Le seul Remède
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Le seul Remède
LE SEUL REMEDE
Alors voilà c’est ma première fic alors soyez indulgent svp !! lol
Auteur : elisabeth-sheppard
e-mail :
catégorie : romance schweir (évidemment je suis complètement intoxiquée !), un peu d’aventure mais surtout de la romance.
Disclaimers : pas à moi, pas de sous,… vous connaissez la chanson !
BUREAU DU DOCTEUR WEIR : 23h30
Elisabeth travaillait sur une traduction lorsque le colonel Caldwell entra en trombe dans son bureau. Liz pensa immédiatement que étant donné l’air que le colonel arborait, la petite veine qui battait à sa tempe, ses poings serrés à en faire blanchir les jointures et son teint qui devenait de plus en plus écarlate, il était préférable qu’elle reporte son annonce de départ en mission du lendemain. Elle lui annoncerait plus tard.
E : Colonel que puis-je faire pour vous ? elle réalisa immédiatement qu ‘elle n’aurait jamais du poser cette question car l’officier explosa.
C : vous pouvez faire, dr weir que l’officier le plus gradé de cette base cesse de se comporter comme un véritable gamin immature et inapte a commander. C’est un véritable miracle qu’Atlantis ne soit pas encore tomber aux mains des wraiths.
E ( qui tentait de faire preuve de toute sa diplomatie pour essayer de sortir John de ce mauvais pas. « John ? depuis quand est ce qu’elle l’appelait par son prénom dans ses pensées ? ah oui depuis qu’il l’avait sauvée des mains de Kolya. Elisabeth on se reprend on respire c’est pas le moment de montrer que tu as un faible pour le COLONEL SHEPPARD. On se reconcentre sur Caldwell bien que John soit beaucoup plus…, STOOOOPP !!) : Colonel écoutez, le colonel est un excellent officier il n’hésite pas à mettre sa propre vie en danger pour sauver la notre. Il a bien sur tendance a discuter les ordres mais je la savais avant de la sélectionner pour la mission Atlantis. Il fait des efforts et il faut de notre côté être un peu indulgents avec lui…
C : Alors les rumeurs étaient fondées ?
E : je vous demande pardon ?
C : certaines personnes dans la base pensent qu’il y a du favoritisme de votre part pour le colonel Sheppard. Certaines mauvaise langues prétendent même qu’il a réussi à vous « mettre dans son lit » d’après leur propre termes. Dit-il avec un air suspicieux, scrutant le moindre expression sur le visage du docteur.
Elisabeth senti le rouge lui monter aux joues, il fallait qu’elle se contrôle où ça allait vraiment devenir gênant : Comment osez vous colonel, je ne vous pensait pas capable de prêter le oindre crédit aux bruits de couloirs, il n’y a strictement rien entre le colonel et moi et de toute façon cela ne vous regarde pas ! j’ai envers le colonel l’attitude qu’il mérite, peu d’officier sur cette base peuvent prétendre être aussi méritant je n’hésiterais pas une seule seconde a lui confier ma vie si j’avais à la faire ! d’ailleurs je vais vous le prouvez je pars en mission demain avec son équipe ! elle avait dit ça d’une seule traite en espérant que Caldwell ne relèverait pas la dernière partie de sa phrase, en vain.
C : vous quoi ? mais Elisabeth vous ne pouvez pas faire ça vous êtes la commandante de cette base et vous ne pouvez pas partir sur le terrain au risque de vous faire capturer ou même tuer alors qu’autant de personne comptent sur vous…
E : on se calme colonel cette mission est une mission d’exploration qui nécessite le présence d’un linguiste. En l’occurrence moi, c’est une mission sans risque et de toute manière je n’ai aucun ordre a recevoir de vous. Sur ce au revoir colonel j’ai du travail.
Caldwell sortit en trombe du bureau d’Elisabeth, encore sous le coup de l’altercation qu’il venait d’avoir avec elle il ne vit pas arriver John qu’il percuta de plein fouet les sonnant tous les 2.
C : oh mais c’est pas vrai colonel vous pouvez pas regardez ou vous mettez les pieds !
J : je suis désolé monsieur mais avec tout le respect que je vous doit c’est vous qui ne regardiez pas ou vous alliez ! répliqua John avec une pointe d’humour.
Caldwell n’en supportant pas d’avantage fit volte face et partit dans son bureau non sans avoir aboyer sur toutes les personnes qui l’avaient croisé.
John encore surpris de l’attitude de Caldwell entra dans le bureau d’Elisabeth. Elle était dos a lui et il pouvait sentir qu’elle fulminait. Elle entendit quelqu’un entrer et croyant que c’était Caldwell elle ajouta sur un ton sec :
E : la discussion est close colonel !
J : ok je repasserai.
Elisabeth reconnaissant sa voie et se radoucissant immédiatement : Colonel… non entrez je croyais que… je croyais que c’était Caldwell qui revenait a la charge !
J : qu’est ce qui a bien pu le mettre dans cet état ?
Elisabeth se remémorant les paroles de Caldwell se sentit gênée et bafouilla : Oh…euh … rien du tout !
John qui avait remarqué son trouble eut envie de la taquiner pour découvrir qu’est ce qui mettait mal a l’aise une femme telle qu’Elisabeth, une femme si sure d’elle, honnête, humaine, magnifiquement belle, avec un sourire si craquant… STOP ! John se gifla mentalement pour se reprendre il ne pouvait pas se permettre d’avoir de telle pensée pour sa supérieure d’autant plus que ses sentiments n’étaient sûrement pas réciproques : Alors Elisabeth ?
E ( de plus en plus gênée) : il a insinué que nous deux, nous avions… que nous étions… euh…
« Elisabeth vous bafouillez » dit il avec un sourire excessivement charmeur sachant très bien qu’il la déstabiliserait encore plus.
E : il a insinué que je faisais du favoritisme par rapport a vous parce que nous avions une relation ! elle avait dit cela sans respirer d’une voix plus basse pour n’être entendue que de John.
« oh ! » fut tout ce qu’il trouva a répondre encore sous le choc de la réaction d’Elisabeth. Si elle réagissait comme ça c’est peur être qu’elle aussi avait des sentiments pour lui ? Stop John tu t’égares, ce n’est pas possible. « je pense qu’il a tord vous vous comportez de manière parfaitement équitable. Vous êtes un bon leader Elisabeth ne laissez personne vous faire croire le contraire ! »
Elisabeth était très touchée par les paroles de John. Il l’estimait en tant qu’amie mais aussi en tant que chef malgré leurs accrochages « merci John. »
J : « mais de rien Elisabeth c’est un réel plaisir de vous voir sourire ». il accompagna sa phrase d’un clin d’œil et ajouta « demain 8h00 en salle d’embarquement mais pour l’instant il faut aller vous coucher et ne m’obligez pas a utilisr la force. Je vous veux en forme de main a mes côtés ! »
E : Bonne nuit John et merci !
J ( qui tiqua car elle avait employé son prénom de façon répétée depuis ces 10 dernières minutes) : bonne nuit…Elisabeth.
1h30 plus tard
Elisabeth était dans son lit et essayait de dormir mais c’était impossible elle n’arrêtait pas de penser à ce que lui avait dit John et s’en voulait de penser a lui de la sorte. Elle ne pouvait pas être avec lui, elle était le chef de cette expédition et il était son second. De plus, il n’avait certainement pas le même genre de sentiments a son égard. Alors il fallait qu’elle empêche ce sentiment de chaleur des qu’il était dans la pièce de se développer, les battements de son cœur s’accélérer es qu’il était dans la pièce. Stop, ce n’était qu’un béguin et ça aller passer. C’est en pensant à John qu’elle s’endormit.
Le lendemain, salle d’embarquement 8h00
J : bon tout le monde est prêt on y va !
R : Sheppard…
J : vous avez 3 heures Mckay et vous allez vous en contenter . des que le Docteur Weir a traduit les inscriptions dans la salle du temple on rentre , c’est clair.
R : Mais…
J : cela n’est pas discutable !
E ( à Teyla) : ils sont toujours comme ca en mission ? dit elle en souriant.
T : Oui toujours ! vous vous y habituerez ce sont de vrais enfants !
J : en route !
Ronon et Teyla passèrent en premier suivis de Rodney. Elisabeth et John fermaient la marche. Juste avant de passer dans le vortex Elisabeth hésita. John le vit et lui attrapa délicatement la main pour la rassurer et ils passèrent la porte ensemble.
De l’autre côté
R ( en voyant John et Elisabeth main dans la main) : euh… il fut couper par la main de Teyla sur son bras lui intimant l’ordre de se taire.
Elle ne voulait pas que son ami brise le moment d’intimité du couple. En effet, depuis qu’ils étaient sortis du vortex ils étaient toujours main dans la main et se regardaient dans les yeux, fascinés l’un par l’autre. L’échange était très intense, chacun regardait l’autre avec beaucoup d’amour et de tendresse dans le regard. Ce fut Elisabeth qui brisa le contact, elle détourna le regard gênée et marmonna un vague merci.
John encore troublé par ce qui venait de se passer, se pourrait-il que… non : bon allez , MacKay vous partez avec Teyla faire vos relevés, Ronon vous inspectez les alentours et je vais avec Elisabeth au temple.
R (pour lui même) : Ben voyons !
J ( qui avait entendu) : un problème Mckay ?
R : non aucun
J : bon alors au travail !
Chacun se mit au travail, Elisabeth et John était au temple depuis plus de deux heures, Elisabeth travaillait sur le traduction et John… Ben John il regardait, n’ayant rien de mieux à faire il admirait la superbe femme qui était avec lui. Le docteur s’en était rendu compte mais ne dit rien. Elle avait senti le picotement dans sa nuque si particulier quand John posait les yeux sur elle. Mais elle aimait cela, elle aimait se sentir appréciée par cette homme alors elle le laissa faire.
Tout a coup, Elisabeth s’écria « ca y est ! j’ai trouvé »
J : quoi ?
E : les inscriptions disent qu’il y a une salle cachée derrière ce mur, il suffit de pousser ( elle se dirigea vers le mur), ceci !
Le mur coulissa laissant apparaître une petite salle avec au centre une petite sphère lumineuse lévitant au dessus de son socle. Ils étaient tous les 2 fascinés par cette boule et sans se rendre compte de ce qu’ils faisaient ils s’en approchèrent et posèrent simultanément leurs mains dessus. Ils sentirent une légère brûlure au creux de leurs paumes avant de s’écrouler en même temps.
Infirmerie, 2 jours plus tard 11h
John et Elisabeth étaient à l’infirmerie depuis plus de deux jours car le reste de l’équipe les avaient trouvés inconscients dans la salle et les avait ramené sur Atlantis.
Ils n’étaient toujours pas réveillés et la cité craignait pour la vie de ses leaders.
Carson effectuait pour la vingtième fois des tests sanguins à ses deux patients pour vérifier qu’ils n’vaient pas été contaminés par un virus alien et pour la vingtième fois rien du tout .
Le docteur pestait contre ses infirmiers pour leur lenteurs quand John s’éveilla.
« Elisabeth !! » hurla John, il s’agitait quand Carson accoura.
Car : John calmez vous, tout va bien !
J : Elisabeth ! ou est elle ? est ce qu’elle va bien ?
Au même moment, le même évènement se produisait dans la chambre d’Elisabeth, elle s’agitait et hurlait le nom de John.
Carson prit alors la décision de les mettre dans la même chambre pour qu’ils se calment. A la minute où ils se retrouvèrent ils se calmèrent instantanément et s’endormirent l’un en face de l’autre.
4h plus tard
John et Elisabeth s’éveillèrent en même temps et se retrouvèrent l’un en face de l’autre ils se retournèrent quand la Docteur Beckett arriva.
« Ah enfin réveillés, vous nous avez fait une sacré peur tous les 2. comment vous sentez vous ? »
J et E ( en même temps). Comme si un wraith avait fait de moi son punching-ball !
C (étonné) : oui bon je vais vous donner des analgésiques et vous irez mieux .
J : est ce que l’on peut sortir ?
C ; si vous vous sentez mieux dans deux petites heures.
3 heures plus tard
Elisabeth était dans son bureau, elle se remettait doucement au travail quand John entra.
J : Elisabeth, comment vous vous sentez ?
E : ça peut aller, un peu mal à la tête mais ça ira.
J ( inquiet) : vous êtes sûre… je peux aller chercher Beckett…
E ( amusée) : John, calmez vous ça va !
A peine avait elle dit cela qu’elle s’écroula par terre, John se précipita sur elle complètement affolé. Elle semblait souffrir, elle transpirait, et était complètement contractée. John passa sa main sur son visage pour la calmer alors que Grodin appelait une équipe médicale. Alors que John lui caressait le visage, Elisabeth se calma instantanément et arrêta de trembler. John la souleva dans ses bras pour l’amener a l’infirmerie et Elisabeth s’accrocha à lui et se blottit dans ses bras encore sonnée.
½ heure plus tard, infirmerie.
E ( se réveillant) : qu’est e qui s’est passé ? elle tourna la tête et vit John assis sur une chaise a côté d’elle.
Il s’approcha d’elle et lui prit la main.
J : ça va aller, vous avez fait un malaise mais tout ira bien.
Carson arriva essoufflé « Elisabeth, j’ai quelque chose a vous dire. Vous avez contracté un virus sur la planète que vous avez visité. Les premiers symptômes sont ceux que vous avez ressenti tout a l’heure.
E : oh mon Dieu, est ce que …
C : non rassurez vous. John a lui aussi contracté le virus mais le gêne ATA agit comme un anticorps et il a réussi a vous transmettre l’anticorps par contact physique lors de votre malaise.
J : c’est pour cette raison qu’elle s’est calmée quand je l’ai touchée tout à l’heure ?
C : oui , le seul problème c’est que les crise vont être de plus en plus violentes et que le contact devra être de plus et plus important.
A ces mots Elisabeth rougit violemment et pense « mon dieu déjà que quand il ma frôle j’ai des frissons alors s’il me colle à lui je n’y résisterai pas ! »
De son côté John n’en menai pas large non plus « cela sera médical John, c’est la seule solution ! » mais une petite voix dans sa tête lui rappela que cela ne lui déplaisait pas tant que ca la perspective de « soigner » Elisabeth.
C : John vous avez pour ordre de veiller sur Elisabeth. J’ai fait aménager des quartiers doubles pour que vous puissiez y dormir tous les deux ( nouveau fard des deux protagonistes) vous ne devez pas vous éloigner de plus de 5 mètres l’un de l’autre est ce que c’est clair.
J : oui
E ( d’une toute petite voix) : oui Carson…
C : John a la moindre crise vous n’hésitez pas c’est clair ? c’est vital pour elle.
J ( essayant de détendre l’atmosphère) : s’il le faut je me sacrifie…
E ( vexée) : et bien John je suis désolée d’être un poids pour vous !
J ( la regardant dans les yeux avec un air charmeur) : du calme « Liz » je plaisantais !
Elisabeth gênée détourna les yeux et dit : c’est pas grave, faute avouée à moitié pardonnée !
Ils se mirent à rire tous les 2 en sortant de l’infirmerie sous le regard bienveillant de Carson qui était heureux de la tournure des évènements pour ses deux amis. Il leur souhaitait le même bonheur que lui vivait avec le Lieutenant Laura Cadman depuis des mois.
to be continued.
j'espere que vous avez aimé!!
Alors voilà c’est ma première fic alors soyez indulgent svp !! lol
Auteur : elisabeth-sheppard
e-mail :
catégorie : romance schweir (évidemment je suis complètement intoxiquée !), un peu d’aventure mais surtout de la romance.
Disclaimers : pas à moi, pas de sous,… vous connaissez la chanson !
BUREAU DU DOCTEUR WEIR : 23h30
Elisabeth travaillait sur une traduction lorsque le colonel Caldwell entra en trombe dans son bureau. Liz pensa immédiatement que étant donné l’air que le colonel arborait, la petite veine qui battait à sa tempe, ses poings serrés à en faire blanchir les jointures et son teint qui devenait de plus en plus écarlate, il était préférable qu’elle reporte son annonce de départ en mission du lendemain. Elle lui annoncerait plus tard.
E : Colonel que puis-je faire pour vous ? elle réalisa immédiatement qu ‘elle n’aurait jamais du poser cette question car l’officier explosa.
C : vous pouvez faire, dr weir que l’officier le plus gradé de cette base cesse de se comporter comme un véritable gamin immature et inapte a commander. C’est un véritable miracle qu’Atlantis ne soit pas encore tomber aux mains des wraiths.
E ( qui tentait de faire preuve de toute sa diplomatie pour essayer de sortir John de ce mauvais pas. « John ? depuis quand est ce qu’elle l’appelait par son prénom dans ses pensées ? ah oui depuis qu’il l’avait sauvée des mains de Kolya. Elisabeth on se reprend on respire c’est pas le moment de montrer que tu as un faible pour le COLONEL SHEPPARD. On se reconcentre sur Caldwell bien que John soit beaucoup plus…, STOOOOPP !!) : Colonel écoutez, le colonel est un excellent officier il n’hésite pas à mettre sa propre vie en danger pour sauver la notre. Il a bien sur tendance a discuter les ordres mais je la savais avant de la sélectionner pour la mission Atlantis. Il fait des efforts et il faut de notre côté être un peu indulgents avec lui…
C : Alors les rumeurs étaient fondées ?
E : je vous demande pardon ?
C : certaines personnes dans la base pensent qu’il y a du favoritisme de votre part pour le colonel Sheppard. Certaines mauvaise langues prétendent même qu’il a réussi à vous « mettre dans son lit » d’après leur propre termes. Dit-il avec un air suspicieux, scrutant le moindre expression sur le visage du docteur.
Elisabeth senti le rouge lui monter aux joues, il fallait qu’elle se contrôle où ça allait vraiment devenir gênant : Comment osez vous colonel, je ne vous pensait pas capable de prêter le oindre crédit aux bruits de couloirs, il n’y a strictement rien entre le colonel et moi et de toute façon cela ne vous regarde pas ! j’ai envers le colonel l’attitude qu’il mérite, peu d’officier sur cette base peuvent prétendre être aussi méritant je n’hésiterais pas une seule seconde a lui confier ma vie si j’avais à la faire ! d’ailleurs je vais vous le prouvez je pars en mission demain avec son équipe ! elle avait dit ça d’une seule traite en espérant que Caldwell ne relèverait pas la dernière partie de sa phrase, en vain.
C : vous quoi ? mais Elisabeth vous ne pouvez pas faire ça vous êtes la commandante de cette base et vous ne pouvez pas partir sur le terrain au risque de vous faire capturer ou même tuer alors qu’autant de personne comptent sur vous…
E : on se calme colonel cette mission est une mission d’exploration qui nécessite le présence d’un linguiste. En l’occurrence moi, c’est une mission sans risque et de toute manière je n’ai aucun ordre a recevoir de vous. Sur ce au revoir colonel j’ai du travail.
Caldwell sortit en trombe du bureau d’Elisabeth, encore sous le coup de l’altercation qu’il venait d’avoir avec elle il ne vit pas arriver John qu’il percuta de plein fouet les sonnant tous les 2.
C : oh mais c’est pas vrai colonel vous pouvez pas regardez ou vous mettez les pieds !
J : je suis désolé monsieur mais avec tout le respect que je vous doit c’est vous qui ne regardiez pas ou vous alliez ! répliqua John avec une pointe d’humour.
Caldwell n’en supportant pas d’avantage fit volte face et partit dans son bureau non sans avoir aboyer sur toutes les personnes qui l’avaient croisé.
John encore surpris de l’attitude de Caldwell entra dans le bureau d’Elisabeth. Elle était dos a lui et il pouvait sentir qu’elle fulminait. Elle entendit quelqu’un entrer et croyant que c’était Caldwell elle ajouta sur un ton sec :
E : la discussion est close colonel !
J : ok je repasserai.
Elisabeth reconnaissant sa voie et se radoucissant immédiatement : Colonel… non entrez je croyais que… je croyais que c’était Caldwell qui revenait a la charge !
J : qu’est ce qui a bien pu le mettre dans cet état ?
Elisabeth se remémorant les paroles de Caldwell se sentit gênée et bafouilla : Oh…euh … rien du tout !
John qui avait remarqué son trouble eut envie de la taquiner pour découvrir qu’est ce qui mettait mal a l’aise une femme telle qu’Elisabeth, une femme si sure d’elle, honnête, humaine, magnifiquement belle, avec un sourire si craquant… STOP ! John se gifla mentalement pour se reprendre il ne pouvait pas se permettre d’avoir de telle pensée pour sa supérieure d’autant plus que ses sentiments n’étaient sûrement pas réciproques : Alors Elisabeth ?
E ( de plus en plus gênée) : il a insinué que nous deux, nous avions… que nous étions… euh…
« Elisabeth vous bafouillez » dit il avec un sourire excessivement charmeur sachant très bien qu’il la déstabiliserait encore plus.
E : il a insinué que je faisais du favoritisme par rapport a vous parce que nous avions une relation ! elle avait dit cela sans respirer d’une voix plus basse pour n’être entendue que de John.
« oh ! » fut tout ce qu’il trouva a répondre encore sous le choc de la réaction d’Elisabeth. Si elle réagissait comme ça c’est peur être qu’elle aussi avait des sentiments pour lui ? Stop John tu t’égares, ce n’est pas possible. « je pense qu’il a tord vous vous comportez de manière parfaitement équitable. Vous êtes un bon leader Elisabeth ne laissez personne vous faire croire le contraire ! »
Elisabeth était très touchée par les paroles de John. Il l’estimait en tant qu’amie mais aussi en tant que chef malgré leurs accrochages « merci John. »
J : « mais de rien Elisabeth c’est un réel plaisir de vous voir sourire ». il accompagna sa phrase d’un clin d’œil et ajouta « demain 8h00 en salle d’embarquement mais pour l’instant il faut aller vous coucher et ne m’obligez pas a utilisr la force. Je vous veux en forme de main a mes côtés ! »
E : Bonne nuit John et merci !
J ( qui tiqua car elle avait employé son prénom de façon répétée depuis ces 10 dernières minutes) : bonne nuit…Elisabeth.
1h30 plus tard
Elisabeth était dans son lit et essayait de dormir mais c’était impossible elle n’arrêtait pas de penser à ce que lui avait dit John et s’en voulait de penser a lui de la sorte. Elle ne pouvait pas être avec lui, elle était le chef de cette expédition et il était son second. De plus, il n’avait certainement pas le même genre de sentiments a son égard. Alors il fallait qu’elle empêche ce sentiment de chaleur des qu’il était dans la pièce de se développer, les battements de son cœur s’accélérer es qu’il était dans la pièce. Stop, ce n’était qu’un béguin et ça aller passer. C’est en pensant à John qu’elle s’endormit.
Le lendemain, salle d’embarquement 8h00
J : bon tout le monde est prêt on y va !
R : Sheppard…
J : vous avez 3 heures Mckay et vous allez vous en contenter . des que le Docteur Weir a traduit les inscriptions dans la salle du temple on rentre , c’est clair.
R : Mais…
J : cela n’est pas discutable !
E ( à Teyla) : ils sont toujours comme ca en mission ? dit elle en souriant.
T : Oui toujours ! vous vous y habituerez ce sont de vrais enfants !
J : en route !
Ronon et Teyla passèrent en premier suivis de Rodney. Elisabeth et John fermaient la marche. Juste avant de passer dans le vortex Elisabeth hésita. John le vit et lui attrapa délicatement la main pour la rassurer et ils passèrent la porte ensemble.
De l’autre côté
R ( en voyant John et Elisabeth main dans la main) : euh… il fut couper par la main de Teyla sur son bras lui intimant l’ordre de se taire.
Elle ne voulait pas que son ami brise le moment d’intimité du couple. En effet, depuis qu’ils étaient sortis du vortex ils étaient toujours main dans la main et se regardaient dans les yeux, fascinés l’un par l’autre. L’échange était très intense, chacun regardait l’autre avec beaucoup d’amour et de tendresse dans le regard. Ce fut Elisabeth qui brisa le contact, elle détourna le regard gênée et marmonna un vague merci.
John encore troublé par ce qui venait de se passer, se pourrait-il que… non : bon allez , MacKay vous partez avec Teyla faire vos relevés, Ronon vous inspectez les alentours et je vais avec Elisabeth au temple.
R (pour lui même) : Ben voyons !
J ( qui avait entendu) : un problème Mckay ?
R : non aucun
J : bon alors au travail !
Chacun se mit au travail, Elisabeth et John était au temple depuis plus de deux heures, Elisabeth travaillait sur le traduction et John… Ben John il regardait, n’ayant rien de mieux à faire il admirait la superbe femme qui était avec lui. Le docteur s’en était rendu compte mais ne dit rien. Elle avait senti le picotement dans sa nuque si particulier quand John posait les yeux sur elle. Mais elle aimait cela, elle aimait se sentir appréciée par cette homme alors elle le laissa faire.
Tout a coup, Elisabeth s’écria « ca y est ! j’ai trouvé »
J : quoi ?
E : les inscriptions disent qu’il y a une salle cachée derrière ce mur, il suffit de pousser ( elle se dirigea vers le mur), ceci !
Le mur coulissa laissant apparaître une petite salle avec au centre une petite sphère lumineuse lévitant au dessus de son socle. Ils étaient tous les 2 fascinés par cette boule et sans se rendre compte de ce qu’ils faisaient ils s’en approchèrent et posèrent simultanément leurs mains dessus. Ils sentirent une légère brûlure au creux de leurs paumes avant de s’écrouler en même temps.
Infirmerie, 2 jours plus tard 11h
John et Elisabeth étaient à l’infirmerie depuis plus de deux jours car le reste de l’équipe les avaient trouvés inconscients dans la salle et les avait ramené sur Atlantis.
Ils n’étaient toujours pas réveillés et la cité craignait pour la vie de ses leaders.
Carson effectuait pour la vingtième fois des tests sanguins à ses deux patients pour vérifier qu’ils n’vaient pas été contaminés par un virus alien et pour la vingtième fois rien du tout .
Le docteur pestait contre ses infirmiers pour leur lenteurs quand John s’éveilla.
« Elisabeth !! » hurla John, il s’agitait quand Carson accoura.
Car : John calmez vous, tout va bien !
J : Elisabeth ! ou est elle ? est ce qu’elle va bien ?
Au même moment, le même évènement se produisait dans la chambre d’Elisabeth, elle s’agitait et hurlait le nom de John.
Carson prit alors la décision de les mettre dans la même chambre pour qu’ils se calment. A la minute où ils se retrouvèrent ils se calmèrent instantanément et s’endormirent l’un en face de l’autre.
4h plus tard
John et Elisabeth s’éveillèrent en même temps et se retrouvèrent l’un en face de l’autre ils se retournèrent quand la Docteur Beckett arriva.
« Ah enfin réveillés, vous nous avez fait une sacré peur tous les 2. comment vous sentez vous ? »
J et E ( en même temps). Comme si un wraith avait fait de moi son punching-ball !
C (étonné) : oui bon je vais vous donner des analgésiques et vous irez mieux .
J : est ce que l’on peut sortir ?
C ; si vous vous sentez mieux dans deux petites heures.
3 heures plus tard
Elisabeth était dans son bureau, elle se remettait doucement au travail quand John entra.
J : Elisabeth, comment vous vous sentez ?
E : ça peut aller, un peu mal à la tête mais ça ira.
J ( inquiet) : vous êtes sûre… je peux aller chercher Beckett…
E ( amusée) : John, calmez vous ça va !
A peine avait elle dit cela qu’elle s’écroula par terre, John se précipita sur elle complètement affolé. Elle semblait souffrir, elle transpirait, et était complètement contractée. John passa sa main sur son visage pour la calmer alors que Grodin appelait une équipe médicale. Alors que John lui caressait le visage, Elisabeth se calma instantanément et arrêta de trembler. John la souleva dans ses bras pour l’amener a l’infirmerie et Elisabeth s’accrocha à lui et se blottit dans ses bras encore sonnée.
½ heure plus tard, infirmerie.
E ( se réveillant) : qu’est e qui s’est passé ? elle tourna la tête et vit John assis sur une chaise a côté d’elle.
Il s’approcha d’elle et lui prit la main.
J : ça va aller, vous avez fait un malaise mais tout ira bien.
Carson arriva essoufflé « Elisabeth, j’ai quelque chose a vous dire. Vous avez contracté un virus sur la planète que vous avez visité. Les premiers symptômes sont ceux que vous avez ressenti tout a l’heure.
E : oh mon Dieu, est ce que …
C : non rassurez vous. John a lui aussi contracté le virus mais le gêne ATA agit comme un anticorps et il a réussi a vous transmettre l’anticorps par contact physique lors de votre malaise.
J : c’est pour cette raison qu’elle s’est calmée quand je l’ai touchée tout à l’heure ?
C : oui , le seul problème c’est que les crise vont être de plus en plus violentes et que le contact devra être de plus et plus important.
A ces mots Elisabeth rougit violemment et pense « mon dieu déjà que quand il ma frôle j’ai des frissons alors s’il me colle à lui je n’y résisterai pas ! »
De son côté John n’en menai pas large non plus « cela sera médical John, c’est la seule solution ! » mais une petite voix dans sa tête lui rappela que cela ne lui déplaisait pas tant que ca la perspective de « soigner » Elisabeth.
C : John vous avez pour ordre de veiller sur Elisabeth. J’ai fait aménager des quartiers doubles pour que vous puissiez y dormir tous les deux ( nouveau fard des deux protagonistes) vous ne devez pas vous éloigner de plus de 5 mètres l’un de l’autre est ce que c’est clair.
J : oui
E ( d’une toute petite voix) : oui Carson…
C : John a la moindre crise vous n’hésitez pas c’est clair ? c’est vital pour elle.
J ( essayant de détendre l’atmosphère) : s’il le faut je me sacrifie…
E ( vexée) : et bien John je suis désolée d’être un poids pour vous !
J ( la regardant dans les yeux avec un air charmeur) : du calme « Liz » je plaisantais !
Elisabeth gênée détourna les yeux et dit : c’est pas grave, faute avouée à moitié pardonnée !
Ils se mirent à rire tous les 2 en sortant de l’infirmerie sous le regard bienveillant de Carson qui était heureux de la tournure des évènements pour ses deux amis. Il leur souhaitait le même bonheur que lui vivait avec le Lieutenant Laura Cadman depuis des mois.
to be continued.
j'espere que vous avez aimé!!
elisabeth-sheppard- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 20
Date d'inscription : 17/02/2006
suite de " le seul remède"
Malgré leur proximité pendant le reste de la journée, John et Elisabeth étaient relativement détendus, ce fur un autre problème quand le moment d’aller se coucher arriva. Ils entrèrent dans leurs quartiers et un silence gêné s’installa pendant plusieurs minutes. En effet, ils avaient découvert que les quartiers comportaient deux lits jumeaux mais que ceux ci étaient très proche en raison de la petitesse des appartements.
« Joli ! » lança John pour détendre un peu l’atmosphère.
E ( tendue) : oui très. Bon… euh je vais à la salle de bain me préparer pour la nuit.
J : oui oui allez y !
Pendant qu’Elisabeth se préparait John de son coté fit de même et commença a imaginer la tenue que pouvait bien portait Elisabeth pour la nuit ! il se fustigea d’avoir cette pensée et se mit au lit.
De son côté Elisabeth n’arrêtait pas de pensée à la récente promiscuité de John qui ne ferait rien pour arranger ses affaires.
Elisabeth sortit de la chambre et découvrit que John dormait déjà par dessus les couvertures en boxer. Faisant un effort suprême pour ne pas lui sauter dessus elle posa une couverture sur lui et il frissonna en même temps qu’elle lorsqu’elle effleura malencontreusement sa peau nue.
C’est le rouge au joues et l’esprit en ébullition qu’elle se coucha et s’endormit.
Le lendemain, quartiers de John et Liz 8h00
Le réveil d’Elisabeth sonna et elle se retourna pour l’arrêter. Premières constations ; son réveil n’était non pas à gauche comme d’habitude mais à droite. Soudain tout le revint en mémoire, elle se rappela qu’elle avait dormi dans la même chambre que John et elle se tourna vers lui. Il dormait encore très profondément et la sonnerie du réveil n’avait eu aucun effet sur lui. Ils avait un briefing dans une demi-heure et mieux valait être à l’heure sinon les ragôts iraient bon train. Elle décida donc de la réveiller : elle s’approcha de lui et lui murmura doucement à l’oreille :
« John c’est l’heure de se lever ou vous allez être en retard au briefing ! ». mais celui ci décidément pas du matin se réveille en sursaut et tomba du lit, Elisabeth étant restée très proche de lui, fut entraînée dans sa chute et tomba sur lui.
Ils étaient donc tous les au bas du lit, Elisabeth sur John en boxer. Lui souriant comme un enfant qui venait de recevoir un cadeau et elle complètement rouge écarlate de la tête au pieds de sentir John si proche et si « nu ».
J : je veux des réveils comme ça tous les matins Liz ! dit il avec un regard des plus passioné.
Elisabeth complètement bouleversée par ce qu’elle voyait dans le regard de l’homme qui hantait ses nuits réussit quand même à lui répondre : « quand vous voulez John ! »
D’abord surpris puis ravi il ajouta avec un regard brûlant :non pas que je n’apprécie pas de vous tenir dans mes bras Liz, mais on va être en retard au briefing et cette fois les rumeurs seront fondées !
E ( se découvrant une audace qu’elle ne se connaissait pas) : et vous voudriez qu’elle le soit John ?
J : peut être. Et il les fit basculer tous les 2 avant de se lever et d’aider Elisabeth à en faire de même.
½ heure plus tard, salle de Briefing
Elisabeth avait demandé un briefing exceptionnel pour annoncer sa récente maladie et demander à Caldwell de prendre provisoirement le commandement de la base en attendant qu’elle se remette. Cependant, pendant tout le briefing John avait scruté le moindre de ses mouvements et cela la mettait dans une situation très embarrassante surtout vis a vis de Caldwell qui commençait a se douter de quelque chose. Elle ne savait pas si elle regrettait ce qui s’était passé tout à l’heure ou si elle l’appréciait mais elle n’eut pas l’occasion de se poser plus longtemps la question car une nouvelle crise la fit s’écrouler.
John se précipita vers elle et enleva sa veste pour coller son bras au sien. Il vit rapidement que le contact n’était pas assez important et demanda dons aux personnes présentes dans la salle de sortir . il devait déshabiller Elisabeth pour que le contact entre leurs corps soit plus important. Teyla et Rodney comprirent rapidement ce que John voulait faire et attirèrent Caldwell dehors.
John entreprit alors de déshabiller Elisabeth qui se tordait de douleur, il enleva son propre tee-shirt et la colla contre lui. Elle s’agrippa à lui et l sentit des larmes couler dans son cou. Dieu qu’il pouvait aimer cette femme, il ne supporterait pas qu’il lui arrive quoi que ce soit. Elisabeth était blottie contre lui depuis plusieurs minutes quand elle se calma enfin, elle restait cependant dans ses bras pour reprendre ses esprits et lui chuchota délicatement un « merci » à son oreille. John qui ne l’avait pas lâcher la serra plus fort et lui répondit de la même façon « ne me refaites plus jamais une peur pareille j’ai cru que mon cœur s’arrêtait de battre ! »
Elle ri doucement dans son cou et lui répondit s’écartant pour le voir un « désolée » qui mourut entre ses lèvres quand elle vit son regard. Il avait eu peur elle le voyait dans ses yeux bleus. Mais il y avait autre chose dans son regard, cette petite flamme qui ne s’allumait que pour elle, une flamme de tendresse et d’amour, pleine de promesses, la même flamme qui brillait dans ses yeux à elle quand elle le regardait. Toutes ses résolutions concernant l’impossibilité d’une relation entre eux s’envolèrent quand elle le vit s’approcher doucement pour l’embrasser. Il n’était plus qu’a quelques millimètres de ses lèvres elle pouvait sentir son souffle chaud se mélanger au sien quand Carson fit irruption dans la pièce.
C (essoufflé) : je suis là désolé…. La scène qu’il avait devant les yeux l’attendrit et il se maudit intérieurement d’être entré à ce moment là. En effet, John et Elisabeth était tendrement enlacés lui torse nu et elle en sous vêtement. Il savait que John avait fait ça pour la soigner et ‘est pour cela qu’il avait fait sortir tout le monde, pour protéger son intimité. Mais cela s’était transformé en quelque chose de beaucoup plus sensuel. Ils étaient tous deux assis par terre Elisabeth entre les jambes de John, tendrement enlacés John caressait les dos de la jeune femme tandis qu’elle avait noué ses mains derrière sa nuque. La monde semblait avoir disparu pour eux alors qu’ils étaient perdus dans les yeux l’un de l’autre.
Caldwell entra à ce moment là et ce qu’il vit l’horrifia, il hurla un « colonel » retentissant qui fit sursauter le couple. Ils s’empressèrent de se rhabiller et Elisabeth fut conduite à l’infirmerie suivi par John encore étourdi par ce qui venait de se passer et un Caldwell complètement furax.
Avant d’entrer dans l’infirmerie John fut arrêté par Caldwell.
C : vous vous rendez compte de ce que vous riquez tous les deux !
J : écoutez colonel, il n’y a rien entre le docteur Weir et moi. Maintenant si cela vous amuse de croire le contraire libre a vous mais pour l’instant ma seule préoccupation est la santé d’Elisabeth. Sur ce je sois aller la rejoindre elle a besoin de moi.
C : je n’ai pas fini colonel ( John fit volte face), je n’aime pas le jeu que vous jouez Sheppard. Ne vous aviser pas de vous approcher d’Elisabeth. Je…
J : vous quoi monsieur ? me ferait passer en cour martiale ? je ne vos pas pourquoi de plus nous sommes sur Atlantis et je ne pense pas que le gouvernement américain accepte de révéler notre secret A la Terre entière ! je sais ce qui vous déplait tant chez moi, c’est le fait que je sois le seul à pouvoir soigner Elisabeth dont vous êtes amoureux. Ca vous mine et ça se voit comme le nez au milieu de la figure, vous faites passer vos propres sentiments avant sa vie en m’empêchant de la rejoindre et c’est pathétique ! »
John entra alors dans l’infirmerie et Caldwell parti s’enfermer dans son bureau.
Infirmerie
E ( en voyant John) : John !
J : je suis là Elisabeth.
E : ne ma laissez pas toute seule trop longtemps.
J( se rapprochant d’elle et lui prenant la main pour la rassurer) : ne comptez pas vous débarrassez de moi aussi facilement !
Ils se sourirent et Elisabeth s’endormit plus sereine à l’idée que John veillait sur elle.
Les jours qui suivirent les crises d’Elisabeth furent de plus en plus rapprochées et intenses. Même lorsque John était complètement collé à elle il lui fallait du temps pour se calmer. Carson les mit donc tous les deux en isolation pour protéger leur intimité et permettre à John de tout faire pour la calmer. Il ne pouvait plus la laisser il dormait prés d’elle et des qu’elle faisait une crise il s’allongeait avec elle et la prenait dans ses bras pour apaiser la douleur.
La derniere crise fut particulièrement intense : Elisabeth dormait, épuisée par la douleur dans les bras de John qui ne l’avais pas quittée depuis la dernière crise. Allongée sur son torse, la tête nichée au creux de son cou elle paraissait sereine lorsquelle se réveilla en hurlant de douleur.
John se réveilla en sursaut et la serra tres fort contre lui. Mais la douleur ne diminuait pas et Elisabeth croyant qu’elle allait mourir regarda John et lui dit les larmes aux yeux : « je t’aime de tout mon cœur ».
J ( terrifié) : je t’aime tellement Elisabeth tu peux pas me laisser bats toi !
E (faible) : trop mal… John… pardonne moi…. Je t’aime.
John l’embrassa croyant que c’était ses derniers instants et la solution était là. Le temple était celui des amoureux maudits. Si deux personnes ayant des sentiments très forts l’un pour l’autre touchaient la sphère, seul leur amour leur apporterait la solution pour les sauver. En s’avouant leur amour, le couple avait anéantis la nanotechnologie qui tuait Elisabeth.
Une semaine plus tard.
Rodney pénétra dans l’infirmerie et ce qu’il vit lui fit crier, exaspéré. : non mais c’est pas vrai ça fait une semaine que ça dure. Sheppard vous avez un lit il me semble…
J : la ferme Rodney, je soigne Elisabeth !
R : ben voyons, cet énorme suçon qu’elle a dans le cou c’est un nouveau médicaments peut être !
Carson (qui arrivait à ce moment là) : Colonel pour la centième fois laissez Elisabeth se reposer, vous aurez tout le temps de l’avoir tout à vous quand elle sortira de l’infirmerie.
Elisabeth regarda son amant en souriant et ils dirent en chœur : la ferme Carson !
« Joli ! » lança John pour détendre un peu l’atmosphère.
E ( tendue) : oui très. Bon… euh je vais à la salle de bain me préparer pour la nuit.
J : oui oui allez y !
Pendant qu’Elisabeth se préparait John de son coté fit de même et commença a imaginer la tenue que pouvait bien portait Elisabeth pour la nuit ! il se fustigea d’avoir cette pensée et se mit au lit.
De son côté Elisabeth n’arrêtait pas de pensée à la récente promiscuité de John qui ne ferait rien pour arranger ses affaires.
Elisabeth sortit de la chambre et découvrit que John dormait déjà par dessus les couvertures en boxer. Faisant un effort suprême pour ne pas lui sauter dessus elle posa une couverture sur lui et il frissonna en même temps qu’elle lorsqu’elle effleura malencontreusement sa peau nue.
C’est le rouge au joues et l’esprit en ébullition qu’elle se coucha et s’endormit.
Le lendemain, quartiers de John et Liz 8h00
Le réveil d’Elisabeth sonna et elle se retourna pour l’arrêter. Premières constations ; son réveil n’était non pas à gauche comme d’habitude mais à droite. Soudain tout le revint en mémoire, elle se rappela qu’elle avait dormi dans la même chambre que John et elle se tourna vers lui. Il dormait encore très profondément et la sonnerie du réveil n’avait eu aucun effet sur lui. Ils avait un briefing dans une demi-heure et mieux valait être à l’heure sinon les ragôts iraient bon train. Elle décida donc de la réveiller : elle s’approcha de lui et lui murmura doucement à l’oreille :
« John c’est l’heure de se lever ou vous allez être en retard au briefing ! ». mais celui ci décidément pas du matin se réveille en sursaut et tomba du lit, Elisabeth étant restée très proche de lui, fut entraînée dans sa chute et tomba sur lui.
Ils étaient donc tous les au bas du lit, Elisabeth sur John en boxer. Lui souriant comme un enfant qui venait de recevoir un cadeau et elle complètement rouge écarlate de la tête au pieds de sentir John si proche et si « nu ».
J : je veux des réveils comme ça tous les matins Liz ! dit il avec un regard des plus passioné.
Elisabeth complètement bouleversée par ce qu’elle voyait dans le regard de l’homme qui hantait ses nuits réussit quand même à lui répondre : « quand vous voulez John ! »
D’abord surpris puis ravi il ajouta avec un regard brûlant :non pas que je n’apprécie pas de vous tenir dans mes bras Liz, mais on va être en retard au briefing et cette fois les rumeurs seront fondées !
E ( se découvrant une audace qu’elle ne se connaissait pas) : et vous voudriez qu’elle le soit John ?
J : peut être. Et il les fit basculer tous les 2 avant de se lever et d’aider Elisabeth à en faire de même.
½ heure plus tard, salle de Briefing
Elisabeth avait demandé un briefing exceptionnel pour annoncer sa récente maladie et demander à Caldwell de prendre provisoirement le commandement de la base en attendant qu’elle se remette. Cependant, pendant tout le briefing John avait scruté le moindre de ses mouvements et cela la mettait dans une situation très embarrassante surtout vis a vis de Caldwell qui commençait a se douter de quelque chose. Elle ne savait pas si elle regrettait ce qui s’était passé tout à l’heure ou si elle l’appréciait mais elle n’eut pas l’occasion de se poser plus longtemps la question car une nouvelle crise la fit s’écrouler.
John se précipita vers elle et enleva sa veste pour coller son bras au sien. Il vit rapidement que le contact n’était pas assez important et demanda dons aux personnes présentes dans la salle de sortir . il devait déshabiller Elisabeth pour que le contact entre leurs corps soit plus important. Teyla et Rodney comprirent rapidement ce que John voulait faire et attirèrent Caldwell dehors.
John entreprit alors de déshabiller Elisabeth qui se tordait de douleur, il enleva son propre tee-shirt et la colla contre lui. Elle s’agrippa à lui et l sentit des larmes couler dans son cou. Dieu qu’il pouvait aimer cette femme, il ne supporterait pas qu’il lui arrive quoi que ce soit. Elisabeth était blottie contre lui depuis plusieurs minutes quand elle se calma enfin, elle restait cependant dans ses bras pour reprendre ses esprits et lui chuchota délicatement un « merci » à son oreille. John qui ne l’avait pas lâcher la serra plus fort et lui répondit de la même façon « ne me refaites plus jamais une peur pareille j’ai cru que mon cœur s’arrêtait de battre ! »
Elle ri doucement dans son cou et lui répondit s’écartant pour le voir un « désolée » qui mourut entre ses lèvres quand elle vit son regard. Il avait eu peur elle le voyait dans ses yeux bleus. Mais il y avait autre chose dans son regard, cette petite flamme qui ne s’allumait que pour elle, une flamme de tendresse et d’amour, pleine de promesses, la même flamme qui brillait dans ses yeux à elle quand elle le regardait. Toutes ses résolutions concernant l’impossibilité d’une relation entre eux s’envolèrent quand elle le vit s’approcher doucement pour l’embrasser. Il n’était plus qu’a quelques millimètres de ses lèvres elle pouvait sentir son souffle chaud se mélanger au sien quand Carson fit irruption dans la pièce.
C (essoufflé) : je suis là désolé…. La scène qu’il avait devant les yeux l’attendrit et il se maudit intérieurement d’être entré à ce moment là. En effet, John et Elisabeth était tendrement enlacés lui torse nu et elle en sous vêtement. Il savait que John avait fait ça pour la soigner et ‘est pour cela qu’il avait fait sortir tout le monde, pour protéger son intimité. Mais cela s’était transformé en quelque chose de beaucoup plus sensuel. Ils étaient tous deux assis par terre Elisabeth entre les jambes de John, tendrement enlacés John caressait les dos de la jeune femme tandis qu’elle avait noué ses mains derrière sa nuque. La monde semblait avoir disparu pour eux alors qu’ils étaient perdus dans les yeux l’un de l’autre.
Caldwell entra à ce moment là et ce qu’il vit l’horrifia, il hurla un « colonel » retentissant qui fit sursauter le couple. Ils s’empressèrent de se rhabiller et Elisabeth fut conduite à l’infirmerie suivi par John encore étourdi par ce qui venait de se passer et un Caldwell complètement furax.
Avant d’entrer dans l’infirmerie John fut arrêté par Caldwell.
C : vous vous rendez compte de ce que vous riquez tous les deux !
J : écoutez colonel, il n’y a rien entre le docteur Weir et moi. Maintenant si cela vous amuse de croire le contraire libre a vous mais pour l’instant ma seule préoccupation est la santé d’Elisabeth. Sur ce je sois aller la rejoindre elle a besoin de moi.
C : je n’ai pas fini colonel ( John fit volte face), je n’aime pas le jeu que vous jouez Sheppard. Ne vous aviser pas de vous approcher d’Elisabeth. Je…
J : vous quoi monsieur ? me ferait passer en cour martiale ? je ne vos pas pourquoi de plus nous sommes sur Atlantis et je ne pense pas que le gouvernement américain accepte de révéler notre secret A la Terre entière ! je sais ce qui vous déplait tant chez moi, c’est le fait que je sois le seul à pouvoir soigner Elisabeth dont vous êtes amoureux. Ca vous mine et ça se voit comme le nez au milieu de la figure, vous faites passer vos propres sentiments avant sa vie en m’empêchant de la rejoindre et c’est pathétique ! »
John entra alors dans l’infirmerie et Caldwell parti s’enfermer dans son bureau.
Infirmerie
E ( en voyant John) : John !
J : je suis là Elisabeth.
E : ne ma laissez pas toute seule trop longtemps.
J( se rapprochant d’elle et lui prenant la main pour la rassurer) : ne comptez pas vous débarrassez de moi aussi facilement !
Ils se sourirent et Elisabeth s’endormit plus sereine à l’idée que John veillait sur elle.
Les jours qui suivirent les crises d’Elisabeth furent de plus en plus rapprochées et intenses. Même lorsque John était complètement collé à elle il lui fallait du temps pour se calmer. Carson les mit donc tous les deux en isolation pour protéger leur intimité et permettre à John de tout faire pour la calmer. Il ne pouvait plus la laisser il dormait prés d’elle et des qu’elle faisait une crise il s’allongeait avec elle et la prenait dans ses bras pour apaiser la douleur.
La derniere crise fut particulièrement intense : Elisabeth dormait, épuisée par la douleur dans les bras de John qui ne l’avais pas quittée depuis la dernière crise. Allongée sur son torse, la tête nichée au creux de son cou elle paraissait sereine lorsquelle se réveilla en hurlant de douleur.
John se réveilla en sursaut et la serra tres fort contre lui. Mais la douleur ne diminuait pas et Elisabeth croyant qu’elle allait mourir regarda John et lui dit les larmes aux yeux : « je t’aime de tout mon cœur ».
J ( terrifié) : je t’aime tellement Elisabeth tu peux pas me laisser bats toi !
E (faible) : trop mal… John… pardonne moi…. Je t’aime.
John l’embrassa croyant que c’était ses derniers instants et la solution était là. Le temple était celui des amoureux maudits. Si deux personnes ayant des sentiments très forts l’un pour l’autre touchaient la sphère, seul leur amour leur apporterait la solution pour les sauver. En s’avouant leur amour, le couple avait anéantis la nanotechnologie qui tuait Elisabeth.
Une semaine plus tard.
Rodney pénétra dans l’infirmerie et ce qu’il vit lui fit crier, exaspéré. : non mais c’est pas vrai ça fait une semaine que ça dure. Sheppard vous avez un lit il me semble…
J : la ferme Rodney, je soigne Elisabeth !
R : ben voyons, cet énorme suçon qu’elle a dans le cou c’est un nouveau médicaments peut être !
Carson (qui arrivait à ce moment là) : Colonel pour la centième fois laissez Elisabeth se reposer, vous aurez tout le temps de l’avoir tout à vous quand elle sortira de l’infirmerie.
Elisabeth regarda son amant en souriant et ils dirent en chœur : la ferme Carson !
elisabeth-sheppard- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 20
Date d'inscription : 17/02/2006
suite de " le seul remède"
2 mois plus tard, bureau d’Elisabeth
J : bonjour mon ange !
E : eh salut toi ! elle contourna son bureau et alla embrasser son amant.
J : tu m’as manqué cette nuit !
E : toi aussi mais j’avais du travail !
J : et si je t’enlevais la maintenant pour te torturer a ma manière dans mes quartiers !!
E ( elle le frappa doucement sur le torse) John !!!
Il commença à l’embrasser et leur baiser se transforma vite et quelque chose de beaucoup plus passionné. Leurs mains commencèrent à s’égarer quand ils furent interrompu par une arrivée inopinée…
C : Hum, Hum…. !!!
Rouges de confusions, le couple se sépara et ils remirent un peu d’ordre dans leurs vêtements.
E : colonel ! ravie de vous revoir , le Deadalus est déjà arrivé ?
C : oui euh écoutez tous les deux, je suis désolé pour mon attitude ces derniers mois. J’étais jaloux que vous ayez choisie le colonel Sheppard à ma place car je suis vraiment amoureux de vous Elisabeth. Mais vous l’avez choisi lui et vous l’aimez n’est ce pas ?
E : oui énormément ( John lui sourit)
C (résigné) ; vous n’avez pas besoin de répondre cela se voit. Il vous dévore des yeux quand il vous regarde et vous lui faite ce sourire et ce regard si particulier qui lui est réservé. Votre amour irradie et je suis heureux pour vous car il vous rend heureuse et c’est tout ce qui compte à mes yeux.
J : merci monsieur.
C : je repars avec le Deadalus demain matin et je ne reviendrai pas, je suis sûr que vous comprenez pourquoi. Adieu et rendez la heureuse John.
Caldwell repartit et John se tourna vers la jeune femme.
J ( un peu intimidé) ; j’étais venu pour te demander quelque chose tout à l’heure.
E ( se doutant de ce qu’il allait lui demander et souriant devant un John Sheppard d’habitude si sur de lui et la complètement paniqué) : voilà est ce que tu accepterais de devenir Madame Elisabeth Sheppard malgré le fait que j’ai un sale caractère, que je suis bordélique mais que je t’aime comme un fou ?
E ( les larmes aux yeux) : ça ressemble beaucoup à une demande en mariage ça je me trompe ?
J : euh oui…. Oui je crois !
E : c’est oui !
J (souriant comme un idiot) : c’est vrai ?
E ( amusée) ; non en fait j’ai plutôt envie d’épouser l’ambassadeur Wraith qu’on a vu la dernière fois, je crois que j’ai un ticket !!! bien sur que c’est vrai idiot !!
J ( la prenant dans ses bras) : je t’aime.
E : je t’aime aussi.
8 mois plus tard, mess
T : Alors John Heureux ?
J : plus que jamais, je crois que c’est la première fois que je me vois passer le reste de ma vie avec une femme.
R (qui arrivait) : et quelle femme, alala je crois que si vous n’aviez pas été la elle m’aurait épouser à moi ! regardez la elle est magnifique !
J : ne révez pas trop Mckay et pas touche à ma femme compris !
R : tout doux colonel, je plaisantais. C’est fou ce qu’un homme amoureux peut être jaloux ! et de toute facon elle est magnifique parce qu’elle est heureuse c’est pour cette raison que je n’ai aucune chance.
E : qu’est ce qui se passe ici ?
T : rien du tout Elisabeth, on félicitais juste le colonel pour votre union. Beaucoup de bonheur à tous les 2.
E et J : Merci !
Plus tard, quartiers des jeunes mariés.
Elizabeth était sur la balcon, elle pensait qu’elle était la plus heureuse des femmes, elle était éperdument amoureuse de John et lui aussi, ils venaient de se marier et elle avait une grande nouvelle a lui annoncer. John la rejoignit quelques minutes plus tard et l’enlaça avant de déposer de légers baisers dans son cou.
J : alors Madame Sheppard, on rêve à son prince charmant?
E : oui et il vient de me rejoindre !
J : heureux de l’entendre.
Ils rirent tous les deux, ils étaient bien.
J : sacré journée hein ?
E (rêveuse) oui inoubliable, c’était un moment magique John.
J : oui, je t’aime mon ange était radieuse aujourd’hui.
E ( se retournant vers lui et l’enlaçant) : c’est parce que je t’aime , viens on rentre.
Ils rentrèrent tous les deux et s’allongèrent sur le lit, John enlaça sa femme et lui dit : tu sais mon ange, ça faisait longtemps que j’avais perdu l’espoir d’être un jour heureux avant de croiser ton chemin. Tu est le plus beau des cadeaux que le vie m’est donné car tu me rends heureux, je t’aime comme un fou et je t’aimerai toute ma vie.
E : tu me rends heureuse aussi John je n’ai jamais été aussi amoureuse de quelqu’un que je le suis de toi et j’ai un autre cadeau pour toi j’espère que tu l’apprécieras. Elle prit sa main et la posa sur son ventre : on va avoir un bébé John.
J (encore ce sourire idiot) : je vais… je vais être… Je vais être papa ! mais c’est formidable ; mon ange je suis le plus heureux des hommes !
Epilogue
Le mess, Atlantis 2015
On peut voir une grande tablée où les membres de l’expédition d’Atlantis discutent, rient. Des enfants courent autour de la table. Ce sont les premiers enfants atlantes, descendants des membres de l’expédition : il y a Jason Dex, 2 ans, le fils de Teyla et Ronon qui se sont mariés il y a deux ans, Lisa et Julianne Beckett 6ans les jumelles de Laura et Carson Beckett le premier couple d’Atlantis, Julien Mackay 1 ans et demi le fils de Kate Heightmeyer et de Rodney Mackay et enfin Caroline Sheppard 9 ans la fille de John et Elisabeth.
Caroline ressemble beaucoup à ses parents, elle a les yeux bleus de son père mais le sourire et les traits de sa mère. Elle rend d’ailleurs son père complètement dingue, il n’arrête pas de lui dire qu’elle ressemble tant à sa mère qu’il ne peut rien lui refuser. John et Elisabeth sont heureux ensemble depuis prés de 9 ans, ils s’aiment comme au premier jour si ce n’est plus et attendent leur second enfant, un petit garçon, un mini-Sheppard comme dirait Rodney, qui se prénommera Michaël.
La vie est douce sur Atlantis, La guerre contre les Wraiths est presque terminée et les atlantes sont heureux dans leur nouvelle vie.
The end
J : bonjour mon ange !
E : eh salut toi ! elle contourna son bureau et alla embrasser son amant.
J : tu m’as manqué cette nuit !
E : toi aussi mais j’avais du travail !
J : et si je t’enlevais la maintenant pour te torturer a ma manière dans mes quartiers !!
E ( elle le frappa doucement sur le torse) John !!!
Il commença à l’embrasser et leur baiser se transforma vite et quelque chose de beaucoup plus passionné. Leurs mains commencèrent à s’égarer quand ils furent interrompu par une arrivée inopinée…
C : Hum, Hum…. !!!
Rouges de confusions, le couple se sépara et ils remirent un peu d’ordre dans leurs vêtements.
E : colonel ! ravie de vous revoir , le Deadalus est déjà arrivé ?
C : oui euh écoutez tous les deux, je suis désolé pour mon attitude ces derniers mois. J’étais jaloux que vous ayez choisie le colonel Sheppard à ma place car je suis vraiment amoureux de vous Elisabeth. Mais vous l’avez choisi lui et vous l’aimez n’est ce pas ?
E : oui énormément ( John lui sourit)
C (résigné) ; vous n’avez pas besoin de répondre cela se voit. Il vous dévore des yeux quand il vous regarde et vous lui faite ce sourire et ce regard si particulier qui lui est réservé. Votre amour irradie et je suis heureux pour vous car il vous rend heureuse et c’est tout ce qui compte à mes yeux.
J : merci monsieur.
C : je repars avec le Deadalus demain matin et je ne reviendrai pas, je suis sûr que vous comprenez pourquoi. Adieu et rendez la heureuse John.
Caldwell repartit et John se tourna vers la jeune femme.
J ( un peu intimidé) ; j’étais venu pour te demander quelque chose tout à l’heure.
E ( se doutant de ce qu’il allait lui demander et souriant devant un John Sheppard d’habitude si sur de lui et la complètement paniqué) : voilà est ce que tu accepterais de devenir Madame Elisabeth Sheppard malgré le fait que j’ai un sale caractère, que je suis bordélique mais que je t’aime comme un fou ?
E ( les larmes aux yeux) : ça ressemble beaucoup à une demande en mariage ça je me trompe ?
J : euh oui…. Oui je crois !
E : c’est oui !
J (souriant comme un idiot) : c’est vrai ?
E ( amusée) ; non en fait j’ai plutôt envie d’épouser l’ambassadeur Wraith qu’on a vu la dernière fois, je crois que j’ai un ticket !!! bien sur que c’est vrai idiot !!
J ( la prenant dans ses bras) : je t’aime.
E : je t’aime aussi.
8 mois plus tard, mess
T : Alors John Heureux ?
J : plus que jamais, je crois que c’est la première fois que je me vois passer le reste de ma vie avec une femme.
R (qui arrivait) : et quelle femme, alala je crois que si vous n’aviez pas été la elle m’aurait épouser à moi ! regardez la elle est magnifique !
J : ne révez pas trop Mckay et pas touche à ma femme compris !
R : tout doux colonel, je plaisantais. C’est fou ce qu’un homme amoureux peut être jaloux ! et de toute facon elle est magnifique parce qu’elle est heureuse c’est pour cette raison que je n’ai aucune chance.
E : qu’est ce qui se passe ici ?
T : rien du tout Elisabeth, on félicitais juste le colonel pour votre union. Beaucoup de bonheur à tous les 2.
E et J : Merci !
Plus tard, quartiers des jeunes mariés.
Elizabeth était sur la balcon, elle pensait qu’elle était la plus heureuse des femmes, elle était éperdument amoureuse de John et lui aussi, ils venaient de se marier et elle avait une grande nouvelle a lui annoncer. John la rejoignit quelques minutes plus tard et l’enlaça avant de déposer de légers baisers dans son cou.
J : alors Madame Sheppard, on rêve à son prince charmant?
E : oui et il vient de me rejoindre !
J : heureux de l’entendre.
Ils rirent tous les deux, ils étaient bien.
J : sacré journée hein ?
E (rêveuse) oui inoubliable, c’était un moment magique John.
J : oui, je t’aime mon ange était radieuse aujourd’hui.
E ( se retournant vers lui et l’enlaçant) : c’est parce que je t’aime , viens on rentre.
Ils rentrèrent tous les deux et s’allongèrent sur le lit, John enlaça sa femme et lui dit : tu sais mon ange, ça faisait longtemps que j’avais perdu l’espoir d’être un jour heureux avant de croiser ton chemin. Tu est le plus beau des cadeaux que le vie m’est donné car tu me rends heureux, je t’aime comme un fou et je t’aimerai toute ma vie.
E : tu me rends heureuse aussi John je n’ai jamais été aussi amoureuse de quelqu’un que je le suis de toi et j’ai un autre cadeau pour toi j’espère que tu l’apprécieras. Elle prit sa main et la posa sur son ventre : on va avoir un bébé John.
J (encore ce sourire idiot) : je vais… je vais être… Je vais être papa ! mais c’est formidable ; mon ange je suis le plus heureux des hommes !
Epilogue
Le mess, Atlantis 2015
On peut voir une grande tablée où les membres de l’expédition d’Atlantis discutent, rient. Des enfants courent autour de la table. Ce sont les premiers enfants atlantes, descendants des membres de l’expédition : il y a Jason Dex, 2 ans, le fils de Teyla et Ronon qui se sont mariés il y a deux ans, Lisa et Julianne Beckett 6ans les jumelles de Laura et Carson Beckett le premier couple d’Atlantis, Julien Mackay 1 ans et demi le fils de Kate Heightmeyer et de Rodney Mackay et enfin Caroline Sheppard 9 ans la fille de John et Elisabeth.
Caroline ressemble beaucoup à ses parents, elle a les yeux bleus de son père mais le sourire et les traits de sa mère. Elle rend d’ailleurs son père complètement dingue, il n’arrête pas de lui dire qu’elle ressemble tant à sa mère qu’il ne peut rien lui refuser. John et Elisabeth sont heureux ensemble depuis prés de 9 ans, ils s’aiment comme au premier jour si ce n’est plus et attendent leur second enfant, un petit garçon, un mini-Sheppard comme dirait Rodney, qui se prénommera Michaël.
La vie est douce sur Atlantis, La guerre contre les Wraiths est presque terminée et les atlantes sont heureux dans leur nouvelle vie.
The end
elisabeth-sheppard- Lecteur de Prospectus
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Date d'inscription : 17/02/2006
Re: Le seul Remède
Alors j'ai lu ta fic.
Même si il n’y a pas enormement des fautes, je te conseillerai de chercher un beta lecteur, en dehors de la grammaire et de l'orthographe, il t'aidera pour la construicion et te donnera des conseils.
Je suis 100% Shweir. J'ai lu tous les shweir que j'ai trouvé. Une observation, beaucoup ressemble à ton scénario: la sphère, le malaise, la maladie.
Ta fic differt par le mode de soin adapter.
Le récit va trop vite, tu aurrai pu "broder" un peu autour. Avec deux ou trois scène suplementaire ta fic aurai une toute autre allure. Par exemple, une scène ou Beckett assurerait que la proximité de John serait un remede à court treme en attendant la fin des analyses.
Bonne continuation
Même si il n’y a pas enormement des fautes, je te conseillerai de chercher un beta lecteur, en dehors de la grammaire et de l'orthographe, il t'aidera pour la construicion et te donnera des conseils.
Je suis 100% Shweir. J'ai lu tous les shweir que j'ai trouvé. Une observation, beaucoup ressemble à ton scénario: la sphère, le malaise, la maladie.
Ta fic differt par le mode de soin adapter.
Le récit va trop vite, tu aurrai pu "broder" un peu autour. Avec deux ou trois scène suplementaire ta fic aurai une toute autre allure. Par exemple, une scène ou Beckett assurerait que la proximité de John serait un remede à court treme en attendant la fin des analyses.
Bonne continuation
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