Visite Surprise (6ème fic)
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Visite Surprise (6ème fic)
Catégorie : Romance S/J (forcément)/humour (et oui il faut encore le supporter)
Spoiler : À la fin de Threads de la saison 8 quand ils sont tous les 4 au chalet.
Résumé : Alors que l’équipe SG1 et le Général O’Neill sont au chalet de ce dernier, les parents de Jack débarquent.
Disclamer : Les personnages appartiennent à la MGM sauf les parents de Jack qui sont totalement fictifs et par conséquent je ne touche pas de sous
Jack et Sam étaient tous deux assis sur le ponton, une canne à pêche à la main. Cela faisait plus de quatre heures qu’ils étaient là et ils n’avaient toujours rien pris, mais Sam se détendait, c’était la première fois depuis bien longtemps qu’elle oubliait ses soucis. Et pour une fois pas de silence pesant, juste elle et Jack pour se relaxer.
Sam : C'est super.
Jack : Je vous l'avais dit.
Sam : Je ne peux pas croire que nous n'ayons pas fait ça il y a des années.
Jack : Oui, et bien n'y pensons pas.
Sam : Il n'y a pas de poissons dans cet étang, n'est-ce pas ?
Jack : Nan. Bien joué !
Puis le silence repris place. C’est à ce moment là que Daniel et Teal’c firent leur apparition avec des chaises et la glacière. Enfin, ils étaient tous les 4 réunis dans le chalet de Jack. Ils étaient en famille. Daniel prit deux bières et se dirigea vers le ponton pour les donner à Jack et Sam.
D : Voilà votre commande.
J : Merci cher ami.
S : Merci Daniel
D : De rien (souriant) alors, ça mort ?
J : Pas pour le moment mais c’est parce que vous faites trop de bruit !
S : (riant) Qu’est-ce qu’il faut pas entendre !
Le reste de la journée se passa bien. Teal’c lisait des bandes dessinées que Jack lui avait données, sur la vie d’un chat un peu gros s’appelant Garfield. Au début un peu réticent il avait vite appris à apprécier les aventures de ce félin plus que déroutant. Daniel quant à lui lisait un roman sur l’Egypte : le premier tome sur 4 des « Mystères d’Osiris » de Christian Jacq. D’après lui autant se divertir avec sa plus grande passion. Jack, quant à lui, toujours canne à pèche à la mains, jetait de temps en temps des regards en direction de Sam : il était content qu’elle apprécie la pèche. Quant au colonel Carter, elle savourait ce moment avec ses amis et avec lui dans ce lieu qu’elle avait toujours refusé de connaître. Pourquoi ? Les rumeurs bien sûr, toujours les rumeurs sur lui et elle, elle ne voulait pas les alimenter plus que nécessaire. La peur de devoir justifier ses actes. Peur de se rendre compte qu’en dehors du travail il pouvait être quelqu’un de plus adorable encore.
En fin d’après midi vers 18h30, sans un seul poisson dans le seau, ils décidèrent d’aller préparer à manger. C’était au tour de Jack et de Sam de préparer le repas. En effet, des tours avaient été organisés afin que ce ne soit pas tout le temps les mêmes qui le fassent. Un grand moment de plénitude pour nos deux militaires qui aimaient se retrouver ensemble, c’est un peu pour ça que Teal’c avait choisit Daniel comme partenaire de cuisine. Le jaffa avait remarqué le rapprochement entre Sam et Jack après le décès de Jacob, il voulait les laisser ensemble afin qu’ils parlent, même s’ils ne parlaient pas de leurs sentiments, ce qui était fort probable les connaissant. Les réunir était déjà beaucoup.
Le repas se passa pour le mieux. Ils parlaient de leur mission, de la nouvelle équipe SG1, des missions sans le général, des nombreux fous rires. Vers 1h00, Tout ce petit monde alla se coucher, les trois gars dans la chambre d’O’Neill et Sam dans la chambre d’amis. Jack, pendant que les 3 autres allaient au lit, fit le tour du chalet pour bien fermer les fenêtres et au moment d’aller dormir il vit Carter descendre.
J : Carter ?
S : Mon général ! Heu… je venais chercher une bouteille d’eau, j’ai souvent soif la nuit.
J : (souriant) bien, bonne nuit Carter, faites de beaux rêves...
S : (lui rendant son sourire) merci mon général, vous aussi…
J : Merci…
Ils ne se quittait pas du regard, c’était un instant à eux, un de ces moments irremplaçables, où ils n’avaient pas besoin de parler, pas besoin de faire de gestes, seuls les regards comptaient. Puis à regret Jack se détourna et partit se coucher. Le cœur lourd Sam prit sa bouteille et fit de même.
Le lendemain, Sam fut réveillée par un bruit de moteur. Elle se leva et regarda par la fenêtre, persuadée que c’était la base, mais la voiture n’appartenant pas à l’armée, elle mit son peignoir et descendit ouvrir pour ne pas réveiller les trois gars. Arrivée devant la porte, elle ouvrit et découvrit quatre personnes. Un homme âgé d’environ 75 ans, encore alerte, aux yeux marron comme ceux du général, aux cheveux blancs et au charme fou, le portrait craché de Jack. Une femme environ du même âge, les yeux marron également, cheveux blonds, très belle. Derrière elle une autre femme d’une quarantaine d’années, un air O’Neillien sur le visage, les yeux de la même couleur que ceux des deux autres, les cheveux blonds. Elle portait un enfant dans les bras : une fille d’environ 5 ans, qui dormait à poings fermés.
S : Bonjour
X (l’homme) : Bonjour, on vient voir Jack, on vous dérange peut-être. J’ai téléphoné à la base où il travaille, un sergent Harriman m’a dit qu’il était ici. Il ne m’a pas précisé qu’il était en bonne compagnie.
S : Heu… Il dort… mais… Mais entrez.
En entendant la voiture devant la maison, Jack s’était réveillé, il avait également entendu son second se lever. Il fit le tour de la pièce et découvrit un Daniel ronflant et un Teal’c dormant profondément (il fait plus son Kelno’rim, il a plus de symbiote). Il décida rapidement de rejoindre son second, avec la ferme attention de râler si un militaire se trouvait sur le pas de la porte.
J (descendant) : Rhaaaaaa…. On peut même plus être en vacances tranquil… Papa, Maman, Cindy mais qu’est ce que vous faites là ?
P : Salut mon grand ! Nous sommes désolés de vous déranger…
J : Mais de quoi tu parles ! (Se retournant vers Sam) Ah oui !! Bonjour Carter !
S : (Souriant) Bonjour mon général !
J : Carter je vous présente mon père Edward, ma mère Catherine, Ma petite sœur Cindy et sa fille Lili.
S : Enchantée.
J : Je vous présente Samantha Carter, mon second, elle travaille avec moi.
E/C/Ci : Bonjour, enchantés.
Ci : Jack tu n’aurais pas un endroit où coucher Lili, s’il te plait ?
J : Je n’ai plus de place, (réfléchissant à un endroit) attends…
S : (coupant la parole à Jack) Vous pouvez prendre ma chambre il n’y a pas de soucis. Je vais vous y accompagner comme ça je prendrai mes affaires.
Ci : Merci, c’est gentil, je vous suis.
Sam, Cindy et Lili disparurent dans les marches. Jack proposa à ses parents de s’installer dans le salon.
J : Alors que me vaut l’honneur de votre visite ?
C : Nous sommes désolé de te déranger, alors que tu es en si charmante compagnie…
J : arrête maman elle est militaire, c’est juste une amie.
E : Mais elle est bien jolie quand même !!
J : Papa s’il te plaît !!!! Alors pourquoi êtes vous là ?
C : Ta sœur a des soucis avec son mari, ils sont en plein divorce et nous nous sommes dit que ce serait reposant de venir te voir.
J : Qu’a-t-il encore fait ?
C : Il l’a trompée encore une fois et elle n’a plus voulu lui donner de chance. Entre nous, je ne lui en aurais jamais donné mais elle l’aime.
J : C’est un crétin ce type, je le dis depuis longtemps, mais personne ne m’écoute.
E : On le sait très bien mais pour ta sœur il fallait faire l’effort.
J : Oui, bon, vous voulez du café ?
C/E : Avec plaisir.
Dix minutes plus tard Sam redescendit habillée, elle se dirigea directement dans la cuisine en voyant les parents de Jack en grande discussion. Celui-ci préparait le petit déjeuner.
S : Votre sœur est partie prendre une douche. Vous avez besoin d’aide mon général ?
J : Non merci Carter ! Désolée pour mes parents !
S : (triste) Ce n’est pas grave, une fois que les gars seront prêts nous vous laisserons seul avec votre famille.
J : (pris au dépourvu)…
C : (Arrivant dans la cuisine) Il n’en est pas question, vous restez ici nous ne voulons pas vous chasser, et puis connaître les amis de mon fils est un honneur, il est si discret sur sa vie. (Se retournant vers son fils) D’ailleurs, tu es passé général ?
J : Oui cela va bientôt faire un an maintenant.
C : Je suis fière de toi et ton père aussi même s’il ne le dit pas…
J : Je sais, merci maman.
C : Et vous Samantha, vous êtes ?
S : Vous pouvez m’appeler Sam. Je suis Lieutenant colonel, Madame.
C : (rigolant) c’est Catherine. Vos parents doivent être fier.
S : (s’assombrissant) Je l’espère… (Retenant ses larmes) Excusez-moi, je vais vous laissez.
Puis sans attendre elle sortit, se dirigea vers le ponton et s’y installa, laissant libre court aux larmes.
Pendant ce temps, à la cuisine Catherine regarde son fils, surprise de la réaction de la jeune femme.
J : Son père est mort il y a une semaine. Pour répondre à ta question son père était très fier quand à sa mère elle est décédée quand elle était jeune.
C : J’ai fait une grosse bêtise alors ?
J : Non pas du tout, tu ne savais pas…
C : Elle est toute seule, tu devrais y aller.
J : Heu… Maman… C’est assez compliqué, Carter s’est éloignée justement pour que personne ne la voie perdre pied. Si elle a besoin de parler je sais qu’elle viendra me voir. Tu comprends ?
C : Oui, mais moi je ne peux pas rester sans rien faire, sers le café à ton père je reviens.
J : Maman… Tu es vraiment têtue…
C : Oui et tu tiens de moi, donc tu sais que j’irai avec ou sans ton accord.
J : Je sais, je sais… Mais promets-moi que si elle veut rester seule tu la laissera !
C : Oui bien sûr.
Catherine prit alors le chemin emprunté par Sam quelques minutes plus tôt, elle marchait doucement. Elle n’aimait pas voir les gens malheureux et visiblement elle l’était énormément. Comment devait-elle se comporter ? Elle ne put continuer sa réflexion plus loin car Sam essuya ses larmes et se retourna. Catherine s’installa à ses côtés. Après un moment de silence elle regarda le colonel.
C : Je suis désolée.
S : C’est moi, je n’aurais pas du me mettre dans cet état !
C : Pourquoi ? C’est humain vous savez.
S : …
C : Je sais que la perte d’un être cher est difficile.
S : Ce n’est pas la perte de mon père qui me fait mal… enfin si ! Mais j’ai l’impression de me retrouver seule. Je viens de rompre avec mon fiancé alors ce sentiment de vide est plus présent en moi, même si mes amis sont avec moi… Désolée de vous embêter avec ça.
C : Ce n’est rien, si vous devez vous confier à quelqu’un faites-le !
S : Merci.
C : Puis-je vous poser une question ?
S : Allez y !
C : pourquoi vous appelez mon fils «général» alors que vous êtes en vacances ?
S : (gênée) En fait, c’est l’habitude je pense et puis c’est mon supérieur…
C : Je comprends mais pendant mon séjour ici il est hors de question qu’il se fasse appeler général.
S : (souriant) On verra !!!!
C : (lui rendant son sourire) Vous verrez, je suis aussi têtue que lui. Venez ! On va boire notre café, bien mérité !
S : (Se levant et aidant la mère de Jack) Bonne idée.
Puis toutes deux se dirigèrent vers le chalet. Sur le pas de la porte elles découvrirent Jack et son père affalés sur un canapé, tous deux dans la même position, sirotant leur café. Catherine regarda Sam : elle fixait Jack, qui pour une fois était réellement décontracté, du regard, puis elle se retourna, rougit d’avoir été prise en flagrant délit et sourit en voyant l’air amusé de Catherine.
C : Et nos cafés, ils sont où ?
J : Maman, Carter ! Installez-vous je vais les chercher ?
C : Jack, cette demoiselle a un prénom alors utilise-le !
J : Maman, arrête (devant le sourire de Sam) Qu’est ce qu’il y a ?
S : Rien mon général… (Essayant de ne pas rire) rien du tout.
J : (faussement gamin) Tu vois, elle aussi elle m’appelle par mon grade !!
C : C’est toi le supérieur non ?
J : D’accord… Je vais chercher les cafés.
Mais alors qu’il s’apprêtait à aller chercher les cafés il entendit un hurlement, tous les 4 se retournèrent vers l’escalier, alors un pleur d’enfant se fit entendre.
J : Sam ? Vous pariez combien que c’est Daniel qui a eu peur de ma sœur ?
S : Je ne parie pas mon gén… (Voyant son air autoritaire) Jack, (souriant) il n’y a que Daniel pour avoir peur d’une femme.
Daniel dévala en trombe les marches pour se retrouver devant quatre personnes.
J : Félicitation Daniel ! Vous avez réveillé la petite.
D : Bah c’est pas de ma faute une femme que je ne connais pas était dans la salle de bain en train de… Oh mon dieu…
J : (Criant) Quoi ?
S : (entendant toujours Lili) Je vais monter voir la petite. Bonjour Daniel !
D : Bonjour Sam ! Comment allez-vous ?
S : (Montant les marches) Bien et vous ?
D : (Regardant les yeux foudroyant de Jack) Heu… Jusqu'à maintenant… bien. (Se retournant vers les deux autres personnes). Bonjour, je suis Daniel Jackson !
C : Catherine O’Neill, la mère de Jonathan.
E : Edward O’Neill, le père de Jack.
J : Grrrr… Maman arrête de m’appeler comme ça.
D : (souriant) Bah moi j’aime bien, je peux vous appeler comme ça ?
J : Daniel si vous ne voulez pas vous ennuyer à la base je vous conseille de vous abstenir, est-ce suffisamment clair pour votre petit cerveau ?
D : (faussement vexé) Bien, très bien. Enchanté de vous rencontrer. Et qui était dans la salle de bain ?
J : (pointant le doigt dans la direction de l’archéologue) Ma sœur, et vous n’avez pas intérêt à la toucher.
Sam arriva dans le couloir et croisa Teal’c. Il lui dit bonjour avec un haussement de sourcil, elle lui fit un sourire et lui répondit par un hochement de tête, il n’en fallu pas plus à Teal’c pour se rassurer. Elle rentra ensuite doucement dans la chambre et découvrit la petite fille en larmes. Elle s’avança délicatement et afin de la rassurer s’assit sur le lit, elle lui fit un sourire.
S : Bonjour, jeune fille !
L : Bonzour, elle est où ma moman ?
S : Elle est dans la salle de bain, elle prend une douche, je m’appelle Sam et toi ?
L : Moi c’est Lili.
S : C’est un très joli prénom que tu as, et tu as quel âge ?
L : Z’ai 5 ans ½.
S : (Amusée) Ouah ! Tu es une grande fille dis moi !
L : Dis t’es l’amoureuze de mon tonton Jack.
S : (Amusée mais rougissant) Non je suis son amie, et je travaille aussi pour lui.
Cin : (entrant dans la chambre) Coucou ma chérie, comment vas-tu ?
L : (Sautant dans ces bras) Moman !
Cin : (Embrassant sa fille) Il y a un homme qui est rentré dans la salle de bain, et je crois qu’il a été choqué de me voir en serviette.
S : (riant) C’est Daniel, un ami, et oui il a été surpris. Vous verrez il est très gentil.
Cin : Merci du renseignement et aussi pour Lili.
S : De rien, c’est un véritable plaisir.
L : Il est où tonton Jack ?
Cin : Il est en bas avec papi et mamie. Tu veux aller les rejoindre ?
L : Oui, z’il te plait ! Zam tu viens avec moi, dis ?
S : Je te suis.
A suivre
Spoiler : À la fin de Threads de la saison 8 quand ils sont tous les 4 au chalet.
Résumé : Alors que l’équipe SG1 et le Général O’Neill sont au chalet de ce dernier, les parents de Jack débarquent.
Disclamer : Les personnages appartiennent à la MGM sauf les parents de Jack qui sont totalement fictifs et par conséquent je ne touche pas de sous
Jack et Sam étaient tous deux assis sur le ponton, une canne à pêche à la main. Cela faisait plus de quatre heures qu’ils étaient là et ils n’avaient toujours rien pris, mais Sam se détendait, c’était la première fois depuis bien longtemps qu’elle oubliait ses soucis. Et pour une fois pas de silence pesant, juste elle et Jack pour se relaxer.
Sam : C'est super.
Jack : Je vous l'avais dit.
Sam : Je ne peux pas croire que nous n'ayons pas fait ça il y a des années.
Jack : Oui, et bien n'y pensons pas.
Sam : Il n'y a pas de poissons dans cet étang, n'est-ce pas ?
Jack : Nan. Bien joué !
Puis le silence repris place. C’est à ce moment là que Daniel et Teal’c firent leur apparition avec des chaises et la glacière. Enfin, ils étaient tous les 4 réunis dans le chalet de Jack. Ils étaient en famille. Daniel prit deux bières et se dirigea vers le ponton pour les donner à Jack et Sam.
D : Voilà votre commande.
J : Merci cher ami.
S : Merci Daniel
D : De rien (souriant) alors, ça mort ?
J : Pas pour le moment mais c’est parce que vous faites trop de bruit !
S : (riant) Qu’est-ce qu’il faut pas entendre !
Le reste de la journée se passa bien. Teal’c lisait des bandes dessinées que Jack lui avait données, sur la vie d’un chat un peu gros s’appelant Garfield. Au début un peu réticent il avait vite appris à apprécier les aventures de ce félin plus que déroutant. Daniel quant à lui lisait un roman sur l’Egypte : le premier tome sur 4 des « Mystères d’Osiris » de Christian Jacq. D’après lui autant se divertir avec sa plus grande passion. Jack, quant à lui, toujours canne à pèche à la mains, jetait de temps en temps des regards en direction de Sam : il était content qu’elle apprécie la pèche. Quant au colonel Carter, elle savourait ce moment avec ses amis et avec lui dans ce lieu qu’elle avait toujours refusé de connaître. Pourquoi ? Les rumeurs bien sûr, toujours les rumeurs sur lui et elle, elle ne voulait pas les alimenter plus que nécessaire. La peur de devoir justifier ses actes. Peur de se rendre compte qu’en dehors du travail il pouvait être quelqu’un de plus adorable encore.
En fin d’après midi vers 18h30, sans un seul poisson dans le seau, ils décidèrent d’aller préparer à manger. C’était au tour de Jack et de Sam de préparer le repas. En effet, des tours avaient été organisés afin que ce ne soit pas tout le temps les mêmes qui le fassent. Un grand moment de plénitude pour nos deux militaires qui aimaient se retrouver ensemble, c’est un peu pour ça que Teal’c avait choisit Daniel comme partenaire de cuisine. Le jaffa avait remarqué le rapprochement entre Sam et Jack après le décès de Jacob, il voulait les laisser ensemble afin qu’ils parlent, même s’ils ne parlaient pas de leurs sentiments, ce qui était fort probable les connaissant. Les réunir était déjà beaucoup.
Le repas se passa pour le mieux. Ils parlaient de leur mission, de la nouvelle équipe SG1, des missions sans le général, des nombreux fous rires. Vers 1h00, Tout ce petit monde alla se coucher, les trois gars dans la chambre d’O’Neill et Sam dans la chambre d’amis. Jack, pendant que les 3 autres allaient au lit, fit le tour du chalet pour bien fermer les fenêtres et au moment d’aller dormir il vit Carter descendre.
J : Carter ?
S : Mon général ! Heu… je venais chercher une bouteille d’eau, j’ai souvent soif la nuit.
J : (souriant) bien, bonne nuit Carter, faites de beaux rêves...
S : (lui rendant son sourire) merci mon général, vous aussi…
J : Merci…
Ils ne se quittait pas du regard, c’était un instant à eux, un de ces moments irremplaçables, où ils n’avaient pas besoin de parler, pas besoin de faire de gestes, seuls les regards comptaient. Puis à regret Jack se détourna et partit se coucher. Le cœur lourd Sam prit sa bouteille et fit de même.
Le lendemain, Sam fut réveillée par un bruit de moteur. Elle se leva et regarda par la fenêtre, persuadée que c’était la base, mais la voiture n’appartenant pas à l’armée, elle mit son peignoir et descendit ouvrir pour ne pas réveiller les trois gars. Arrivée devant la porte, elle ouvrit et découvrit quatre personnes. Un homme âgé d’environ 75 ans, encore alerte, aux yeux marron comme ceux du général, aux cheveux blancs et au charme fou, le portrait craché de Jack. Une femme environ du même âge, les yeux marron également, cheveux blonds, très belle. Derrière elle une autre femme d’une quarantaine d’années, un air O’Neillien sur le visage, les yeux de la même couleur que ceux des deux autres, les cheveux blonds. Elle portait un enfant dans les bras : une fille d’environ 5 ans, qui dormait à poings fermés.
S : Bonjour
X (l’homme) : Bonjour, on vient voir Jack, on vous dérange peut-être. J’ai téléphoné à la base où il travaille, un sergent Harriman m’a dit qu’il était ici. Il ne m’a pas précisé qu’il était en bonne compagnie.
S : Heu… Il dort… mais… Mais entrez.
En entendant la voiture devant la maison, Jack s’était réveillé, il avait également entendu son second se lever. Il fit le tour de la pièce et découvrit un Daniel ronflant et un Teal’c dormant profondément (il fait plus son Kelno’rim, il a plus de symbiote). Il décida rapidement de rejoindre son second, avec la ferme attention de râler si un militaire se trouvait sur le pas de la porte.
J (descendant) : Rhaaaaaa…. On peut même plus être en vacances tranquil… Papa, Maman, Cindy mais qu’est ce que vous faites là ?
P : Salut mon grand ! Nous sommes désolés de vous déranger…
J : Mais de quoi tu parles ! (Se retournant vers Sam) Ah oui !! Bonjour Carter !
S : (Souriant) Bonjour mon général !
J : Carter je vous présente mon père Edward, ma mère Catherine, Ma petite sœur Cindy et sa fille Lili.
S : Enchantée.
J : Je vous présente Samantha Carter, mon second, elle travaille avec moi.
E/C/Ci : Bonjour, enchantés.
Ci : Jack tu n’aurais pas un endroit où coucher Lili, s’il te plait ?
J : Je n’ai plus de place, (réfléchissant à un endroit) attends…
S : (coupant la parole à Jack) Vous pouvez prendre ma chambre il n’y a pas de soucis. Je vais vous y accompagner comme ça je prendrai mes affaires.
Ci : Merci, c’est gentil, je vous suis.
Sam, Cindy et Lili disparurent dans les marches. Jack proposa à ses parents de s’installer dans le salon.
J : Alors que me vaut l’honneur de votre visite ?
C : Nous sommes désolé de te déranger, alors que tu es en si charmante compagnie…
J : arrête maman elle est militaire, c’est juste une amie.
E : Mais elle est bien jolie quand même !!
J : Papa s’il te plaît !!!! Alors pourquoi êtes vous là ?
C : Ta sœur a des soucis avec son mari, ils sont en plein divorce et nous nous sommes dit que ce serait reposant de venir te voir.
J : Qu’a-t-il encore fait ?
C : Il l’a trompée encore une fois et elle n’a plus voulu lui donner de chance. Entre nous, je ne lui en aurais jamais donné mais elle l’aime.
J : C’est un crétin ce type, je le dis depuis longtemps, mais personne ne m’écoute.
E : On le sait très bien mais pour ta sœur il fallait faire l’effort.
J : Oui, bon, vous voulez du café ?
C/E : Avec plaisir.
Dix minutes plus tard Sam redescendit habillée, elle se dirigea directement dans la cuisine en voyant les parents de Jack en grande discussion. Celui-ci préparait le petit déjeuner.
S : Votre sœur est partie prendre une douche. Vous avez besoin d’aide mon général ?
J : Non merci Carter ! Désolée pour mes parents !
S : (triste) Ce n’est pas grave, une fois que les gars seront prêts nous vous laisserons seul avec votre famille.
J : (pris au dépourvu)…
C : (Arrivant dans la cuisine) Il n’en est pas question, vous restez ici nous ne voulons pas vous chasser, et puis connaître les amis de mon fils est un honneur, il est si discret sur sa vie. (Se retournant vers son fils) D’ailleurs, tu es passé général ?
J : Oui cela va bientôt faire un an maintenant.
C : Je suis fière de toi et ton père aussi même s’il ne le dit pas…
J : Je sais, merci maman.
C : Et vous Samantha, vous êtes ?
S : Vous pouvez m’appeler Sam. Je suis Lieutenant colonel, Madame.
C : (rigolant) c’est Catherine. Vos parents doivent être fier.
S : (s’assombrissant) Je l’espère… (Retenant ses larmes) Excusez-moi, je vais vous laissez.
Puis sans attendre elle sortit, se dirigea vers le ponton et s’y installa, laissant libre court aux larmes.
Pendant ce temps, à la cuisine Catherine regarde son fils, surprise de la réaction de la jeune femme.
J : Son père est mort il y a une semaine. Pour répondre à ta question son père était très fier quand à sa mère elle est décédée quand elle était jeune.
C : J’ai fait une grosse bêtise alors ?
J : Non pas du tout, tu ne savais pas…
C : Elle est toute seule, tu devrais y aller.
J : Heu… Maman… C’est assez compliqué, Carter s’est éloignée justement pour que personne ne la voie perdre pied. Si elle a besoin de parler je sais qu’elle viendra me voir. Tu comprends ?
C : Oui, mais moi je ne peux pas rester sans rien faire, sers le café à ton père je reviens.
J : Maman… Tu es vraiment têtue…
C : Oui et tu tiens de moi, donc tu sais que j’irai avec ou sans ton accord.
J : Je sais, je sais… Mais promets-moi que si elle veut rester seule tu la laissera !
C : Oui bien sûr.
Catherine prit alors le chemin emprunté par Sam quelques minutes plus tôt, elle marchait doucement. Elle n’aimait pas voir les gens malheureux et visiblement elle l’était énormément. Comment devait-elle se comporter ? Elle ne put continuer sa réflexion plus loin car Sam essuya ses larmes et se retourna. Catherine s’installa à ses côtés. Après un moment de silence elle regarda le colonel.
C : Je suis désolée.
S : C’est moi, je n’aurais pas du me mettre dans cet état !
C : Pourquoi ? C’est humain vous savez.
S : …
C : Je sais que la perte d’un être cher est difficile.
S : Ce n’est pas la perte de mon père qui me fait mal… enfin si ! Mais j’ai l’impression de me retrouver seule. Je viens de rompre avec mon fiancé alors ce sentiment de vide est plus présent en moi, même si mes amis sont avec moi… Désolée de vous embêter avec ça.
C : Ce n’est rien, si vous devez vous confier à quelqu’un faites-le !
S : Merci.
C : Puis-je vous poser une question ?
S : Allez y !
C : pourquoi vous appelez mon fils «général» alors que vous êtes en vacances ?
S : (gênée) En fait, c’est l’habitude je pense et puis c’est mon supérieur…
C : Je comprends mais pendant mon séjour ici il est hors de question qu’il se fasse appeler général.
S : (souriant) On verra !!!!
C : (lui rendant son sourire) Vous verrez, je suis aussi têtue que lui. Venez ! On va boire notre café, bien mérité !
S : (Se levant et aidant la mère de Jack) Bonne idée.
Puis toutes deux se dirigèrent vers le chalet. Sur le pas de la porte elles découvrirent Jack et son père affalés sur un canapé, tous deux dans la même position, sirotant leur café. Catherine regarda Sam : elle fixait Jack, qui pour une fois était réellement décontracté, du regard, puis elle se retourna, rougit d’avoir été prise en flagrant délit et sourit en voyant l’air amusé de Catherine.
C : Et nos cafés, ils sont où ?
J : Maman, Carter ! Installez-vous je vais les chercher ?
C : Jack, cette demoiselle a un prénom alors utilise-le !
J : Maman, arrête (devant le sourire de Sam) Qu’est ce qu’il y a ?
S : Rien mon général… (Essayant de ne pas rire) rien du tout.
J : (faussement gamin) Tu vois, elle aussi elle m’appelle par mon grade !!
C : C’est toi le supérieur non ?
J : D’accord… Je vais chercher les cafés.
Mais alors qu’il s’apprêtait à aller chercher les cafés il entendit un hurlement, tous les 4 se retournèrent vers l’escalier, alors un pleur d’enfant se fit entendre.
J : Sam ? Vous pariez combien que c’est Daniel qui a eu peur de ma sœur ?
S : Je ne parie pas mon gén… (Voyant son air autoritaire) Jack, (souriant) il n’y a que Daniel pour avoir peur d’une femme.
Daniel dévala en trombe les marches pour se retrouver devant quatre personnes.
J : Félicitation Daniel ! Vous avez réveillé la petite.
D : Bah c’est pas de ma faute une femme que je ne connais pas était dans la salle de bain en train de… Oh mon dieu…
J : (Criant) Quoi ?
S : (entendant toujours Lili) Je vais monter voir la petite. Bonjour Daniel !
D : Bonjour Sam ! Comment allez-vous ?
S : (Montant les marches) Bien et vous ?
D : (Regardant les yeux foudroyant de Jack) Heu… Jusqu'à maintenant… bien. (Se retournant vers les deux autres personnes). Bonjour, je suis Daniel Jackson !
C : Catherine O’Neill, la mère de Jonathan.
E : Edward O’Neill, le père de Jack.
J : Grrrr… Maman arrête de m’appeler comme ça.
D : (souriant) Bah moi j’aime bien, je peux vous appeler comme ça ?
J : Daniel si vous ne voulez pas vous ennuyer à la base je vous conseille de vous abstenir, est-ce suffisamment clair pour votre petit cerveau ?
D : (faussement vexé) Bien, très bien. Enchanté de vous rencontrer. Et qui était dans la salle de bain ?
J : (pointant le doigt dans la direction de l’archéologue) Ma sœur, et vous n’avez pas intérêt à la toucher.
Sam arriva dans le couloir et croisa Teal’c. Il lui dit bonjour avec un haussement de sourcil, elle lui fit un sourire et lui répondit par un hochement de tête, il n’en fallu pas plus à Teal’c pour se rassurer. Elle rentra ensuite doucement dans la chambre et découvrit la petite fille en larmes. Elle s’avança délicatement et afin de la rassurer s’assit sur le lit, elle lui fit un sourire.
S : Bonjour, jeune fille !
L : Bonzour, elle est où ma moman ?
S : Elle est dans la salle de bain, elle prend une douche, je m’appelle Sam et toi ?
L : Moi c’est Lili.
S : C’est un très joli prénom que tu as, et tu as quel âge ?
L : Z’ai 5 ans ½.
S : (Amusée) Ouah ! Tu es une grande fille dis moi !
L : Dis t’es l’amoureuze de mon tonton Jack.
S : (Amusée mais rougissant) Non je suis son amie, et je travaille aussi pour lui.
Cin : (entrant dans la chambre) Coucou ma chérie, comment vas-tu ?
L : (Sautant dans ces bras) Moman !
Cin : (Embrassant sa fille) Il y a un homme qui est rentré dans la salle de bain, et je crois qu’il a été choqué de me voir en serviette.
S : (riant) C’est Daniel, un ami, et oui il a été surpris. Vous verrez il est très gentil.
Cin : Merci du renseignement et aussi pour Lili.
S : De rien, c’est un véritable plaisir.
L : Il est où tonton Jack ?
Cin : Il est en bas avec papi et mamie. Tu veux aller les rejoindre ?
L : Oui, z’il te plait ! Zam tu viens avec moi, dis ?
S : Je te suis.
A suivre
Dernière édition par le Jeu 14 Déc - 18:04, édité 1 fois
Ptitelili- Lecteur de Voici
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2ème partie
La petite fille prit alors la main de Sam et se dirigea d’un pas pressé vers le salon pour retrouver son oncle. Sam souriait comme jamais, elle adorait les enfants et aurait souhaité en avoir avant que son père ne meurt. Une fois arrivée en bas, Lili se mit à courir pour se réfugier dans les bras de Jack et lui faire un câlin.
J : Bonjour la plus belle ! Tu as bien dormi ?
L : oui, Tonton, très bien. Et même que Zam elle est très gentille.
J : Ah bon ! (Souriant à son colonel) Oui je le sais, je vais te présenter d’autres amis à moi : Teal’c et Daniel Jackson.
L : (se blottissant contre Jack) Bonzour !
J : Daniel, Teal’c, je vous présente Lili et sa mère Cindy.
Cin : enchantée de faire votre connaissance.
D : (Rougissant) Moi de même et désolé pour l’épisode de tout à l’heure. (Se retournant vers Lili) Salut mademoiselle…
T : enchanté également Cindy et Lili.
Cin : Daniel Jackson l’archéologue/anthropologue ?
D : Oui, c’est ça…
Cin : Vous avez une théorie sur les pyramides…
J : Vous voyez Daniel, à force de dire des bêtises… Cindy ne croit pas à ces idioties.
Cin : bien sûr que si, il faudrait être fou pour croire que nous sommes seuls dans l’univers, je fais partie d’une association UFO qui y croit.
D : Merci, mais avec le recul…
C : Je suis d’accord avec ma fille, que pensez-vous de cette théorie Sam ?
S : heu… bien… Je suis scientifique donc si je ne vois pas, je ne crois pas.
E : Je suis d’accord avec elle, nous n’en avons jamais vu…
J : Oui bon bah… Qui veut prendre son petit déjeuner dehors ? Il fait beau, profitons-en ?
D/T/S : Excellente idée.
D : D’ailleurs, il n’y a que quand vous avez ces idées là que vous êtes intéressant Jack.
Sam sourit en voyant la tête de son général faussement outré. Puis tous se dirigèrent vers l’extérieur pendant que le Colonel partit à la cuisine afin de mettre la table, Jack déposa Lili à terre et la suivit. Elle commençait à s’affairer dans la cuisine lorsqu’elle entendit son pas.
S : Mon général !
J : Je crois que ma mère ne supportera pas longtemps les «mon général».
S : (Souriant) Désolée, une habitude difficile à perdre.
J : (Gêné) Je voulais m’excuser…
S : (Le coupant) Pourquoi ?
J : Pour ma mère ce matin…
S : Vous n’y êtes pour rien. (Sentant les larmes) Je suis un peu perdue c’est tout.
J : Vous pouvez appeler Pete si vous voulez.
S : Pourquoi ?
J : Avoir son fiancé près de soit peut faire du bien.
S : (Le regardant dans les yeux) Pete et moi c’est fini, j’ai préféré mettre un terme à cette mascarade.
J : (Surpris) Mascarade ???
S : Je voulais une vie normale, mais ce n’est pas possible, à chaque fois que quelque chose de bien m’arrive, on me le reprend aussitôt. Je ne pouvais pas mêler Pete à ça, à ma vie. (Pleurant) Je suis désolée.
J : Ce n’est rien. Venez ici.
Sam s’avança et se blottit dans les bras de Jack, en cet instant où un écart était permis. Ils restèrent comme ça pendant ce qui semblait être une éternité.
Le reste de l’équipe et la famille du général étaient dehors, la petite Lili jouait avec son ballon alors que les adultes restaient debout, dans l’attente des deux militaires. Ne les voyant pas arriver, Teal’c voulut aller proposer son aide, mais arrivé devant la porte-fenêtre il s’arrêta net en les voyant enlacés. Ne se trompant nullement sur cette image, il fit demi tour.
D : Bah alors, qu’est-ce qu’ils fabriquent ?
T : Ils arrivent, ils sont occupés pour le moment !
D : (heureux) Ne me dites pas… Que… Enfin !!!!!!
T : Ne vous réjouissez pas trop vite Daniel Jackson, je crois que le colonel Carter, n’est pas très bien.
D : (Triste pour son amie) Oh, il fallait bien qu’elle pleure, de toute façon.
Cin : Il lui est arrivé quelque chose ?
C : Son père est décédé il y a quelques jours.
E : Comment tu le sais ?
C : Jonathan me l’a dis après avoir fait une gaffe.
E : (faussement fâché) Ah d’accord, je vois que ton fils préfère parler à sa mère.
C : (souriant) Arrête !
E : Allez vient t’asseoir près de moi.
Cin : vous pouvez arrêter tous les deux, c’est désopilant de vous voir toujours côte à côte.
C/E : On te souhaite de le connaître un jour ma chérie.
D : Et votre mari il est où ?
Cin : Nous sommes en plein divorce.
D : Désolé !
Cin : Pas moi, sincèrement, je n’ai que trop attendu.
La discussion continuait, ils apprenaient à se connaître et s’entendaient plutôt bien. Daniel pensait à la détresse de son amie, mais savait que Jack serait là pour la soutenir, ce sujet de conversation revenant souvent entre Daniel et Teal’c.
Une fois les pleurs terminés, Carter se détacha lentement d’O’Neill, mais en gardant un contact avec lui.
S : Merci !
J : De rien. Je vous l’ai dit, je serais toujours là pour vous.
S : Je le serai également pour vous.
J : Je sais.
Ils murmuraient, Sam se mit sur la pointe des pieds et embrassa Jack sur les lèvres, doucement, dans un effleurement timide, puis se rendant compte de ce qu’elle avait fait s’écarta de lui gênée et se mit à chercher le plateau et les tasses pour sortir de la pièce le plus vite possible. Le général, un peu étonné mais ravi, eut du mal à revenir sur terre. Puis alors qu’elle allait prendre plateau rempli, il se rapprocha de manière à la toucher le minimum et lui murmura dans l’oreille de façon très douce.
J : Il va falloir que nous parlions sérieusement Sam.
Puis il lui fit un baiser dans le cou. Il la sentit frissonner à ce contact et n’en fut que plus heureux, il n’allait pas la perdre une fois encore. Puis d’un pas décidé et le sourire aux lèvres, il prit la cafetière chaude et se dirigea vers la porte vitrée qu’il ouvrit, lui fit signe de passer devant, ce qu’elle fit. Arrivé dans le jardin, Jack avait effacé son sourire pour prendre un air moins niais. Malgré tout, le regard de sa mère en disait long, elle savait. Quand il était tombé amoureux de Sarah elle l’avait vu tout de suite, et même s’ils avaient divorcé, toutes deux étaient encore en contact. Même avant Sarah, il ne pouvait rien lui cacher, que ce soit pour les bêtises, ce qui se passait à l’école ou les amis et petites amies. Mais elle ne disait rien, il n’aimait pas en parler, elle acceptait.
Une fois installés, tout le monde déjeuna, Lili sur les genoux de son oncle, qui était heureux que sa famille et ses amis s’entendent aussi bien.
Après trois jours, Teal’c et Daniel repartirent pour la base, Teal’c devant aller rejoindre Ichta et Rya’c sur leur planète et Daniel avait une traduction à faire, mais il partit après avoir échangé son numéro de téléphone avec Cindy, ce qui déplut fortement à notre ami le général. Sam avait voulu partir avec eux mais Jack l’ayant suppliée de rester, elle finit par se rendre et accepter de rester au chalet. Daniel voulait faire un sous-entendu, mais après un coup de pied dans les mollets de la part de notre jaffa, il se tut, par peur des représailles.
Catherine, Cindy et Sam étaient inséparables, tout allait pour le mieux, puis la famille de Jack repartit. Catherine fit promettre à son fils de venir avec son colonel la prochaine fois qu’il irait les voir. Malgré le désir de respecter le souhait de sa mère, il ne voulait pas faire une promesse qu’il ne pourrait pas tenir. Mais il lui dit qu’il essaierait ou qu’il le lui en donnerait l’ordre pour qu’elle le suive.
Les deux militaires étaient sur le perron et regardaient les O’Neill partir. Une fois la voiture hors de sa vue, Sam se dirigea vers la porte d’entrée et entra dans la maison. Ils n’étaient plus que tous les deux et soudain, le colonel eut peur de devoir affronter son général.
Quand à Jack, il avait décidé de prendre le taureau par les cornes et de trouver une solution afin qu’il puisse vivre son histoire avec Sam, peu importait le futur, il voulait la connaître plus intimement et partager un bout de chemin avec elle, et si possible vieillir à ses côtés. Il savait que ce ne serait pas facile tous les jours, mais qui a déjà vécu un conte de fée, une histoire sans nuages ?
Quand il entra dans le salon Sam était installée sur le canapé, pensive. Elle était belle ! Il s’approcha doucement et s’assit à ses côtés, toujours avec une délicatesse extrême. Elle ne semblait pas l’avoir entendu.
J : Sam, quelque chose ne va pas ?
S : (Sortant de ses pensées) Quoi ? Heu… Non, tout va bien !
J : (Inquiet) Vous voulez repartir… chez vous ?
S : (Souriant face à l’inquiétude de son supérieur) Non, je passe de très bonnes vacances malgré les circonstances.
J : Vous vous sentez d’attaque pour reprendre lundi ou vous voulez encore du temps ? Si vous voulez, je peux repartir et vous laisser ici.
S : Merci votre proposition est intéressante mais j’ai du travail, il faut que je m’y remette.
Un ange passa. Pourquoi était-ce si difficile pour eux de parler de leurs sentiments, de ce qu’ils voulaient ? Dans un élan de tendresse, Jack se rapprocha de Sam et après l’avoir frôlé, il pencha sa tête vers la sienne, puis toujours dans une lenteur et dans une douceur qu’il ne se connaissait pas, il posa ses lèvres sur celles de Sam. Quand il voulut s’éloigner d’elle il s’aperçu qu’elle le retenait par la nuque. Elle n’avait plus peur, elle le voulait. Alors il passa ses mains dans son dos, et avant même qu’ils ne s’en rendent compte, ils étaient allongés sur le canapé. Sam sous Jack, elle entoura les hanches de son supérieur avec les jambes, elle devait le retenir s’il décidait de partir.
Sans plus attendre, il fit glisser une main sous son tee-shirt et chercha ses seins. Arrivé à destination et afin qu’il puisse lui enlever son tee-shirt, il bascula en oubliant qu’ils étaient sur le canapé.
Réagissant qu’il était en train de déshabiller Sam, il se sentit gêné, Sam était contre lui en train de rire et au lieu de se sentir rassuré, il paniqua. Sam se mit à Califourchon sur lui, elle paraissait à son aise.
S : (Espiègle) Vous êtes trop pressé Mon Général.
J : (gêné) Quoi ?
S : (un sourire tendre) Tu n’as pas mal au dos ?
J : (un peu plus rassuré) Si, un peu.
Sam se pencha sur son supérieur et lui susurra dans l’oreille :
S : Je te propose de finir ce que nous avons commencé dans ta chambre.
Après avoir fini sa phrase elle se leva sans attendre la réponse. Jack fit la même chose et l’embrassa goulûment, sûr que maintenant plus rien ne serait pareil.
Au petit matin, Sam se réveilla dans les bras de son amant, qui dormait à poings fermés. Elle se blottit dans les bras de Jack qui ouvrit les yeux, appréciant le fait que son colonel soit à ses côtés.
S : Bonjour !
J : (Souriant) Bonjour. Bien dormi ?
S : Oui et toi ?
J : Bien. (Heureux) Je commence à avoir faim pas toi ?
S : Si, c’est vrai que mon ventre commence à crier famine !!!!
J : (Se séparant et se levant) Allez viens !!!
S : (prenant le t-shirt que Jack lui donna) Je te suis où tu veux…
Après un Week-end à rattraper le temps perdu, Jack et Sam rentrèrent chez celui-ci pour parler de l’avenir. Jack lui fit part d’une proposition du président des Etats-Unis de diriger le « World Security Center » et Sam décida de donner sa démission afin de le suivre là bas. De plus, Cassandra s’apprêtant à entrer à l’université de Washington, elle aurait l’occasion de rester près d’elle.
Leur avenir était maintenant commun.
Fin….
J : Bonjour la plus belle ! Tu as bien dormi ?
L : oui, Tonton, très bien. Et même que Zam elle est très gentille.
J : Ah bon ! (Souriant à son colonel) Oui je le sais, je vais te présenter d’autres amis à moi : Teal’c et Daniel Jackson.
L : (se blottissant contre Jack) Bonzour !
J : Daniel, Teal’c, je vous présente Lili et sa mère Cindy.
Cin : enchantée de faire votre connaissance.
D : (Rougissant) Moi de même et désolé pour l’épisode de tout à l’heure. (Se retournant vers Lili) Salut mademoiselle…
T : enchanté également Cindy et Lili.
Cin : Daniel Jackson l’archéologue/anthropologue ?
D : Oui, c’est ça…
Cin : Vous avez une théorie sur les pyramides…
J : Vous voyez Daniel, à force de dire des bêtises… Cindy ne croit pas à ces idioties.
Cin : bien sûr que si, il faudrait être fou pour croire que nous sommes seuls dans l’univers, je fais partie d’une association UFO qui y croit.
D : Merci, mais avec le recul…
C : Je suis d’accord avec ma fille, que pensez-vous de cette théorie Sam ?
S : heu… bien… Je suis scientifique donc si je ne vois pas, je ne crois pas.
E : Je suis d’accord avec elle, nous n’en avons jamais vu…
J : Oui bon bah… Qui veut prendre son petit déjeuner dehors ? Il fait beau, profitons-en ?
D/T/S : Excellente idée.
D : D’ailleurs, il n’y a que quand vous avez ces idées là que vous êtes intéressant Jack.
Sam sourit en voyant la tête de son général faussement outré. Puis tous se dirigèrent vers l’extérieur pendant que le Colonel partit à la cuisine afin de mettre la table, Jack déposa Lili à terre et la suivit. Elle commençait à s’affairer dans la cuisine lorsqu’elle entendit son pas.
S : Mon général !
J : Je crois que ma mère ne supportera pas longtemps les «mon général».
S : (Souriant) Désolée, une habitude difficile à perdre.
J : (Gêné) Je voulais m’excuser…
S : (Le coupant) Pourquoi ?
J : Pour ma mère ce matin…
S : Vous n’y êtes pour rien. (Sentant les larmes) Je suis un peu perdue c’est tout.
J : Vous pouvez appeler Pete si vous voulez.
S : Pourquoi ?
J : Avoir son fiancé près de soit peut faire du bien.
S : (Le regardant dans les yeux) Pete et moi c’est fini, j’ai préféré mettre un terme à cette mascarade.
J : (Surpris) Mascarade ???
S : Je voulais une vie normale, mais ce n’est pas possible, à chaque fois que quelque chose de bien m’arrive, on me le reprend aussitôt. Je ne pouvais pas mêler Pete à ça, à ma vie. (Pleurant) Je suis désolée.
J : Ce n’est rien. Venez ici.
Sam s’avança et se blottit dans les bras de Jack, en cet instant où un écart était permis. Ils restèrent comme ça pendant ce qui semblait être une éternité.
Le reste de l’équipe et la famille du général étaient dehors, la petite Lili jouait avec son ballon alors que les adultes restaient debout, dans l’attente des deux militaires. Ne les voyant pas arriver, Teal’c voulut aller proposer son aide, mais arrivé devant la porte-fenêtre il s’arrêta net en les voyant enlacés. Ne se trompant nullement sur cette image, il fit demi tour.
D : Bah alors, qu’est-ce qu’ils fabriquent ?
T : Ils arrivent, ils sont occupés pour le moment !
D : (heureux) Ne me dites pas… Que… Enfin !!!!!!
T : Ne vous réjouissez pas trop vite Daniel Jackson, je crois que le colonel Carter, n’est pas très bien.
D : (Triste pour son amie) Oh, il fallait bien qu’elle pleure, de toute façon.
Cin : Il lui est arrivé quelque chose ?
C : Son père est décédé il y a quelques jours.
E : Comment tu le sais ?
C : Jonathan me l’a dis après avoir fait une gaffe.
E : (faussement fâché) Ah d’accord, je vois que ton fils préfère parler à sa mère.
C : (souriant) Arrête !
E : Allez vient t’asseoir près de moi.
Cin : vous pouvez arrêter tous les deux, c’est désopilant de vous voir toujours côte à côte.
C/E : On te souhaite de le connaître un jour ma chérie.
D : Et votre mari il est où ?
Cin : Nous sommes en plein divorce.
D : Désolé !
Cin : Pas moi, sincèrement, je n’ai que trop attendu.
La discussion continuait, ils apprenaient à se connaître et s’entendaient plutôt bien. Daniel pensait à la détresse de son amie, mais savait que Jack serait là pour la soutenir, ce sujet de conversation revenant souvent entre Daniel et Teal’c.
Une fois les pleurs terminés, Carter se détacha lentement d’O’Neill, mais en gardant un contact avec lui.
S : Merci !
J : De rien. Je vous l’ai dit, je serais toujours là pour vous.
S : Je le serai également pour vous.
J : Je sais.
Ils murmuraient, Sam se mit sur la pointe des pieds et embrassa Jack sur les lèvres, doucement, dans un effleurement timide, puis se rendant compte de ce qu’elle avait fait s’écarta de lui gênée et se mit à chercher le plateau et les tasses pour sortir de la pièce le plus vite possible. Le général, un peu étonné mais ravi, eut du mal à revenir sur terre. Puis alors qu’elle allait prendre plateau rempli, il se rapprocha de manière à la toucher le minimum et lui murmura dans l’oreille de façon très douce.
J : Il va falloir que nous parlions sérieusement Sam.
Puis il lui fit un baiser dans le cou. Il la sentit frissonner à ce contact et n’en fut que plus heureux, il n’allait pas la perdre une fois encore. Puis d’un pas décidé et le sourire aux lèvres, il prit la cafetière chaude et se dirigea vers la porte vitrée qu’il ouvrit, lui fit signe de passer devant, ce qu’elle fit. Arrivé dans le jardin, Jack avait effacé son sourire pour prendre un air moins niais. Malgré tout, le regard de sa mère en disait long, elle savait. Quand il était tombé amoureux de Sarah elle l’avait vu tout de suite, et même s’ils avaient divorcé, toutes deux étaient encore en contact. Même avant Sarah, il ne pouvait rien lui cacher, que ce soit pour les bêtises, ce qui se passait à l’école ou les amis et petites amies. Mais elle ne disait rien, il n’aimait pas en parler, elle acceptait.
Une fois installés, tout le monde déjeuna, Lili sur les genoux de son oncle, qui était heureux que sa famille et ses amis s’entendent aussi bien.
Après trois jours, Teal’c et Daniel repartirent pour la base, Teal’c devant aller rejoindre Ichta et Rya’c sur leur planète et Daniel avait une traduction à faire, mais il partit après avoir échangé son numéro de téléphone avec Cindy, ce qui déplut fortement à notre ami le général. Sam avait voulu partir avec eux mais Jack l’ayant suppliée de rester, elle finit par se rendre et accepter de rester au chalet. Daniel voulait faire un sous-entendu, mais après un coup de pied dans les mollets de la part de notre jaffa, il se tut, par peur des représailles.
Catherine, Cindy et Sam étaient inséparables, tout allait pour le mieux, puis la famille de Jack repartit. Catherine fit promettre à son fils de venir avec son colonel la prochaine fois qu’il irait les voir. Malgré le désir de respecter le souhait de sa mère, il ne voulait pas faire une promesse qu’il ne pourrait pas tenir. Mais il lui dit qu’il essaierait ou qu’il le lui en donnerait l’ordre pour qu’elle le suive.
Les deux militaires étaient sur le perron et regardaient les O’Neill partir. Une fois la voiture hors de sa vue, Sam se dirigea vers la porte d’entrée et entra dans la maison. Ils n’étaient plus que tous les deux et soudain, le colonel eut peur de devoir affronter son général.
Quand à Jack, il avait décidé de prendre le taureau par les cornes et de trouver une solution afin qu’il puisse vivre son histoire avec Sam, peu importait le futur, il voulait la connaître plus intimement et partager un bout de chemin avec elle, et si possible vieillir à ses côtés. Il savait que ce ne serait pas facile tous les jours, mais qui a déjà vécu un conte de fée, une histoire sans nuages ?
Quand il entra dans le salon Sam était installée sur le canapé, pensive. Elle était belle ! Il s’approcha doucement et s’assit à ses côtés, toujours avec une délicatesse extrême. Elle ne semblait pas l’avoir entendu.
J : Sam, quelque chose ne va pas ?
S : (Sortant de ses pensées) Quoi ? Heu… Non, tout va bien !
J : (Inquiet) Vous voulez repartir… chez vous ?
S : (Souriant face à l’inquiétude de son supérieur) Non, je passe de très bonnes vacances malgré les circonstances.
J : Vous vous sentez d’attaque pour reprendre lundi ou vous voulez encore du temps ? Si vous voulez, je peux repartir et vous laisser ici.
S : Merci votre proposition est intéressante mais j’ai du travail, il faut que je m’y remette.
Un ange passa. Pourquoi était-ce si difficile pour eux de parler de leurs sentiments, de ce qu’ils voulaient ? Dans un élan de tendresse, Jack se rapprocha de Sam et après l’avoir frôlé, il pencha sa tête vers la sienne, puis toujours dans une lenteur et dans une douceur qu’il ne se connaissait pas, il posa ses lèvres sur celles de Sam. Quand il voulut s’éloigner d’elle il s’aperçu qu’elle le retenait par la nuque. Elle n’avait plus peur, elle le voulait. Alors il passa ses mains dans son dos, et avant même qu’ils ne s’en rendent compte, ils étaient allongés sur le canapé. Sam sous Jack, elle entoura les hanches de son supérieur avec les jambes, elle devait le retenir s’il décidait de partir.
Sans plus attendre, il fit glisser une main sous son tee-shirt et chercha ses seins. Arrivé à destination et afin qu’il puisse lui enlever son tee-shirt, il bascula en oubliant qu’ils étaient sur le canapé.
Réagissant qu’il était en train de déshabiller Sam, il se sentit gêné, Sam était contre lui en train de rire et au lieu de se sentir rassuré, il paniqua. Sam se mit à Califourchon sur lui, elle paraissait à son aise.
S : (Espiègle) Vous êtes trop pressé Mon Général.
J : (gêné) Quoi ?
S : (un sourire tendre) Tu n’as pas mal au dos ?
J : (un peu plus rassuré) Si, un peu.
Sam se pencha sur son supérieur et lui susurra dans l’oreille :
S : Je te propose de finir ce que nous avons commencé dans ta chambre.
Après avoir fini sa phrase elle se leva sans attendre la réponse. Jack fit la même chose et l’embrassa goulûment, sûr que maintenant plus rien ne serait pareil.
Au petit matin, Sam se réveilla dans les bras de son amant, qui dormait à poings fermés. Elle se blottit dans les bras de Jack qui ouvrit les yeux, appréciant le fait que son colonel soit à ses côtés.
S : Bonjour !
J : (Souriant) Bonjour. Bien dormi ?
S : Oui et toi ?
J : Bien. (Heureux) Je commence à avoir faim pas toi ?
S : Si, c’est vrai que mon ventre commence à crier famine !!!!
J : (Se séparant et se levant) Allez viens !!!
S : (prenant le t-shirt que Jack lui donna) Je te suis où tu veux…
Après un Week-end à rattraper le temps perdu, Jack et Sam rentrèrent chez celui-ci pour parler de l’avenir. Jack lui fit part d’une proposition du président des Etats-Unis de diriger le « World Security Center » et Sam décida de donner sa démission afin de le suivre là bas. De plus, Cassandra s’apprêtant à entrer à l’université de Washington, elle aurait l’occasion de rester près d’elle.
Leur avenir était maintenant commun.
Fin….
Ptitelili- Lecteur de Voici
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Date d'inscription : 06/07/2006
Re: Visite Surprise (6ème fic)
Je viens de lire plusieurs de tes fics alors je me répète un peu .
C'est toujours sympa, ça se lit bien et c'est tout mimi.
Sinon tu ne serais pas fan de Garfield ? Parce que ça fait deux de tes fics que je lis où il est présent
C'est toujours sympa, ça se lit bien et c'est tout mimi.
Sinon tu ne serais pas fan de Garfield ? Parce que ça fait deux de tes fics que je lis où il est présent
Re: Visite Surprise (6ème fic)
NON pourquoi tu dis cela
Ptitelili- Lecteur de Voici
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Date d'inscription : 06/07/2006
Re: Visite Surprise (6ème fic)
Ca faisait un moment que je la connaissais cette fic et je l'ai relu avec beaucoup de plaisir.
Tu as un style très agréable à lire.
Tu as un style très agréable à lire.
- Spoiler:
- Et la version NC17 tu comptes la mettre sur le forum aussi (dans la section NC 17 bien sûr )
Fan21- Lecteur de Harlequin
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Localisation : la plupart du temps au boulot ...
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Re: Visite Surprise (6ème fic)
- Spoiler:
Et la version NC17 tu comptes la mettre sur le forum aussi (dans la section NC 17 bien sûr
LOL oui mais je sais pas comment je dois faire... Je dois demander à qui pour l'accès NC 17 ???
Ptitelili- Lecteur de Voici
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Re: Visite Surprise (6ème fic)
je l'avais deja lu et c'est un plaisir de la relire
Tu as un style tres facile à lire
Pour avoir un accés NC 17 il faut envyer un Mp à siress ou au modo
Tu as un style tres facile à lire
Pour avoir un accés NC 17 il faut envyer un Mp à siress ou au modo
Trukounette- Lecteur du Larousse
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Localisation : Rêve d'accent anglais !!
Loisirs : House, Hugh laurie, Alan rickman Colin Firth <3... sisi ce sont des loisirs ^^
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Re: Visite Surprise (6ème fic)
Ptitelili a écrit:Et la version NC17 tu comptes la mettre sur le forum aussi (dans la section NC 17 bien sûr
LOL oui mais je sais pas comment je dois faire... Je dois demander à qui pour l'accès NC 17 ???
si tu avais lu les règles tu le saurais.
Re: Visite Surprise (6ème fic)
Bon je redis encore lol que j'adore et que tu as un style très agréable.
N'Ka'K- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 185
Age : 46
Localisation : Among the stars with.....
Loisirs : Stargate, lire, TV, film, équitation, vélo etc...
Date d'inscription : 31/07/2006
Re: Visite Surprise (6ème fic)
Ta fic est très sympa, agréable à lire et à relire
Bonne continuation
Bonne continuation
mkikine- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 10
Age : 53
Loisirs : Informatique, NCIS, STARGATE
Date d'inscription : 02/12/2006
Re: Visite Surprise (6ème fic)
tu as un style très facile à lire et donc c'est un plaisir
J'ai beaucoup aimé, je vais m'empresser d'aller lire les autres fics que tu as posté
J'ai beaucoup aimé, je vais m'empresser d'aller lire les autres fics que tu as posté
yunae- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 119
Age : 34
Loisirs : ship toujours
Date d'inscription : 04/10/2006
Re: Visite Surprise (6ème fic)
j'ai bien aimé
nanou01- Lecteur de Voici
- Nombre de messages : 82
Age : 37
Date d'inscription : 19/02/2007
Re: Visite Surprise (6ème fic)
Je sais que tout le monde te l'a déjà dit mais cette fic est très sympa,
- Spoiler:
- faisant découvrir un O'Neill différent, grand frère protecteur...
- Spoiler:
- c'est un estomac sur pattes!!!!
Florie- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 23
Age : 34
Date d'inscription : 08/03/2007
Re: Visite Surprise (6ème fic)
C'est pas la première fois que je lit cette histoire et je la trouve toujours aussi bien..... J'ADORE
elsa- Lecteur de Prospectus
- Nombre de messages : 7
Age : 37
Localisation : Dans mes rêves
Loisirs : Séries tv, cinéma, musique
Date d'inscription : 06/11/2011
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