L'Amalgam
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L'Amalgam
[b]Voilu, j'espère que ce début vous plaira^^
Prologue
Il faisait noir.
La femme se balançait d’avant en arrière, recroquevillée sur elle-même, ses bras entourant ses genoux. Non. Non, ce ne pouvait être vrai, ce ne devait pas être vrai. C’était un mauvais rêve, une hallucination, un cauchemar, une abomination…
Elle se pris la tête entre les mains, désespérée, hantée par une chose qu‘elle était seule à voir. Ses cheveux dégoulinant d’eau se collèrent à ses doigts. Tout se collait à elle: sa tunique de lin, ses cheveux…
Elle se sentait oppressée traquée. Elle se trouvait dans une caverne sombre qui ne la séparait que de deux mètres du vide.
Devant elle s’étendait la nuit étoilée, dangereusement belle avec ses longs éclairs dorés qui la zébrait de part et d’autre. D’énormes rais de lumière magnifiques et mortels, gorgés d’électricité…de puissance. Le tout couronné par des gerbes d’eau que semblait cracher les étoiles. Un temps de fin du monde, ne put s’empêcher de penser la femme.
Étrangement silencieux.
Le peuple serait content, Ils rechargeraient leurs batteries. Elle aussi. Mais elle serait toujours anéantie.
Quoi qu’il arrive.
Mais sa douleur s’interrompit plus tôt que prévu et la dernière chose qui se refléta dans ses somptueux yeux vert fut la lueur d’une explosion qui illumina les champs en contrebas.
Elle avait eu raison : les batteries étaient rechargées.
Et c’était vraiment un temps de fin du monde.
Mais elle ne le saurait jamais : elle était morte, balayée par le souffle brûlant. Elle ne les reverrait jamais.
Ses cheveux maintenant secs et brûlants enveloppaient son superbe visage, sans doute pour l’éternité.
La pluie continuait de tomber.
Prologue
Il faisait noir.
La femme se balançait d’avant en arrière, recroquevillée sur elle-même, ses bras entourant ses genoux. Non. Non, ce ne pouvait être vrai, ce ne devait pas être vrai. C’était un mauvais rêve, une hallucination, un cauchemar, une abomination…
Elle se pris la tête entre les mains, désespérée, hantée par une chose qu‘elle était seule à voir. Ses cheveux dégoulinant d’eau se collèrent à ses doigts. Tout se collait à elle: sa tunique de lin, ses cheveux…
Elle se sentait oppressée traquée. Elle se trouvait dans une caverne sombre qui ne la séparait que de deux mètres du vide.
Devant elle s’étendait la nuit étoilée, dangereusement belle avec ses longs éclairs dorés qui la zébrait de part et d’autre. D’énormes rais de lumière magnifiques et mortels, gorgés d’électricité…de puissance. Le tout couronné par des gerbes d’eau que semblait cracher les étoiles. Un temps de fin du monde, ne put s’empêcher de penser la femme.
Étrangement silencieux.
Le peuple serait content, Ils rechargeraient leurs batteries. Elle aussi. Mais elle serait toujours anéantie.
Quoi qu’il arrive.
Mais sa douleur s’interrompit plus tôt que prévu et la dernière chose qui se refléta dans ses somptueux yeux vert fut la lueur d’une explosion qui illumina les champs en contrebas.
Elle avait eu raison : les batteries étaient rechargées.
Et c’était vraiment un temps de fin du monde.
Mais elle ne le saurait jamais : elle était morte, balayée par le souffle brûlant. Elle ne les reverrait jamais.
Ses cheveux maintenant secs et brûlants enveloppaient son superbe visage, sans doute pour l’éternité.
La pluie continuait de tomber.
Inlandsis- Lecteur de Prospectus
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Date d'inscription : 11/03/2008
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