J'assume
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J'assume
Auteur: gjc597
Genre: tranche de vie.
Saison: après la saison 8
Résumé: suis vraiment obligée? ;-)
Commentaires: Petite fic nocturne
Remerciements: Aux scénaristes de SG1 qui nous obligent à nous défrustrer comme on peut!
Bon courage!
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Seul. Seul, une fois encore. Ils s'étaient éloignés. Tous, sans exception. Si vous leur demandiez, ils vous diraient que c'est moi qui les ai quittés. Ils diraient même "abandonnés" pour reprendre le terme que Daniel avait employé lors de notre dernière discussion.
C'est vrai, j'ai fui. Je ne pouvais pas, je n'en étais pas capable. Je sais, O'Neill fuir, ça prête à sourire. C'est pourtant ce que j'ai fait. Et j'assume.
Je me levais le matin, je rejoignais mon bureau et je me laissais submerger par ce nouveau travail de gratte-papier, ça m'occupait l'esprit, ça m'évitait d'y penser. Et le soir, épuisé par une journée où j'avais passé mon temps à lire des rapports, à les analyser, à négocier des budgets avec des politiciens qui ignoraient de quoi ils parlaient, à donner mon avis pour des opérations militaires, quand je rentrais enfin chez "moi", la plupart du temps, je me couchais directement. Et je ne dormais pas ou peu. Je ressassais. Je cogitais. Mais j'assumais.
Et les jours se suivaient et se ressemblaient. Qu'il me paraissait loin le temps où chaque jour apportait son lot de découvertes, de surprises, de rencontres … plus ou moins agréables. Mais au moins, j'avais l'impression de vivre. Là, je me terrais, je m'éteignais, doucement mais sûrement. Et je ne faisais rien pour changer cela. Je ne pouvais plus rien y faire de toutes façons. Oh bien sûr, j'aurais pu quitter le travail plus tôt et me joindre à mes collègues lorsqu'ils allaient boire un verre. Si, je vous assure, ils m'ont invité … et plus d'une fois! J'ai même accepté … une fois.
Nous étions allés dans un bar du centre ville. Un endroit "moderne", froid, au décor chromé et dépouillé, il parait que c'était "tendance" … tendance déprime oui ! Après avoir pris place autour d'une table dans le fond du bar nous avions passé notre commande. Comme d'habitude, j'avais pris une bière et comme d'habitude, ça m'avait détendu. A moins que ce ne fût grâce aux blagues de vieux briscard de l'autre général présent avec nous. Je passais un moment agréable, un moment comme je n’en avais plus connu depuis mon départ. Et elle était arrivée. Cette maudite stagiaire avait gâché ma soirée. Qu'avait-elle fait pour parvenir à un tel résultat? Très simple, elle avait commandé un soda light … pour le goût avait-elle eu l'audace de rajouter en souriant. Je lui aurais volontiers envoyé mon verre à la figure mais j'aurais eu beaucoup de mal à expliquer mon geste.
Toujours est-il que j'ai eu un méchant retour de boomerang. Mes souvenirs ont jailli sans prévenir. Ca a commencé par notre escapade avec Daniel chez O'Malley quand nous avions nos super bracelets, c'était là qu'elle nous avait dit aimer le soda light. Puis les combats à ses côtés, son courage, ses discours incompréhensibles, ses silences, ses regards… tout. Tout est revenu. Et ça m'a fait un mal de chien. Tout ça à cause de cette stagiaire… elle ne pouvait pas prendre une bière, comme tout le monde?!
Bref, j'ai trouvé une excuse très quelconque et je les ai laissés en plan. Je préférais être seul. En rentrant chez moi, j'ai saisi mon téléphone, ouvert le clapet de protection … et je l'ai refermé aussi vite. A quoi bon? Et puis de toutes manières, avec le décalage horaire … Ok, j'avoue, il n'aurait été que 22 h là bas. Chez elle. Allez, soyons fou! J'aurai composé son numéro et après? "Salut Carter! Je sais, ça fait 3 mois que je ne vous ai pas appelée mais ce soir, un truc m'a fait penser à vous" Elle m'aurait raccroché au nez, et honnêtement, elle aurait eu raison ! Bon, d'accord, elle n'aurait sûrement pas réagi comme cela… mais je n'ai pas eu le courage de prendre ce risque. Alors, j'ai éteint mon portable pour ne plus être tenté. Puis je l'ai rallumé puis éteint puis rallumé puis …et je n'ai jamais composé ce satané numéro.
Et ma vie a continué. Mes contacts avec Daniel se sont espacés. Loin des yeux, loin du cœur comme on dit. C'était surtout que lui parler ravivait trop de choses. Je sais, je sais … c'était lâche… que voulez vous, je ne suis qu'un homme.
Je commençais à envisager sérieusement de prendre ma retraite. Après tout, j'avais déjà consacré suffisamment d'années à l'armée, je pourrais même dire "sacrifié". Et je n'étais plus d'une grande utilité. Le Pentagone démentirait, mais pour moi, ma place était sur le terrain. Ici, j'avais vraiment l'impression de faire mon âge et ça me désespérait. Alors, tant qu'à ressembler à un grand-père, autant faire les choses correctement. Des journées passées à taquiner des poissons inexistants au bord de mon petit lac, voila une vraie vie de retraité…
Super …
J'étais donc à un tournant de ma vie, encore un mais celui là, j'étais bien décidé à ne pas le gâcher. J'aurais pu être à la retraite aujourd'hui, peut-être même qu'elle aurait été suffisamment inconsciente pour accepter de vivre à mes côtés. Mais j'avais fui et elle n'était pas là.
Alors, j'ai pris ma plume, enfin, mon stylo et j'ai rédigé ma lettre. J'avais du mal à trouver les mots. Ce n'était pourtant pas sorcier d'écrire "je vous présente ma demande de mise à la retraite" mais ça sonnait faux. J'avais beau tourner et retourner les phrases, changer les mots, rien. Pas moyen d'aligner deux phrases cohérentes. C'était à se demander comment je faisais pour écrire mes rapports! Je me suis concentré… longtemps et j'ai fini par trouver "la phrase" et … ce foutu téléphone a sonné et pouf … envolée. Je m'y suis repris à de nombreuses reprises mais j'y suis enfin parvenu, juste avant que ma corbeille à papier ne déborde.
J'ai attrapé ma prose et me suis passé la main sur le visage. S'il fallait une ultime preuve que l'administratif et moi étions incompatibles, elle était sous mes yeux. Enfin, c'était fini, et ce n'était plus le moment de faire machine arrière.
Je me souviens m'être accordé une minute de réflexion, les mains posées sur ma nuque, les yeux rivés sur cette lettre qui signifiait la fin d'une vie.
Il était tard, encore une fois et les bureaux avaient été désertés depuis bien longtemps. Un silence apaisant régnait dans les locaux … du moins, si on faisait abstraction du bruit ronronnant des ordinateurs, photocopieuses et machines diverses.
J'avais la vue qui se brouillait à force de fixer ce papier. Les mots se chevauchaient rendant son contenu encore plus illisible qu'il ne l'était déjà. Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir, ni les pas feutrés sur la moquette. J'ai juste senti des effluves de parfum. Et même sans relever la tête, je savais qui venait d'entrer.
Elle passait dans le coin m'avait-elle dit, alors, elle avait profité de l'occasion pour saluer son "vieux général" avait-elle ajouté en souriant. Elle venait d'arriver et n'avait pas eu le temps de manger, ni même de réserver une chambre d'hôtel… Ca me donnait l'impression d'un départ sur un coup de tête, mais Carter n'avait pas l'habitude de se comporter comme ça.
Les mots sortaient de sa bouche en flot continu comme si elle avait peur de briser quelque chose en s'interrompant. Et moi, je restais assis à mon bureau, à l'écouter, à l'observer, en me contentant de hocher la tête ou de sourire.
Et puis, elle s'est tue. Elle me fixait toujours calmement, mais ses mains torturaient les coutures de son blouson frappé du logo du SGC.
Je me suis levé, sans un mot, j'ai éteins la lampe de mon bureau et j'ai attrapé ma veste. Je me suis approché d'elle, j'ai posé doucement ma main dans son dos et je l'ai guidée vers la sortie.
A ce jour, ma demande de retraite n'est toujours pas postée. Le Pentagone a une nouvelle conseillère en technologie extraterrestre et moi, j'ai l'impression d'avoir rajeuni. J'assume.
FIN
Genre: tranche de vie.
Saison: après la saison 8
Résumé: suis vraiment obligée? ;-)
Commentaires: Petite fic nocturne
Remerciements: Aux scénaristes de SG1 qui nous obligent à nous défrustrer comme on peut!
Bon courage!
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Seul. Seul, une fois encore. Ils s'étaient éloignés. Tous, sans exception. Si vous leur demandiez, ils vous diraient que c'est moi qui les ai quittés. Ils diraient même "abandonnés" pour reprendre le terme que Daniel avait employé lors de notre dernière discussion.
C'est vrai, j'ai fui. Je ne pouvais pas, je n'en étais pas capable. Je sais, O'Neill fuir, ça prête à sourire. C'est pourtant ce que j'ai fait. Et j'assume.
Je me levais le matin, je rejoignais mon bureau et je me laissais submerger par ce nouveau travail de gratte-papier, ça m'occupait l'esprit, ça m'évitait d'y penser. Et le soir, épuisé par une journée où j'avais passé mon temps à lire des rapports, à les analyser, à négocier des budgets avec des politiciens qui ignoraient de quoi ils parlaient, à donner mon avis pour des opérations militaires, quand je rentrais enfin chez "moi", la plupart du temps, je me couchais directement. Et je ne dormais pas ou peu. Je ressassais. Je cogitais. Mais j'assumais.
Et les jours se suivaient et se ressemblaient. Qu'il me paraissait loin le temps où chaque jour apportait son lot de découvertes, de surprises, de rencontres … plus ou moins agréables. Mais au moins, j'avais l'impression de vivre. Là, je me terrais, je m'éteignais, doucement mais sûrement. Et je ne faisais rien pour changer cela. Je ne pouvais plus rien y faire de toutes façons. Oh bien sûr, j'aurais pu quitter le travail plus tôt et me joindre à mes collègues lorsqu'ils allaient boire un verre. Si, je vous assure, ils m'ont invité … et plus d'une fois! J'ai même accepté … une fois.
Nous étions allés dans un bar du centre ville. Un endroit "moderne", froid, au décor chromé et dépouillé, il parait que c'était "tendance" … tendance déprime oui ! Après avoir pris place autour d'une table dans le fond du bar nous avions passé notre commande. Comme d'habitude, j'avais pris une bière et comme d'habitude, ça m'avait détendu. A moins que ce ne fût grâce aux blagues de vieux briscard de l'autre général présent avec nous. Je passais un moment agréable, un moment comme je n’en avais plus connu depuis mon départ. Et elle était arrivée. Cette maudite stagiaire avait gâché ma soirée. Qu'avait-elle fait pour parvenir à un tel résultat? Très simple, elle avait commandé un soda light … pour le goût avait-elle eu l'audace de rajouter en souriant. Je lui aurais volontiers envoyé mon verre à la figure mais j'aurais eu beaucoup de mal à expliquer mon geste.
Toujours est-il que j'ai eu un méchant retour de boomerang. Mes souvenirs ont jailli sans prévenir. Ca a commencé par notre escapade avec Daniel chez O'Malley quand nous avions nos super bracelets, c'était là qu'elle nous avait dit aimer le soda light. Puis les combats à ses côtés, son courage, ses discours incompréhensibles, ses silences, ses regards… tout. Tout est revenu. Et ça m'a fait un mal de chien. Tout ça à cause de cette stagiaire… elle ne pouvait pas prendre une bière, comme tout le monde?!
Bref, j'ai trouvé une excuse très quelconque et je les ai laissés en plan. Je préférais être seul. En rentrant chez moi, j'ai saisi mon téléphone, ouvert le clapet de protection … et je l'ai refermé aussi vite. A quoi bon? Et puis de toutes manières, avec le décalage horaire … Ok, j'avoue, il n'aurait été que 22 h là bas. Chez elle. Allez, soyons fou! J'aurai composé son numéro et après? "Salut Carter! Je sais, ça fait 3 mois que je ne vous ai pas appelée mais ce soir, un truc m'a fait penser à vous" Elle m'aurait raccroché au nez, et honnêtement, elle aurait eu raison ! Bon, d'accord, elle n'aurait sûrement pas réagi comme cela… mais je n'ai pas eu le courage de prendre ce risque. Alors, j'ai éteint mon portable pour ne plus être tenté. Puis je l'ai rallumé puis éteint puis rallumé puis …et je n'ai jamais composé ce satané numéro.
Et ma vie a continué. Mes contacts avec Daniel se sont espacés. Loin des yeux, loin du cœur comme on dit. C'était surtout que lui parler ravivait trop de choses. Je sais, je sais … c'était lâche… que voulez vous, je ne suis qu'un homme.
Je commençais à envisager sérieusement de prendre ma retraite. Après tout, j'avais déjà consacré suffisamment d'années à l'armée, je pourrais même dire "sacrifié". Et je n'étais plus d'une grande utilité. Le Pentagone démentirait, mais pour moi, ma place était sur le terrain. Ici, j'avais vraiment l'impression de faire mon âge et ça me désespérait. Alors, tant qu'à ressembler à un grand-père, autant faire les choses correctement. Des journées passées à taquiner des poissons inexistants au bord de mon petit lac, voila une vraie vie de retraité…
Super …
J'étais donc à un tournant de ma vie, encore un mais celui là, j'étais bien décidé à ne pas le gâcher. J'aurais pu être à la retraite aujourd'hui, peut-être même qu'elle aurait été suffisamment inconsciente pour accepter de vivre à mes côtés. Mais j'avais fui et elle n'était pas là.
Alors, j'ai pris ma plume, enfin, mon stylo et j'ai rédigé ma lettre. J'avais du mal à trouver les mots. Ce n'était pourtant pas sorcier d'écrire "je vous présente ma demande de mise à la retraite" mais ça sonnait faux. J'avais beau tourner et retourner les phrases, changer les mots, rien. Pas moyen d'aligner deux phrases cohérentes. C'était à se demander comment je faisais pour écrire mes rapports! Je me suis concentré… longtemps et j'ai fini par trouver "la phrase" et … ce foutu téléphone a sonné et pouf … envolée. Je m'y suis repris à de nombreuses reprises mais j'y suis enfin parvenu, juste avant que ma corbeille à papier ne déborde.
J'ai attrapé ma prose et me suis passé la main sur le visage. S'il fallait une ultime preuve que l'administratif et moi étions incompatibles, elle était sous mes yeux. Enfin, c'était fini, et ce n'était plus le moment de faire machine arrière.
Je me souviens m'être accordé une minute de réflexion, les mains posées sur ma nuque, les yeux rivés sur cette lettre qui signifiait la fin d'une vie.
Il était tard, encore une fois et les bureaux avaient été désertés depuis bien longtemps. Un silence apaisant régnait dans les locaux … du moins, si on faisait abstraction du bruit ronronnant des ordinateurs, photocopieuses et machines diverses.
J'avais la vue qui se brouillait à force de fixer ce papier. Les mots se chevauchaient rendant son contenu encore plus illisible qu'il ne l'était déjà. Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir, ni les pas feutrés sur la moquette. J'ai juste senti des effluves de parfum. Et même sans relever la tête, je savais qui venait d'entrer.
Elle passait dans le coin m'avait-elle dit, alors, elle avait profité de l'occasion pour saluer son "vieux général" avait-elle ajouté en souriant. Elle venait d'arriver et n'avait pas eu le temps de manger, ni même de réserver une chambre d'hôtel… Ca me donnait l'impression d'un départ sur un coup de tête, mais Carter n'avait pas l'habitude de se comporter comme ça.
Les mots sortaient de sa bouche en flot continu comme si elle avait peur de briser quelque chose en s'interrompant. Et moi, je restais assis à mon bureau, à l'écouter, à l'observer, en me contentant de hocher la tête ou de sourire.
Et puis, elle s'est tue. Elle me fixait toujours calmement, mais ses mains torturaient les coutures de son blouson frappé du logo du SGC.
Je me suis levé, sans un mot, j'ai éteins la lampe de mon bureau et j'ai attrapé ma veste. Je me suis approché d'elle, j'ai posé doucement ma main dans son dos et je l'ai guidée vers la sortie.
A ce jour, ma demande de retraite n'est toujours pas postée. Le Pentagone a une nouvelle conseillère en technologie extraterrestre et moi, j'ai l'impression d'avoir rajeuni. J'assume.
FIN
Re: J'assume
Merci, ça fait du bien de lire ça. On n'en demanderait pas plus aux scénaristes.
Bravo
Bravo
CLD- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 691
Age : 46
Localisation : Devant l'ordinateur
Date d'inscription : 18/11/2005
Re: J'assume
Gjc, je t'aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaimeuh !!
Nemesis- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 601
Date d'inscription : 09/01/2006
Re: J'assume
Merci les filles
@ Nem: moi, je te ferai ma déclaration quand tu auras fait une suite à ta fic sur Sam
@ Nem: moi, je te ferai ma déclaration quand tu auras fait une suite à ta fic sur Sam
Re: J'assume
fic de GJC a écrit:
- Spoiler:
Cette maudite stagiaire avait gâché ma soirée. Qu'avait-elle fait pour parvenir à un tel résultat? Très simple, elle avait commandé un soda light … pour le goût avait-elle eu l'audace de rajouter en souriant. Je lui aurais volontiers envoyé mon verre à la figure mais j'aurais eu beaucoup de mal à expliquer mon geste.
Je crois que c'est mon passage préféré! J'adore! Je ne saurais pas dire pourquoi en particulier. Peut-être parce que ça résume plutôt bien ce qu'il y a entre Jack et Sam.
Comme toujours c'est impécablement écrit et pensé! ... Je sais que ça t'ennuie mais moi, j'adore lorsque tu as des insomnies!
Re: J'assume
bravo gjc j'adore ça faisait un pitit moment que je n'avais pas lu une de tes fics et ben je peux te dire que ça fait du bien
continu comme ça miss c'est genial
continu comme ça miss c'est genial
Quéléa- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 188
Age : 40
Date d'inscription : 17/11/2005
Re: J'assume
Je voudrais pas que tu penses que j'insite, hein... mais moi je les aime bien! Et je pense pas être la seule.gjc597 a écrit:@Hito: ne me parle pas de mes insomnies, je les déteste
Re: J'assume
super gjc!! par contre, pour suivre hito, je sais pas si c'est toi ou tes insomnies qu'on doit remercier pour cette super fic... ptet un pour chacune!!
jte fais confiance pr leur passer le message...
jte fais confiance pr leur passer le message...
snake- Lecteur du Télé 7 jours
- Nombre de messages : 27
Date d'inscription : 27/11/2005
Re: J'assume
MDR! compte sur moi pour leur en toucher un mot quand elles repointeront le bout de leur nez
Merci Snake
Merci Snake
Re: J'assume
Je crois que c'est la première fic que tu nous propose en ligne, non ?
Apparament, il faut dire merci à aux insomenies et bravo à Gjc. Ou es ce l'inverse ?
Un petit moment de détente réservé aux fans frustré du départ de O'NEILL.
SUPER
Apparament, il faut dire merci à aux insomenies et bravo à Gjc. Ou es ce l'inverse ?
Un petit moment de détente réservé aux fans frustré du départ de O'NEILL.
SUPER
Dernière édition par le Dim 20 Mai - 21:56, édité 1 fois
Re: J'assume
Siress a écrit:Je crois que c'est la première fic que tu nous propose en ligne, non ?
Apparament, il faut dire merci à aux insomenies et bravo à Gjc. Ou es ce l'inverse ?
Un petit moment de détente réservé aux fans frustré du départ de O'NEILL.
SUPER
Euh, oui, c'est la première, les autres sont trop longues pour être mises en ligne, enfin, je crois
Ah et puis, c'est clair que Jack me manque , c'est vraiment plus pareil sans lui
Autant Vala "compensait" son départ autant maintenant ...
Re: J'assume
Jaime ce fic tout court et j'assume !
(je t deja dis ske jen pensé mais bon si on le redit on se fait pas gronder hein ?)
bises
Tia
(je t deja dis ske jen pensé mais bon si on le redit on se fait pas gronder hein ?)
bises
Tia
Tya- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1065
Age : 42
Localisation : La cité des Papes
Date d'inscription : 28/03/2006
Re: J'assume
Merci beaucoup Tia
(et non, tu vas pas te faire gronder, c'est juste que mes chevilles risquent d'enfler si ça continue )
(et non, tu vas pas te faire gronder, c'est juste que mes chevilles risquent d'enfler si ça continue )
Re: J'assume
Que dire de plus que bravo ? Ta fic est tout simplement géniale... Merci ! Et comme les autres, je trouve que les insomnies te réussissent plutôt bien...
Nanou- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 469
Localisation : Dans les bras de Jackounet...
Loisirs : STARGATE SG1, STARGATE SG1 et STARGATE SG1
Date d'inscription : 02/03/2006
Re: J'assume
Moi aussi j'ai beaucoup aimé
- Spoiler:
- J'ai le même passage préféré que Hito sauf que je prends aussi le paragraphe du dessous parce que j'adore le "Et ça lui avait fait un mal de chien"...
Re: J'assume
J'ai rien à ajouter, en fait tu fais un mélange de tout ce qui a été dit... bref, j'adore quoi!
sam_star- Lecteur de Harlequin
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Age : 37
Localisation : entre ici et ailleurs...
Loisirs : PC, lecture et Stargate SG-1 et Atlantis
Date d'inscription : 02/04/2006
Re: J'assume
Que dire de plus ........
Merci
Merci
Darkleen- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 150
Date d'inscription : 20/04/2006
Re: J'assume
Suis dans le même cas que darkleen
Génial ? Hmmm... Déjà dit
Bravo ? aussi...
Super ? Pas assez fort
Tu ne me facilites pas la tâche là
Excellent.... Ah ça, c'est pas mal excellent, mais manque un peu d'émotion
Donc excellente fic que j'adore de bout en bout!!!
Suis de l'avis général : remercie tes insomnies de ma part
Génial ? Hmmm... Déjà dit
Bravo ? aussi...
Super ? Pas assez fort
Tu ne me facilites pas la tâche là
Excellent.... Ah ça, c'est pas mal excellent, mais manque un peu d'émotion
Donc excellente fic que j'adore de bout en bout!!!
Suis de l'avis général : remercie tes insomnies de ma part
mondaye- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 508
Localisation : Ici!
Date d'inscription : 24/03/2006
Re: J'assume
je les ai remerciées... elles sont partiesmondaye a écrit:
Suis de l'avis général : remercie tes insomnies de ma part
Merci beaucoup pour vos messages
Re: J'assume
Allez, je fais remonter une des fics de notre Brute préférée, juste pour le plaisir des yeux et surtout de mes nerfs !
- Spoiler:
- Jack tu me manques tellement ... Quant aux scénaristes, votre fin est proche !
Miss O'Neill- Modo : La sulfateuse
- Nombre de messages : 1938
Localisation : L'autre bout de la galaxie
Loisirs : Des tas !
Date d'inscription : 23/11/2005
Re: J'assume
Et bien un grand merci à toi ! J'ai cru pendant un moment que tu allais me coller la déprime du siècle (faut dire qsue la dernière fics de toi que j'ai lu c'était Damoclès donc...) mais en même temps du Gjc ça se refuse pas c'est comme un chocolat de grand luxe quand on vous tends la boite....
Bref pendant toute la fics je n'ai pas réussit à me décoller (même si je sentais la déprime pointer le bout de son nez...), parce que c'est ça qui est terrible avec toi, une fois qu'on a commencé il faut QU'ON FINISE (hein comment ça la maison brule ? oui bah atttends je finis ça et j'arrive ) !!!!
Bravo
ps: j'aime beaucoup ton remerciement aussi... on organise un commando pour se venger ?
Bref pendant toute la fics je n'ai pas réussit à me décoller (même si je sentais la déprime pointer le bout de son nez...), parce que c'est ça qui est terrible avec toi, une fois qu'on a commencé il faut QU'ON FINISE (hein comment ça la maison brule ? oui bah atttends je finis ça et j'arrive ) !!!!
- Spoiler:
- Et alors la j'ai été très agréablement surprise.. contre toute attente une vraie happy end nous attendais à la fin ! Une happy end tout en douceur et en sous entendu mais une vraie bonne happy end !!!
Bravo
ps: j'aime beaucoup ton remerciement aussi... on organise un commando pour se venger ?
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