Enfance
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Enfance
Et voilà ma nouvelle fic'!!!!
CHAPITRE 1
- ? (paniquée) : Chéri !!!!!!!!!
- ? : Quoi ??
- ? : Je crois que j’ai perdu les os…
- ? : Quoi ???
- ? : Aaaaaaaaaaaaaaah
- ? : Habilles-toi… je vais amener Michael chez les voisins !
2 heures plus tard Julian William Vaughn est né, petit frère d’un petit Michael alors âgé de 4 ans. Ses parents étaient aux anges. Seulement, le médecin les informa qu’il avait détecté une petite anomalie dans ses analyses, bien qu’elle soit minime, comme c’était un nouveau-né, il fallait qu’ils le gardent en observation.
Le lendemain matin
- W : Coucou ma chérie !
- M : Mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !
- Clémence : Michael. Vous allez bien ?
- M : Oui !!! Dis m’man ! Dis !! Il où le bébé ???
- C (souriant de l’impatience de son fils) : Il fait dodo dans une chambre.
- M : Je le verrais quand ??? Dis ! Dis !
- C : Quand le docteur l’amènera.
C’est ce moment-là que choisit le docteur pour entrer.
- Doc : Bonjour, comment vous sentez-vous ?
- C : Bien, quand est-ce que je pourrais voir mon bébé ?
Le visage du docteur s’assombrit.
- W : Qu’est-ce qui se passe ????
- D : Je suis désolé… ce matin… nous avons découvert que votre enfant avait disparu.
- C/W : Quoi ???
- M : Dis papa, qu’est-ce qui se passe ?? Je le vois quand mon p’tit frère ?
13 ans plus tard
C’était le jour de la rentrée. Il y avait 3 nouveaux dans une des classes de terminale S.
Sydney Bristow.
Michael Vaughn.
Julian Sark.
Ils attendaient tous les trios devant le bureau de la principale. Une femme arriva. Ils se retrouvèrent et furent surpris de voir quel genre de femme c’était.
Elle portait une mini-jupe noire et un haut rose décolleté au maximum…
Elle avait de longues jambes blanches, des lignes vertes les recouvraient : ses veines ressortaient à travers la peau.
Quand à son visage, elle saupoudrait d’une poudre blanche rendant son allure encore plus morbide. Qui plus est, son maquillage qui se démarquait bien, rendait la pâleur de son visage encore plus sinistre.
- ? : Michael Jackson…
Sydney esquissa un sourire. Dès que la principale eut le dos tourné, elle jeta un regard au jeune homme blond.
Il avait été très discret, solitaire depuis qu’ils étaient devant le bureau. Elle et ce Michael avait un peu discuté d’où ils venaient, comment ils avaient trouvés L.A, en somme de tout et de rien. Mais ils n’avaient pas réussi à décrocher un mot de Julian, sauf son prénom.
- Principale : Entrez ! (Comme s’ils n’avançaient pas assez vite) Allez du nerf !! (Une fois rentrés et installés) Bon, je vous souhaite quand même la bienvenue à Los Angeles et au lycée Fitzgerald. Alors vous êtes prêt pour l’inconnu ? Vous jetez dans l’antre de Satan ?
Sydney et Michael se jetèrent un regard furtif. Où est-ce qu’ils étaient encore tombés ?
Sydney regarda Julian, il était comme depuis qu’il était arrivé : impassible. La principale parcourra les 3 jeunes gens de ses yeux globuleux.
- P : Je me présente, je suis la principale Elegida Rambaldi. Si vous avez le moindre problème, vous pouvez vous adressez à moi ou ma collègue Sandra Valatchoum. C’est elle qui s’occupe des emplois du temps, de la relation élève-prof et… Bon passons ! Vous êtes en TS3 (en leur tendant un papier à chacun), voici vos emplois du temps. (Durement) Vous le voyez, en ce moment vous devrez être en cours. (Elle aperçut le petit regard de frayeur dans les yeux des élèves, elle éclata de rire). Non ! Non ! Rassurez-vous ! Vous ne serez pas sanctionner !
- J : Ce serait la meilleure !
- P : Pardon ?
- J : J’ai dit : Ce serait la meilleure !
Elle ouvrit un de ces dossiers qu’elle feuilleta, puis reporta son attention sur Julian
- P : Julian Sark. Vous avez été renvoyé de toutes vos écoles privés dans lesquelles vos parents-
- J : Mon père !
- P : - votre père vous avez mis. Et donc vous nous faîtes l’honneur de nous faire bénéficier de votre présence. C’est gentil de votre part.
- J : Je n’ai jamais eu le choix Madame, alors votre discours ironique ne sert à rien. Vous pouvez, si vous le désirez, vous dispenser de dépenser de la salive pour rien.
Si cela pouvait être possible naturellement, les yeux de la principale serait sortie de leur orbite. Il avait dit tout ça calmement, sans aucune animosité contre elle et cela la surprenait.
A côté du jeune homme, les deux autres arrivants se jetaient des regards étonnés et impressionnés. Le jeune garçon, Michael, pensait que l’autre avait des tripes, lui, il pouvait faire sa grande gueule devant ses copains, jamais devant un prof, il ne leur avait jamais manqué de respect. Il pensait que Julian au contraire de lui, ne se vantait pas devant ses copains… « s’il en avait ». De son côté, la jeune fille, Sydney s’occupait de détailler Julian.
- P : Julian. (Sydney reporta son attention sur la principale). Je vous préviens de suite, votre attitude ne sera pas tolérée longtemps. Ce lycée est votre dernière chance-
- J : Vous vous trompez.
- P : Pardon ?
- J : J’ai dit-
- P (s’énervant) : Je sais ce que vous avez dit ! Et en quoi je me trompe ?
- J : Je n’ai pas encore fait tous les lycées du monde. Ils m’en restent encore une certaine liste à visiter.
La principale ne savait pas quoi dire. Elle n’était pas habituée à trouver quelqu’un qui la contredisait et qui trouvait les arguments sur lesquelles il s’appuyait, en tout cas, parmi ses élèves.
- P : Mlle Bristow. Je vois que vous venez de New York. Pourquoi être venue à Los Angeles ?
- S : Mon père a été muté ici.
- P : Et pourquoi n’êtes-vous pas restée avec votre mère là-bas ?
- S (se tortillant sur sa chaise) : Ma mère est morte quand j’avais 6 ans.
- P (comprenant son erreur mais ne le regrettant pas le moins du monde) : Oh désolé. (se tournant vers Vaughn) Mr Vaughn vous venez de France… vous allez pouvoir suivre ?
- M : Je suis américain madame.
- P : Oui, oui… bon je crois que je vous ai tout dit. Venez, je vais vous conduire à votre classe.
Ils marchèrent pendant quelques temps avant qu’Elegida ne s’arrête devant une salle de classe où elle alla glisser quelques mots au professeur. Quand elle revint vers eux, elle ne leur dit qu’un simple « Bonne journée » accompagnée d’un sourire sadik. Le professeur de physique-chimie les invita à s’asseoir alors qu’il reprenait son cours.
Sydney et Vaughn s’assirent à côté, juste devant une jeune fille afro-américaine et un garçon.
- ? : Psss !
Sydney se retourna et saisit le papier que la jeune femme de derrière lui tendit.
Coucou les nouveaux !
Chui Francie Calfo, ms on mapel Fran.
(d’une autre écriture)[s]Et moi Eric Weiss !!
Vous allez bien ?
Vs été mal tombé !Vs allé voir la vré nature du prof, ne vs enfuyé pa en couran !
C koi vo noms ?[/s]
Durant l’heure qui restait de physique-chimie, ils s’échangèrent des mots pour apprendre à se connaître. Fran sortait avec Eric ; lorsqu’elle s’intéressa à l’autre nouveau, Julian, Eric devint jaloux, Sydney et Michael rigolait alors que Fran le convainquait qu’il n’y avait aucune raison ; tout ça dans le dos du prof. C’est ainsi que Fran, Syd, Michael et Eric devinrent amis et meilleurs amis. Et au contraire, Julian devint le solitaire de la classe, toujours seul en cours. Au cours, du temps, il avait crée un fossé entre lui et le reste de la classe, avec son attitude froide et provocante avec les profs.
Ils étaient presque au trois quart de l’année quand leurs profs de maths, biologie et physique-chimie leur donna un prof à faire.
- P de maths (qui était aussi leur prof principale) : Cette année, nous avons décidé de l’utiliser une nouvelle technique pour les révisions de Bac. Votre classe regroupe toutes les spécialités du Bac Scientifique. Ainsi, nous avons établis des groupes de 3 élèves, un de chaque spécialité. C’est-à-dire, nous vous remettrons un certains nombre de sujet que vous devrez résoudre et nous exposez les résultats, la démarche… bref tout nous expliquer.
- P de bio : Alors les groupes : Potter, Granger, Weasley… Bristow, Vaughn, Sark….
CHAPITRE 1
- ? (paniquée) : Chéri !!!!!!!!!
- ? : Quoi ??
- ? : Je crois que j’ai perdu les os…
- ? : Quoi ???
- ? : Aaaaaaaaaaaaaaah
- ? : Habilles-toi… je vais amener Michael chez les voisins !
2 heures plus tard Julian William Vaughn est né, petit frère d’un petit Michael alors âgé de 4 ans. Ses parents étaient aux anges. Seulement, le médecin les informa qu’il avait détecté une petite anomalie dans ses analyses, bien qu’elle soit minime, comme c’était un nouveau-né, il fallait qu’ils le gardent en observation.
Le lendemain matin
- W : Coucou ma chérie !
- M : Mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !
- Clémence : Michael. Vous allez bien ?
- M : Oui !!! Dis m’man ! Dis !! Il où le bébé ???
- C (souriant de l’impatience de son fils) : Il fait dodo dans une chambre.
- M : Je le verrais quand ??? Dis ! Dis !
- C : Quand le docteur l’amènera.
C’est ce moment-là que choisit le docteur pour entrer.
- Doc : Bonjour, comment vous sentez-vous ?
- C : Bien, quand est-ce que je pourrais voir mon bébé ?
Le visage du docteur s’assombrit.
- W : Qu’est-ce qui se passe ????
- D : Je suis désolé… ce matin… nous avons découvert que votre enfant avait disparu.
- C/W : Quoi ???
- M : Dis papa, qu’est-ce qui se passe ?? Je le vois quand mon p’tit frère ?
13 ans plus tard
C’était le jour de la rentrée. Il y avait 3 nouveaux dans une des classes de terminale S.
Sydney Bristow.
Michael Vaughn.
Julian Sark.
Ils attendaient tous les trios devant le bureau de la principale. Une femme arriva. Ils se retrouvèrent et furent surpris de voir quel genre de femme c’était.
Elle portait une mini-jupe noire et un haut rose décolleté au maximum…
Elle avait de longues jambes blanches, des lignes vertes les recouvraient : ses veines ressortaient à travers la peau.
Quand à son visage, elle saupoudrait d’une poudre blanche rendant son allure encore plus morbide. Qui plus est, son maquillage qui se démarquait bien, rendait la pâleur de son visage encore plus sinistre.
- ? : Michael Jackson…
Sydney esquissa un sourire. Dès que la principale eut le dos tourné, elle jeta un regard au jeune homme blond.
Il avait été très discret, solitaire depuis qu’ils étaient devant le bureau. Elle et ce Michael avait un peu discuté d’où ils venaient, comment ils avaient trouvés L.A, en somme de tout et de rien. Mais ils n’avaient pas réussi à décrocher un mot de Julian, sauf son prénom.
- Principale : Entrez ! (Comme s’ils n’avançaient pas assez vite) Allez du nerf !! (Une fois rentrés et installés) Bon, je vous souhaite quand même la bienvenue à Los Angeles et au lycée Fitzgerald. Alors vous êtes prêt pour l’inconnu ? Vous jetez dans l’antre de Satan ?
Sydney et Michael se jetèrent un regard furtif. Où est-ce qu’ils étaient encore tombés ?
Sydney regarda Julian, il était comme depuis qu’il était arrivé : impassible. La principale parcourra les 3 jeunes gens de ses yeux globuleux.
- P : Je me présente, je suis la principale Elegida Rambaldi. Si vous avez le moindre problème, vous pouvez vous adressez à moi ou ma collègue Sandra Valatchoum. C’est elle qui s’occupe des emplois du temps, de la relation élève-prof et… Bon passons ! Vous êtes en TS3 (en leur tendant un papier à chacun), voici vos emplois du temps. (Durement) Vous le voyez, en ce moment vous devrez être en cours. (Elle aperçut le petit regard de frayeur dans les yeux des élèves, elle éclata de rire). Non ! Non ! Rassurez-vous ! Vous ne serez pas sanctionner !
- J : Ce serait la meilleure !
- P : Pardon ?
- J : J’ai dit : Ce serait la meilleure !
Elle ouvrit un de ces dossiers qu’elle feuilleta, puis reporta son attention sur Julian
- P : Julian Sark. Vous avez été renvoyé de toutes vos écoles privés dans lesquelles vos parents-
- J : Mon père !
- P : - votre père vous avez mis. Et donc vous nous faîtes l’honneur de nous faire bénéficier de votre présence. C’est gentil de votre part.
- J : Je n’ai jamais eu le choix Madame, alors votre discours ironique ne sert à rien. Vous pouvez, si vous le désirez, vous dispenser de dépenser de la salive pour rien.
Si cela pouvait être possible naturellement, les yeux de la principale serait sortie de leur orbite. Il avait dit tout ça calmement, sans aucune animosité contre elle et cela la surprenait.
A côté du jeune homme, les deux autres arrivants se jetaient des regards étonnés et impressionnés. Le jeune garçon, Michael, pensait que l’autre avait des tripes, lui, il pouvait faire sa grande gueule devant ses copains, jamais devant un prof, il ne leur avait jamais manqué de respect. Il pensait que Julian au contraire de lui, ne se vantait pas devant ses copains… « s’il en avait ». De son côté, la jeune fille, Sydney s’occupait de détailler Julian.
- P : Julian. (Sydney reporta son attention sur la principale). Je vous préviens de suite, votre attitude ne sera pas tolérée longtemps. Ce lycée est votre dernière chance-
- J : Vous vous trompez.
- P : Pardon ?
- J : J’ai dit-
- P (s’énervant) : Je sais ce que vous avez dit ! Et en quoi je me trompe ?
- J : Je n’ai pas encore fait tous les lycées du monde. Ils m’en restent encore une certaine liste à visiter.
La principale ne savait pas quoi dire. Elle n’était pas habituée à trouver quelqu’un qui la contredisait et qui trouvait les arguments sur lesquelles il s’appuyait, en tout cas, parmi ses élèves.
- P : Mlle Bristow. Je vois que vous venez de New York. Pourquoi être venue à Los Angeles ?
- S : Mon père a été muté ici.
- P : Et pourquoi n’êtes-vous pas restée avec votre mère là-bas ?
- S (se tortillant sur sa chaise) : Ma mère est morte quand j’avais 6 ans.
- P (comprenant son erreur mais ne le regrettant pas le moins du monde) : Oh désolé. (se tournant vers Vaughn) Mr Vaughn vous venez de France… vous allez pouvoir suivre ?
- M : Je suis américain madame.
- P : Oui, oui… bon je crois que je vous ai tout dit. Venez, je vais vous conduire à votre classe.
Ils marchèrent pendant quelques temps avant qu’Elegida ne s’arrête devant une salle de classe où elle alla glisser quelques mots au professeur. Quand elle revint vers eux, elle ne leur dit qu’un simple « Bonne journée » accompagnée d’un sourire sadik. Le professeur de physique-chimie les invita à s’asseoir alors qu’il reprenait son cours.
Sydney et Vaughn s’assirent à côté, juste devant une jeune fille afro-américaine et un garçon.
- ? : Psss !
Sydney se retourna et saisit le papier que la jeune femme de derrière lui tendit.
Coucou les nouveaux !
Chui Francie Calfo, ms on mapel Fran.
(d’une autre écriture)[s]Et moi Eric Weiss !!
Vous allez bien ?
Vs été mal tombé !Vs allé voir la vré nature du prof, ne vs enfuyé pa en couran !
C koi vo noms ?[/s]
Durant l’heure qui restait de physique-chimie, ils s’échangèrent des mots pour apprendre à se connaître. Fran sortait avec Eric ; lorsqu’elle s’intéressa à l’autre nouveau, Julian, Eric devint jaloux, Sydney et Michael rigolait alors que Fran le convainquait qu’il n’y avait aucune raison ; tout ça dans le dos du prof. C’est ainsi que Fran, Syd, Michael et Eric devinrent amis et meilleurs amis. Et au contraire, Julian devint le solitaire de la classe, toujours seul en cours. Au cours, du temps, il avait crée un fossé entre lui et le reste de la classe, avec son attitude froide et provocante avec les profs.
Ils étaient presque au trois quart de l’année quand leurs profs de maths, biologie et physique-chimie leur donna un prof à faire.
- P de maths (qui était aussi leur prof principale) : Cette année, nous avons décidé de l’utiliser une nouvelle technique pour les révisions de Bac. Votre classe regroupe toutes les spécialités du Bac Scientifique. Ainsi, nous avons établis des groupes de 3 élèves, un de chaque spécialité. C’est-à-dire, nous vous remettrons un certains nombre de sujet que vous devrez résoudre et nous exposez les résultats, la démarche… bref tout nous expliquer.
- P de bio : Alors les groupes : Potter, Granger, Weasley… Bristow, Vaughn, Sark….
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 86
Localisation : bras de sark
Loisirs : ordi, lecture, film
Date d'inscription : 27/03/2006
Re: Enfance
Suite du chapitre 1
Sydney et Mike étaient contents, ils n’allaient pas se retrouver seuls mais… seul ombre au tableau : Sark.
- ? : Alors les tourtereaux, nous allons faire équipe ensemble.
- M : Sark tu…
- S (évitant que les deux jeunes hommes ne se fritent une nouvelle fois) : Julian, stp, ne le cherche pas. Tu sais très bien ce qui se passe quand tu fais ça et je veux avoir une bonne note alors arrête ! (se tournant vers Michael) Et toi aussi !
- M : Mais-
- S : Non ! Vous vous la fermez tous les deux ! Mercredi après-midi, 14h chez moi !
Et elle tourna les talons et s’éloigna des garçons.
Les deux garçons la suivirent du regard, aussi étonnés l’un que l’autre.
- M : Wow, cette fille est vraiment délicieuse !
- J (suspicieux) : Vous êtes ensemble ?
- M (comme si Julian venait de Mars) : Non !! Ca va pas la tête ??? C’est ma petite sœur enfin comme… (suspicieux) Pourquoi ça t’intéresse ?
- J (nonchalant) : Je voulais pas me retrouver chez Sydney tout seul avec un couple. J’me serais emmerdé.
- M : Et non, tu vois ! Tu vas pouvoir nous faire part de ta merveilleuse présence !
- J : Tu sais que t’es drôle toi ?
Il lui donna une tape dans le dos. Michael se retourna mais Julian, lui, avait déjà tourné les talons et s’en allait. Mike fit de même.
Mercredi après-midi
Cela faisait 10 minutes que Julian sonnait chez Sydney, mais personne ne répondait. Mike arriva et lui demanda ce qu’il faisait là.
- J : Personne ne répond !
- M : Quoi ?
- J : Ca fait 10 minutes que je sonne sans cesse ! Personne ne répond !
Mike essaya d’ouvrir la porte mais elle était close. Il se retourna et aperçue Sydney dans la rue.
- M : Syd ! T’avais dit 14h ! Et après c’est nous que-
- J : Ta g***** !
Il se retourna vers le jeune homme incompréhensif. Du regard, il lui demandait de s’expliquer. Mais il n’en fit rien. Ses yeux étaient rivés sur Sydney.
Elle remonta l’allée, évita l’embrassade de Mike, et sans dire un mot ouvrit la porte et la referma au nez des garçons.
- M (incompréhensif) : Qu’est-ce que-
- J : Michael…
- M (furieux) : Quoi ?
- J : Elle… elle… a été agressée.
- M : Quoi ?? Ca va pas la tête ? Tu te fais trop de film mon pauvre ! Arrête ! T’es trop-
- J : La ferme ! T’as rien remarqué abruti ! Son tee-shirt était déchiré ! Et… je suis sûr que c’était pas la seule chose.
Il était touché, sa voix était empreinte de tristesse, douleur, souffrance. Mike ne pouvait que le croire.
Pendant plus de 3h, ils essayèrent de la faire ouvrir la porte mais ils durent abandonnés quand elle mit la musique à fond chez elle.
22h, le soir même
- ? : Julian ! Tu n’es qu’un incapable ! Qu’est-ce que t’as fait pour que je retrouve la maison dans un tel état ! (vlan, une claque) Tu n’es qu’un bon à rien, un incapable ! (vlan) Tu n’es pas digne d’être mon fil ! (Vlan) J’aurais du te tuer à ta naissance !! (Vlan) Tu ne serais pas né, ta-
Julian sortit de chez lui en claquant la porte. A chaque fois que son père rentrait, c’était la même rengaine. Il pouvait tenir la maison aussi bien, même mieux que son père, mais ça ne l’était jamais assez. C’était lorsqu’il parlait de sa mère qu’il ne le supportait plus. Que ce soit les coups qu’il pouvait lui donner, les injures, tout ça, rien ne l’atteignait réellement, il avait réussi à se forger une carapace pour ne plus avoir mal « sentimentalement », il ne l’avait que physiquement. Mais sa mère. Non. Il ne lui pardonnait pas. Il n’avait pas le droit de lui mettre la mort de sa mère sur le dos. Ca, jamais Andrian Lazarey ne le ferait culpabiliser. Si elle avait succombée à la mort, ce n’était pas par sa faute, mais la sienne à lui. Si ce jour-là, au lieu d’aller effectuer une mission pour son gouvernement, il avait été avec elle cette nuit-là. Il aurait été là quand elle le réclamait en hurlant de douleur. Il savait ça des infirmières et du médecin qui avait fait accoucher sa mère. La première fois que son père lui avait jeté à la figure qu’il aurait préféré qu’il ne naisse jamais, il avait été voir le médecin et les infirmières pour avoir leur version des faits. Et à partir de ce jour-là, à chaque fois que son père parlait d’elle, il se promettait une fois de plus de lui faire payer tout ce qu’il avait fait à sa mère et à lui-même.
Il fulminait, il marchait sans but. Lorsqu’il reprit conscience de son environnement, il était devant chez Sydney.
Quelque chose le frappa… toutes les pièces de la maison étaient allumées.
J : « Mais qu’est-ce qui se passe ?
Il remonta l’allée pour sonner à la maison. Il entendit quelqu’un arrivait mais personne n’ouvrit la porte.
- J (d’une voix douce) : Sydney, c’est Julian. Ouvre.
Rien.
- J : Sydney… Ouvre-moi…C’est Julian, ouvre-moi.
La lumière du perron s’alluma et il entendit un clic. La porte s’ouvrit et la lumière du perron s’éteignit.
Sydney poussa un cri de frayeur et s’enfuit dans la maison. Julian était déboussolé mais il suivit la jeune femme dans la maison, en refermant auparavant la porte d’entrée.
Elle s’était réfugiée dans le salon où il la retrouva recroquevillé sur le canapé.
Il alla à côté d’elle, plus il s’approchait, plus elle devenait agitée. Lorsqu’il fut près d’elle, elle tremblait de tous ses membres.
- J (passant sa main sur son bras) : Syd-
- S : Ah.
Elle retira ses bras et alla se recroqueviller loin de Julian.
J : « Ok, c’est quoi ce bordel ??? »
- J (s’éloignant du canapé et s’approchant du fauteuil) : Eh Sydney ! (il réussit à capter son attention) Regardes, je vais m’asseoir là. Tu vois ?
Il s’assit plus loin et attendit. Il savait qu’il fallait attendre qu’elle se détende, qu’elle lui fasse confiance.
Il avait peur. C’était la première fois qu’une chose comme ça lui arriver et il ne savait pas quoi faire.
Au bout de 2h, Sydney se détendit assez pour qu’il puisse lui parler.
- J : Sydney… qu’est-ce qu’il y a ?
Une lueur de douleur passa dans son regard mais elle ne dit rien.
- J (« allez mon gars on se lance ! ») : Je me suis encore engueulé avec mon père. Il est jamais à la maison mais à chaque fois qu’il rentre, il doit retrouver la maison impeccable. Mais pour lui, jamais elle n’est impeccable. Et il me crie après, il… me corrige. Tu te rappelles la dernière fois où tu m’as vu avec les bleus que j’avais sur le visage ? Tu as cru que je m’étais encore battu… tu t’es foutu de moi… non Sydney, c’était pas une bagarre… c’était mon père qui était rentré et qui n’a pas été une nouvelle fois content de comment je tiens la maison. Et il a crié, injurié, frappé… comme ce soir. Mais ce n’est rien… par rapport à ce qu’il a dit… il … veut encore et toujours me rendre coupable de la mort de ma mère. Elle est morte à ma naissance. Mais c’est sa faute ! Je ne supporte pas, c’est la seule chose que je n’arrive pas à supporter, qu’il parle de ma mère…
Il parla pendant un petit moment puis lorsqu’il eut fini de se confier (« même si c’est pour elle… ça m’a fait du bien »), il laissa le silence prendre place. Il attendait.
Mais Sydney ne disait toujours rien. Pourtant, elle avait écoutée attentivement ce qu’il avait dit, et il avait cru décelé de la compréhension.
Elle attendait qu’il parle… mais il ne céderait pas. Elle allait parler, il le fallait !
Quelques heures de silence plus tard, ils en étaient toujours au même point. Mais Julian n’en démordrait pas.
- S : Je suis allée acheter des boissons et de la nourriture pour nous, parce qu’il n’y avait plus rien. Au retour, j’ai repris le même chemin qu’à l’aller, un raccourci entre les bâtiments juste derrière chez moi. Il n’y avait personne. Et… j’ai entendu quelqu’un derrière moi. Je n’ai pas fait attention… il… il a commencé à parler « allez ma chérie, ma belle arrête-toi ! Viens me voir ». J’ai… j’ai commencée à marcher plus vite mais lui aussi. Et… et… il m’a attrapé et jeté sur les cartons. J’étais sonnée, j’avais peur ! (sa voix commençait à trembler et la douleur pouvait s’y sentir) Il… s’est approché de moi, il s’est… baissé près de moi, il… s’est… allongé sur… moi… il a commencé à… m’embrasser, ses mains me pelotaient… ma poitrine… puis… (Elle éclata en sanglots) Je criais ! Personne ne venait, personne ne m’entendait, j’étais seule ! Il… a mis sa main dans… pour l’enlever et… il… il… oh mon Dieu !
Elle se jeta dans les bras de Julian, surprit, furieux et choqué. Il la serrait aussi fort même plus qu’elle ne le faisait.
- J : Chut… je suis là, ne t’inquiètes pas.
C’est dans les bras de Julian qu’elle s’endormit. Il la porta jusque dans sa chambre, et redescendit dans le salon où il y passa la nuit.
Le lendemain matin
Sydney,
Je suis partie au lycée, je reviendrais à midi.
Julian.
- ? : Eh Sark !
Le jeune homme blond se retourna et attendit celui qui l’appelait.
- J : Qu’est-ce qu’il y a Vaughn ?
- M : T’as pas vu Sydney ?
Michael remarqua que le visage de Julian s’était assombrit. Le garçon lui attrapa le bras et l’amena à l’écart de la foule.
- J : Vaughn (prenant une grande inspiration). Hier soir, je suis allé voir Sydney chez elle-
- M : Elle t’a ouvert ??
- J : Moui.
- M : Elle me fait la tête ? Qu’est-ce que j’ai fais ?
- J : C’est pas toi –
- M : Si ! Elle t’a pas ouvert quand t’étais avec moi, mais tout seul si !
- J (dégoûté et en criant) : C’est bon ? T’as fini ? Tu es prêt à m’écouter ? (Vaughn acquiesça) Elle n’a rien contre toi, non tais-toi ! Elle… elle en a après tous les hommes du monde !
- M : Quoi ??
- J (soupirant) : Elle s’est faite violée…
Crac !
Le crochet du droit de Vaughn partit et fracassa le nez de Julian.
- M : Salaud !
_________________________________________
Sydney et Mike étaient contents, ils n’allaient pas se retrouver seuls mais… seul ombre au tableau : Sark.
- ? : Alors les tourtereaux, nous allons faire équipe ensemble.
- M : Sark tu…
- S (évitant que les deux jeunes hommes ne se fritent une nouvelle fois) : Julian, stp, ne le cherche pas. Tu sais très bien ce qui se passe quand tu fais ça et je veux avoir une bonne note alors arrête ! (se tournant vers Michael) Et toi aussi !
- M : Mais-
- S : Non ! Vous vous la fermez tous les deux ! Mercredi après-midi, 14h chez moi !
Et elle tourna les talons et s’éloigna des garçons.
Les deux garçons la suivirent du regard, aussi étonnés l’un que l’autre.
- M : Wow, cette fille est vraiment délicieuse !
- J (suspicieux) : Vous êtes ensemble ?
- M (comme si Julian venait de Mars) : Non !! Ca va pas la tête ??? C’est ma petite sœur enfin comme… (suspicieux) Pourquoi ça t’intéresse ?
- J (nonchalant) : Je voulais pas me retrouver chez Sydney tout seul avec un couple. J’me serais emmerdé.
- M : Et non, tu vois ! Tu vas pouvoir nous faire part de ta merveilleuse présence !
- J : Tu sais que t’es drôle toi ?
Il lui donna une tape dans le dos. Michael se retourna mais Julian, lui, avait déjà tourné les talons et s’en allait. Mike fit de même.
Mercredi après-midi
Cela faisait 10 minutes que Julian sonnait chez Sydney, mais personne ne répondait. Mike arriva et lui demanda ce qu’il faisait là.
- J : Personne ne répond !
- M : Quoi ?
- J : Ca fait 10 minutes que je sonne sans cesse ! Personne ne répond !
Mike essaya d’ouvrir la porte mais elle était close. Il se retourna et aperçue Sydney dans la rue.
- M : Syd ! T’avais dit 14h ! Et après c’est nous que-
- J : Ta g***** !
Il se retourna vers le jeune homme incompréhensif. Du regard, il lui demandait de s’expliquer. Mais il n’en fit rien. Ses yeux étaient rivés sur Sydney.
Elle remonta l’allée, évita l’embrassade de Mike, et sans dire un mot ouvrit la porte et la referma au nez des garçons.
- M (incompréhensif) : Qu’est-ce que-
- J : Michael…
- M (furieux) : Quoi ?
- J : Elle… elle… a été agressée.
- M : Quoi ?? Ca va pas la tête ? Tu te fais trop de film mon pauvre ! Arrête ! T’es trop-
- J : La ferme ! T’as rien remarqué abruti ! Son tee-shirt était déchiré ! Et… je suis sûr que c’était pas la seule chose.
Il était touché, sa voix était empreinte de tristesse, douleur, souffrance. Mike ne pouvait que le croire.
Pendant plus de 3h, ils essayèrent de la faire ouvrir la porte mais ils durent abandonnés quand elle mit la musique à fond chez elle.
22h, le soir même
- ? : Julian ! Tu n’es qu’un incapable ! Qu’est-ce que t’as fait pour que je retrouve la maison dans un tel état ! (vlan, une claque) Tu n’es qu’un bon à rien, un incapable ! (vlan) Tu n’es pas digne d’être mon fil ! (Vlan) J’aurais du te tuer à ta naissance !! (Vlan) Tu ne serais pas né, ta-
Julian sortit de chez lui en claquant la porte. A chaque fois que son père rentrait, c’était la même rengaine. Il pouvait tenir la maison aussi bien, même mieux que son père, mais ça ne l’était jamais assez. C’était lorsqu’il parlait de sa mère qu’il ne le supportait plus. Que ce soit les coups qu’il pouvait lui donner, les injures, tout ça, rien ne l’atteignait réellement, il avait réussi à se forger une carapace pour ne plus avoir mal « sentimentalement », il ne l’avait que physiquement. Mais sa mère. Non. Il ne lui pardonnait pas. Il n’avait pas le droit de lui mettre la mort de sa mère sur le dos. Ca, jamais Andrian Lazarey ne le ferait culpabiliser. Si elle avait succombée à la mort, ce n’était pas par sa faute, mais la sienne à lui. Si ce jour-là, au lieu d’aller effectuer une mission pour son gouvernement, il avait été avec elle cette nuit-là. Il aurait été là quand elle le réclamait en hurlant de douleur. Il savait ça des infirmières et du médecin qui avait fait accoucher sa mère. La première fois que son père lui avait jeté à la figure qu’il aurait préféré qu’il ne naisse jamais, il avait été voir le médecin et les infirmières pour avoir leur version des faits. Et à partir de ce jour-là, à chaque fois que son père parlait d’elle, il se promettait une fois de plus de lui faire payer tout ce qu’il avait fait à sa mère et à lui-même.
Il fulminait, il marchait sans but. Lorsqu’il reprit conscience de son environnement, il était devant chez Sydney.
Quelque chose le frappa… toutes les pièces de la maison étaient allumées.
J : « Mais qu’est-ce qui se passe ?
Il remonta l’allée pour sonner à la maison. Il entendit quelqu’un arrivait mais personne n’ouvrit la porte.
- J (d’une voix douce) : Sydney, c’est Julian. Ouvre.
Rien.
- J : Sydney… Ouvre-moi…C’est Julian, ouvre-moi.
La lumière du perron s’alluma et il entendit un clic. La porte s’ouvrit et la lumière du perron s’éteignit.
Sydney poussa un cri de frayeur et s’enfuit dans la maison. Julian était déboussolé mais il suivit la jeune femme dans la maison, en refermant auparavant la porte d’entrée.
Elle s’était réfugiée dans le salon où il la retrouva recroquevillé sur le canapé.
Il alla à côté d’elle, plus il s’approchait, plus elle devenait agitée. Lorsqu’il fut près d’elle, elle tremblait de tous ses membres.
- J (passant sa main sur son bras) : Syd-
- S : Ah.
Elle retira ses bras et alla se recroqueviller loin de Julian.
J : « Ok, c’est quoi ce bordel ??? »
- J (s’éloignant du canapé et s’approchant du fauteuil) : Eh Sydney ! (il réussit à capter son attention) Regardes, je vais m’asseoir là. Tu vois ?
Il s’assit plus loin et attendit. Il savait qu’il fallait attendre qu’elle se détende, qu’elle lui fasse confiance.
Il avait peur. C’était la première fois qu’une chose comme ça lui arriver et il ne savait pas quoi faire.
Au bout de 2h, Sydney se détendit assez pour qu’il puisse lui parler.
- J : Sydney… qu’est-ce qu’il y a ?
Une lueur de douleur passa dans son regard mais elle ne dit rien.
- J (« allez mon gars on se lance ! ») : Je me suis encore engueulé avec mon père. Il est jamais à la maison mais à chaque fois qu’il rentre, il doit retrouver la maison impeccable. Mais pour lui, jamais elle n’est impeccable. Et il me crie après, il… me corrige. Tu te rappelles la dernière fois où tu m’as vu avec les bleus que j’avais sur le visage ? Tu as cru que je m’étais encore battu… tu t’es foutu de moi… non Sydney, c’était pas une bagarre… c’était mon père qui était rentré et qui n’a pas été une nouvelle fois content de comment je tiens la maison. Et il a crié, injurié, frappé… comme ce soir. Mais ce n’est rien… par rapport à ce qu’il a dit… il … veut encore et toujours me rendre coupable de la mort de ma mère. Elle est morte à ma naissance. Mais c’est sa faute ! Je ne supporte pas, c’est la seule chose que je n’arrive pas à supporter, qu’il parle de ma mère…
Il parla pendant un petit moment puis lorsqu’il eut fini de se confier (« même si c’est pour elle… ça m’a fait du bien »), il laissa le silence prendre place. Il attendait.
Mais Sydney ne disait toujours rien. Pourtant, elle avait écoutée attentivement ce qu’il avait dit, et il avait cru décelé de la compréhension.
Elle attendait qu’il parle… mais il ne céderait pas. Elle allait parler, il le fallait !
Quelques heures de silence plus tard, ils en étaient toujours au même point. Mais Julian n’en démordrait pas.
- S : Je suis allée acheter des boissons et de la nourriture pour nous, parce qu’il n’y avait plus rien. Au retour, j’ai repris le même chemin qu’à l’aller, un raccourci entre les bâtiments juste derrière chez moi. Il n’y avait personne. Et… j’ai entendu quelqu’un derrière moi. Je n’ai pas fait attention… il… il a commencé à parler « allez ma chérie, ma belle arrête-toi ! Viens me voir ». J’ai… j’ai commencée à marcher plus vite mais lui aussi. Et… et… il m’a attrapé et jeté sur les cartons. J’étais sonnée, j’avais peur ! (sa voix commençait à trembler et la douleur pouvait s’y sentir) Il… s’est approché de moi, il s’est… baissé près de moi, il… s’est… allongé sur… moi… il a commencé à… m’embrasser, ses mains me pelotaient… ma poitrine… puis… (Elle éclata en sanglots) Je criais ! Personne ne venait, personne ne m’entendait, j’étais seule ! Il… a mis sa main dans… pour l’enlever et… il… il… oh mon Dieu !
Elle se jeta dans les bras de Julian, surprit, furieux et choqué. Il la serrait aussi fort même plus qu’elle ne le faisait.
- J : Chut… je suis là, ne t’inquiètes pas.
C’est dans les bras de Julian qu’elle s’endormit. Il la porta jusque dans sa chambre, et redescendit dans le salon où il y passa la nuit.
Le lendemain matin
Sydney,
Je suis partie au lycée, je reviendrais à midi.
Julian.
- ? : Eh Sark !
Le jeune homme blond se retourna et attendit celui qui l’appelait.
- J : Qu’est-ce qu’il y a Vaughn ?
- M : T’as pas vu Sydney ?
Michael remarqua que le visage de Julian s’était assombrit. Le garçon lui attrapa le bras et l’amena à l’écart de la foule.
- J : Vaughn (prenant une grande inspiration). Hier soir, je suis allé voir Sydney chez elle-
- M : Elle t’a ouvert ??
- J : Moui.
- M : Elle me fait la tête ? Qu’est-ce que j’ai fais ?
- J : C’est pas toi –
- M : Si ! Elle t’a pas ouvert quand t’étais avec moi, mais tout seul si !
- J (dégoûté et en criant) : C’est bon ? T’as fini ? Tu es prêt à m’écouter ? (Vaughn acquiesça) Elle n’a rien contre toi, non tais-toi ! Elle… elle en a après tous les hommes du monde !
- M : Quoi ??
- J (soupirant) : Elle s’est faite violée…
Crac !
Le crochet du droit de Vaughn partit et fracassa le nez de Julian.
- M : Salaud !
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myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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Re: Enfance
Chapitre 2 :
- J : C’est bon !!! J’ai rien fait moi !!!!!!!
Michael se sentit bête tout d’un coup. Et choqué. Syd s’était fait… Oh mon Dieu ! Et il n’avait rien vu. Quel imbécile il faisait ! Il leva vers Julian des yeux de chien battu.
-J : Hé ! Me fais pas tes yeux de chiens battus ! Ca marche pas avec moi ! Et c’est pas comme ça que tu aideras Syd.
Tous leurs cours de la journée furent utilisés pour parler de Sydney et planifié leur soutien qu’ils voulaient donnés à celle-ci.
Le soir même
Les garçons arrivèrent devant chez Sydney, il faisait nuit. Julian empêcha Michael de sonner. Le jeune homme fut surpris mais laissa faire l’autre qui alluma la lumière du porche. Il demanda des explications au blond qui lui répondit simplement « Pour que Syd n’est pas peur ». Puis il sonna.
Quelques minutes plus tard, Sydney vint ouvrir. La vision de l’état de la jeune fille dérouta complètement Michael. Elle était vêtue d’un jogging, surement à son père et d’un sweat aussi ample, cachant toute forme de son corps. Mais outre son aspect, ses yeux reflétaient aussi la peur, une peur extrême.
Michael eut un élan de douceur et voulut prendre Sydney dans ses bras mais encore une fois, Julian l’en empêcha. Il lui montra Sydney et il vit qu’elle s’était reculée de quelques pas.
-M : Sydney…
-J (le coupant) : Et si tu nous faisais entrer ? C’est pas qu’il fait frisquet dehors mais bon…
Elle lui adressa un maigre sourire et les fit entrer. Elle n’avait pas encore décroché un seul mot.
Ils s’assirent sur le canapé et un silence pesant pris place dans la maison.
Michael ne cessait de le fixer. Il ne pouvait pas détacher son regard de ce visage si triste.
Julian essaya de le faire échanger car il voyait bien que ça effrayait plus Sydney et qu’ils n’avaient pas besoin de ça.
-J : Ca vous dit une soirée pizza TV ?
-M (revenant brusquement à la réalité) : Euh… ouais pourquoi pas !
-J : Sydney ?
-S : Euh…. (d’une toute petite voix) comme vous voulez.
-J : Si tu veux pas, on peut faire autre chose.
-S : Non ! Mais choisissez. Ca m’est égal.
-M (bas à Julian) : Tu ne crois pas qu’il faut la forcer ?
-J (bas) : Elle a peur qu’on lui fasse du mal si elle dit ce qu’elle veut. (à Sydney) Syd, je te promets que je ne te ferais rien, ni moi, ni Michael. (la voyant réfléchir) Tu veux faire quoi ?
-S : Pizza et WonderMyki.
-M : Wonderquoi ?
-S : Rien rien.
-M : Mais sir, c’est juste que je connais pas. C’est quoi ce film ?
-S (d’une toute petite voix) : C’est l’histoire d’une jeune fille qui, pour son entourage, passe pour une petite folle (^_^). Mais elle rencontre 5 filles (me, choupi, clairette, fuller, shremma) qui vont devenir ses amies et grâce à qui, elle va rencontrer l’amour de sa vie.
Les deux hommes étaient médusés, c’était un film à l’eau de rose que Sydney voulait regarder.
-M : Pourquoi WonderMyki ?
-S : Euh… c’est le surnom de la fille.
Ils avaient vraiment espérés un film à la Superman surtout avec une fille en collant supra moulant, ils auraient au moins pu baver devant cette « WonderMyki » ! Eh non… pas de super héros.
Ils commandèrent une pizza. Lorsque le livreur arriva, ce fut Julian qui ouvrit la porte et prit la commande. Ils ne voulaient pas que Sydney retombe dans sa peur si elle avait du ouvrir la porte.
Ils réussir à détendre un tant soit peu Sydney mais elle était encore loin, très loin de son état normal.
Les garçons ne furent pas déçus du film. En effet, il y avait une scène où la « WonderMyki » était dans une tenue de cuire noir. C’était juste un pari avec ses amies mais ce fut au plus grand plaisir de Michael et Julian.
La soirée se passa dans une certaine bonne humeur, enfin autant que cela était possible avec quelqu’un qui avait peur des deux autres.
Lorsque Sydney se coucha ce soir-là, elle avait le sourire aux lèvres. Pas le sourire joyeux qu’elle arborait avant mais une sorte de sourire paisible. Elle avait toujours peur du contact physique avec les garçons mais leur présence la rassurait et l’aider à vivre.
Pendant plus d’un mois, ce manège perpétua. Bizarrement, et au plus grand étonnement de Julian et Michael, Sydney les laissait s’approcher d’elle mais ils étaient les seuls hommes qui le pouvaient. Même son père, qui ne comprenait pas ce qui arrivait à sa fille et qui ne s’y intéressa que très peu, même lui ne pouvait ni l’approcher ni la toucher.
C’était lundi. Chez les Bristow, une dispute venait d’éclater.
-? : Sydney ! Tu viens avec nous au lycée !
-S : Non ! Je reste ici !
- ? : Alors là ma belle tu rêves ! Ca fait 1 mois que tu restes ici toute la journée ! Tu dois sortir !
-S : J’irais faire un tour dehors !
- ? (doucement) : Sydney, tu me fais confiance, tu nous fais confiance ?
-S : Tu sais très bien qu’il ne s’agit pas de ça Julian.
-J : Si ! Tu viens avec nous ! On sera toujours là avec toi ! On ne te quitteras pas.
-S (se tournant vers le dernier) : Mike ! Aide-moi !
-M : Syd… tu sais très bien qu’il a parfaitement raison. Il est temps Sydney. (héhé Seigneur des Anneaux powaa !)
La jeune femme céda. Elle avait peur de revoir le monde, du regard que les autres hommes pourraient avoir sur elle.
Le long du chemin, Sydney ne prononça aucune parole alors que Mike et Julian parlait en essayant de la faire participer. En vain.
Arrivée au lycée, les gars qui tentaient en vain de sortir avec Sydney l’accostèrent tout en essayant de la prendre par les épaules.
-G : Sydney ! Ma belle ! Alors qu’est-ce qui s’est passé ? Où t’étais ? Tu m’as manqué tu sais ?
Mais Julian et Mike ne l’entendaient pas de la même oreille. Ils l’arrêtèrent avant qu’il ne puisse la toucher.
-G : Eh ! Qu’est-ce qui vous prend ? Vous êtes malade !
Mais les garçons ne l’écoutaient plus, ils avaient déjà pris Sydney et s’était éloigné.
Durant toute la journée, ils avaient eu cette attitude protectrice envers Sydney au plus grand malheur des autres garçons qui passaient leur temps à la draguer.
20/04
Les garçons viennent de partir. Ils ont insistés pour rester ce soir parce qu’ils avaient rien à faire, mais je sais que ce n’est pas pour ça. Cela fait 1 an… 1 an que j’ai été souillée, 1 an que je vis dans la peur, 1an que Jul’ et Mike sont devenus mes frères. Je crois que sans eux, je n’aurais jamais réussi à m’en sortir à revivre, à ressortir. Je crois que je leur dois tout, ma vie et mon bonheur.
On va tous les trois repasser notre bac. L’année dernière, on l’a tous les trois loupés… enfin, ils l’ont loupés pour ne pas me laisser seule, affronter une année avec les mecs qui me tourneraient autour. Alors nous voilà, trois redoublants, les trois doigts de la main comme nous appellent les profs, unis contre tout.
30/05
Je suis triste, dégoûtée, malheureuse. On vient de recevoir nos réponses pour les universités. Je reste à Los Angeles alors que Mike part à New York et Jul’ pour Chicago. Aucune université ne nous ont pris ensemble. Notre belle équipe va finir par éclater. J’espère seulement que notre amitié n’en souffrira pas. S’il vous plaît mon Dieu, je ne veux pas les perdre.
~~~~ 11 ans plus tard ~~~~
-? : Que sais-tu de l’Alliance ?
- ? : L’Alliance des 12… ennemis des Etats-Unis…
- ? : Tu travailles pour l’ennemi que tu pensais combattre.
Vaughn pov
Devlin vient de me convoquer. Encore pour me féliciter et renouveler sa promesse de m’envoyer sur le terrain ou enfin de les respecter ?
Eric a l’air confiant, il pense que c’est la bonne. Je ne sais pas pourquoi mais je ne suis pas du même avis. « Tu es pessimiste mon pauvre ». Ca c’est tout Eric. Eric Weiss, 30 ans, célibataire, professionnel de la pizza et par la même occasion mon meilleur ami.
Je suis devant sa porte, comme d’habitude mon ventre fait des siennes. Je me sens mal.
Sa secrétaire vient de lui annoncer que j’étais là, un peu trop rapidement à mon goût.
-D : Agent Vaughn. Ravi de vous revoir. Alors comment se passe votre travail à l’agence ?
V : Comme à chaque fois que vous me convoquez ! Je classe, je range, je m’amuse comme un petit fou !
-V : Très bien Monsieur.
- D : Tenez.
Il lui tendit un dossier assez volumineux.
-V : Qu’est-ce que c’est ?
-D : Votre premier dossier. Il y a quelques heures, une femme est venue se présenter à mon bureau. Elle fait partie du SD-6.
-V : Un agent du SD-6 s’est rendu ?
-D : Pas tout à fait, en fait elle vient nous demander de le prendre en tant qu’agent double.
-V : Mais nous en avons déjà un Monsieur ! Pouvons-nous avoir confiance en elle ?
-D : Elle est en train de passer des examens et pour sa loyauté, notre agent infiltré nous a certifié qu’en aucun cas, le SD-6 lui avait donné de mission bien que nos examens nous le confirmeront aussi.
-V : Ou non.
-D : Certes, vous serez chargé de la liaison entre cet agent et la CIA. Vous pouvez disposer.
-V : Qui est-ce ?
-D : L’agent Sydney Bristow.
- J : C’est bon !!! J’ai rien fait moi !!!!!!!
Michael se sentit bête tout d’un coup. Et choqué. Syd s’était fait… Oh mon Dieu ! Et il n’avait rien vu. Quel imbécile il faisait ! Il leva vers Julian des yeux de chien battu.
-J : Hé ! Me fais pas tes yeux de chiens battus ! Ca marche pas avec moi ! Et c’est pas comme ça que tu aideras Syd.
Tous leurs cours de la journée furent utilisés pour parler de Sydney et planifié leur soutien qu’ils voulaient donnés à celle-ci.
Le soir même
Les garçons arrivèrent devant chez Sydney, il faisait nuit. Julian empêcha Michael de sonner. Le jeune homme fut surpris mais laissa faire l’autre qui alluma la lumière du porche. Il demanda des explications au blond qui lui répondit simplement « Pour que Syd n’est pas peur ». Puis il sonna.
Quelques minutes plus tard, Sydney vint ouvrir. La vision de l’état de la jeune fille dérouta complètement Michael. Elle était vêtue d’un jogging, surement à son père et d’un sweat aussi ample, cachant toute forme de son corps. Mais outre son aspect, ses yeux reflétaient aussi la peur, une peur extrême.
Michael eut un élan de douceur et voulut prendre Sydney dans ses bras mais encore une fois, Julian l’en empêcha. Il lui montra Sydney et il vit qu’elle s’était reculée de quelques pas.
-M : Sydney…
-J (le coupant) : Et si tu nous faisais entrer ? C’est pas qu’il fait frisquet dehors mais bon…
Elle lui adressa un maigre sourire et les fit entrer. Elle n’avait pas encore décroché un seul mot.
Ils s’assirent sur le canapé et un silence pesant pris place dans la maison.
Michael ne cessait de le fixer. Il ne pouvait pas détacher son regard de ce visage si triste.
Julian essaya de le faire échanger car il voyait bien que ça effrayait plus Sydney et qu’ils n’avaient pas besoin de ça.
-J : Ca vous dit une soirée pizza TV ?
-M (revenant brusquement à la réalité) : Euh… ouais pourquoi pas !
-J : Sydney ?
-S : Euh…. (d’une toute petite voix) comme vous voulez.
-J : Si tu veux pas, on peut faire autre chose.
-S : Non ! Mais choisissez. Ca m’est égal.
-M (bas à Julian) : Tu ne crois pas qu’il faut la forcer ?
-J (bas) : Elle a peur qu’on lui fasse du mal si elle dit ce qu’elle veut. (à Sydney) Syd, je te promets que je ne te ferais rien, ni moi, ni Michael. (la voyant réfléchir) Tu veux faire quoi ?
-S : Pizza et WonderMyki.
-M : Wonderquoi ?
-S : Rien rien.
-M : Mais sir, c’est juste que je connais pas. C’est quoi ce film ?
-S (d’une toute petite voix) : C’est l’histoire d’une jeune fille qui, pour son entourage, passe pour une petite folle (^_^). Mais elle rencontre 5 filles (me, choupi, clairette, fuller, shremma) qui vont devenir ses amies et grâce à qui, elle va rencontrer l’amour de sa vie.
Les deux hommes étaient médusés, c’était un film à l’eau de rose que Sydney voulait regarder.
-M : Pourquoi WonderMyki ?
-S : Euh… c’est le surnom de la fille.
Ils avaient vraiment espérés un film à la Superman surtout avec une fille en collant supra moulant, ils auraient au moins pu baver devant cette « WonderMyki » ! Eh non… pas de super héros.
Ils commandèrent une pizza. Lorsque le livreur arriva, ce fut Julian qui ouvrit la porte et prit la commande. Ils ne voulaient pas que Sydney retombe dans sa peur si elle avait du ouvrir la porte.
Ils réussir à détendre un tant soit peu Sydney mais elle était encore loin, très loin de son état normal.
Les garçons ne furent pas déçus du film. En effet, il y avait une scène où la « WonderMyki » était dans une tenue de cuire noir. C’était juste un pari avec ses amies mais ce fut au plus grand plaisir de Michael et Julian.
La soirée se passa dans une certaine bonne humeur, enfin autant que cela était possible avec quelqu’un qui avait peur des deux autres.
Lorsque Sydney se coucha ce soir-là, elle avait le sourire aux lèvres. Pas le sourire joyeux qu’elle arborait avant mais une sorte de sourire paisible. Elle avait toujours peur du contact physique avec les garçons mais leur présence la rassurait et l’aider à vivre.
Pendant plus d’un mois, ce manège perpétua. Bizarrement, et au plus grand étonnement de Julian et Michael, Sydney les laissait s’approcher d’elle mais ils étaient les seuls hommes qui le pouvaient. Même son père, qui ne comprenait pas ce qui arrivait à sa fille et qui ne s’y intéressa que très peu, même lui ne pouvait ni l’approcher ni la toucher.
C’était lundi. Chez les Bristow, une dispute venait d’éclater.
-? : Sydney ! Tu viens avec nous au lycée !
-S : Non ! Je reste ici !
- ? : Alors là ma belle tu rêves ! Ca fait 1 mois que tu restes ici toute la journée ! Tu dois sortir !
-S : J’irais faire un tour dehors !
- ? (doucement) : Sydney, tu me fais confiance, tu nous fais confiance ?
-S : Tu sais très bien qu’il ne s’agit pas de ça Julian.
-J : Si ! Tu viens avec nous ! On sera toujours là avec toi ! On ne te quitteras pas.
-S (se tournant vers le dernier) : Mike ! Aide-moi !
-M : Syd… tu sais très bien qu’il a parfaitement raison. Il est temps Sydney. (héhé Seigneur des Anneaux powaa !)
La jeune femme céda. Elle avait peur de revoir le monde, du regard que les autres hommes pourraient avoir sur elle.
Le long du chemin, Sydney ne prononça aucune parole alors que Mike et Julian parlait en essayant de la faire participer. En vain.
Arrivée au lycée, les gars qui tentaient en vain de sortir avec Sydney l’accostèrent tout en essayant de la prendre par les épaules.
-G : Sydney ! Ma belle ! Alors qu’est-ce qui s’est passé ? Où t’étais ? Tu m’as manqué tu sais ?
Mais Julian et Mike ne l’entendaient pas de la même oreille. Ils l’arrêtèrent avant qu’il ne puisse la toucher.
-G : Eh ! Qu’est-ce qui vous prend ? Vous êtes malade !
Mais les garçons ne l’écoutaient plus, ils avaient déjà pris Sydney et s’était éloigné.
Durant toute la journée, ils avaient eu cette attitude protectrice envers Sydney au plus grand malheur des autres garçons qui passaient leur temps à la draguer.
20/04
Les garçons viennent de partir. Ils ont insistés pour rester ce soir parce qu’ils avaient rien à faire, mais je sais que ce n’est pas pour ça. Cela fait 1 an… 1 an que j’ai été souillée, 1 an que je vis dans la peur, 1an que Jul’ et Mike sont devenus mes frères. Je crois que sans eux, je n’aurais jamais réussi à m’en sortir à revivre, à ressortir. Je crois que je leur dois tout, ma vie et mon bonheur.
On va tous les trois repasser notre bac. L’année dernière, on l’a tous les trois loupés… enfin, ils l’ont loupés pour ne pas me laisser seule, affronter une année avec les mecs qui me tourneraient autour. Alors nous voilà, trois redoublants, les trois doigts de la main comme nous appellent les profs, unis contre tout.
30/05
Je suis triste, dégoûtée, malheureuse. On vient de recevoir nos réponses pour les universités. Je reste à Los Angeles alors que Mike part à New York et Jul’ pour Chicago. Aucune université ne nous ont pris ensemble. Notre belle équipe va finir par éclater. J’espère seulement que notre amitié n’en souffrira pas. S’il vous plaît mon Dieu, je ne veux pas les perdre.
~~~~ 11 ans plus tard ~~~~
-? : Que sais-tu de l’Alliance ?
- ? : L’Alliance des 12… ennemis des Etats-Unis…
- ? : Tu travailles pour l’ennemi que tu pensais combattre.
Vaughn pov
Devlin vient de me convoquer. Encore pour me féliciter et renouveler sa promesse de m’envoyer sur le terrain ou enfin de les respecter ?
Eric a l’air confiant, il pense que c’est la bonne. Je ne sais pas pourquoi mais je ne suis pas du même avis. « Tu es pessimiste mon pauvre ». Ca c’est tout Eric. Eric Weiss, 30 ans, célibataire, professionnel de la pizza et par la même occasion mon meilleur ami.
Je suis devant sa porte, comme d’habitude mon ventre fait des siennes. Je me sens mal.
Sa secrétaire vient de lui annoncer que j’étais là, un peu trop rapidement à mon goût.
-D : Agent Vaughn. Ravi de vous revoir. Alors comment se passe votre travail à l’agence ?
V : Comme à chaque fois que vous me convoquez ! Je classe, je range, je m’amuse comme un petit fou !
-V : Très bien Monsieur.
- D : Tenez.
Il lui tendit un dossier assez volumineux.
-V : Qu’est-ce que c’est ?
-D : Votre premier dossier. Il y a quelques heures, une femme est venue se présenter à mon bureau. Elle fait partie du SD-6.
-V : Un agent du SD-6 s’est rendu ?
-D : Pas tout à fait, en fait elle vient nous demander de le prendre en tant qu’agent double.
-V : Mais nous en avons déjà un Monsieur ! Pouvons-nous avoir confiance en elle ?
-D : Elle est en train de passer des examens et pour sa loyauté, notre agent infiltré nous a certifié qu’en aucun cas, le SD-6 lui avait donné de mission bien que nos examens nous le confirmeront aussi.
-V : Ou non.
-D : Certes, vous serez chargé de la liaison entre cet agent et la CIA. Vous pouvez disposer.
-V : Qui est-ce ?
-D : L’agent Sydney Bristow.
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Re: Enfance
Suite du chapitre 2 :
Vaughn dut se reprendre pour ne pas chanceler devant Devlin. Il se dirigea le plus rapidement qu’il put vers son bureau et s’affala sur son siège.
Sydney…
Il prit une pièce avec laquelle il joua tout en réfléchissant.
Ca faisait 11 ans. 11 ans qu’il ne s’était pas vu. 11 ans qu’ils avaient tous les trois rompus leur promesse.
Il leva la tête, il venait d’entendre Eric l’appelait.
-E : Eh bah Mike ! (Vaughn tressaillit) Qu’est-ce qu’il y a ? Devlin te met toujours au classement ?
-M : Non, je m’occupe d’un dossier.
-E : C’est cool non ?
-V : Je deviens l’agent de liaison d’un agent double.
-E : Wow ! Direct ! Bah tu devrais être content non ?
-V : L’agent double est ma meilleure amie d’enfance.
-E : Sydney ?
Vaughn acquiesça.
Eric eut une moue de compréhension puis repartit surveiller la jeune femme qu’il savait maintenant être la « petite sœur » de son meilleur ami.
Il était passé la voir pendant qu’elle écrivait une sorte de rapport pour la CIA. Elle ne leva pas la tête ver lui, elle ne le reconnut dont pas.
Il la trouva changer. Il revit la jeune fille trahie, blessée qu’il avait connu onze ans auparavant lorsqu’elle avait subie… Il chassa cette idée de sa tête et ressortit de la pièce.
3 heures plus tard
Il était devant son bureau et hésitait à rentrer. Quelle ironie ! Mais il ne savait pas comment elle réagirait, il avait deux choix : il se faisait jeté en beauté ou elle ne réagirait même pas.
Lorsqu’il arriva à son niveau, il la vit regarder la photo d’Alice et de lui. Il tourna la photo ver son siège et s’assit. Il n’osait pas lever le regard mais lorsqu’elle prononça son prénom, il leva la tête. Sa bouche forma un mince sourire devant sa surprise.
-V : Syd.
-S : Qu’est-ce que tu fais là ??
-V : C’est moi qui suis chargée de ton dossier.
Elle se renfrogna mais soutint son regard.
-S : Je suis prise ?
-V : Ton dossier est en cours d’examen et nous attendons aussi une vraie confirmation de notre autre agent double.
Il vit que Sydney ricanait.
-V : Qu’est-ce qu’il y a ?
-S : Tu as dit « autre agent double ».
-V : Et alors ?
-S : Si tu me l’as dit c’est que je suis déjà authentifiée.
-V : Je suis mon instinct.
-S : Sinon, dans le cas où je voudrais être agent triple, j’irais le dire au SD-6 et cela déstabiliserez mon agence.
-V : Je sais que tu ne trahirais jamais les Etats-Unis.
Elle baissa la tête.
-V (changeant de sujet) : Tu veux que je t’appelle un dentiste ?
-S : Ca va aller.
Elle se leva et au moment où elle passait la porte, Vaughn entendit un « je n’ai jamais trahi quelqu’un moi ».
Il se sentit blessé. Il n’avait jamais voulu perdre contact avec elle, ni Julian mais… les révisions, les examens… tous ces petits trucs qui faisaient qu’il avait mis de plus en plus de temps à répondre à ses lettres ou à l’appeler jusqu’à ne plus le faire.
Il sentait que ça allait être difficile de retrouver son amitié, mais malgré son silence, il tenait à elle et maintenant qu’il l’avait retrouvée, il n’allait pas la laisser partir.
Ses cheveux venaient de disparaître. Sans s’en rendre compte, il s’était levé pour la suivre du regard.
~~~~ O ~~~~
L’entrepôt était vide, sombre et humide. Tout pour permettre à quiconque de pouvoir avoir un rendez-vous en secret. Heureusement pour eux. Le SD-6 ne devait jamais savoir quelles étaient la nature de ces rendez-vous.
Un homme entra. Il avait un peu moins de 30 ans, châtain aux yeux vert émeraude. Il portait un costard dans lequel il se sentait mal à l’aise. Il préférait les jeans et tee-shirt.
Il connaissait l’endroit, on lui avait expliqué où était situé la cache de la CIA dans cet entrepôt. Au fond, dans une sorte de carré « bordé » par un grillage. Dans un bruissement de fer, il ouvrit « la porte » et vit deux caisses au milieu, le tout entouré par d’autres caisses entassées. Il s’assit sur l’une des deux du milieu et attendit.
C’était leur premier rendez-vous depuis la scène dans le bureau. Il appréhendait la rencontre.
Un bruit de tôle le sortit de ses pensées. Sydney se tenait devant lui.
Il esquissa un sourire bienveillant avant de parler.
-V : Tu pars pour Rome ?
-S : Sloane veut qu’on récupère une clé pour décrypter un CD que le SD-6 a volé y a quelques temps.
-V : Nous t’avons préparé une nouvelle clé de décrypter. Notre autre agent double a déjà échangé le CD avec un faux. A Rome, tu feras l’échange, tu donneras la fausse clé à Dixon, nous récupérerons la vraie clé à ton atterrissage à L.A.
-S : Le SD-6 va se rendre compte que ce n’est pas le bon décryptage ! C’est insensé !
-V (haussant le ton) : Tu crois quoi Sydney ? Qu’on y a pas pensé ? Le CD crypté contient les infos qu’il faut ! (d’un ton plus doux) Sydney, c’est nouveau pour toi mais sache que la CIA sait ce qu’elle fait.
-S : Et toi ? Tu le sais au moins ?
-V : Qu’est-ce que tu insinues ?
-S : C’est ta première mission de « terrain » n’est-ce pas ?
-V : Et alors ?
-S : Tu n’es pas très sur de toi… qui me dit que je suis en sécurité avec toi ?
-V (énervé) : Je ne te reconnais plus ! Ce n’est pas la Sydney que j’ai connu !
-S : De quoi tu parles ?
-V : Tu as vu comment tu me parles ? Tu-
-S : Tu as ce que tu mérites !
-V : Quoi ??
-S : Toi, Julian ! Vous m’avez tous les deux abandonnés !
-V : Sydney ! C’est la vie ! On était loin ! On-
-S (d’une voix faible) : Dois-je te rappeler notre promesse ? Notre dernier jour ensemble ?
Oh oui il s’en souvenait.
*** Flash Back ***
Ils étaient sur une des plages de L.A. Le regard tourné vers l’océan. Le soleil de couchait, le ciel était rouge orangé. La nuit allait prendre possession de L.A.
A côté d’eux se trouvait des tentes. Ils avaient décidés de rester ensemble jusqu’au lendemain matin, jusqu’au moment où Mike et Jul’ allaient prendre leur avion. Une journée entière ensemble, un nuit entière ensemble. C’est durant la nuit que vint leur promesse.
Après un énième fou rire, un calme sérieux chargea l’atmosphère de la tente. Ils se regardèrent dans les yeux. Chacun se rendait compte qu’il ne leur restait plus beaucoup de temps à passer ensemble. Jul’ prit la parole, sans lâcher le regard des deux amis.
-J : Ensemble à jamais. Quoiqu’il arrive.
Les deux autres répétèrent la phrase.
Un fou rire les prirent de nouveau, mais ils savaient le sérieux de leur promesse.
*** Fin du flash back ***
-V : On ne peut pas toujours tenir ses promesses Syd.
Elle avait baissée les yeux, elle fixait à présent le sol. Il était devenu très intéressant tout à coup.
Vaughn s’approcha de Sydney, mais elle se recula vivement.
-S : Ne me touches pas ! Tu n’en as plus le droit !
Lorsqu’il plongea son regard dans ses yeux, il y vit de la douleur… aussi vive que celle qu’il y avait vu il y a 11 ans. Son cœur se serra. Il s’était juré de ne plus jamais voir ça dans son regard et là,.. c’était lui qui la faisait naître. Il se mit une claque mentale.
Leur rendez-vous se termina dans un atmosphère froide. La mission qui suivit fut tout de même un succès.
Cela faisait 6 mois que Sydney était agent double et qu’elle voyait Vaughn au moins une fois par semaine.
Leur relation avait évolué. Sydney avait réussi à de nouveau faire confiance à Vaughn et ils avaient reconstruit leur amitié sur d’autres bases, peut-être plus solide.
La jeune femme était dans la salle de briefing du SD-6. Elle devait encore jouer l’agent double… Dixon et Marshall arriva. Une discussion commença. Elle s’entendait bien avec eux et ça lui déchirait le cœur de les voir si loyaux envers le SD-6 alors qu’il lui mentait, qu’il les trahissait. Un voile de peine passa sur son visage, ce que Dixon remarqua.
-D : Sydney, ça ne va pas ?
Elle allait répondre, mentir, mais Sloane arriva. Il la sauva d’un mensonge, encore un. (Syd, je sais que t’aime quand Sloane fait quelque chose de bien pour toi… chose rare ok).
Un homme d’origine asiatique sort ensanglanté d’un bâtiment. Un jeune homme blond est derrière lui. Il tire un coup. Un deuxième coup. L’homme asiatique s’écroule, mort.
-A : Ce que vous regardez a été filmé par une caméra de surveillance situé à l’extérieur du Tyno-Chem Generis, société qui, comme vous le savez sert de couverture au QG du FTL. Vous constaterez avec moi que l’homme à terre est Quan Lee.
[…]
- S : On sait qui est le tueur ?
- A : Son visage est dans aucune bande de données.
Sydney pov
Oh non ! Pas ça. S’il vous plaît. Faites que ce soit un rêve. Ou plutôt un cauchemar. Il ne pouvait pas avoir tourné comme ça. Pas lui. Surtout pas lui.
Elle écouta la suite du briefing assez distraitement, les yeux rivés sur le visage de son « grand frère »…
A la fin du briefing, Sloane demanda à la voir. Elle se fit violence pour lui sourire et non pas lui mettre son poing dans la figure (ce que t’aimerais syd lol).
-A : Sydney, vous allez bien ? J’ai remarqué que vous avez été assez distraite pendant le briefing.
-S : Ce n’est rien, je n’ai pas très bien dormi cette nuit.
-A : Vous êtes sûr de pouvoir assurer la mission ?
-S : Ne vous inquiétez pas. J’en suis capable.
-A : Vous me le diriez si vous alliez mal ? Vous savez que je vous considère comme ma fille.
-S : Je sais. Merci.
Il eut un sourire bienveillant envers elle.
~~~~ O ~~~~
Lorsqu’elle arriva à l’entrepôt , Vaughn vit tout de suite que quelque chose n’allait pas.
D’un regard, il lui fit comprendre de tout lui dire. Elle lui raconta sa brève entrevue avec Sloane. Puis elle s’arrêta et baissa la tête.
Vaughn s’inquiéta tout d’un coup.
-V : Syd, qu’est-ce qu’il y a ?
-S : Mike… (elle soupira)
-V : Eeeeh, tu sais que tu peux tout me dire.
-S : C’est Jul’…
Il attendait qu’elle continue malgré le fait qu’il voulait savoir rapidement ce qu’elle savait sur Julian.
-S : Lors de l’attaque du SD-6, tu sais que le FTL a subi une attaque similaire à la notre au même moment, attaque mené par un seul homme.
-V (commençant à craindre ce qu’elle allait lui annoncer) : Où veux-tu en venir ?
-S : Cet homme… c’était Julian.
-V : Syd… t’es sûr de toi ? Ca… Il n’a pas pu tourner comme ça !
-S : J’en suis sûr, j’ai vu une vidéo…
Vaughn se tourna, une main pinçant l’arête de son nez.
-S : Mike, ce n’est pas tout.
-V (se tournant vers elle) : Qu’est-ce qu’il y a encore ?
-S : Ma mission est d’aller espionner un rendez-vous entre le chef du K-D et Julian.
-V : Tu ne peux pas y aller ! S’il te reconnait-
-S : Je le sais !
BIP BIP BIP
C’était le bipper de Sydney. Sloane la demandait au SD-6. Surement un dernier préparatif pour la mission.
-V : Tu devras nous faire une copie de l’entrevue avec cet appareil. Fais attention s’il te plaît.
Pour seul réponse, il eut un sourire discret. Il avait peur. Il ne savait pas comment réagirait Jul’ s’il reconnaissait Sydney…
~~~~ O ~~~~
Elle le voyait à travers les carreaux. Il n’avait pas changé. Certes, il avait vieilli, comme elle, mais ses traits n’avaient fait que raffermir son visage.
Le chef du K-D arriva suivi de son second et de deux gardes du corps.
Il lui proposa un marché, ce que le directeur refusa. D’un simple regard, Sark ordonna à son garde à lui de tuer le chef et un des deux gardes.
Ce n’était plus Julian qu’elle avait sous les yeux… ce n’était pas l’adolescent qui l’avait réconforté le jour où elle s’était faite agressée…
Il refit la même proposition au second, enfin le nouveau chef maintenant. Qui accepta. « Sage décision ».
Sydney dérapa de son mur, une pierre tomba proche du garde qui gardait l’entrée du bâtiment.
Des coups de feu fusèrent. Elle réussit à s’échapper dans le bâtiment d’en face. Seulement, le garde s’y était dirigé aussi. A un étage, ils se rencontrèrent. Elle descendait, il montait. Un combat s’en suivit. Combat qu’elle réussit à gagner. Elle se retourna et se retrouva nez à nez avec un pistolet.
-Sa : Tiens donc ! Qui vois-je ? Ma chère petite sœur. Que me vaut cet honneur ?
TBC
alors?????? lol
petite dédicace à ma tite patate que j'adoreuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!!!!! et aussi ma grande soeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur que j'aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!!!!
bisous!!!
Vaughn dut se reprendre pour ne pas chanceler devant Devlin. Il se dirigea le plus rapidement qu’il put vers son bureau et s’affala sur son siège.
Sydney…
Il prit une pièce avec laquelle il joua tout en réfléchissant.
Ca faisait 11 ans. 11 ans qu’il ne s’était pas vu. 11 ans qu’ils avaient tous les trois rompus leur promesse.
Il leva la tête, il venait d’entendre Eric l’appelait.
-E : Eh bah Mike ! (Vaughn tressaillit) Qu’est-ce qu’il y a ? Devlin te met toujours au classement ?
-M : Non, je m’occupe d’un dossier.
-E : C’est cool non ?
-V : Je deviens l’agent de liaison d’un agent double.
-E : Wow ! Direct ! Bah tu devrais être content non ?
-V : L’agent double est ma meilleure amie d’enfance.
-E : Sydney ?
Vaughn acquiesça.
Eric eut une moue de compréhension puis repartit surveiller la jeune femme qu’il savait maintenant être la « petite sœur » de son meilleur ami.
Il était passé la voir pendant qu’elle écrivait une sorte de rapport pour la CIA. Elle ne leva pas la tête ver lui, elle ne le reconnut dont pas.
Il la trouva changer. Il revit la jeune fille trahie, blessée qu’il avait connu onze ans auparavant lorsqu’elle avait subie… Il chassa cette idée de sa tête et ressortit de la pièce.
3 heures plus tard
Il était devant son bureau et hésitait à rentrer. Quelle ironie ! Mais il ne savait pas comment elle réagirait, il avait deux choix : il se faisait jeté en beauté ou elle ne réagirait même pas.
Lorsqu’il arriva à son niveau, il la vit regarder la photo d’Alice et de lui. Il tourna la photo ver son siège et s’assit. Il n’osait pas lever le regard mais lorsqu’elle prononça son prénom, il leva la tête. Sa bouche forma un mince sourire devant sa surprise.
-V : Syd.
-S : Qu’est-ce que tu fais là ??
-V : C’est moi qui suis chargée de ton dossier.
Elle se renfrogna mais soutint son regard.
-S : Je suis prise ?
-V : Ton dossier est en cours d’examen et nous attendons aussi une vraie confirmation de notre autre agent double.
Il vit que Sydney ricanait.
-V : Qu’est-ce qu’il y a ?
-S : Tu as dit « autre agent double ».
-V : Et alors ?
-S : Si tu me l’as dit c’est que je suis déjà authentifiée.
-V : Je suis mon instinct.
-S : Sinon, dans le cas où je voudrais être agent triple, j’irais le dire au SD-6 et cela déstabiliserez mon agence.
-V : Je sais que tu ne trahirais jamais les Etats-Unis.
Elle baissa la tête.
-V (changeant de sujet) : Tu veux que je t’appelle un dentiste ?
-S : Ca va aller.
Elle se leva et au moment où elle passait la porte, Vaughn entendit un « je n’ai jamais trahi quelqu’un moi ».
Il se sentit blessé. Il n’avait jamais voulu perdre contact avec elle, ni Julian mais… les révisions, les examens… tous ces petits trucs qui faisaient qu’il avait mis de plus en plus de temps à répondre à ses lettres ou à l’appeler jusqu’à ne plus le faire.
Il sentait que ça allait être difficile de retrouver son amitié, mais malgré son silence, il tenait à elle et maintenant qu’il l’avait retrouvée, il n’allait pas la laisser partir.
Ses cheveux venaient de disparaître. Sans s’en rendre compte, il s’était levé pour la suivre du regard.
~~~~ O ~~~~
L’entrepôt était vide, sombre et humide. Tout pour permettre à quiconque de pouvoir avoir un rendez-vous en secret. Heureusement pour eux. Le SD-6 ne devait jamais savoir quelles étaient la nature de ces rendez-vous.
Un homme entra. Il avait un peu moins de 30 ans, châtain aux yeux vert émeraude. Il portait un costard dans lequel il se sentait mal à l’aise. Il préférait les jeans et tee-shirt.
Il connaissait l’endroit, on lui avait expliqué où était situé la cache de la CIA dans cet entrepôt. Au fond, dans une sorte de carré « bordé » par un grillage. Dans un bruissement de fer, il ouvrit « la porte » et vit deux caisses au milieu, le tout entouré par d’autres caisses entassées. Il s’assit sur l’une des deux du milieu et attendit.
C’était leur premier rendez-vous depuis la scène dans le bureau. Il appréhendait la rencontre.
Un bruit de tôle le sortit de ses pensées. Sydney se tenait devant lui.
Il esquissa un sourire bienveillant avant de parler.
-V : Tu pars pour Rome ?
-S : Sloane veut qu’on récupère une clé pour décrypter un CD que le SD-6 a volé y a quelques temps.
-V : Nous t’avons préparé une nouvelle clé de décrypter. Notre autre agent double a déjà échangé le CD avec un faux. A Rome, tu feras l’échange, tu donneras la fausse clé à Dixon, nous récupérerons la vraie clé à ton atterrissage à L.A.
-S : Le SD-6 va se rendre compte que ce n’est pas le bon décryptage ! C’est insensé !
-V (haussant le ton) : Tu crois quoi Sydney ? Qu’on y a pas pensé ? Le CD crypté contient les infos qu’il faut ! (d’un ton plus doux) Sydney, c’est nouveau pour toi mais sache que la CIA sait ce qu’elle fait.
-S : Et toi ? Tu le sais au moins ?
-V : Qu’est-ce que tu insinues ?
-S : C’est ta première mission de « terrain » n’est-ce pas ?
-V : Et alors ?
-S : Tu n’es pas très sur de toi… qui me dit que je suis en sécurité avec toi ?
-V (énervé) : Je ne te reconnais plus ! Ce n’est pas la Sydney que j’ai connu !
-S : De quoi tu parles ?
-V : Tu as vu comment tu me parles ? Tu-
-S : Tu as ce que tu mérites !
-V : Quoi ??
-S : Toi, Julian ! Vous m’avez tous les deux abandonnés !
-V : Sydney ! C’est la vie ! On était loin ! On-
-S (d’une voix faible) : Dois-je te rappeler notre promesse ? Notre dernier jour ensemble ?
Oh oui il s’en souvenait.
*** Flash Back ***
Ils étaient sur une des plages de L.A. Le regard tourné vers l’océan. Le soleil de couchait, le ciel était rouge orangé. La nuit allait prendre possession de L.A.
A côté d’eux se trouvait des tentes. Ils avaient décidés de rester ensemble jusqu’au lendemain matin, jusqu’au moment où Mike et Jul’ allaient prendre leur avion. Une journée entière ensemble, un nuit entière ensemble. C’est durant la nuit que vint leur promesse.
Après un énième fou rire, un calme sérieux chargea l’atmosphère de la tente. Ils se regardèrent dans les yeux. Chacun se rendait compte qu’il ne leur restait plus beaucoup de temps à passer ensemble. Jul’ prit la parole, sans lâcher le regard des deux amis.
-J : Ensemble à jamais. Quoiqu’il arrive.
Les deux autres répétèrent la phrase.
Un fou rire les prirent de nouveau, mais ils savaient le sérieux de leur promesse.
*** Fin du flash back ***
-V : On ne peut pas toujours tenir ses promesses Syd.
Elle avait baissée les yeux, elle fixait à présent le sol. Il était devenu très intéressant tout à coup.
Vaughn s’approcha de Sydney, mais elle se recula vivement.
-S : Ne me touches pas ! Tu n’en as plus le droit !
Lorsqu’il plongea son regard dans ses yeux, il y vit de la douleur… aussi vive que celle qu’il y avait vu il y a 11 ans. Son cœur se serra. Il s’était juré de ne plus jamais voir ça dans son regard et là,.. c’était lui qui la faisait naître. Il se mit une claque mentale.
Leur rendez-vous se termina dans un atmosphère froide. La mission qui suivit fut tout de même un succès.
Cela faisait 6 mois que Sydney était agent double et qu’elle voyait Vaughn au moins une fois par semaine.
Leur relation avait évolué. Sydney avait réussi à de nouveau faire confiance à Vaughn et ils avaient reconstruit leur amitié sur d’autres bases, peut-être plus solide.
La jeune femme était dans la salle de briefing du SD-6. Elle devait encore jouer l’agent double… Dixon et Marshall arriva. Une discussion commença. Elle s’entendait bien avec eux et ça lui déchirait le cœur de les voir si loyaux envers le SD-6 alors qu’il lui mentait, qu’il les trahissait. Un voile de peine passa sur son visage, ce que Dixon remarqua.
-D : Sydney, ça ne va pas ?
Elle allait répondre, mentir, mais Sloane arriva. Il la sauva d’un mensonge, encore un. (Syd, je sais que t’aime quand Sloane fait quelque chose de bien pour toi… chose rare ok).
Un homme d’origine asiatique sort ensanglanté d’un bâtiment. Un jeune homme blond est derrière lui. Il tire un coup. Un deuxième coup. L’homme asiatique s’écroule, mort.
-A : Ce que vous regardez a été filmé par une caméra de surveillance situé à l’extérieur du Tyno-Chem Generis, société qui, comme vous le savez sert de couverture au QG du FTL. Vous constaterez avec moi que l’homme à terre est Quan Lee.
[…]
- S : On sait qui est le tueur ?
- A : Son visage est dans aucune bande de données.
Sydney pov
Oh non ! Pas ça. S’il vous plaît. Faites que ce soit un rêve. Ou plutôt un cauchemar. Il ne pouvait pas avoir tourné comme ça. Pas lui. Surtout pas lui.
Elle écouta la suite du briefing assez distraitement, les yeux rivés sur le visage de son « grand frère »…
A la fin du briefing, Sloane demanda à la voir. Elle se fit violence pour lui sourire et non pas lui mettre son poing dans la figure (ce que t’aimerais syd lol).
-A : Sydney, vous allez bien ? J’ai remarqué que vous avez été assez distraite pendant le briefing.
-S : Ce n’est rien, je n’ai pas très bien dormi cette nuit.
-A : Vous êtes sûr de pouvoir assurer la mission ?
-S : Ne vous inquiétez pas. J’en suis capable.
-A : Vous me le diriez si vous alliez mal ? Vous savez que je vous considère comme ma fille.
-S : Je sais. Merci.
Il eut un sourire bienveillant envers elle.
~~~~ O ~~~~
Lorsqu’elle arriva à l’entrepôt , Vaughn vit tout de suite que quelque chose n’allait pas.
D’un regard, il lui fit comprendre de tout lui dire. Elle lui raconta sa brève entrevue avec Sloane. Puis elle s’arrêta et baissa la tête.
Vaughn s’inquiéta tout d’un coup.
-V : Syd, qu’est-ce qu’il y a ?
-S : Mike… (elle soupira)
-V : Eeeeh, tu sais que tu peux tout me dire.
-S : C’est Jul’…
Il attendait qu’elle continue malgré le fait qu’il voulait savoir rapidement ce qu’elle savait sur Julian.
-S : Lors de l’attaque du SD-6, tu sais que le FTL a subi une attaque similaire à la notre au même moment, attaque mené par un seul homme.
-V (commençant à craindre ce qu’elle allait lui annoncer) : Où veux-tu en venir ?
-S : Cet homme… c’était Julian.
-V : Syd… t’es sûr de toi ? Ca… Il n’a pas pu tourner comme ça !
-S : J’en suis sûr, j’ai vu une vidéo…
Vaughn se tourna, une main pinçant l’arête de son nez.
-S : Mike, ce n’est pas tout.
-V (se tournant vers elle) : Qu’est-ce qu’il y a encore ?
-S : Ma mission est d’aller espionner un rendez-vous entre le chef du K-D et Julian.
-V : Tu ne peux pas y aller ! S’il te reconnait-
-S : Je le sais !
BIP BIP BIP
C’était le bipper de Sydney. Sloane la demandait au SD-6. Surement un dernier préparatif pour la mission.
-V : Tu devras nous faire une copie de l’entrevue avec cet appareil. Fais attention s’il te plaît.
Pour seul réponse, il eut un sourire discret. Il avait peur. Il ne savait pas comment réagirait Jul’ s’il reconnaissait Sydney…
~~~~ O ~~~~
Elle le voyait à travers les carreaux. Il n’avait pas changé. Certes, il avait vieilli, comme elle, mais ses traits n’avaient fait que raffermir son visage.
Le chef du K-D arriva suivi de son second et de deux gardes du corps.
Il lui proposa un marché, ce que le directeur refusa. D’un simple regard, Sark ordonna à son garde à lui de tuer le chef et un des deux gardes.
Ce n’était plus Julian qu’elle avait sous les yeux… ce n’était pas l’adolescent qui l’avait réconforté le jour où elle s’était faite agressée…
Il refit la même proposition au second, enfin le nouveau chef maintenant. Qui accepta. « Sage décision ».
Sydney dérapa de son mur, une pierre tomba proche du garde qui gardait l’entrée du bâtiment.
Des coups de feu fusèrent. Elle réussit à s’échapper dans le bâtiment d’en face. Seulement, le garde s’y était dirigé aussi. A un étage, ils se rencontrèrent. Elle descendait, il montait. Un combat s’en suivit. Combat qu’elle réussit à gagner. Elle se retourna et se retrouva nez à nez avec un pistolet.
-Sa : Tiens donc ! Qui vois-je ? Ma chère petite sœur. Que me vaut cet honneur ?
TBC
alors?????? lol
petite dédicace à ma tite patate que j'adoreuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!!!!! et aussi ma grande soeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur que j'aimeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!!!!
bisous!!!
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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Localisation : bras de sark
Loisirs : ordi, lecture, film
Date d'inscription : 27/03/2006
Re: Enfance
Kikou toi !!!
J'lavais déjà et j'en pense toujours du bien de cette fic elle est superbe j'ai Hate de lire la suite à sa oui !!!! Surtout que c'est une fic SVS et n'ont pas SSS mdrrrrrrrr et le SVS y a que sa de vrai looolll
Bisous
Srhemma / Carotte
J'lavais déjà et j'en pense toujours du bien de cette fic elle est superbe j'ai Hate de lire la suite à sa oui !!!! Surtout que c'est une fic SVS et n'ont pas SSS mdrrrrrrrr et le SVS y a que sa de vrai looolll
Bisous
Srhemma / Carotte
CaRoTTe- Lecteur de Prospectus
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Date d'inscription : 07/04/2006
Re: Enfance
mdrrrrrrrrrr
merci carotte!!!!!!
hum... qu'est-ce qui te fait penser que c'est une fic svs et non pas sss?...
lol
pour tout te dire... la suite, elle est juste devant moi... mais sur papier... et... ces derniers temps j'ai pas le temps.. trop de travail... donc ça fait 1 mois que le chapitre suivant (sur feuille) est devant moi.. et j'ai toujours pas pu le recopier.. ah si hier soir... 3lignes! mdr
en tout cas merci beaucoup pour le com!!!!!!
bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuuus caroote!
merci carotte!!!!!!
hum... qu'est-ce qui te fait penser que c'est une fic svs et non pas sss?...
lol
pour tout te dire... la suite, elle est juste devant moi... mais sur papier... et... ces derniers temps j'ai pas le temps.. trop de travail... donc ça fait 1 mois que le chapitre suivant (sur feuille) est devant moi.. et j'ai toujours pas pu le recopier.. ah si hier soir... 3lignes! mdr
en tout cas merci beaucoup pour le com!!!!!!
bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuuus caroote!
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 86
Localisation : bras de sark
Loisirs : ordi, lecture, film
Date d'inscription : 27/03/2006
Re: Enfance
mdr j'espère quelle est SVS mdrrr
3 Lignes oppsss c'est déjà un commencement lool en tout cas j'attend la suite avec impatiente !!
Bisous pitite sarkounette !! lol
3 Lignes oppsss c'est déjà un commencement lool en tout cas j'attend la suite avec impatiente !!
Bisous pitite sarkounette !! lol
CaRoTTe- Lecteur de Prospectus
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Date d'inscription : 07/04/2006
Re: Enfance
et voilà tu l'as ta suite carotte
Chapitre 3 :
- S : Jul… Julian.
- J : Tu te souviens de moi, (insistant sur le prénom) Sydney ?
- S : Je ne t’ai jamais oublié.
- J : Ah bon ? Alors où étais-tu quand mon père s’est fait tué sous mes yeux ? Où étais-tu quand Irina Derevko m’a recruté à devenir un meurtrier ? Où étais… Non Sydney, j’étais seul, oublié de tous.
Elle ne pouvait rien dire, il avait raison, il était seul et elle l’avait oublié mais par rancœur.
Il fit un signe à quelqu’un derrière elle, puis tout devint noir.
Plusieurs jours plus tard[/u]
Cela faisait trois jours qu’il n’avait pas de nouvelles de Sydney, trois jours qu’elle était partie en mission et qu’elle n’était pas revenue. Jack Bristow venait de quitter son bureau. Il lui apprit que Sydney était portée disparu pour le SD-6. La CIA avait aussi fait de même.
Peut-être qu’eux arrêter de la chercher mais lui, il ne la laisserait pas. Il l’avait déjà abandonné une fois, il s’était promis de ne plus jamais le faire et il allait le faire.
Il alla voir Jack et lui demanda d’obtenir le compte-rendu du collègue à Sydney.
Au même moment, dans un autre endroit
Syd pov
Mmmmh, ça fait mal. Je n’arrive toujours pas à ouvrir les yeux. Cela fait trois jours que ça dure, trois jours que je me rendors de… je suis toujours éveillé ! Jul’ ne m’a pas rendormi ?
Allez je tente d’ouvrir les yeux, wow la lumière est aveuglante. Ah non, je referme les yeux. Allez Sydney, fais un effort, allez ! Un œil, aie ! Je commence à distinguer des formes. L’autre œil. Tout est flou. Ah non, ça devient clair. Ouuh, je veux me rendormir. Svp.
- J : La belle au bois dormant se réveille ?
- S : Qu’est-ce que tu veux… Sark ?
Elle ne le vit pas mais l’emploi du nom du jeune homme le toucha plus qu’il ne l’aurait voulu. N’avait-il donc pas réussi à les haïr autant qu’il l’aurait voulu ? Malheureusement pour lui.
De son côté, Sydney sentait la colère monter en elle. Elle le connaissait et le voir si froid et… et ce sourire de sadik accroché à ses lèvres l’énervait au plus haut point. Qu’est-ce qu’elle aimerait pouvoir lui tordre son cou et le faire redescendre sur Terre.
Il se détourna vers une table où différents outils étaient disposés.
- J : Alors petite sœur, qu’as-tu à me raconter de nouveau depuis la dernière fois ?
Seul un regard noir lui répondit.
- J : Voyons, je me rappelle que tu étais assez bavarde à l’époque, ne me dis pas que ça a changé ?
- S : Désolé, mais je ne parle pas avec les traîtres.
- J : Syd, Syd, Syd, tu ne comprends donc pas ? Nous n’allons pas faire que discuter sauf si bien sûr tu veux tout avouer, dans quel cas…
- S : Plutôt mourir.
- J : Perspicace. Si tu le veux bien, nous allons commencer.
- S : Fais comme chez toi.
- J (l’ignorant) : Alors, pour quoi travailles-tu ?
- S : …
- J : Pour qui travailles-tu ?
- S : …
- J : Tu ne me laisses pas le choix.
Il se retourna et saisit un seau d’eau qu’il déversa sur la jeune femme puis, il prit des sortes d’électrochocs et les appliqua sur les bras de Sydney, dénudé depuis son arrivée.
Elle eut un rictus de douleur mais ne cria pas.
Au même moment, Los Angeles
Vaughn faisait des recherches sur son ordinateur à propos de la disparition de Sydney.
« Access Denied »
Il retapa le mot de passe
« Access Denied »
Il sortit de la pièce.
- V : Johanson, t’as un problème de recherche.
- Joh : Non pourquoi ?
- V (soucieux) : Pour rien, pour rien.
- Joh : Vaughn t’es bizarre en ce moment.
- V : Ah bon ? (rigolant… hum hum) t’es sûr que c’est pas toi ?
Il le laissa pour sortir de l’agence.
- ? : Oui allô ?
- V : Rendez-vous à l’endroit habituel.
- ? : Je dois partir. Faites attention à la marchandise.
Rendez-vous habituel
- ? : Qu’est-ce que tu veux Michael ?
- V : Une de tes conquêtes n’a pas été à ton goût ?
- ? : Très drôle Mike. Alors ?
- V : J’ai un gros problème.
- ? : Mmm oui ?
- V : Sydney a disparu depuis 3 jours et je n’ai plus accès aux bases de données de la CIA. Je dois la retrouver.
- ? : Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- V : Cherches des infos et contacte-moi si tu trouves quelque chose.
- ? :Pourquoi tu y tiens tant à la retrouver ?
- V : Julian !! Tu vas pas recommencer !
- J : Elle m’a abandonné alors que j’ai été le premier à lui venir en aide, à faire l’effort de venir vers elle pour l’aider, lui apporter un soutient. Et moi, qu’est-ce que j’ai eu ? Rien ! J’ai dû me débrouiller seul…
- V : Tu ne peux pas lui reprocher ! Ca faisait plus d’un an que vous vous écriviez plus ! Comment voulais-tu qu’elle t’aide ? Tu aurais continué à lui écrire au lieu de bécoter avec Cassie, tu ne pleurnicherais pas parce qu’elle n’a pas été là pour toi !
- J : C’est bon ? T’as fini ?
Qu’est-ce que Julian pouvait l’énerver quand il réagissait comme ça.
Il le regarda. Le détaillant. Il avait changé depuis la terminale, ils avaient changés en terminale et il était redevenu celui qu’il était avant. Il avait retrouvé sa froideur, son détachement à la vie. Tout ça à cause de son père, enfin…
Il vit que Julian le regardait, s’interrogeant.
- V : Tu m’aides ou pas ?
- J : Non.
Il sortit de l’entrepôt sans ajouter quoique ce soit.
Vaughn soupira.
Quelques mois plus tard
Pour Sydney et Vaughn, ce temps était passé trop lentement. Jack lui avait fourni les dossiers du SD-6 sur la mission de Sydney. Lorsqu’il avait visionné la vidéo, il tomba des nues… quand il chercha à entrer en contact avec Julian, il n’y arriva pas… ce qui confirma ses soupçons.
De son côté, Sydney se faisait toujours torturé. Seulement ce n’était plus seulement pour savoir pour qui elle travaillait mais par vengeance, d’une vengeance dont elle ne connaissait rien sauf qu’elle avait eu un rôle et qu’elle devenait la victime.
Il avait trouvé sa localisation, avec beaucoup de mal, il avait réussi à obtenir de Devlin la création d’une équipe de sauvetage. Ils prenaient l’avion dans deux heures.
Comme tous les matins depuis qu’elle était là, ils vinrent dans sa cellule et l’amenèrent dans une autre pièce où elle retrouvait Sark, toujours aussi bien habillé.
Ils venaient d’arriver devant l’entrepôt. Sans un mot, ils se placèrent tout autour. Au signal de Vaughn, ils rentrèrent.
Au début, il n’y avait personne. Puis peu à peu des gardes firent leur apparition. Ils ne purent les tuer silencieusement. Le bruit des coups de feu résonnèrent dans tout le bâtiment.
Des coups de feu. Sark arrêta son geste. Sydney le vit paniquer. Par la vitre d’en face, elle voyait des ombres noirs se mouvoir. La CIA. Elle reprenait peu à peu espoir.
Ils fracassèrent la porte. Sydney se trouvait là. Leur vision devint floue. On avait lancé des fumigènes. Des balles sifflèrent, l’ennemi leur tirait dessus. Ils ripostèrent.
Elle avait vu Sark se saisir d’un fumigène et du P-90. Puis, elle ne vit plus rien, elle ne fit que sentir. Son ventre la tirait, il lui faisait mal, atrocement mal.
Il tirait, il ne pouvait faire que ça. Tirer pour partir. Un cri retint son attention. Il se tourna vers Sydney mais ne vit rien. Enfin, pas de suite. Son tee-shirt prenait un couleur rouge sang. Il laissa tomber son arme et se jeta sur elle.
Vaughn arrêta de tirer. En face, ils ne tiraient plus, ne se défendaient plus.
- V : Stop !
Il essayait d’arrêter l’hémorragie mais le sang continuait de couler.
Vaughn dut attendre que le fumigène se dissipe pour voir la scène. Mais il entendit bien avant les sanglots.
V : « Mais qu’est-ce qui se passe ? »
Il eut la raison immédiatement : Julian était penché sur le corps de Sydney et pleurait.
Il se releva et regarda Vaughn de façon désespéré.
- V : Mike, je t’en supplie, aide-là.
Chapitre 3 :
- S : Jul… Julian.
- J : Tu te souviens de moi, (insistant sur le prénom) Sydney ?
- S : Je ne t’ai jamais oublié.
- J : Ah bon ? Alors où étais-tu quand mon père s’est fait tué sous mes yeux ? Où étais-tu quand Irina Derevko m’a recruté à devenir un meurtrier ? Où étais… Non Sydney, j’étais seul, oublié de tous.
Elle ne pouvait rien dire, il avait raison, il était seul et elle l’avait oublié mais par rancœur.
Il fit un signe à quelqu’un derrière elle, puis tout devint noir.
Plusieurs jours plus tard[/u]
Cela faisait trois jours qu’il n’avait pas de nouvelles de Sydney, trois jours qu’elle était partie en mission et qu’elle n’était pas revenue. Jack Bristow venait de quitter son bureau. Il lui apprit que Sydney était portée disparu pour le SD-6. La CIA avait aussi fait de même.
Peut-être qu’eux arrêter de la chercher mais lui, il ne la laisserait pas. Il l’avait déjà abandonné une fois, il s’était promis de ne plus jamais le faire et il allait le faire.
Il alla voir Jack et lui demanda d’obtenir le compte-rendu du collègue à Sydney.
Au même moment, dans un autre endroit
Syd pov
Mmmmh, ça fait mal. Je n’arrive toujours pas à ouvrir les yeux. Cela fait trois jours que ça dure, trois jours que je me rendors de… je suis toujours éveillé ! Jul’ ne m’a pas rendormi ?
Allez je tente d’ouvrir les yeux, wow la lumière est aveuglante. Ah non, je referme les yeux. Allez Sydney, fais un effort, allez ! Un œil, aie ! Je commence à distinguer des formes. L’autre œil. Tout est flou. Ah non, ça devient clair. Ouuh, je veux me rendormir. Svp.
- J : La belle au bois dormant se réveille ?
- S : Qu’est-ce que tu veux… Sark ?
Elle ne le vit pas mais l’emploi du nom du jeune homme le toucha plus qu’il ne l’aurait voulu. N’avait-il donc pas réussi à les haïr autant qu’il l’aurait voulu ? Malheureusement pour lui.
De son côté, Sydney sentait la colère monter en elle. Elle le connaissait et le voir si froid et… et ce sourire de sadik accroché à ses lèvres l’énervait au plus haut point. Qu’est-ce qu’elle aimerait pouvoir lui tordre son cou et le faire redescendre sur Terre.
Il se détourna vers une table où différents outils étaient disposés.
- J : Alors petite sœur, qu’as-tu à me raconter de nouveau depuis la dernière fois ?
Seul un regard noir lui répondit.
- J : Voyons, je me rappelle que tu étais assez bavarde à l’époque, ne me dis pas que ça a changé ?
- S : Désolé, mais je ne parle pas avec les traîtres.
- J : Syd, Syd, Syd, tu ne comprends donc pas ? Nous n’allons pas faire que discuter sauf si bien sûr tu veux tout avouer, dans quel cas…
- S : Plutôt mourir.
- J : Perspicace. Si tu le veux bien, nous allons commencer.
- S : Fais comme chez toi.
- J (l’ignorant) : Alors, pour quoi travailles-tu ?
- S : …
- J : Pour qui travailles-tu ?
- S : …
- J : Tu ne me laisses pas le choix.
Il se retourna et saisit un seau d’eau qu’il déversa sur la jeune femme puis, il prit des sortes d’électrochocs et les appliqua sur les bras de Sydney, dénudé depuis son arrivée.
Elle eut un rictus de douleur mais ne cria pas.
Au même moment, Los Angeles
Vaughn faisait des recherches sur son ordinateur à propos de la disparition de Sydney.
« Access Denied »
Il retapa le mot de passe
« Access Denied »
Il sortit de la pièce.
- V : Johanson, t’as un problème de recherche.
- Joh : Non pourquoi ?
- V (soucieux) : Pour rien, pour rien.
- Joh : Vaughn t’es bizarre en ce moment.
- V : Ah bon ? (rigolant… hum hum) t’es sûr que c’est pas toi ?
Il le laissa pour sortir de l’agence.
- ? : Oui allô ?
- V : Rendez-vous à l’endroit habituel.
- ? : Je dois partir. Faites attention à la marchandise.
Rendez-vous habituel
- ? : Qu’est-ce que tu veux Michael ?
- V : Une de tes conquêtes n’a pas été à ton goût ?
- ? : Très drôle Mike. Alors ?
- V : J’ai un gros problème.
- ? : Mmm oui ?
- V : Sydney a disparu depuis 3 jours et je n’ai plus accès aux bases de données de la CIA. Je dois la retrouver.
- ? : Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- V : Cherches des infos et contacte-moi si tu trouves quelque chose.
- ? :Pourquoi tu y tiens tant à la retrouver ?
- V : Julian !! Tu vas pas recommencer !
- J : Elle m’a abandonné alors que j’ai été le premier à lui venir en aide, à faire l’effort de venir vers elle pour l’aider, lui apporter un soutient. Et moi, qu’est-ce que j’ai eu ? Rien ! J’ai dû me débrouiller seul…
- V : Tu ne peux pas lui reprocher ! Ca faisait plus d’un an que vous vous écriviez plus ! Comment voulais-tu qu’elle t’aide ? Tu aurais continué à lui écrire au lieu de bécoter avec Cassie, tu ne pleurnicherais pas parce qu’elle n’a pas été là pour toi !
- J : C’est bon ? T’as fini ?
Qu’est-ce que Julian pouvait l’énerver quand il réagissait comme ça.
Il le regarda. Le détaillant. Il avait changé depuis la terminale, ils avaient changés en terminale et il était redevenu celui qu’il était avant. Il avait retrouvé sa froideur, son détachement à la vie. Tout ça à cause de son père, enfin…
Il vit que Julian le regardait, s’interrogeant.
- V : Tu m’aides ou pas ?
- J : Non.
Il sortit de l’entrepôt sans ajouter quoique ce soit.
Vaughn soupira.
Quelques mois plus tard
Pour Sydney et Vaughn, ce temps était passé trop lentement. Jack lui avait fourni les dossiers du SD-6 sur la mission de Sydney. Lorsqu’il avait visionné la vidéo, il tomba des nues… quand il chercha à entrer en contact avec Julian, il n’y arriva pas… ce qui confirma ses soupçons.
De son côté, Sydney se faisait toujours torturé. Seulement ce n’était plus seulement pour savoir pour qui elle travaillait mais par vengeance, d’une vengeance dont elle ne connaissait rien sauf qu’elle avait eu un rôle et qu’elle devenait la victime.
Il avait trouvé sa localisation, avec beaucoup de mal, il avait réussi à obtenir de Devlin la création d’une équipe de sauvetage. Ils prenaient l’avion dans deux heures.
Comme tous les matins depuis qu’elle était là, ils vinrent dans sa cellule et l’amenèrent dans une autre pièce où elle retrouvait Sark, toujours aussi bien habillé.
Ils venaient d’arriver devant l’entrepôt. Sans un mot, ils se placèrent tout autour. Au signal de Vaughn, ils rentrèrent.
Au début, il n’y avait personne. Puis peu à peu des gardes firent leur apparition. Ils ne purent les tuer silencieusement. Le bruit des coups de feu résonnèrent dans tout le bâtiment.
Des coups de feu. Sark arrêta son geste. Sydney le vit paniquer. Par la vitre d’en face, elle voyait des ombres noirs se mouvoir. La CIA. Elle reprenait peu à peu espoir.
Ils fracassèrent la porte. Sydney se trouvait là. Leur vision devint floue. On avait lancé des fumigènes. Des balles sifflèrent, l’ennemi leur tirait dessus. Ils ripostèrent.
Elle avait vu Sark se saisir d’un fumigène et du P-90. Puis, elle ne vit plus rien, elle ne fit que sentir. Son ventre la tirait, il lui faisait mal, atrocement mal.
Il tirait, il ne pouvait faire que ça. Tirer pour partir. Un cri retint son attention. Il se tourna vers Sydney mais ne vit rien. Enfin, pas de suite. Son tee-shirt prenait un couleur rouge sang. Il laissa tomber son arme et se jeta sur elle.
Vaughn arrêta de tirer. En face, ils ne tiraient plus, ne se défendaient plus.
- V : Stop !
Il essayait d’arrêter l’hémorragie mais le sang continuait de couler.
Vaughn dut attendre que le fumigène se dissipe pour voir la scène. Mais il entendit bien avant les sanglots.
V : « Mais qu’est-ce qui se passe ? »
Il eut la raison immédiatement : Julian était penché sur le corps de Sydney et pleurait.
Il se releva et regarda Vaughn de façon désespéré.
- V : Mike, je t’en supplie, aide-là.
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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Localisation : bras de sark
Loisirs : ordi, lecture, film
Date d'inscription : 27/03/2006
Re: Enfance
Je vois je vois...
Je t'ai rien promis donc je peux te faire la peau !!!
Mais qu'est ce que t'as à toujours vouloir me tuer !! c'est pas vrai !
Je suis pas méchante, je tue personne mais toi, tu trouves rien d'autres à faire que de te défouler sur moi !! défoules toi sur sark ou lauren, ça me gêne pas (bien au contraire) mais si tu touche à MON CHERI ou à moi, je te fais la peau !!
raaaaaaaaaa et sark, t'as intéret à le tuer, il m'énerve ce blond de mes deux !!
Puisque c'est ça, je vais matter l'épi 5x13 :p ça me consolera !! na !!
groooooooooooooooooooooooos poutous ma sarkounette !!
je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee (non non je me prend pas pour lara fabian!! d'abord je chante mieux qu'elle!! mdrrrrrrr)
choupi
Je t'ai rien promis donc je peux te faire la peau !!!
Mais qu'est ce que t'as à toujours vouloir me tuer !! c'est pas vrai !
Je suis pas méchante, je tue personne mais toi, tu trouves rien d'autres à faire que de te défouler sur moi !! défoules toi sur sark ou lauren, ça me gêne pas (bien au contraire) mais si tu touche à MON CHERI ou à moi, je te fais la peau !!
raaaaaaaaaa et sark, t'as intéret à le tuer, il m'énerve ce blond de mes deux !!
Puisque c'est ça, je vais matter l'épi 5x13 :p ça me consolera !! na !!
groooooooooooooooooooooooos poutous ma sarkounette !!
je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee (non non je me prend pas pour lara fabian!! d'abord je chante mieux qu'elle!! mdrrrrrrr)
choupi
Re: Enfance
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
tu sais que j'adore quand tu me laisses des reviews!!!!! je suis toujours explosé devant mon ordi!!!! hi hi hi
naaaaaaaaaaaan tu peux pas me faire la peau!!! je suis protégée par beaucoup beaucoup de chose!!!! tu ne peux pas m'atteindre!!!! lol naaaaa
et c'est toit qui dit ca???c'est la sadik qui se fout de l'ange! nan mais!! c'est toi qui te fais souffrir toute seule dans tes fic's et nous qui prenons exemple on a même pas le droit de te... torturer un petit peu
mais tu sais très bien que si je fais souffrir c'est pour mieux les remettre ensemble... quoique là, y aura pas de couples... ni svs ni sss... donc c'est juste pour la petite histoire... hi hi hi et pis... si dans une fic' on torture pas un peu tous les persos, c'est pas une bonne fic'!! et moi les torture physiquement (au contraire de toi c'est plus moral lol)
tu rêve!!!!! je te rappelle que dans la fic' il était ton meilleur ami donc... alors hein, vais pas le tuer, sinon le rescusite comme dans ma sss!!!! ou alors je tue syd sark et vaughn!!! nan mais on tue pas mon sarkinounet impunément!!!!!!
je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
mais moi je chante pas mieux qu'elle lol!!
et au fait grande soeur, je dois toujours t'écouter chanter!!!!! tu vas pas y couper!!! je t'entendrais chanter un jour!!! lol
allez bisous ma grande soeur!! et merci de ton com'!!
tu sais que j'adore quand tu me laisses des reviews!!!!! je suis toujours explosé devant mon ordi!!!! hi hi hi
choupi a écrit:Je t'ai rien promis donc je peux te faire la peau !!!
naaaaaaaaaaaan tu peux pas me faire la peau!!! je suis protégée par beaucoup beaucoup de chose!!!! tu ne peux pas m'atteindre!!!! lol naaaaa
choupi a écrit:Mais qu'est ce que t'as à toujours vouloir me tuer !! c'est pas vrai !
et c'est toit qui dit ca???c'est la sadik qui se fout de l'ange! nan mais!! c'est toi qui te fais souffrir toute seule dans tes fic's et nous qui prenons exemple on a même pas le droit de te... torturer un petit peu
choupi a écrit:Je suis pas méchante, je tue personne mais toi, tu trouves rien d'autres à faire que de te défouler sur moi !! défoules toi sur sark ou lauren, ça me gêne pas (bien au contraire) mais si tu touche à MON CHERI ou à moi, je te fais la peau !!
mais tu sais très bien que si je fais souffrir c'est pour mieux les remettre ensemble... quoique là, y aura pas de couples... ni svs ni sss... donc c'est juste pour la petite histoire... hi hi hi et pis... si dans une fic' on torture pas un peu tous les persos, c'est pas une bonne fic'!! et moi les torture physiquement (au contraire de toi c'est plus moral lol)
choupi a écrit:raaaaaaaaaa et sark, t'as intéret à le tuer, il m'énerve ce blond de mes deux !!
tu rêve!!!!! je te rappelle que dans la fic' il était ton meilleur ami donc... alors hein, vais pas le tuer, sinon le rescusite comme dans ma sss!!!! ou alors je tue syd sark et vaughn!!! nan mais on tue pas mon sarkinounet impunément!!!!!!
choupi a écrit:je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee (non non je me prend pas pour lara fabian!! d'abord je chante mieux qu'elle!! mdrrrrrrr)
je t'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
mais moi je chante pas mieux qu'elle lol!!
et au fait grande soeur, je dois toujours t'écouter chanter!!!!! tu vas pas y couper!!! je t'entendrais chanter un jour!!! lol
allez bisous ma grande soeur!! et merci de ton com'!!
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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Enfance
Comme jte l'ai dit hier j'adore ta fic! Terrible! Je veux la suite ma grande folle et pas dans 500 ans!merci !
Sinon j'adoreeeeeeeeeeeeeeeeee encore encore et encore!
Gros kissssssssssssss
Je t'aiiiiiiiiimeeeeeeeeeeeee
Ta tite folle
Sinon j'adoreeeeeeeeeeeeeeeeee encore encore et encore!
Gros kissssssssssssss
Je t'aiiiiiiiiimeeeeeeeeeeeee
Ta tite folle
Re: Enfance
et voilà la suite qui va être la fin!!!
En fait, c'est pas vraiment une fin... c'est plutôt la fin de l'"enfance"(vu que now ils sont adultes mdr). Et je vais peut-être faire une suite, qui reprendra à la fin de cette fic dans une autre fic. Mais ce serait pas pour le moment à cause des partiels qui arrivent... donc c'est pour ça que je clos cette fic', pour ne pas laisser une fic' sans fin, mais... il va y avoir surement une suite... hi hi hi... allez bonne lecture
Chapitre 4 :
- J : Mike, je t’en supplie, aide-là.
Vaughn resta figer quelques secondes devant la scène devant lui. Mais il se ressaisit rapidement et demanda une ambulance.
Des hommes de la CIA s’approchèrent de Sark et essayèrent de le menotter mais il se débattait.
- V : Laissez-le !
- Un des hommes : Mais c’est Sark ! Mr Kendall nous a dit de le capturer le plus rapidement possible !
- V : Qui ?
- H : Le directeur de la Rotonde.
- V : Et moi je vous dis de le laisser !
Devant la colère apparente du jeune agent de la CIA, ils reculèrent.
Vaughn savait qu’il allait passé un sale quart d’heure avec ce directeur mais il s’en fichait.
Il reporta son attention sur Sark.
- J (levant un regard perdu vers Vaughn) : Pourquoi Mike ? Pourquoi elle ?
La gorge de Vaughn se serra. Il n’avait pas la réponse mais il comprenait la détresse du jeune blond, Sydney n’avait pas été gâté par la vie et il fallait qu’il lui arrive encore quelque chose.
V : « Ma tite Syd, je suis tellement désolé, je n’ai pas encore pu et su te protéger ».
Les ambulanciers arrivèrent quelques secondes plus tard, ils amenèrent la jeune femme aussitôt.
Hôpital
Vaughn était en train de faire les cents pas dans la salle d’attente. Cela faisait quatre heures que Sydney était dans la salle d’opération. Mais il avait de la chance…
*** Flash Back ***
Ils étaient revenus à la planque. Alors qu’ils rentraient dedans, cinq hommes se jetèrent sur Sark et le ligotèrent. Quelques minutes plus tard, Vaughn était au téléphone avec Kendall. Il se faisait passer un savon, les hommes avaient fait leur rapport et l’avaient dénoncé. Kendall avait ordonné le rapatriement du britannique à Los Angeles ainsi que celui de Vaughn qui refusa. Un conversation houleuse commença mais Vaughn eut gain de cause. Il savait que le chef de la Rotonde allait le faire souffrir mais pour l’instant, il s’en fichait.
Lorsqu’il raccrocha, il vit Julian inconscient sur le canapé… les hommes le détestaient vraiment.
Il soupira et sortit de la maison.
*** Fin du flash back ***
Une heure plus tard
- ? : Mr ?
- V : Vaughn.
- Docteur : Êtes-vous de la famille ?
- V : Non, mais son seul parent est indisponible et… je suis le seul de son entourage.
- D : D’accord… nous avons réussi à arrêter l’hémorragie et à retirer les balles…
- V : C’est bon signe non ?
- D : Oui mais… (inspirant) il va falloir rapidement faire une greffe de moelle osseuse sinon nous la perdrons.
Le visage de Vaughn se décomposa. Pourquoi devait-elle encore souffrir ?
- V : Qui peut être donneur ?
- D : Seulement ses proches parents ou frères et sœurs…
- V : Merci. Peut-on la voir ?
- D : Pour le moment non, mais je pense que demain ce sera possible. Au revoir.
Le docteur s’éloigna laissant Vaughn seul.
Il prit son portable avec la ferme intention de trouver le père de Sydney.
- V : Ici l’agent Vaughn, je voudrais avoir Jack Bristow svp.
…
- V : C’est urgent.
…
- V : Non je ne peux pas rappeler demain ! C’est à propos de sa fille !
…
- V : Elle est entre la vie et la mort !
- JB : Vaughn qu’est-ce qu’il y a ?
- V : Nous avons retrouvé Sydney et Sark mais il y a eu des échanges de coups de feu et… Sydney a été touché !
- JB : Où êtes-vous ?
Hôpital
Jack venait de pénétrer dans l’hôpital. L’infirmière à l’accueil était encore choquée par cet homme. En effet, il l’avait « un peu » bousculé pour savoir où était sa fille. Les visites étaient finis, il avait du user de son charme.
Dès qu’il vit Vaughn, il l’ « agressa ».
- V : Sydney a besoin d’une greffe de moelle osseuse. Vous seul pouvait lui donner. Vous êtes sa seule famille.
- JB : Non. Il doit bien y avoir une autre solution.
Il savait très bien la réponse à sa question mais il ne pouvait pas faire ce test, le test de compatibilité.
- V : Quoi ? Vous savez aussi bien que moi qu’il n’y a aucune autre solution sauf la mort de Sydney !
- JB : Je ne peux pas !
Vaughn passa une main sur son visage. Il ne comprenait pas la réaction de Jack. Il était pourtant sur qu’il aimait sa fille plus que tout au monde malgré sa froideur, même avec elle. Il avait pourtant cru…
- V : Alors vous allez laisser votre fille mourir ??
- Docteur : Messieurs, svp, vous êtes dans un hôpital. Qu’est-ce qui se passe ?
- V : C’est le seul à pouvoir sauver Sydney et il ne veut pas ! Voilà ce qu’il se passe !
Le docteur sachant parfaitement la peur qu’engendre une greffe, souria d’un air confiant.
- D : Monsieur… ?
- JB : Bristow.
- D : Mr Bristow, vous savez, il n’y a aucun risque pour le donneur. Le prélèvement est fiable depuis quelques années. Ca se fera en toute sécurité. Vous ne risquez rien. Aucune paralysie, ce qui fait le plus peur aux donneurs…
- JB : Vous ne comprenez pas.
- D : Si je-
- JB : Je ne serais pas compatible.
- D : Vous êtes l’une des personnes les plus susceptibles d’être compatibles. Vous êtes son père.
- JB : Justement.
- V : Comment ça ? Vous êtes son père et-
- JB : Je ne suis que son père… « adoptif ».
Le docteur et Vaughn se regardèrent surpris.
- V : Quoi ?
- JB (soupirant) : Docteur, pouvez-vous nous laisser ?
- D : Bien entendu. Mais faîtes vite. Son temps est compté.
Le docteur s’éloigna, les laissant seul.
- V : Jack. Que cachez-vous ?
- JB : Vous savez que vos parents, moi et ma femme étions amis ?
- V : Oui. Quel rapport ?
- JB : Savez-vous que votre mère était stérile ?
- V : Quoi ? Mais… je suis là…
Il ne comprenait pas. Comment pouvait-il être le fils de ses parents si sa mère était stérile ? C’était insensé !
- JB : Et… je le suis aussi.
- V : C’est une blague ? Comment Sydney et moi pouvons être vos enfants si…
- JB : Nous étions amis. (prenant quelques secondes )On était tous malheureux, nous voulions tous des enfants. Et la seule possibilité était…
- V : Non, vous…
- JB : Nous avons fait une fécondation in vitro avec les semences de William et Laura. C’est Laura qui a porté les enfants.
- V : Les ?
- JB : Toi et Sydney êtes né le même jour…
- V : Je … je suis le frère de Sydney ?
Il ne pouvait le croire ! Il tomba lourdement de sa chaise.(oui oui il était assis sur une chaise !)
Cette révélation le toucha plus que ce que Jack n’aurait pensé. Puis, tout d’un coup, Vaughn se leva et s’éloigna.
- JB : Où vas-tu ?
- V : Faire des analyses.
Lendemain matin, chambre de Sydney
- V : Coucou petite sœur ! (soupirant) Je n’aurais jamais pensé qu’à chaque fois que je disais ça, c’était la réalité… Je… je suis allé faire des examens pour t’aider, pour te donner ce qu’il te faut. Tu sais que je t’aime. Cette nuit, j’ai prié pour que je sois compatible. Eh oui ! Moi qui prie, tu vas bien pouvoir te foutre de moi !
Il la regarda encore quelques secondes avant de poser son regard sur sa main. Il la prit et la caressa.
- V : Allez petite sœur, bats-toi pour toi, pour moi. Stp.
Il resta encore quelques temps à son chevet jusqu’à ce que le médecin vienne le chercher.
Planque de la CIA
Vaughn revenait de l’hôpital, les heures de visites étaient terminées. Dans le salon se trouvait Jack qui lui posa une question muette.
- V : Aucun changement.
- JB : Et les analyses ?
Le visage de Vaughn s’assombrit de suite.
- V : Je ne suis pas assez compatible.
Il s’affala sur le canapé, passant ses mains sur son visage, signe de son désespoir.
- V : Il n’y a aucun espoir.
Il entendit un soupir qui le fit relever la tête.
- V : Qu’est-ce qu’il y a ?
- JB : Te rappelles-tu que ta mère était enceinte quand tu étais petit ?
- V : Oui, mais il est mort quelques minutes après la naissance.
- JB : En fait, William et moi avions appris quelques années plus tard que le petit n’était pas mort.
- V : Eh ! Mais comment ma mère a pu accouché ??
- JB : Fécondation in vitro.
- V : Oh… (tiltant sur les paroles précédentes de Jack) : Il est vivant ?
- JB : Oui.
- V : Vous savez qui…
- JB : Oui.
- V : On peut le retrouver ? Il pourrait sauver Sydney !
- JB (soupirant) : Oui, je sais où il est.
- V : Qui ? Comment il s’appelle ? Comment-
- JB : Stop ! Va à la Rotonde, l’homme qui est dans la cellule 2 est ton frère.
- V (ne comprenant pas) : Quoi ?... comment… qu’est-ce qu’il a fait ?
- JB : Vas-y et convainc-le…
Los Angeles
- K : Ah Mr Vaughn, vous revoilà donc de retour ?
- V : Non je ne fais que passer.
Il ignora complètement son supérieur pour se diriger vers les cellules.
Les grilles s’ouvrirent.
Cellule n°1.
Vide.
Les grilles de derrière se fermèrent et celles de devant s’ouvrirent.
Cellule n°2.
Il regarda avec appréhension l’intérieur de la cellule. La première chose qu’il vit ce fut une tête blonde.
- V : Julian ?
- J : Mike ? Comment va Sydney ? Personne n’a voulu me le dire !
- V : Elle… elle est inconsciente.
- J : Mais elle va bien ?
- V : Elle a besoin d’une greffe de moelle osseuse.
Julian fut surpris.
- J : Faites-le.
- V : Personne n’est compatible. Ni Jack. Ni moi.
- J : Logique.
- V : Tu es notre dernier espoir.
- J : Je n’ai aucun lien de parenté avec elle. C’est fini alors ?
Vaughn baissa la tête.
- J : Mike, que me caches-tu ?
- V : Je suis le frère de Sydney.
Il lui raconta alors tout, même son histoire sur son petit frère en incluant ce que Jack lui avait dit.
- J : Pourquoi es-tu là alors ?
- V : Toi et Sydney je vous ai toujours considéré comme mon frère et ma sœur. Vous étiez pour moi mes frères et sœurs d’esprit, mais vous étiez bien plus que ça, vous étiez aussi mes frères et sœur-
- J (comprenant) : de sang.
- V : Oui. Aide-la.
- J : Tu n’as même pas à me le demander !
4 mois plus tard
- ? : Agent Bristow ! Veuillez vous calmer svp !
- B (lequel ??) : Vous croyez vraiment que je vais me calmer ?
- ? : Vous savez à qui vous parlez ?
- B : Bien entendu ! Mais j’exige que vous le rameniez TOUT DE SUITE !
- ? : Vous n’avez pas à me donner d’ordre Agent Bristow ! Il restera à Camp Harris. Il n’a rien voulu nous dire ici, il le fera, je peux vous l’assurer là-bas.
Un coup de poing partit. La victime avait la mâchoire ensanglanté.
- ? victime : Vous avez dépassé les limites Agent Bristow ! Vous-
- B : Ne finissez même pas la phrase Kendall. De toute façon je démissionne.
- V : Syd ! Tu peux pas faire ça !
- S : Je vais me gêner !
Elle sorti de la pièce en claquant la porte.
Le soir même
Sydney avait passé son après-midi à ruminer dans son salon jusqu’à ce qu’elle se décide à rédiger sa lettre de démission.
Elle prit une veste, sa lettre et ouvrit la porte. Elle se figea de suite, puis sourit.
Devant elle se trouvait Vaughn faisant les cents pas sur sa pelouse. Elle l’avait toujours considéré comme son frère et depuis qu’elle avait appris que c’était vrai, son amour pour lui s’était renforcé.
Il s’arrêta, il l’avait remarqué. Il souriait aussi. Entre eux, le sourire était devenu communicatif.
Mais son regard se posa sur le papier que la jeune femme tenait entre ses mains. Son sourire disparut.
- V : Alors, tu vas vraiment le faire ?
- S : Oui.
- V : Alors moi aussi !
- S : Non ! Tu n’as pas à le faire !
- V : Mon frère et ma sœur ne seront plus avec moi ! Alors pourquoi continuerai-je ?
- S : Tu… Je suis ta grande sœur ! Tu dois m’obéir !
- V : C’est la meilleure celle-là ! Tu ne l’es que de quelques minutes !
- S : Et alors ? C’est le principal !
A chaque fois qu’ils n’étaient pas d’accord, ce sujet revenait. C’était une sorte de rituel pour eux, ils n’avaient pas pu le faire lorsqu’ils étaient petits, alors inconsciemment, ils se rattrapaient.
Vaughn, entretemps, s’était rapproché de Sydney et lui avait pris les mains. Il la força à le regarder dans les yeux.
- V : Désolé. Mais tu sais, sans toi en tant qu’agent, ça ne va pas être pareil à la Rotonde. Attends ! Je vais être tout seul à affronter Kendal !! Plains-moi !
- S : Pauvre chou.
- V : Eeeeh.
Et ils partirent dans un éclat de rire.
Un mois plus tard
- ? : Bonjour Mr Vaughn.
- V : Bonjour Mlle Chase.
- Ch : Bien joué lors du débriefing.
- V : Merci. Mais j’ai vraiment cru que j’avais des problèmes.
Chase sourit et le mena dans ce nouveau lieu.
- V : Où est-ce qu’on est ?
- Ch : Autrefois… La surveillance de côté Pacifique a travaillé dans ce bureau jusqu' en 98. Cet endroit était sombre jusqu' à il y a deux mois quand Langley a approuvé la division.
- V : je ne sais pas comment vous dire que c'est un honneur qu’on m’ait demandé de faire partie de cette opération.
- Ch : Je vous sais… que vous êtes avide d’un nouveau départ.
- V : Oui. Un changement d’air côté boulot était urgent. Et je veux servir mon pays du mieux possible.
- Ch : Bien, cette tâche sera un défi pour vous…plus qu’on ne vous l’a laissé croire.
Vaughn entra dans la pièce mais lorsqu’il vit les personnes présentes, il esquissa un mouvement de recul.
Trois personnes étaient déjà présentes. Un jeune homme, un peu plus jeune que Vaughn et blond. Julian. A côté de lui, il y avait une jeune femme, brune, à peu près du même âge que Michael. Sydney. Le dernier était aussi brun, un peu enrobé. Weiss.
- Ch : Voici la nouvelle équipe de l’APO.
Une nouvelle vie s’offrait à eux, une nouvelle vie où les trois frères et sœurs étaient ensemble, enfin réunis.
FIN
alors vous en pensez quoi??
En fait, c'est pas vraiment une fin... c'est plutôt la fin de l'"enfance"(vu que now ils sont adultes mdr). Et je vais peut-être faire une suite, qui reprendra à la fin de cette fic dans une autre fic. Mais ce serait pas pour le moment à cause des partiels qui arrivent... donc c'est pour ça que je clos cette fic', pour ne pas laisser une fic' sans fin, mais... il va y avoir surement une suite... hi hi hi... allez bonne lecture
Chapitre 4 :
- J : Mike, je t’en supplie, aide-là.
Vaughn resta figer quelques secondes devant la scène devant lui. Mais il se ressaisit rapidement et demanda une ambulance.
Des hommes de la CIA s’approchèrent de Sark et essayèrent de le menotter mais il se débattait.
- V : Laissez-le !
- Un des hommes : Mais c’est Sark ! Mr Kendall nous a dit de le capturer le plus rapidement possible !
- V : Qui ?
- H : Le directeur de la Rotonde.
- V : Et moi je vous dis de le laisser !
Devant la colère apparente du jeune agent de la CIA, ils reculèrent.
Vaughn savait qu’il allait passé un sale quart d’heure avec ce directeur mais il s’en fichait.
Il reporta son attention sur Sark.
- J (levant un regard perdu vers Vaughn) : Pourquoi Mike ? Pourquoi elle ?
La gorge de Vaughn se serra. Il n’avait pas la réponse mais il comprenait la détresse du jeune blond, Sydney n’avait pas été gâté par la vie et il fallait qu’il lui arrive encore quelque chose.
V : « Ma tite Syd, je suis tellement désolé, je n’ai pas encore pu et su te protéger ».
Les ambulanciers arrivèrent quelques secondes plus tard, ils amenèrent la jeune femme aussitôt.
Hôpital
Vaughn était en train de faire les cents pas dans la salle d’attente. Cela faisait quatre heures que Sydney était dans la salle d’opération. Mais il avait de la chance…
*** Flash Back ***
Ils étaient revenus à la planque. Alors qu’ils rentraient dedans, cinq hommes se jetèrent sur Sark et le ligotèrent. Quelques minutes plus tard, Vaughn était au téléphone avec Kendall. Il se faisait passer un savon, les hommes avaient fait leur rapport et l’avaient dénoncé. Kendall avait ordonné le rapatriement du britannique à Los Angeles ainsi que celui de Vaughn qui refusa. Un conversation houleuse commença mais Vaughn eut gain de cause. Il savait que le chef de la Rotonde allait le faire souffrir mais pour l’instant, il s’en fichait.
Lorsqu’il raccrocha, il vit Julian inconscient sur le canapé… les hommes le détestaient vraiment.
Il soupira et sortit de la maison.
*** Fin du flash back ***
Une heure plus tard
- ? : Mr ?
- V : Vaughn.
- Docteur : Êtes-vous de la famille ?
- V : Non, mais son seul parent est indisponible et… je suis le seul de son entourage.
- D : D’accord… nous avons réussi à arrêter l’hémorragie et à retirer les balles…
- V : C’est bon signe non ?
- D : Oui mais… (inspirant) il va falloir rapidement faire une greffe de moelle osseuse sinon nous la perdrons.
Le visage de Vaughn se décomposa. Pourquoi devait-elle encore souffrir ?
- V : Qui peut être donneur ?
- D : Seulement ses proches parents ou frères et sœurs…
- V : Merci. Peut-on la voir ?
- D : Pour le moment non, mais je pense que demain ce sera possible. Au revoir.
Le docteur s’éloigna laissant Vaughn seul.
Il prit son portable avec la ferme intention de trouver le père de Sydney.
- V : Ici l’agent Vaughn, je voudrais avoir Jack Bristow svp.
…
- V : C’est urgent.
…
- V : Non je ne peux pas rappeler demain ! C’est à propos de sa fille !
…
- V : Elle est entre la vie et la mort !
- JB : Vaughn qu’est-ce qu’il y a ?
- V : Nous avons retrouvé Sydney et Sark mais il y a eu des échanges de coups de feu et… Sydney a été touché !
- JB : Où êtes-vous ?
Hôpital
Jack venait de pénétrer dans l’hôpital. L’infirmière à l’accueil était encore choquée par cet homme. En effet, il l’avait « un peu » bousculé pour savoir où était sa fille. Les visites étaient finis, il avait du user de son charme.
Dès qu’il vit Vaughn, il l’ « agressa ».
- V : Sydney a besoin d’une greffe de moelle osseuse. Vous seul pouvait lui donner. Vous êtes sa seule famille.
- JB : Non. Il doit bien y avoir une autre solution.
Il savait très bien la réponse à sa question mais il ne pouvait pas faire ce test, le test de compatibilité.
- V : Quoi ? Vous savez aussi bien que moi qu’il n’y a aucune autre solution sauf la mort de Sydney !
- JB : Je ne peux pas !
Vaughn passa une main sur son visage. Il ne comprenait pas la réaction de Jack. Il était pourtant sur qu’il aimait sa fille plus que tout au monde malgré sa froideur, même avec elle. Il avait pourtant cru…
- V : Alors vous allez laisser votre fille mourir ??
- Docteur : Messieurs, svp, vous êtes dans un hôpital. Qu’est-ce qui se passe ?
- V : C’est le seul à pouvoir sauver Sydney et il ne veut pas ! Voilà ce qu’il se passe !
Le docteur sachant parfaitement la peur qu’engendre une greffe, souria d’un air confiant.
- D : Monsieur… ?
- JB : Bristow.
- D : Mr Bristow, vous savez, il n’y a aucun risque pour le donneur. Le prélèvement est fiable depuis quelques années. Ca se fera en toute sécurité. Vous ne risquez rien. Aucune paralysie, ce qui fait le plus peur aux donneurs…
- JB : Vous ne comprenez pas.
- D : Si je-
- JB : Je ne serais pas compatible.
- D : Vous êtes l’une des personnes les plus susceptibles d’être compatibles. Vous êtes son père.
- JB : Justement.
- V : Comment ça ? Vous êtes son père et-
- JB : Je ne suis que son père… « adoptif ».
Le docteur et Vaughn se regardèrent surpris.
- V : Quoi ?
- JB (soupirant) : Docteur, pouvez-vous nous laisser ?
- D : Bien entendu. Mais faîtes vite. Son temps est compté.
Le docteur s’éloigna, les laissant seul.
- V : Jack. Que cachez-vous ?
- JB : Vous savez que vos parents, moi et ma femme étions amis ?
- V : Oui. Quel rapport ?
- JB : Savez-vous que votre mère était stérile ?
- V : Quoi ? Mais… je suis là…
Il ne comprenait pas. Comment pouvait-il être le fils de ses parents si sa mère était stérile ? C’était insensé !
- JB : Et… je le suis aussi.
- V : C’est une blague ? Comment Sydney et moi pouvons être vos enfants si…
- JB : Nous étions amis. (prenant quelques secondes )On était tous malheureux, nous voulions tous des enfants. Et la seule possibilité était…
- V : Non, vous…
- JB : Nous avons fait une fécondation in vitro avec les semences de William et Laura. C’est Laura qui a porté les enfants.
- V : Les ?
- JB : Toi et Sydney êtes né le même jour…
- V : Je … je suis le frère de Sydney ?
Il ne pouvait le croire ! Il tomba lourdement de sa chaise.(oui oui il était assis sur une chaise !)
Cette révélation le toucha plus que ce que Jack n’aurait pensé. Puis, tout d’un coup, Vaughn se leva et s’éloigna.
- JB : Où vas-tu ?
- V : Faire des analyses.
Lendemain matin, chambre de Sydney
- V : Coucou petite sœur ! (soupirant) Je n’aurais jamais pensé qu’à chaque fois que je disais ça, c’était la réalité… Je… je suis allé faire des examens pour t’aider, pour te donner ce qu’il te faut. Tu sais que je t’aime. Cette nuit, j’ai prié pour que je sois compatible. Eh oui ! Moi qui prie, tu vas bien pouvoir te foutre de moi !
Il la regarda encore quelques secondes avant de poser son regard sur sa main. Il la prit et la caressa.
- V : Allez petite sœur, bats-toi pour toi, pour moi. Stp.
Il resta encore quelques temps à son chevet jusqu’à ce que le médecin vienne le chercher.
Planque de la CIA
Vaughn revenait de l’hôpital, les heures de visites étaient terminées. Dans le salon se trouvait Jack qui lui posa une question muette.
- V : Aucun changement.
- JB : Et les analyses ?
Le visage de Vaughn s’assombrit de suite.
- V : Je ne suis pas assez compatible.
Il s’affala sur le canapé, passant ses mains sur son visage, signe de son désespoir.
- V : Il n’y a aucun espoir.
Il entendit un soupir qui le fit relever la tête.
- V : Qu’est-ce qu’il y a ?
- JB : Te rappelles-tu que ta mère était enceinte quand tu étais petit ?
- V : Oui, mais il est mort quelques minutes après la naissance.
- JB : En fait, William et moi avions appris quelques années plus tard que le petit n’était pas mort.
- V : Eh ! Mais comment ma mère a pu accouché ??
- JB : Fécondation in vitro.
- V : Oh… (tiltant sur les paroles précédentes de Jack) : Il est vivant ?
- JB : Oui.
- V : Vous savez qui…
- JB : Oui.
- V : On peut le retrouver ? Il pourrait sauver Sydney !
- JB (soupirant) : Oui, je sais où il est.
- V : Qui ? Comment il s’appelle ? Comment-
- JB : Stop ! Va à la Rotonde, l’homme qui est dans la cellule 2 est ton frère.
- V (ne comprenant pas) : Quoi ?... comment… qu’est-ce qu’il a fait ?
- JB : Vas-y et convainc-le…
Los Angeles
- K : Ah Mr Vaughn, vous revoilà donc de retour ?
- V : Non je ne fais que passer.
Il ignora complètement son supérieur pour se diriger vers les cellules.
Les grilles s’ouvrirent.
Cellule n°1.
Vide.
Les grilles de derrière se fermèrent et celles de devant s’ouvrirent.
Cellule n°2.
Il regarda avec appréhension l’intérieur de la cellule. La première chose qu’il vit ce fut une tête blonde.
- V : Julian ?
- J : Mike ? Comment va Sydney ? Personne n’a voulu me le dire !
- V : Elle… elle est inconsciente.
- J : Mais elle va bien ?
- V : Elle a besoin d’une greffe de moelle osseuse.
Julian fut surpris.
- J : Faites-le.
- V : Personne n’est compatible. Ni Jack. Ni moi.
- J : Logique.
- V : Tu es notre dernier espoir.
- J : Je n’ai aucun lien de parenté avec elle. C’est fini alors ?
Vaughn baissa la tête.
- J : Mike, que me caches-tu ?
- V : Je suis le frère de Sydney.
Il lui raconta alors tout, même son histoire sur son petit frère en incluant ce que Jack lui avait dit.
- J : Pourquoi es-tu là alors ?
- V : Toi et Sydney je vous ai toujours considéré comme mon frère et ma sœur. Vous étiez pour moi mes frères et sœurs d’esprit, mais vous étiez bien plus que ça, vous étiez aussi mes frères et sœur-
- J (comprenant) : de sang.
- V : Oui. Aide-la.
- J : Tu n’as même pas à me le demander !
4 mois plus tard
- ? : Agent Bristow ! Veuillez vous calmer svp !
- B (lequel ??) : Vous croyez vraiment que je vais me calmer ?
- ? : Vous savez à qui vous parlez ?
- B : Bien entendu ! Mais j’exige que vous le rameniez TOUT DE SUITE !
- ? : Vous n’avez pas à me donner d’ordre Agent Bristow ! Il restera à Camp Harris. Il n’a rien voulu nous dire ici, il le fera, je peux vous l’assurer là-bas.
Un coup de poing partit. La victime avait la mâchoire ensanglanté.
- ? victime : Vous avez dépassé les limites Agent Bristow ! Vous-
- B : Ne finissez même pas la phrase Kendall. De toute façon je démissionne.
- V : Syd ! Tu peux pas faire ça !
- S : Je vais me gêner !
Elle sorti de la pièce en claquant la porte.
Le soir même
Sydney avait passé son après-midi à ruminer dans son salon jusqu’à ce qu’elle se décide à rédiger sa lettre de démission.
Elle prit une veste, sa lettre et ouvrit la porte. Elle se figea de suite, puis sourit.
Devant elle se trouvait Vaughn faisant les cents pas sur sa pelouse. Elle l’avait toujours considéré comme son frère et depuis qu’elle avait appris que c’était vrai, son amour pour lui s’était renforcé.
Il s’arrêta, il l’avait remarqué. Il souriait aussi. Entre eux, le sourire était devenu communicatif.
Mais son regard se posa sur le papier que la jeune femme tenait entre ses mains. Son sourire disparut.
- V : Alors, tu vas vraiment le faire ?
- S : Oui.
- V : Alors moi aussi !
- S : Non ! Tu n’as pas à le faire !
- V : Mon frère et ma sœur ne seront plus avec moi ! Alors pourquoi continuerai-je ?
- S : Tu… Je suis ta grande sœur ! Tu dois m’obéir !
- V : C’est la meilleure celle-là ! Tu ne l’es que de quelques minutes !
- S : Et alors ? C’est le principal !
A chaque fois qu’ils n’étaient pas d’accord, ce sujet revenait. C’était une sorte de rituel pour eux, ils n’avaient pas pu le faire lorsqu’ils étaient petits, alors inconsciemment, ils se rattrapaient.
Vaughn, entretemps, s’était rapproché de Sydney et lui avait pris les mains. Il la força à le regarder dans les yeux.
- V : Désolé. Mais tu sais, sans toi en tant qu’agent, ça ne va pas être pareil à la Rotonde. Attends ! Je vais être tout seul à affronter Kendal !! Plains-moi !
- S : Pauvre chou.
- V : Eeeeh.
Et ils partirent dans un éclat de rire.
Un mois plus tard
- ? : Bonjour Mr Vaughn.
- V : Bonjour Mlle Chase.
- Ch : Bien joué lors du débriefing.
- V : Merci. Mais j’ai vraiment cru que j’avais des problèmes.
Chase sourit et le mena dans ce nouveau lieu.
- V : Où est-ce qu’on est ?
- Ch : Autrefois… La surveillance de côté Pacifique a travaillé dans ce bureau jusqu' en 98. Cet endroit était sombre jusqu' à il y a deux mois quand Langley a approuvé la division.
- V : je ne sais pas comment vous dire que c'est un honneur qu’on m’ait demandé de faire partie de cette opération.
- Ch : Je vous sais… que vous êtes avide d’un nouveau départ.
- V : Oui. Un changement d’air côté boulot était urgent. Et je veux servir mon pays du mieux possible.
- Ch : Bien, cette tâche sera un défi pour vous…plus qu’on ne vous l’a laissé croire.
Vaughn entra dans la pièce mais lorsqu’il vit les personnes présentes, il esquissa un mouvement de recul.
Trois personnes étaient déjà présentes. Un jeune homme, un peu plus jeune que Vaughn et blond. Julian. A côté de lui, il y avait une jeune femme, brune, à peu près du même âge que Michael. Sydney. Le dernier était aussi brun, un peu enrobé. Weiss.
- Ch : Voici la nouvelle équipe de l’APO.
Une nouvelle vie s’offrait à eux, une nouvelle vie où les trois frères et sœurs étaient ensemble, enfin réunis.
FIN
alors vous en pensez quoi??
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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Loisirs : ordi, lecture, film
Date d'inscription : 27/03/2006
Enfance
Clap clap! Fin très réussi malgré un SVS sans SVS!mdr je sais je suis soulante! Sinon c'est parfaitement bien écrit! Tu sais ce que je pense de tes fics en général ! Je t'aimeeeeeeeeeeeeeeee ma grande folle
Sweetie girl
Sweetie girl
Re: Enfance
raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh je t'aime ma sarkounette !!!!!!!!
Bon jsuis pas avec mon Vaughn chéri mais... enfin bref, j'allais pas marier avec mon frère ! ça allait pas le faire !
Et Julian devient gentils c'est ça ?!! désolé mais alors avec lui j'ai du mal à accrocher... même si je suis parvenue à apprécier sa présence ! oui je sais je suis de plus en plus bizarre ! cherche pas à comprendre, il te faudrait toute ta vie pour me psychanalyser ! mdrrrrrrr
oui donc, j'ai beaucoup aimé l'idée des frères et soeurs, ça me botte ça !!
Donc moi je veux une suite !! d'ailleurs une suite où y'aura ps de Lauren !! j'ai pas envie de voir une blondasse foutre le bordel au milieu !! ok ?!!! ou je dois me fâcher ??!!
sur ce je te fais un grooooooooooooooooooooooooooooooos bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus ma sarkounette !!
Je t'aimeeeeeeeeeeuuuuuuhhhhh (et je fais pas la vache, moi !! )
Bon jsuis pas avec mon Vaughn chéri mais... enfin bref, j'allais pas marier avec mon frère ! ça allait pas le faire !
Et Julian devient gentils c'est ça ?!! désolé mais alors avec lui j'ai du mal à accrocher... même si je suis parvenue à apprécier sa présence ! oui je sais je suis de plus en plus bizarre ! cherche pas à comprendre, il te faudrait toute ta vie pour me psychanalyser ! mdrrrrrrr
oui donc, j'ai beaucoup aimé l'idée des frères et soeurs, ça me botte ça !!
Donc moi je veux une suite !! d'ailleurs une suite où y'aura ps de Lauren !! j'ai pas envie de voir une blondasse foutre le bordel au milieu !! ok ?!!! ou je dois me fâcher ??!!
sur ce je te fais un grooooooooooooooooooooooooooooooos bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus ma sarkounette !!
Je t'aimeeeeeeeeeeuuuuuuhhhhh (et je fais pas la vache, moi !! )
Re: Enfance
@patate : merci ma mini folle!!!!!!
et non tu saoule pas!!! je sais que t'aurais aimé du svs... mais... j'avais prévenu... pas de svs ni de sss!!!!!
bisouuuuuuuuuuuuuuuuus!!! je t'aimeeeeeeee
@ choupi : moi aussi je t'aimeuuuuuuuuuuuuuuuh ma sydney!:!!!!!
et nan t'es pas avec ton âme-soeur.... mais comme tu dis si bien.....
et vi t'as tout compris, julian devient gentil!!
t'es parvenue à apprécier sa présence???? wow tu me l'avais jamais dit!!! tu vas pouvoir nous écrire du sss alors... :p
et merci pour l'idée... au départ y avait que vaughn et julian mais... j'ai mis vaughn et syd l'étaient donc....
bisous
encore merci les filles et gros bisoussssssssssss
je vous aime!!!!
et non tu saoule pas!!! je sais que t'aurais aimé du svs... mais... j'avais prévenu... pas de svs ni de sss!!!!!
bisouuuuuuuuuuuuuuuuus!!! je t'aimeeeeeeee
@ choupi : moi aussi je t'aimeuuuuuuuuuuuuuuuh ma sydney!:!!!!!
et nan t'es pas avec ton âme-soeur.... mais comme tu dis si bien.....
j'allais pas marier avec mon frère ! ça allait pas le faire !
et vi t'as tout compris, julian devient gentil!!
t'es parvenue à apprécier sa présence???? wow tu me l'avais jamais dit!!! tu vas pouvoir nous écrire du sss alors... :p
et merci pour l'idée... au départ y avait que vaughn et julian mais... j'ai mis vaughn et syd l'étaient donc....
bisous
encore merci les filles et gros bisoussssssssssss
je vous aime!!!!
myvaughn-sark- Lecteur de Voici
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