Alors Carter, les conversations de Daniel ne vous intéressent plus?
- A vous non plus on dirait.
- Vous savez toutes ces affaires diplomatiques sur qui donne quoi en échange de quoi, ça ne m’a jamais vraiment passionné. J’ai toujours dit, on tire dans le tas, on prend tout ce que l’on peut et on se casse. »
Je ne pu retenir un petit rire face à l’attitude si enthousiaste de mon supérieur, mimant chacune de ses paroles.
« - Mon Colonel, vous savez tout aussi bien que moi que cette tactique, bien que sûrement très efficace, n’est pas recommandable. Pourtant je ne serai pas contre un peu d’action dans ce genre de situations.
- Je sais Carter et faites attention à ce que vous dites. Dans les films, c’est à cet instant que les gros méchants débarquent et tuent tout le monde et je n’ai pas envie que vous mourriez… enfin que nous mourrions. »
Pincez-moi, je dois rêver. Avais-je bien entendu ce qu’il venait de dire ? Vu son air, tout à coup très gêné, oui j’avais bien entendu. Il a tendu une perche, autant poursuivre sur cette voie.
« - Nous ne sommes pas dans un film mon colonel. Puis je n’ai aucune envie de mourir tout de suite, je pense avoir encore quelques belles années devant moi et des rêves à réaliser.
- Dans un film, le scénario aurait été différent. Je souhaite de tout cœur Carter que vous parveniez à vos buts. Personnellement je n’attends plus rien, ceci ne me dérangerait pas d’y passer. Quand même l'espoir a disparu… .
Il sentit qu’il avait trop parlé. Par pudeur, il préféra s’en aller mais je ne comptai pas l’abandonner ainsi, je voulais qu’il aille au bout de ses pensées.
« - Arrêtez. Ne partez pas. S’il vous plait.
- Depuis quand vous me donnez des ordres ?
- Ce n’est qu’une demande, pour votre bien. Pourquoi vous n'espérez plus ?
- Carter, cette conversation s’est terminée au moment où c’est devenu trop personnel. Je ne veux pas poursuivre là-dessus. »
Il commençait à repartir mais j’étais plus tenace qu’il ne le pensait.
« - Ne fuyez plus. Ne fuyons plus.
- Carter…
- Et si votre bonheur était à votre portée mais que vous refusiez de l’admettre ?
- Je n’en ai pas le droit, trop de gens ont souffert à cause de moi, cela n’en vaut pas la peine.
- Mais… »
La suite de ma phrase mourut avant même d’être sortie de ma bouche. Un dernier jeu de regard rempli de sous-entendus. Daniel et Teal’c venaient d’arriver en courant vers nous. Daniel avait l’air essoufflé mais il prit tout de même la parole.
« - Il faut fuir, et vite. C’est un piège »
Le colonel avait l’air aussi étonné que moi.
« - Daniel ? C’est quoi cette histoire ?
- Nous nous sommes fait avoir. Les Aenors ont passé un pacte avec les Goa’ulds pour nous livrer… morts ou vifs. C’est pour cela que c’est notre équipe qui a été envoyée car c’est celle qui a le plus de valeur.
- Mais comment diable savez-vous ça ?
- Quand les négociations ne progressaient plus, Siricus a fait un signe, deux Jaffas sont arrivés, la jeune femme nous a hurlés de fuir et nous a aidés à passer outre les Jaffas et les gardes. Avant que nous partions, elle nous a rapidement expliqués comment son peuple avait marchandé avec un maître goa'uld qui avait débarqué sur leur planète puis elle s'est fait tuer. Et si nous ne voulons pas que ça nous arrive, il faudrait ne pas traîner dans le coin. »
Dernière édition par le Lun 26 Juin - 17:16, édité 1 fois
Shânti- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 19/05/2006
Re: Château de Cartes
Il avait raison, on pouvait entendre les chasseurs de la mort approcher. Il nous en fallut pas plus pour nous laisser convaincre et courir à toute vitesse vers la porte. Malgré quelques tirs ennemis, nous fûmes rapidement à la Porte indemnes. Daniel composa les coordonnées pendant que nous le couvrions.
Alors que le cinquième chevron s’activait, le Colonel fut touché grièvement, dans un état second, j’ai accouru auprès de lui, suivie par Teal’c qui le prit dans ses bras pour l’amener à la Porte. Le vortex était ouvert et Daniel avait envoyé le code d’identification.
A peine de l’autre côté, Daniel demanda la fermeture immédiate de l’iris et l’aide médicale. O’Neill fut transporté d’urgence et moi aussi. J’étais comme dans un cauchemar, mes vêtements étaient tâchés d’un sang qui n’était pas le mien. J’avais beau hurlé que je n’étais pas blessée, je fus emmenée à l’infirmerie. Tout tournait autour de moi et soudain, plus rien.
Ma tête me faisait atrocement mal, un martèlement incessant, j’entendais des voix au loin mais tout était comme dans un épais brouillard. Je commençais à ouvrir un œil, une lumière aveuglante m’apparue. Les mots prononcés autour devenaient plus précis, il me sembla reconnaître Daniel.
« - Sam… Sam, c’est Daniel. Vous m’entendez ? »
Trop fatiguée pour répondre, je tournais légèrement la tête vers la provenance du son et finis par ouvrir mes deux yeux.
« - Comment vous sentez-vous?
- Mal… tête… fatigue…
- C'est normal, nous vous avons administré un sédatif et puis nous revenons d'une mission assez difficile. »
Alors qu’il me regardait dans les yeux, son regard s’échappa pour fixer la pointe de ses pieds. Les souvenirs me revenaient, par bribes mais j’y voyais un peu plus clair sur les événements qui venaient de se passer. Une question me brûlait les lèvres mais la réponse m’effrayait. Je tentais d’observer autour de moi pour essayer de l’apercevoir, je dressais l’oreille pour entendre un murmure pour finalement me concentrer sur le visage de mes collègues. Visages fermés, de la peine s’en dégageait. Je craignais la suite. Pourtant je ne pus m’empêcher de poser la fameuse question.
« - Le colonel ? »
Leurs échanges de regard apportaient déjà la réponse. Une larme s’échappa furtivement de mon œil mais elle ne passa pas inaperçue.
« - Etat végétatif permanent. Nous sommes désolés Sam. L’équipe médicale a été formidable mais cela n’a pas suffit. Nous sommes tous très peinés. »
J’ai détourné mon visage, j’avais besoin d’être seule, ils le comprirent parfaitement et silencieusement, ils sont partis. J’avais beaucoup de mal à saisir ce qu’il venait d’arriver et les sanglots ne tardèrent pas à arriver. J’avais beau être forte, je ne pouvais plus me battre. C’était une douleur qui brisait même le plus robuste des cœurs.
Les jours passèrent, j’avais eu l’autorisation de rentrer chez moi. Mes amis venaient me rendre visite de temps en temps mais je n’arrivais pas à faire comme si et personne ne pouvait m’aider. Il me fallait juste du temps, temps pour accepter et le laisser partir. J’allais le voir au début puis je n’en ai plus eu la force. Les médecins étaient catégoriques, son cerveau ayant été détruit, jamais il ne se réveillera. Nous avions fait appel à la Tok’ra, aux Asgards, et à tous nos autres alliés mais rien ne pouvez changer un état irréversible.
Il était maintenu par des machines et bientôt, il faudra le débrancher. Contre ses volontés, personne ne l’avait encore fait, me laissant le temps d’encaisser. Mais je ne pense pas que j’accepterai un jour, la douleur sera sans doute moins forte mais toujours présente. Alors à quoi bon continuer à aller au-delà de sa volonté. Ma décision avait été prise dans la matinée. Il est difficile de se dire que c'est moi qui vais arrêter son cœur mais je pense que c'est la meilleure solution, il aurait fait la même chose pour moi ou c'est ce que j'aurai souhaité qu'il fasse. Je me dirige vers la base, d’un pas décidé même si tout mon corps est en proie aux doutes mais rien de mes faits et gestes ne laisse percevoir cette ébullition en moi. Le trafic est dense, je m’énerve un peu contre ces autres automobilistes qui ont eu mon idée, ces automobilistes qui ne se rendent pas compte à quel point ma vie est sur le point de changer, ces automobilistes qui m’obligent à rouler au pas, ces automobilistes qui me forcent à trop penser n’ayant que ça à faire. Et là c’est le début de la fin, il faut que je sorte.
Commencez à réfléchir sur les raisons de votre désespoir, pourquoi votre esprit si limpide naguère n’est plus qu’obscurité, tristesse et souffrance. Vos yeux commenceront à s’embrumer, les larmes perleront à leurs coins et s’échapperont insidieusement pour couler le long de vos joues. L’idée de ce que vous allez devoir endurer devient de plus en plus précise. Votre âme, face à cette triste vérité, se détache de votre corps. Corps qui, pris de soubresauts incontrôlables, devra affronter une douleur plus forte que la précédente sans pouvoir compter sur sa force spirituelle envolée au moment où la réalité a surgi dans votre esprit. Les larmes coulent, elles se meurent aux commissures de votre bouche. Leur goût salé parvient à votre langue et vous hurlez. Criant de toutes vos forces en imaginant que cela libérera le poids de votre peine qui vous ronge. Désormais vous connaissez l’ampleur de votre chagrin et savez que rien ne pourra le faire disparaître. Vous ne souhaitez qu’être auprès de l’être aimé. Vous ne désirez qu’à passer vos doigts si fins et délicats dans ses cheveux. Vous n’aspirez qu’à déposer un dernier tendre baiser sur son front brûlant. Vous convoitez seulement un dernier regard empli de douceur et d‘Amour. Vous souhaitez simplement poser votre tête sur son torse, sentir son cœur battre et apprécier à nouveau le sentiment de sécurité autrefois ressenti.
Le cœur de votre ‘Autre’ va prochainement s’interrompre et cette idée vous est insupportable. Alors le flot de larmes devient plus fort, brûlant vos joues, vos cris se meurent avant d’être entendus et vous avez mal, tellement mal - d’une douleur atroce et indescriptible, tel un poignard qui se plante dans votre cœur sans crier gare et qui le transperce de part en part, se tournant, se retournant sans jamais s’en déloger.
Vous allez devoir apprendre à survivre avec cette souffrance. Vous essayerez de lutter, de vous construire une carapace tellement épaisse que rien ne pourra la détruire. Vous existerez dans votre inébranlable solitude, échappant au contact extérieur, pensant que la seule solution s’offrant à vous est de demeurer seul. Une nuit sans lune, où seules quelques étoiles perceront dans le ciel ténébreux, son visage apparaîtra et tous vos souvenirs que vous avez longtemps cherchés à enfouir au plus profond de vous rejailliront, détruisant votre carapace.
S’en est fini de vous. Vous ne deviendrez que l’ombre de vous-même fuyant la lumière pour mieux passer inaperçu. Vous vous laisserez dériver au grès du temps qui se meurt. Un beau jour, vous finirez par sombrer définitivement dans les abysses de la vie sans aucune possibilité de remonter à la surface. Vous terminerez par obtenir la seule chose que vous désiriez durant votre descente aux enfers, le rejoindre…
‘La vérité est que tout le monde change chaque jour. Et certaines choses sont plus dévastatrices que d’autres, mais nous ne sommes jamais les mêmes.’
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Note de l'auteur :
Ceci est ma première fanfic, je n’ai jamais voulu en écrire mais suite à des idées assez noires, j’avais pondu les deux textes qui sont en italiques et j’ai eu l’idée de broder autour. A la base, j’aurai préféré utiliser les personnages de X-Files car je trouve que le ship de Sg ne permet pas trop ce genre de fics mais comme les fics XF n’intéressent plus personne, me suis tournée vers une autre série que j’appréciais. C’est assez court mais je ne voulais pas faire trop long, c’était juste histoire d’utiliser ce que j’avais déjà pu écrire, le reste c’est venu un peu tout seul, je n’avais pas d’idées précises au départ sauf bien sûr de faire mourir un personnage. En me relisant, je me rends compte qu’il n’y a pas vraiment de sens, m’enfin bon j’ai bien aimé l’écrire sauf quand ça a bugué et que j’ai du recommencer :mrgreen:
Note 2 : je l'ai écrite il y a presque un an il me semble. Avec un regard plus objectif et surtout plus de recul, je ne suis pas réellement satisfaite de cette histoire pour diverses raisons mais je n'aime encore moins la 2ème
Alors que le cinquième chevron s’activait, le Colonel fut touché grièvement, dans un état second, j’ai accouru auprès de lui, suivie par Teal’c qui le prit dans ses bras pour l’amener à la Porte. Le vortex était ouvert et Daniel avait envoyé le code d’identification.
A peine de l’autre côté, Daniel demanda la fermeture immédiate de l’iris et l’aide médicale. O’Neill fut transporté d’urgence et moi aussi. J’étais comme dans un cauchemar, mes vêtements étaient tâchés d’un sang qui n’était pas le mien. J’avais beau hurlé que je n’étais pas blessée, je fus emmenée à l’infirmerie. Tout tournait autour de moi et soudain, plus rien.
Ma tête me faisait atrocement mal, un martèlement incessant, j’entendais des voix au loin mais tout était comme dans un épais brouillard. Je commençais à ouvrir un œil, une lumière aveuglante m’apparue. Les mots prononcés autour devenaient plus précis, il me sembla reconnaître Daniel.
« - Sam… Sam, c’est Daniel. Vous m’entendez ? »
Trop fatiguée pour répondre, je tournais légèrement la tête vers la provenance du son et finis par ouvrir mes deux yeux.
« - Comment vous sentez-vous?
- Mal… tête… fatigue…
- C'est normal, nous vous avons administré un sédatif et puis nous revenons d'une mission assez difficile. »
Alors qu’il me regardait dans les yeux, son regard s’échappa pour fixer la pointe de ses pieds. Les souvenirs me revenaient, par bribes mais j’y voyais un peu plus clair sur les événements qui venaient de se passer. Une question me brûlait les lèvres mais la réponse m’effrayait. Je tentais d’observer autour de moi pour essayer de l’apercevoir, je dressais l’oreille pour entendre un murmure pour finalement me concentrer sur le visage de mes collègues. Visages fermés, de la peine s’en dégageait. Je craignais la suite. Pourtant je ne pus m’empêcher de poser la fameuse question.
« - Le colonel ? »
Leurs échanges de regard apportaient déjà la réponse. Une larme s’échappa furtivement de mon œil mais elle ne passa pas inaperçue.
« - Etat végétatif permanent. Nous sommes désolés Sam. L’équipe médicale a été formidable mais cela n’a pas suffit. Nous sommes tous très peinés. »
J’ai détourné mon visage, j’avais besoin d’être seule, ils le comprirent parfaitement et silencieusement, ils sont partis. J’avais beaucoup de mal à saisir ce qu’il venait d’arriver et les sanglots ne tardèrent pas à arriver. J’avais beau être forte, je ne pouvais plus me battre. C’était une douleur qui brisait même le plus robuste des cœurs.
Les jours passèrent, j’avais eu l’autorisation de rentrer chez moi. Mes amis venaient me rendre visite de temps en temps mais je n’arrivais pas à faire comme si et personne ne pouvait m’aider. Il me fallait juste du temps, temps pour accepter et le laisser partir. J’allais le voir au début puis je n’en ai plus eu la force. Les médecins étaient catégoriques, son cerveau ayant été détruit, jamais il ne se réveillera. Nous avions fait appel à la Tok’ra, aux Asgards, et à tous nos autres alliés mais rien ne pouvez changer un état irréversible.
Il était maintenu par des machines et bientôt, il faudra le débrancher. Contre ses volontés, personne ne l’avait encore fait, me laissant le temps d’encaisser. Mais je ne pense pas que j’accepterai un jour, la douleur sera sans doute moins forte mais toujours présente. Alors à quoi bon continuer à aller au-delà de sa volonté. Ma décision avait été prise dans la matinée. Il est difficile de se dire que c'est moi qui vais arrêter son cœur mais je pense que c'est la meilleure solution, il aurait fait la même chose pour moi ou c'est ce que j'aurai souhaité qu'il fasse. Je me dirige vers la base, d’un pas décidé même si tout mon corps est en proie aux doutes mais rien de mes faits et gestes ne laisse percevoir cette ébullition en moi. Le trafic est dense, je m’énerve un peu contre ces autres automobilistes qui ont eu mon idée, ces automobilistes qui ne se rendent pas compte à quel point ma vie est sur le point de changer, ces automobilistes qui m’obligent à rouler au pas, ces automobilistes qui me forcent à trop penser n’ayant que ça à faire. Et là c’est le début de la fin, il faut que je sorte.
Commencez à réfléchir sur les raisons de votre désespoir, pourquoi votre esprit si limpide naguère n’est plus qu’obscurité, tristesse et souffrance. Vos yeux commenceront à s’embrumer, les larmes perleront à leurs coins et s’échapperont insidieusement pour couler le long de vos joues. L’idée de ce que vous allez devoir endurer devient de plus en plus précise. Votre âme, face à cette triste vérité, se détache de votre corps. Corps qui, pris de soubresauts incontrôlables, devra affronter une douleur plus forte que la précédente sans pouvoir compter sur sa force spirituelle envolée au moment où la réalité a surgi dans votre esprit. Les larmes coulent, elles se meurent aux commissures de votre bouche. Leur goût salé parvient à votre langue et vous hurlez. Criant de toutes vos forces en imaginant que cela libérera le poids de votre peine qui vous ronge. Désormais vous connaissez l’ampleur de votre chagrin et savez que rien ne pourra le faire disparaître. Vous ne souhaitez qu’être auprès de l’être aimé. Vous ne désirez qu’à passer vos doigts si fins et délicats dans ses cheveux. Vous n’aspirez qu’à déposer un dernier tendre baiser sur son front brûlant. Vous convoitez seulement un dernier regard empli de douceur et d‘Amour. Vous souhaitez simplement poser votre tête sur son torse, sentir son cœur battre et apprécier à nouveau le sentiment de sécurité autrefois ressenti.
Le cœur de votre ‘Autre’ va prochainement s’interrompre et cette idée vous est insupportable. Alors le flot de larmes devient plus fort, brûlant vos joues, vos cris se meurent avant d’être entendus et vous avez mal, tellement mal - d’une douleur atroce et indescriptible, tel un poignard qui se plante dans votre cœur sans crier gare et qui le transperce de part en part, se tournant, se retournant sans jamais s’en déloger.
Vous allez devoir apprendre à survivre avec cette souffrance. Vous essayerez de lutter, de vous construire une carapace tellement épaisse que rien ne pourra la détruire. Vous existerez dans votre inébranlable solitude, échappant au contact extérieur, pensant que la seule solution s’offrant à vous est de demeurer seul. Une nuit sans lune, où seules quelques étoiles perceront dans le ciel ténébreux, son visage apparaîtra et tous vos souvenirs que vous avez longtemps cherchés à enfouir au plus profond de vous rejailliront, détruisant votre carapace.
S’en est fini de vous. Vous ne deviendrez que l’ombre de vous-même fuyant la lumière pour mieux passer inaperçu. Vous vous laisserez dériver au grès du temps qui se meurt. Un beau jour, vous finirez par sombrer définitivement dans les abysses de la vie sans aucune possibilité de remonter à la surface. Vous terminerez par obtenir la seule chose que vous désiriez durant votre descente aux enfers, le rejoindre…
‘La vérité est que tout le monde change chaque jour. Et certaines choses sont plus dévastatrices que d’autres, mais nous ne sommes jamais les mêmes.’
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Note de l'auteur :
Ceci est ma première fanfic, je n’ai jamais voulu en écrire mais suite à des idées assez noires, j’avais pondu les deux textes qui sont en italiques et j’ai eu l’idée de broder autour. A la base, j’aurai préféré utiliser les personnages de X-Files car je trouve que le ship de Sg ne permet pas trop ce genre de fics mais comme les fics XF n’intéressent plus personne, me suis tournée vers une autre série que j’appréciais. C’est assez court mais je ne voulais pas faire trop long, c’était juste histoire d’utiliser ce que j’avais déjà pu écrire, le reste c’est venu un peu tout seul, je n’avais pas d’idées précises au départ sauf bien sûr de faire mourir un personnage. En me relisant, je me rends compte qu’il n’y a pas vraiment de sens, m’enfin bon j’ai bien aimé l’écrire sauf quand ça a bugué et que j’ai du recommencer :mrgreen:
Note 2 : je l'ai écrite il y a presque un an il me semble. Avec un regard plus objectif et surtout plus de recul, je ne suis pas réellement satisfaite de cette histoire pour diverses raisons mais je n'aime encore moins la 2ème
Shânti- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 19/05/2006
Re: Château de Cartes
C'est sûr qu'elle a été écrite à une période assez triste si je me souviens bien (eh oui, ma mémoire ne me fait pas autant défaut ) Je suis assez déçue de voir que personne ne l'aie lue Bon ok c'est du drame, et vu le nombre de shippeuses acharnées présentes ici, je comprends Mais ça ne fera que vous déprimer un court instant, je vous le promets
Bref, cette fic est ma préférée, tu le sais, j'aime particulièrement l'intro, la conclusion, et le titre (ben oui, ça joue aussi ) C'est vrai que ton style peut être bizarre parfois, mais ça s'oublie vite... Bravo à toi
Bref, cette fic est ma préférée, tu le sais, j'aime particulièrement l'intro, la conclusion, et le titre (ben oui, ça joue aussi ) C'est vrai que ton style peut être bizarre parfois, mais ça s'oublie vite... Bravo à toi
Juju- Lecteur du Télé 7 jours
- Nombre de messages : 57
Date d'inscription : 16/05/2006
Re: Château de Cartes
Ta mémoire est bonneJuju a écrit:C'est sûr qu'elle a été écrite à une période assez triste si je me souviens bien (eh oui, ma mémoire ne me fait pas autant défaut )
Tout cela reste de toute façon, mes passages préférés. Je ne suis jamais satisfaite de l'histoire au milieu mais je m'éclate à faire les intro et conclusionJuju a écrit:Bref, cette fic est ma préférée, tu le sais, j'aime particulièrement l'intro, la conclusion, et le titre (ben oui, ça joue aussi )
Le côté "bizarre" de mon style le rend unique . De toute façon, je ne peux, ni ne veux le changer... enfin tu vas me servir de bêta lectrice, cela rendra le style peut-être moins bizarreJuju a écrit:C'est vrai que ton style peut être bizarre parfois, mais ça s'oublie vite... Bravo à toi
Merci ma Juju
Shânti- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 21
Date d'inscription : 19/05/2006
Re: Château de Cartes
Pas mal du tout !
Le problème c'est la discordance entre les deux textes initiaux et l'aventure de SG1.
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