La Falaise
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La Falaise
Auteur: gjc597
Genre: Pensées.
Saison: Aucune importance.
Disclaimer: Les personnages sont la propriété de la MGM et de Sony…
Commentaires: Histoire très courte, encore une fois, juste pour "vider mon sac"…
Voilà, Maître, c'est fait
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Une brise légère caressait mon visage et séchait mes larmes. Je m'éloignais à pas lents du village où la folie des hommes venait de frapper.
L'horreur m'avait sauté aux yeux, imprévisible, révoltante. Et pourtant, on s'attendait au pire… Le silence qui régnait dans le village, les habitations désertées, l'odeur âcre de la mort, qui nous parvenait par vagues au gré du vent, auraient dû nous préparer… Mais était-il possible d'imaginer cela?
J'avançais seule, j'avais quitté les autres, je voulais fuir ce lieu sinistré. En découvrant ce désastre humain, nous nous étions regardés, effarés, choqués et nul n'avait trouvé quoi dire. Chacun d'entre nous avait déjà vu des massacres, mais celui là était particulièrement odieux. Alors, sans nous concerter, d'un accord tacite, nous nous sommes séparés. Partant chacun de notre côté pour tenter d'éponger le spectacle qui s'était offert à nous. Nous aurions pu regagner la Porte et quitter cet enfer sans plus attendre, mais nous ressentions un besoin impérieux de "laver" nos esprits avant de rejoindre la Base.
Parvenue à la limite du village, je m'étais retournée. Seul Teal'c était encore sur la grande place, assis en tailleur, le visage fermé, au milieu des corps sans vie. Daniel s'était éloigné un peu et s'était adossé à une maison délabrée. J'imaginais qu'il cherchait à comprendre ce massacre. Je pensais aux innombrables questions qui devaient tourner et se mélanger dans sa tête espérant, en vain, une réponse qui, de toute façon, ne le satisferait pas. Comment pourrait-on justifier une telle abomination?
Après un dernier regard aux alentours, je repris ma route sans avoir vu le Colonel. J'ignorais même dans quelle direction il était parti. La sonde avait indiqué une étendue d'eau un peu plus à l'Ouest. C'est donc naturellement que mes pas me guidèrent vers cet endroit.
Quelques minutes plus tard, j'arrivais au pied d'une falaise escarpée, balafrée en son milieu par un sentier en terre. J'entrepris donc de l'emprunter pour prendre un peu de hauteur et m'éloigner davantage des horreurs qui me glaçaient encore le sang. Arrivée à l'extrémité du chemin, je m'arrêtais, fascinée malgré moi par la beauté du paysage. A ma droite, de grandes plages de sable blanc s'étendaient à perte de vue, juste entrecoupées de falaises noires et abruptes. Face à moi, la surface à peine troublée de la mer reflétait les rayons du soleil, donnant une impression de douceur. Tout était si calme, si silencieux, si paisible. Pas un oiseau dans le ciel, pas la moindre trace de vie aux environs. Comme dans le village… J'entendis soudain le déferlement des vagues qui s'écrasaient en contre bas, comme un écho à la tristesse qui m'étreignait. Décidemment, cette planète réservait bien des surprises: la grande bleue devant moi ressemblait pourtant à une mer d'huile! Mon esprit scientifique se réveilla et chassa mes pensées morbides, je décidais de m'approcher du bord de la falaise pour vérifier de visu ce que mes oreilles avaient entendu. Malheureusement, les formes érodées de la falaise ne permettaient pas de satisfaire ma curiosité. Prise d'une soudaine impulsion, j'ai commencé à descendre dans les rochers. Je voulais m'approcher du grondement sourd de la mer, voir l'écume lécher la falaise après la déferlantes des vagues. Je voulais sentir la puissance des éléments pour étouffer mon impuissance face à ce qui c'était produit au village.
Je descendais prudemment. Les parois, rendues glissantes par une mousse verdâtre, offraient malgré tout, quelques crevasses où je pouvais prendre appui. J'assurais tant bien que mal mes prises, poursuivant ma route, en dépit des écorchures qui couvraient mes mains. Je songeais un instant à ce qui se passerait si je venais à tomber. Les gars auraient beaucoup de mal à me retrouver, d'ailleurs, nul ne savait où j'étais. Me concentrant davantage, je repris ma progression. Certes, je voulais parvenir en bas, mais sur mes deux pieds, pas la tête la première!
Quelques mètres plus tard, je dus stopper. Les rochers devenaient impraticables. Pas le moins découragée, je jetais un œil autour de moi à la recherche d'une nouvelle voie à emprunter. Une espèce de couloir creusé dans la roche me parut la solution idéale. Déplaçant le poids de mon corps sur la gauche, je parvins à m'agripper à une excroissance rocheuse et à reprendre ma descente. Je n'avais plus que cette idée en tête: voir les vagues mourir sur la falaise, sentir les embruns et oublier la démence de l'homme. Les bourrasques de vent qui s'engouffraient dans le couloir étroit m'obligeaient à fermer les yeux par intermittence, rendant encore plus délicate mon avancée et mettaient mes cheveux sans dessus dessous, parfait reflet de mon état d'esprit.
Je fus soulagée de sentir enfin la terre ferme sous mes pieds et je me retournais, anticipant mentalement la vue qui allait s'offrir à moi, le spectacle de la mer qui s'était déchaînée pendant ma descente…
Quelque chose ne collait pas. J'aurais dû être seule, à profiter du paysage. Au lieu de cela, je découvris un homme, le visage tourné vers la mer, assis nonchalamment, un coude en appui sur son genou, l'autre jambe étendue sur le sol. J'aurais pu reconnaître cette silhouette entre mille. Ce dos large et puissant, cette nuque halée qui accentuait le contraste avec les cheveux grisonnants… Bon d'accord, le treillis et le P-90 posé près de lui étaient des indices précieux mais je n'avais pas besoin de ça pour savoir que c'était lui!
J'étais venue jusqu'ici pour être tranquille et je devinais que lui aussi. Malgré ma déception de ne pas être seule, je ne pus m'empêcher de sourire devant cette rencontre fortuite. Il avait fallu qu'il soit là. A croire que c'était un signe… Oubliant cette dernière pensée pour le moins farfelue, je le rejoignis. Etrangement, je sentais qu'il n'en prendrait pas ombrage.
Le bruit assourdissant des vagues avait dissimulé mon arrivée, il ne m'avait pas entendu. J'étais à un mètre de lui lorsqu'il tourna lentement son visage vers moi. S'il était surpris par ma présence, il ne le montra pas. Il se contenta de m'adresser un mince sourire et de m'indiquer, d'un signe de la tête une place à côté de lui. Alors, sans le quitter des yeux, j'ai fait les quelques pas qui nous séparaient et je me suis assise.
Sans même y penser, j'ai posé ma tête sur son épaule et tout aussi naturellement, il a alors glissé son bras autour de mon cou, me rapprochant de lui, me laissant profiter de la chaleur de son étreinte anodine mais au combien précieuse. Blottie contre lui et bercée par le bruit des vagues, j'ai laissé vagabonder mes pensées jusqu'à en oublier où j'étais. Par sa seule présence, il parvenait à atténuer la douleur qui m'enserrait. Je souris de nouveau en réalisant que son image s'était imposée à mon esprit, recouvrant les visions effroyables que je cherchais à effacer. Ainsi apaisée, je pris enfin conscience de sa main qui caressait mon bras au rythme, maintenant plus lent, des vagues qui s'écrasaient sur les rochers.
Nous sommes restés là, silencieux, seuls mais à deux, attendant le moment où la progression de la mer nous contraindrait à rebrousser chemin.
Bientôt, les vagues claquèrent à nos pieds, projetant sur nos visages des gouttelettes salées. Alors doucement, il a ôté son bras et s'est redressé, donnant le signal du départ. J'ai croisé son regard sombre et lu sur ses lèvres fines, plus que je n'ai entendu, le "Merci" qu'il a murmuré. Lui faisant écho, je soufflais à mon tour un "Merci à vous" qu'il accueillit avec un léger sourire. J'ai saisi la main qu'il me tendait et nous sommes repartis.
L'escalade de la falaise me parut bien plus aisée qu'à l'aller. Peut-être parce que voir le reflux des vagues m'avait apaisée. Ou peut-être parce qu'il était avec moi, tout simplement.
Nous avons regagné la Porte des Etoiles où nous attendaient déjà Daniel et Teal'c et nous sommes rentrés à la base en silence, enfin prêts à retranscrire l'horreur que nous avons vue lors du prochain briefing.
Cette mission est restée gravée dans nos mémoires, nous marquant pour le restant de nos jours.
Jamais nous n'avons oublié cette funeste découverte sur la planète désertée.
Et jamais, je n'oublierai la douceur du moment que j'ai partagé avec lui.
FIN
Genre: Pensées.
Saison: Aucune importance.
Disclaimer: Les personnages sont la propriété de la MGM et de Sony…
Commentaires: Histoire très courte, encore une fois, juste pour "vider mon sac"…
Voilà, Maître, c'est fait
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Une brise légère caressait mon visage et séchait mes larmes. Je m'éloignais à pas lents du village où la folie des hommes venait de frapper.
L'horreur m'avait sauté aux yeux, imprévisible, révoltante. Et pourtant, on s'attendait au pire… Le silence qui régnait dans le village, les habitations désertées, l'odeur âcre de la mort, qui nous parvenait par vagues au gré du vent, auraient dû nous préparer… Mais était-il possible d'imaginer cela?
J'avançais seule, j'avais quitté les autres, je voulais fuir ce lieu sinistré. En découvrant ce désastre humain, nous nous étions regardés, effarés, choqués et nul n'avait trouvé quoi dire. Chacun d'entre nous avait déjà vu des massacres, mais celui là était particulièrement odieux. Alors, sans nous concerter, d'un accord tacite, nous nous sommes séparés. Partant chacun de notre côté pour tenter d'éponger le spectacle qui s'était offert à nous. Nous aurions pu regagner la Porte et quitter cet enfer sans plus attendre, mais nous ressentions un besoin impérieux de "laver" nos esprits avant de rejoindre la Base.
Parvenue à la limite du village, je m'étais retournée. Seul Teal'c était encore sur la grande place, assis en tailleur, le visage fermé, au milieu des corps sans vie. Daniel s'était éloigné un peu et s'était adossé à une maison délabrée. J'imaginais qu'il cherchait à comprendre ce massacre. Je pensais aux innombrables questions qui devaient tourner et se mélanger dans sa tête espérant, en vain, une réponse qui, de toute façon, ne le satisferait pas. Comment pourrait-on justifier une telle abomination?
Après un dernier regard aux alentours, je repris ma route sans avoir vu le Colonel. J'ignorais même dans quelle direction il était parti. La sonde avait indiqué une étendue d'eau un peu plus à l'Ouest. C'est donc naturellement que mes pas me guidèrent vers cet endroit.
Quelques minutes plus tard, j'arrivais au pied d'une falaise escarpée, balafrée en son milieu par un sentier en terre. J'entrepris donc de l'emprunter pour prendre un peu de hauteur et m'éloigner davantage des horreurs qui me glaçaient encore le sang. Arrivée à l'extrémité du chemin, je m'arrêtais, fascinée malgré moi par la beauté du paysage. A ma droite, de grandes plages de sable blanc s'étendaient à perte de vue, juste entrecoupées de falaises noires et abruptes. Face à moi, la surface à peine troublée de la mer reflétait les rayons du soleil, donnant une impression de douceur. Tout était si calme, si silencieux, si paisible. Pas un oiseau dans le ciel, pas la moindre trace de vie aux environs. Comme dans le village… J'entendis soudain le déferlement des vagues qui s'écrasaient en contre bas, comme un écho à la tristesse qui m'étreignait. Décidemment, cette planète réservait bien des surprises: la grande bleue devant moi ressemblait pourtant à une mer d'huile! Mon esprit scientifique se réveilla et chassa mes pensées morbides, je décidais de m'approcher du bord de la falaise pour vérifier de visu ce que mes oreilles avaient entendu. Malheureusement, les formes érodées de la falaise ne permettaient pas de satisfaire ma curiosité. Prise d'une soudaine impulsion, j'ai commencé à descendre dans les rochers. Je voulais m'approcher du grondement sourd de la mer, voir l'écume lécher la falaise après la déferlantes des vagues. Je voulais sentir la puissance des éléments pour étouffer mon impuissance face à ce qui c'était produit au village.
Je descendais prudemment. Les parois, rendues glissantes par une mousse verdâtre, offraient malgré tout, quelques crevasses où je pouvais prendre appui. J'assurais tant bien que mal mes prises, poursuivant ma route, en dépit des écorchures qui couvraient mes mains. Je songeais un instant à ce qui se passerait si je venais à tomber. Les gars auraient beaucoup de mal à me retrouver, d'ailleurs, nul ne savait où j'étais. Me concentrant davantage, je repris ma progression. Certes, je voulais parvenir en bas, mais sur mes deux pieds, pas la tête la première!
Quelques mètres plus tard, je dus stopper. Les rochers devenaient impraticables. Pas le moins découragée, je jetais un œil autour de moi à la recherche d'une nouvelle voie à emprunter. Une espèce de couloir creusé dans la roche me parut la solution idéale. Déplaçant le poids de mon corps sur la gauche, je parvins à m'agripper à une excroissance rocheuse et à reprendre ma descente. Je n'avais plus que cette idée en tête: voir les vagues mourir sur la falaise, sentir les embruns et oublier la démence de l'homme. Les bourrasques de vent qui s'engouffraient dans le couloir étroit m'obligeaient à fermer les yeux par intermittence, rendant encore plus délicate mon avancée et mettaient mes cheveux sans dessus dessous, parfait reflet de mon état d'esprit.
Je fus soulagée de sentir enfin la terre ferme sous mes pieds et je me retournais, anticipant mentalement la vue qui allait s'offrir à moi, le spectacle de la mer qui s'était déchaînée pendant ma descente…
Quelque chose ne collait pas. J'aurais dû être seule, à profiter du paysage. Au lieu de cela, je découvris un homme, le visage tourné vers la mer, assis nonchalamment, un coude en appui sur son genou, l'autre jambe étendue sur le sol. J'aurais pu reconnaître cette silhouette entre mille. Ce dos large et puissant, cette nuque halée qui accentuait le contraste avec les cheveux grisonnants… Bon d'accord, le treillis et le P-90 posé près de lui étaient des indices précieux mais je n'avais pas besoin de ça pour savoir que c'était lui!
J'étais venue jusqu'ici pour être tranquille et je devinais que lui aussi. Malgré ma déception de ne pas être seule, je ne pus m'empêcher de sourire devant cette rencontre fortuite. Il avait fallu qu'il soit là. A croire que c'était un signe… Oubliant cette dernière pensée pour le moins farfelue, je le rejoignis. Etrangement, je sentais qu'il n'en prendrait pas ombrage.
Le bruit assourdissant des vagues avait dissimulé mon arrivée, il ne m'avait pas entendu. J'étais à un mètre de lui lorsqu'il tourna lentement son visage vers moi. S'il était surpris par ma présence, il ne le montra pas. Il se contenta de m'adresser un mince sourire et de m'indiquer, d'un signe de la tête une place à côté de lui. Alors, sans le quitter des yeux, j'ai fait les quelques pas qui nous séparaient et je me suis assise.
Sans même y penser, j'ai posé ma tête sur son épaule et tout aussi naturellement, il a alors glissé son bras autour de mon cou, me rapprochant de lui, me laissant profiter de la chaleur de son étreinte anodine mais au combien précieuse. Blottie contre lui et bercée par le bruit des vagues, j'ai laissé vagabonder mes pensées jusqu'à en oublier où j'étais. Par sa seule présence, il parvenait à atténuer la douleur qui m'enserrait. Je souris de nouveau en réalisant que son image s'était imposée à mon esprit, recouvrant les visions effroyables que je cherchais à effacer. Ainsi apaisée, je pris enfin conscience de sa main qui caressait mon bras au rythme, maintenant plus lent, des vagues qui s'écrasaient sur les rochers.
Nous sommes restés là, silencieux, seuls mais à deux, attendant le moment où la progression de la mer nous contraindrait à rebrousser chemin.
Bientôt, les vagues claquèrent à nos pieds, projetant sur nos visages des gouttelettes salées. Alors doucement, il a ôté son bras et s'est redressé, donnant le signal du départ. J'ai croisé son regard sombre et lu sur ses lèvres fines, plus que je n'ai entendu, le "Merci" qu'il a murmuré. Lui faisant écho, je soufflais à mon tour un "Merci à vous" qu'il accueillit avec un léger sourire. J'ai saisi la main qu'il me tendait et nous sommes repartis.
L'escalade de la falaise me parut bien plus aisée qu'à l'aller. Peut-être parce que voir le reflux des vagues m'avait apaisée. Ou peut-être parce qu'il était avec moi, tout simplement.
Nous avons regagné la Porte des Etoiles où nous attendaient déjà Daniel et Teal'c et nous sommes rentrés à la base en silence, enfin prêts à retranscrire l'horreur que nous avons vue lors du prochain briefing.
Cette mission est restée gravée dans nos mémoires, nous marquant pour le restant de nos jours.
Jamais nous n'avons oublié cette funeste découverte sur la planète désertée.
Et jamais, je n'oublierai la douceur du moment que j'ai partagé avec lui.
FIN
Re: La Falaise
Superbe vision des personnages. Superbes descriptions. Superbe de simplicité. Superbement bien écrite.
Superbe. Et simplicissime, ce qui rend cette fic magnifique.
Merci de l'avoir écrite, et merci de l'avoir mise sur le site
Helios (qui ne se lasse pas de la relire)
Superbe. Et simplicissime, ce qui rend cette fic magnifique.
Merci de l'avoir écrite, et merci de l'avoir mise sur le site
Helios (qui ne se lasse pas de la relire)
Re: La Falaise
bravo, tout a été dit par Helios
Mei- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 220
Age : 39
Date d'inscription : 15/02/2006
Re: La Falaise
Ahhhhh!! il a fallu que je m'absente ce week end pour que tu la postes enfin!!!!
Cette fic est un petit bijou! L'une des meilleurs que j'ai lu! Elle m'a profondément touchée, vraiment, et je ne me lasse pas de la lire! J'aime le contraste entre l'horreur de la situation et la douceur de leurs sentiments.
Je finirais sur ces mots, que tu sais que j'adore:
Cette fic est un petit bijou! L'une des meilleurs que j'ai lu! Elle m'a profondément touchée, vraiment, et je ne me lasse pas de la lire! J'aime le contraste entre l'horreur de la situation et la douceur de leurs sentiments.
Je finirais sur ces mots, que tu sais que j'adore:
- Spoiler:
- "Jamais nous n'avons oublié cette funeste découverte sur la planète désertée.
Et jamais, je n'oublierai la douceur du moment que j'ai partagé avec lui."
Re: La Falaise
Hito a écrit:Ahhhhh!! il a fallu que je m'absente ce week end pour que tu la postes enfin!!!!
Ben vi, quand le chat n'est pas là ...
Merci, ça me touche vraiment
Re: La Falaise
ah ! cette fic elle est vraiment genial un vrai plaisir de la relire encore et encore lol
bravo à toi miss et j'espère que tu nous en sortira d'autre des comme ça
bravo à toi miss et j'espère que tu nous en sortira d'autre des comme ça
Quéléa- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 188
Age : 39
Date d'inscription : 17/11/2005
Re: La Falaise
Merci Kéké
Pour une autre fic ... on verra mais y a rien dans les tuyaux pour l'instant.
Pour une autre fic ... on verra mais y a rien dans les tuyaux pour l'instant.
Re: La Falaise
Superbe.
- Spoiler:
- Cet objectif incomprehensible que l'on peut ressentir après des momments térrible de la vie.
Voir l'écume des vagues pour Sam et Jack.
Dernière édition par le Sam 13 Oct - 15:49, édité 2 fois
Re: La Falaise
Tou a déjà été dit, mais j'ai adoré cette fic. Je trouve que ça représente bien les persos.
sam_star- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 214
Age : 36
Localisation : entre ici et ailleurs...
Loisirs : PC, lecture et Stargate SG-1 et Atlantis
Date d'inscription : 02/04/2006
Re: La Falaise
Je n'ais qu'un mot pour la définir : MAGNIFIQUE !
Bravo c'est impréssionant... continue
Bises
Bravo c'est impréssionant... continue
Bises
Jon- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 137
Age : 37
Localisation : Chez doudou
Loisirs : Musique, ciné...
Date d'inscription : 07/03/2006
Re: La Falaise
Mon avis ne diverge pas de celui des autres : Magnifique!!!
Le genre de scène que je rêverais de voir dans Stargate...
Tout en douceur et pleine de tendresse...
Bref, du grand art
Le genre de scène que je rêverais de voir dans Stargate...
Tout en douceur et pleine de tendresse...
Bref, du grand art
mondaye- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 508
Localisation : Ici!
Date d'inscription : 24/03/2006
Re: La Falaise
c comme une histoire qu'un enfant aime entendre a l'infini tous les soirs avant de se coucher, et bien ton fic est dans ce registre la sauf que l'enfant c moi ..
on appelle ça un "classique" non ? a lire et relire sans faim ni fin (ca se dit ? )
on appelle ça un "classique" non ? a lire et relire sans faim ni fin (ca se dit ? )
Tya- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1065
Age : 41
Localisation : La cité des Papes
Date d'inscription : 28/03/2006
Re: La Falaise
coucou,
ta fic est vraiment superbe... poignante...
j'ai adoré... j'espère que tu en feras vite une autre
merci de nous faire partager ton talent
ta fic est vraiment superbe... poignante...
j'ai adoré... j'espère que tu en feras vite une autre
merci de nous faire partager ton talent
malice- Lecteur du Larousse
- Nombre de messages : 1080
Age : 46
Localisation : ile de la réunion...ahhh
Date d'inscription : 05/04/2006
Re: La Falaise
Je vois que je ne suis aps la seule à avoir adorer cette fic...
J'ai vraiment beaucoup aimé, le fait que le début et morbide, puis l'instant magnifique entre nos deux persos...
Et puis aussi le fait qu'il n'y ait pas de dialogues renforce plus les sentiments qu'éprouve Sam...
Non, vraiment SUPERBE !!!
Encore une à classer parmis les meilleures...
Quand je disais que j'adorais tes fics...
J'ai vraiment beaucoup aimé, le fait que le début et morbide, puis l'instant magnifique entre nos deux persos...
Et puis aussi le fait qu'il n'y ait pas de dialogues renforce plus les sentiments qu'éprouve Sam...
Non, vraiment SUPERBE !!!
Encore une à classer parmis les meilleures...
Quand je disais que j'adorais tes fics...
Cinderella- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 292
Age : 33
Localisation : sur la planète Terre...pour l'instant...
Date d'inscription : 05/04/2006
Re: La Falaise
magnifique fic, je m'y voyait
Bravoooooo !
Bravoooooo !
nanoo- Lecteur d'Agatha Christie
- Nombre de messages : 673
Age : 41
Localisation : Nantes
Date d'inscription : 31/05/2006
Re: La Falaise
C'est peut-être mon côté Cold Case qui remonte, mais j'ai eu l'envie de fouiller un peu, ce qui m'a conduit à cette fic.
Une fic que je dirais "courte mais intense"
- Spoiler:
- Elle montre un côté que la série et les fics ont peut abordé.
On voit souvent SG1 d'arriver dans le petit village tout joli, jusqu'à ce que les Goa ou les Oris viennent oppresser la population.
Or, si on s'imagine l'univers SG, on se doute bien qu'ils ont dû tomber sur des terres dévastées, et des peuples décimés.
Le parcours de Sam, aussi imprudent soit-il, est pourtant bien vrai.
On a peut-être tous eu l'envie de s'isoler un jour. Avançant là où nos pas nous guidaient, sans forcément penser au chemin du retour.
Les mots de Sam et Jack sont simples, mais il n'en fallait pas plus.
Une fic que je dirais "courte mais intense"
Implicite- Lecteur du Journal
- Nombre de messages : 153
Localisation : Région Lyonnaise
Date d'inscription : 19/06/2007
Re: La Falaise
SUPER!! j'adOOOre!! merci à toi pour le moment d'évasion.. je rentre du boulot je suis claquée je me mets devant l'ordi et je lis ça. Sachant qu'à l'hosto c'est pas toujours rose (et surtout pas aujourd'hui) je me suis sentie un peu un mix de Sam et Jack.. merci Gjc !!
Re: La Falaise
merci beaucoup
@ Shanks: contente que tu te sentes un peu mieux
sympa ton avatar ^^
@ Implicte :
t'as raison et c'est joliment dit
@ Shanks: contente que tu te sentes un peu mieux
sympa ton avatar ^^
@ Implicte :
- Spoiler:
On a peut-être tous eu l'envie de s'isoler un jour. Avançant là où nos pas nous guidaient, sans forcément penser au chemin du retour.
t'as raison et c'est joliment dit
Re: La Falaise
Superbe fic , c 'est tres bien écrit , on ressent vraiment les émotions
COLONEL59- Lecteur de Harlequin
- Nombre de messages : 216
Age : 34
Loisirs : surfer sur internet , lire des fics , regarder stargate
Date d'inscription : 02/07/2006
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