Nous avons regroupé sur ces pages web toutes les fics "déclaration pas romantique" du forum.

Cela représente plus de 100 fics et autant d'histoires à lire ou relire avec un grand plaisir.

 

Bonne lecture

 

Il était une fois un groupe de fans fatigués des fics roses bonbon.
Un jour Pauline Carter O’Neill leur lança un défi, écrire : LES DECLARATIONS PAS ROMANTIQUES.

Depuis ce jour au gré de leur inspiration et de leur imagination débordante, ces fans nous inondent de non romantisme pour notre plus grand plaisir


Attention, chacune de ses fics appartient à leurs auteurs (leurs noms étant cités avant la fic). Si vous désirez les publier merci de demander leur permission, vous les trouverez sur ce site : https://fanfiction.superforum.fr/forum.htm


001 CLD
Dans le bureau de Jack

Sam et Jack sont là debout face à face, visiblement en colère

Jack: Refusé!
Sam: Mais enfin...
Jack (la coupant): J'ai dit non Carter, vous n'irez pas sur Atlantis
Sam (contrariée): Pourquoi?
Jack: Parce que...j'ai décidé et c 'est tout, en plus on a besoin de vous ici
Sam: Tout est calme, les goa'uld sont vaincus et les réplicateurs aussi, bref sur Atlantis je pourrais
Jack: J'ai dit non! dit t'il en élevant la voix
Sam (se retenant d'hurler) : ...
Jack: Allez y crachez votre venin
Sam: Si vous n'étiez pas Général...
Jack: Un peu de courage voyons
Sam: Bien, vous êtes buté, injuste et odieux
Jack: Et vous vous voulez toujours l'impossible!
Sam (s'énervant): C'est vous qui rendez ça impossible!
Jack: J'ai des supérieurs aussi moi dit t'il élevant encore la voix
Sam (plus calme): Parce que s'ils disaient oui, vous me laisseriez partir
Jack: non
Sam (perdant son calme): Vous voyez! vous êtes une vraie teigne!
Jack(criant): Carter mesurez vos propos
Sam (pareil): Faudrait savoir, je croyais que je pouvais parler librement
Jack: Ok, alors moi aussi : Vous êtes une emmerdeuse!!!
Sam: Et bien nous sommes deux!
Jack: Vous discutez toujours mes ordres et vous ne pouvez pas obéir sans râler rien qu'une fois
Sam: Si vos ordres étaient justifiés!
Jack: Vous m'agacez
Sam: Vous aussi!
Jack (perdant son sang froid): Vous avez de la chance d'être...
Sam (le coupant): Une femme? demande t'elle moqueuse
Jack(agressif): Non! Sexy quand vous êtes furieuse
Sam (de même): Si vous ne l'étiez pas vous même je vous aurais déjà giflé
Jack (s'approchant dangereusement): Ah oui?
Sam: Exactement!
Jack: Vous dépassez les bornes
Sam: Vous êtes irrationnel! crie t'elle
Jack: Va falloir régler ce problème Carter, les tensions sont trop fréquentes entre nous
Sam: C'est justement ce que je me disais
Jack: Ok, ce soir chez vous 20h!
Sam: 19H30
Jack: Vous recommencez à me contredire
Sam: 19H30! un point c'est tout et n'oubliez pas le champagne
Jack: Comptez pas sur les fleurs
Sam: Radin!
Jack: Casse Nik'ta
Sam: Soyez à l'heure
Jack: Si je veux, c'est encore moi qui donne les ordres!
Sam: Mais oui, c'est ça dit elle moqueuse en allant vers la sortie
Jack: Et mettez votre robe noire!
Sam: Non, la rouge affirma t'elle en sortant
Jack(criant): Ca va chauffer pour votre matricule Colonel! (voyant qu'on le regarde): Quoi? Au lieu de me regarder Reynolds donnez moi ce rapport que j'attends depuis au moins 1 heure!

Jack part à grand pas vers le labo de Sam. Dès qu'il arrive il lui attrape le visage et l'embrasse sauvagement

Jack: Ca, c'est pour la robe rouge!
Sam (l'attrapant par le col et l'embrassant tout aussi sauvagement): vous n'aurez pas le dernier mot!
Jack: On réglera nos comptes ce soir dit il en lui mettant une tape sur les fesses avant de partir

Le soir même il y eut des cris et des meubles renversés chez Sam et ce dès 18H00


FIN


002 Miss O’Neill
JACK : Carter ça vous dirait de visiter le Minnesota ?
SAM : Je ne sais pas, mon général.
JACK : L'air y est pur, le climat n'en fait qu'à sa tête un peu comme moi et vous aurez le meilleur hôte de la région ! D'ailleurs y en a pas d'autres à des kilomètres.
SAM (sourire spécial Jack) : Je ne sais pas trop mon général !
JACK : Et si je vous dis que je suis muté dans un mois à Washington et que vous ne serez plus sous mes ordres directs ?
SAM : On part quand ?


003 Miss O’Neill
JACK : Carter, comment allez-vous aujourd'hui ?
SAM : Bien, mon général et vous ?
JACK : Je m'ennuie à mourir.
SAM : Pas de paperasserie à remplir.
JACK : Non.
SAM : Pas de petit scarabée à taquiner.
JACK : Non plus.
SAM : De jaffa à massacrer à la boxe.
JACK : Niet !
SAM : Qu'est-ce qu'on pourrait vous trouver à faire ?
JACK : Déjà vous me tenez la conversation, c'est pas mal ! Mais si vous avez une proposition qui rime avec plus d'action, je suis preneur.
SAM : Je ne vois pas, mon général.
JACK : Je ne sais pas un truc un peu excitant comme les missions offworld, un peu d'interdit, beaucoup de dialogues pour ne rien dire,... un truc qui me fasse rêver, me laisse des souvenirs et me fasse me dépenser un peu !... Vous ne voudriez pas vous battre avec moi ?
SAM : Nan mais j'ai tout à fait ce qu'il vous faut. Rejoignez-moi dans mes quartiers dans 5 minutes !
JACK : Mais ce n’est pas légal !
SAM : Bah je croyais que vous vouliez de l'interdit, de l'action...
JACK : Toh ! J'arrive ! Allô Harriman, je ne serais pas joignable d'ici maintenant à quelques heures, une mission de la plus haute importance ! Merci vieux !


004 Sam
Daniel passait dans les couloirs du SGC pour apporter son rapport au général Landry et il apprit que Jack était venu à la base aujourd'hui donc il parti à sa recherche.
Il passa devant le labo de Sam qu'il vit vide ce qui l'étonna mais il s'arrêta rapidement devant la salle de sport qui se trouvait être fermé ce qui le surprit surtout lorsqu'il entendit les voix qui provenaient de derrière la porte.

Jack: Allé Carter encore un petit effort vous y êtes presque

Sam: Vous êtes marrant c'est que ce truc n'est pas confortable du tout.

Jack: Ah ben on fait avec les moyens du bord et où on peut.

Sam: Je sais que ça fait un moment mais quand même cela aurait pu attendre un petit peu.

Jack: Ah nan je n’aurais pas pu attendre plus............ attendez je crois que ça vient.

Sam: AIE!!!!!!!!
Un peu brutal cette fois-ci on dirait.

Daniel commençait à avoir des doutes et ouvrit la porte, il s'attendait à tout sauf à ça lui qui avait fermé les yeux en entrant et qui se retrouva face à Sam et Jack en train d'installer la table de ping pong enfin pour le moment Jack venait de chuter lourdement sur Sam.

Jack: Ah bonjour Daniel vous en faites une tête vous avez vu quoi?

Daniel: Rien justement.

Et il sorti

Sam: Vous savez que vous m'écrasez!!

Jack: Oh c'est bon hein j'ai compris selon vous je ne m'entretiens plus d'une j'ai plus assez de force pour ouvrir la table et de deux je suis lourd.
Merci Carter!!!!!!!!!!

Il se releva et se dirigea vers la porte vexé.

Sam: Vous savez pour savoir si vous tenez toujours la route il y a un moyen infaillible
Si je vous dis dans mes quartiers d'ici 3 min vous y serez ou je dois aller chercher un fauteuil roulant ou peut-être quelqu'un de plus apte?

Sans attendre Jack sorti de la salle de sport et se tapa un sprint jusqu'aux quartiers de Sam


005 Stargate girl
Tous les membres de SG1 étaient réunis ce matin d’octobre pour une réunion au sommet. Même Mac Kay y avait été convié !

Ce dernier arriva dans les premiers et s’installa à côté du Colonel Carter. Durant la présentation de Daniel, son regard se perdit sur le corps de sa voisine. Mon Dieu, la silhouette cette femme ferait fondre toute la glace de la banquise ! Au fur et à mesure que ses pensées devenaient de moins en moins professionnelles, il décida de tenter un rapprochement. D’abord du pied, d’une façon très discrète : aucun effet. Puis, il approcha délicatement sa main du bras de la jeune femme. Une caresse, subtile certes, mais réelle commença. Personne n’y fit attention, même pas la principale intéressée, qui était trop absorbée par les informations primordiales données par son ami archéologue.

Tout le monde, non ! Un général au regard félin (et arrivé en retard), observait depuis un certain temps la scène. En effet, lui non plus n’était guère intéressé par les dires de l’orateur !
Il avait surprit Mac Kay, lorsqu’ il s’était décidé à commencer son occupation favorite : le matage discret, mais lui aussi tout aussi réel, de son colonel adoré. Il ne pouvait que la contempler, mais pas la toucher : il était tout de même Général ! De plus, ses bras et ses jambes n’étaient pas assez longs pour atteindre « sa victime ». Merde, cinq centimètres de plus, il aurait pu……..Un finger n’est décidément jamais assez long ! Le scientifique était mieux placé que lui.
Ce nigaud avait profité d’un retard de cinq minutes pour piquer la place attitrée de son second, juste à sa droite . Sans cet « impertinent », Jack aurait pu également commençait une approche sensuelle et très discrète, bien sûr !. D’ailleurs il l’avait déjà fait à plusieurs reprises. Mais ce matin, un « élément perturbateur » était venu contrecarrer ses plans !

Cela le mit en rogne ! Il continuait à observer patiemment (en apparence), mais la colère éclata quand il vit la main de son concurrent passer sous la table. Où allait-elle ? La panique l’empara alors. Il fallait stopper l’avancée de « cette main exploratrice » immédiatement

Jack hurla : Cette réunion, ne vous inspire pas, Mc Kay ?

Ce dernier surpris, faillit chanceler de sa chaise : Bien sûr, pourquoi ?

J : Parce ce que vous n’avez pas l’air très concentré sur ce qui se dit !

Mac Kay devenant rouge : Mais pas du tout ! J’écoute, moi !

Jack ne désirant pas laissait ce jeune bellâtre avoir le dernier mot : Ah, bon ? Et vous arrivez à vous concentrer tout en lorgnant sur votre voisine !

Mac Kay de plus en plus rouge : Mais pas du tout !

J : Arrêtez de mentir ! Je vous regarde depuis tout à l’heure, vous lui avez même caressé le bras !

Sam étonnée : Pardon ?

J : Eh oui, Carter ! Votre voisin vous touche sensuellement depuis tout à l’heure, et VOUS, vous ne le sentez même pas !
Puis, se retournant vers le scientifique d’Atlantis : Félicitations ! J’espère que vous êtes meilleur scientifique que « tripoteur » !

Celui-ci de plus en plus confus. Il décida de ne pas perdre la face devant son concurrent: Et vous Monsieur, j’espère que vous êtes plus courageux devant l’ennemi que devant le charme de certaine femme !

Le silence se fit, tous les regards se dirigèrent vers O’Neill.

Celui se redressa, son voisin fit de même. Les deux cerfs en plein brame, étaient près pour un combat, afin de gagner le cœur de la « belle biche », si convoitée !

J : Et que dois-je comprendre par là ?

M C : Que vous êtes un empoté ! Quand on ne veut pas d’une aussi belle plante (se tournant vers Sam), on laisse les autres butiner à sa place ! Huit longues années que vous la gardait exclusivement pour vous ! A force « son nectar » va finir par s’assécher et ce serait « un beau gâchis » !

Sam ne savait plus où se mettre. Elle ouvrit la bouche pour montrer sa désapprobation, mais Jack la devança.

J : Ne vous occuper pas de « sa fleur », votre « dard » n’est pas assez long ! Carter, ne sera jamais la « reine », ni le « miel » de votre ruche !

M C : Et pourquoi, je vous prie ? Elle ne va pas passer sa vie à son attendre ! Vous êtes un timide et un jaloux maladif et convulsif ! La belle Samantha et moi, on est sur la même longueur d’ondes ! Alors, je n’attends pas le déluge ! A l’inverse de vous, je suis un adulte responsable avec un QI qui n’a pas attendu pour décoller ! Avouez que pour un pilote, c’est navrant !

Jack resta muet quelques instants, mais se repris très vite : Je vous accorde que mon QI n’est pas celui d’un prix Nobel, mais quand je lui fais du pied, elle s’en rend compte ! Vous voyez contrairement à vous, j’arrive à la faire décoller ! Mon « réacteur » n’est pas à sec, LUI !

Sam regarda hagard son général, l’alarme incendie se déclencha à la hauteur de ses joues! Daniel, frisa l’éclat de rire tandis que Teal’c, resta égal à lui même !

M C : Cette femme n’a jamais été pour vous : elle trop brillante, trop belle, trop jeune, trop vivante ! En plus, elle est sous vos ordres ! Même un idiot comme vous, connaît le règlement !

Jack cru qu’il allait le tuer. Teal’c anticipa sa pensée et vint se mettre devant le « minus habens » pour le protéger.

Jack ne se contrôlait plus, il hurlait : Jamais, vous ne l’aurez ! Elle est à moi depuis toutes ses années ! Je vous interdis de la salir avec vos sales pattes ! Le seul qui a le droit de la toucher ici : C EST MOI. Et dans toutes les pièces si cela me chante ! Je suis le Général de cette base ! VOUS, vous n’êtes rien ! Vous êtes, juste bon à aller vous les geler en Antarctique !

Réalisant ce qu’il venait de dire, sa fureur tomba d’un coup ! Tous les regards étaient dirigés vers lui. Daniel tenta de briser le silence pesant qui venait de s’installer.

D : Jack, bien sûr, si vous y tenez ! Se retournant vers la militaire : Et si Sam le souhaite aussi !

La jeune femme eue du mal à déglutir. Elle devait donner rapidement une réponse. Son cœur s’emballa : J’ai toujours été attirée par l’uniforme et la base est très vaste !

Un sourire naquit alors sur le visage du Général
Il ajouta : Puisque les principaux intéressés sont tombés d’accord, fin de la réunion ! Sauf bien sûr, pour vous Colonel ! Nous devons approfondir sur le champ quelques techniques de « corps à corps »! C’est un ordre !

Un regard complice s’échangea alors entre les deux militaires.

Teal’c en prenant Mac Kay par le bras :Venez Docteur Mac Kay, je crois que vous n’avez plus rien à faire ici. Je vous reconduis……..

Epilogue : La bataille fut longe, approfondie et parfois violente. D’ailleurs l’état du mobilier et des vêtements des "valeureux combattants", furent là pour en témoigner !


006 Miss O’Neill
JACK : Carter, excusez-moi de vous déranger mais j'ai une question à vous poser. Je vous rassure rien de grave, la sécurité du pays n'est pas en jeu mais ça me trotte depuis un moment dans la tête et j'ai besoin que ça en sorte ! Vite !

SAM : Je vous écoute, mon général.

JACK : C'est une question de physique élémentaire donc ça va vous semblez idiot comme question mais... c'est à propos de cette histoire d'attraction des corps et tout ça...

SAM : La gravitation ?

JACK : Peut-être... Cette histoire des opposés qui s'attirent, vous savez comme les expériences au lycée de la règle en plastique qu'on frotte et qui se colle au papier ou qui dévie un filet d'eau... ce genre de choses.

SAM : Alors c'est plus du domaine de l'électricité en fait ? - haussement d'épaule du général - Et bien en fait, dans la nature, tous les éléments ne porte pas la même charge : elle est soit positive soit négative. Donc qu'on ses éléments entrent en interaction il y a...

JACK : Carter, je vous avais pas précisé mais sans migraine l'explication. Merci

SAM : Je ne sais pas trop comment vous expliquez autrement, mon général.

JACK : Du figuré, de l'image... Que ça soit concret ! Que ça me parle !

SAM : Si je vous parle d'aimant ? - levé de sourcil de l'officier - D'accord. Et bien imaginons que la moitié de votre corps soit ailleurs sur cette planète et que vous la rencontriez. Et bien ces deux moitiés se reconnaîtraient comme se complémentant et se réunieraient pour former un nouvel individu : Vous !

JACK : Pas tellement réalisable votre truc !

SAM (perdant patience) : Ok.

JACK : Faites dans le plus basique que vous puissiez. Vraiment !

SAM : (cherchant sur son bureau de quoi l'aider et s'emparant d'un stylo) Vous voyez ce stylo et ce bouchon : ils sont deux entités à part entière. Si on dit que le bouchon a une charge positive et que le stylo une négative, lorsqu'ils se rencontrent leur charge s'annule : ils se lient et forment une nouvelle entité ou molécule.

JACK : Vous êtes sûr que ça risque pas d'exploser ?

SAM : Certaine.

JACK : Même s'ils ont des propriétés communes ?

SAM : L'eau contient bien deux molécules d'hydrogène semblables et ce n'est pas un explosif que je sache.

JACK : Nous deux, on est bien militaires tous les deux et célibataires ?

SAM : Oui je suppose...

JACK : Quoi vous ignorez si vous êtes célibataire ou militaire ?

SAM : Non je suis bien les deux.

JACK : Ok et la différence entre nous, le O du H2O ça serait que vous êtes une femme et moi un homme.

SAM : Si c'est plus clair pour vous comme ça alors oui c'est bien ça !

JACK : Ah ça oui c'est très clair !

Jack saisit alors Sam dans ces bras et capture ses lèvres.

SAM : Mon général ?

JACK : Désolé, Sam mais ce sont les lois universelles de la physique, on peut rien y faire.

Et il quitte la pièce, un sourire guilleret sur les lèvres. Sam peut alors remarquer le livre de physique qu'il cachait dans la poche arrière de son pantalon.

FIN


007 Miss O’Neill
Sam était tranquillement installée devant son ordinateur dans son labo quand son supérieur arriva en tombe et posa quelque chose sous ses yeux.
Sans chercher à comprendre, la jeune femme jeta un œil. Stupéfaite, elle remarqua alors un ordre de mutation signé du président concernant le général O'Neill : "Muté au Home World Security, Washington". Mais le plus étonnant, était peut-être la boîte de préservatifs qui accompagnait cette lettre. Elle se décida enfin à lever les yeux sur lui.

: "Alors ? Chez vous ou chez moi ?"

Sam se leva précipitamment et alla fermer la porte du labo.

S: "On verra ça plus tard !"

Et avant qu'il ait pu esquiver, elle fondit sur lui !


008 Miss O’Neill
JACK : Carter si je vous dis dérogation, vous me répondez quoi ?
SAM : Ce soir 20h et soyez à l'heure !!!!
JACK (un peu moins rassuré) : Et si je vous dis quarantaine ?
SAM : Verrouillez la porte, je me charge du reste.


009 Stargate Girl
Titre : Il faut que ça rentre, mon Général.......

Note perso : Je me suis inspirée d’une mini fic lue il y a longtemps et qui concernait une autre série…Alors, merci à cet auteur dont j’ai oublié le nom et à qui je n’ai pas pu demander la permission d’utiliser l’ idée de base.

Jack et Sam couchés sur le lit de ce dernier……

« D’accord, vous devriez le faire tout de suite, mon Général" dit Sam.

« Je n'y arriverait pas seul Carter. Avec mon peu d’expérience, c'est plutôt dur ……C’est pour cela que vous devez m’aider...", lui répondit-il d’un air sérieux .

« Monsieur, vous devez avoir confiance en vos capacités. De plus, vous ne risquez rien, je suis là…. ! Allez y, mettait là dedans maintenant !

Voyant Jack hésiter : « Cela commence à être un peu trop long mon Général et je suis pressée……. ! . »

"OK, OK, mais ça ne rentre pas ! ", lui cria d’un air confus le militaire.

"Ca doit rentrer... ! » Puis d’un air plus calme : Combien voyez vous d'autres places où ça pourrait aller ?"

"Que diriez vous plutôt de là?", suggéra Jack avec le doigt.

"Quoi? Oh non... ça ne va pas là... Pas question, mon Général", dit la jeune femme un air de dégoût dans la voix .

"Pourquoi pas ? Ca pourrait rentrer, avec un peu d’efforts...", analysa O’Neill.

"Non! Non ! ... C'est.….C’est contre-nature", répondit-elle le visage crispé .

"Quoi ? Vous une scientifique ? Vous n’êtes pas ouverte à toutes les possibilités…..Pourtant, je pensais que « les gens de votre espèce » étaient tous curieux de nature dit-il d’un air taquin.

Sam : « Mais c’est impossible Monsieur, un enfant de 5 ans le verrait tout de suite…… ! «
Elle commença à s’énerver : « Vous ne pouvez pas placer une pièce jaune au milieu d'un lac bleu-vert, c'est tout !
Tout en se levant : « Tout ceci est absurde, vous n’êtes pas capable de faire seul ce puzzle de 500 pièces représentant le chalet dans lequel vivez ! J'abandonne!. »

Le militaire se leva aussi précipitamment du lit et la rattrapant par le bras : Et si vous veniez vous même vérifier la couleur de mon lac ?

Sam surprise par la proposition : La photo que vous m’avez confiée pour faire fabriquer votre jeu, me suffit !

Dégageant son bras, elle mit la main sur la poignée de la porte.

M…., elle part pensa Jack complètement paniqué. Il lui cria alors d’un air désespéré la première pensée qui lui vient à l’esprit : Et celle de ma chambre, il n’y a pas de photo ?


0010 Miss O’Neill
SG1 a rejoint Jack à Washington le temps d'un week end. Daniel note la présence d'un élément qu'il n'aurait jamais pensé trouver chez son ami.

DANIEL : Depuis quand vous avez un smocking, Jack ?
JACK : ...
DANIEL : Vous avez un évènement à fêter ?
JACK : Oui, bientôt j'espère.
DANIEL : Et quel est-il ?
JACK : Mon mariage.
TEAL'C : ?
SAM : ?
DANIEL : ?... Et peut-on connaître l'heureuse élue ?
JACK : Et bien en fait je lui ai pas encore demandé.
DANIEL : Oh et vous le ferez quand ?
JACK : Je viens de le faire.

Tous les regards convergent vers Sam.

SAM : Pourquoi vous me regardez ? Peut-être qu'il parlait de Teal'c !
JACK (offensé) : Sam, vous aviez promis de garder mon secret !
TEAL'C : ?
DANIEL : ???
SAM : Je plaisante les gars ! Quant à vous, Jack, si ça ne vous ennuie pas, j'aimerais bien essayer la marchandise avant de signer un gros contrat comme ça.
JACK : ???

Jack semble réfléchir un instant puis se tourne vers les deux hommes.

JACK : Les gars...
DANIEL : Compris. On va au cinéma si jamais vous nous cherchez.
SAM : Pensez à aller au restaurant aussi.
DANIEL : Je me demande plutôt si on va pas passer à l'aéroport...
TEAL'C : En effet.

Et ils quittèrent l'appartement


0011 Miss O’Neill
Jack : Carter ?
Sam : ...
Jack : Carter ?
Sam : ...
Jack : ...
Sam : Il faut donc qu'une femme vous embrasse deux fois pour que vous l'embrassiez à votre tour...
...


0012 Miss O’Neill
Jack : J’aimerais être un réacteur à Naquada…
Sam : Puis-je savoir pourquoi mon Colonel ?
Jack : Pour passer des heures entre vos mains…
Sam : Ce ne serait pas possible mon Colonel…
Jack déçu : Et pourquoi Major ?
Sam : Entre mes mains le réacteur ne surchauffe jamais… lui !


0013 Rauz
J: Carter, choisissez une lettre et un chiffre.
S: Pourquoi?
J: Choisissez.
S: Bon alors, 5 et L.
J: Bien donc dans cinq minutes, je veux vous voir dans mon lit Carter, à tout de suite


0014 N’KA’K
J: Carter, voyez-vous, au hockey, je me faufile et me débarrasse de mes adversaires ensuite je vise, je tire,et je..
S:....Vous marquez!!
J: Enfin pas toujours mais quand je...
S:...Vous marquez
J: Oui, c'est ça, quand je marque. Voyez-vous......!!!
S: Quoi!!
J: Et bien, si je marque...........euh, on en reparlera dans 9 mois!!!!!!!
S: Dans 9 mois!!???
J: Carter!!!!???
S: Pour marquer, vous allez avoir besoin d'entrainement.
J: Et bien, je crois que c'est envisageable.


0015 Miss O’Neill
Des vêtements gisent sur le sol.
Deux corps se séparent, le souffle court.

J : "Au fait, au départ je venais juste vous annoncé que vous aviez vos vacances !"
S : "Ah....Et maintenant ?"
J : "Bougez pas, je reviens dans quelques minutes pour vous annoncez ma retraite !"


0016 Chewbacca
-Sam ! appela Daniel en entrant dans le labo de celle-ci, le nez dans ses notes. Il me faudrait l'analyse comparative des deux... s'interrompit-il cependant.
En effet la pièce était vide. Surpris il regarda sa montre : il n'était que 21h30. C'était rare de ne pas la trouver là à cette heure-là. S'avançant vers le bureau, il chercha son dossier, quand il remarqua une boulette de papier. Bizarre, le bureau était d'une propreté impeccable hormis ce détritus. Mu par une curiosité presque malsaine, il prit le papier entre ses mains et entreprit à le défroisser. Puis soudain, un grand sourire étira les lèvres de Daniel et il partit en courant, appelant Teal'c qui était non loin devant.
Sur le papier resté en évidence sur le bureau, on pouvait facilement reconnaître l'écriture du Major Carter et celle du Colonel O'Neill :
"Caleçon, boxer, slip ou string ?"
"Chez moi, 20h"
"Et ?"
"Vous verrez bien..."

Fin.


0017 N’KA’K
Lettres

J'ai essayé de vous envoyé un e-mail mais soit je suis stupide ou trop vieux ou peut-être les deux. Alors, Carter, voulez-vous bien me donner des leçons ici à Washington. Mais je vous préviens, ayant des difficultés avec la technologie, cela risque de prendre un moment. Seriez-vous prête à me consacrer une partie de votre temps.
Jack.

Mon Général,

Je serais ravi de vous expliquer le maniement complet des nouvelles technologies et si vous êtes prêt à y consacrer votre temps, sachez que je le suis tout autant.
J'arriverais dès que possible.
Sam.


Toc toc toc.

J: Entrez!

S: A ce que je vois, votre ordinateur n'est pas ici !!

J: En effet, j'ai pensé que des cours particuliers seraient mieux chez moi, cela vous pose-t'il un problème?

S: Au contraire, si vous ne l'aviez pas fait, je vous aurais proposé cette éventualité.

J: Je vois que nous sommes d'accord alors.

S: On ne peut plus d'accord. Je vous attends chez vous alors !!?

Et Jack lui lança ses clefs en souriant.


0018 Chewbacca
La Banane
SG1 était sur une planète humainement désertique, où seules quelques statues prouvaient qu’un peuple avait existé autrefois. De ce fait, Daniel et Teal’c étaient accaparés par ces statues, Carter, elle réalisait des analyses de plantes dans l’hypothétique espoir de trouver une plante remède. Le Colonel O’Neill quant à lui, s’ennuyant ferme, passait d’un groupe à l’autre, afin de faire passer le temps plus vite. Arrivant à la hauteur du Major, il s’assit à côté d’elle au pied d’un arbre.
-Alors Carter, on fait une pause ?
Seul un soupir gourmand lui répondit, car en effet… :
-Carter, vous aimez les bananes ? demanda-t-il surpris. Il ne l’avait jamais vu en manger en 7 ans !
-J’adore ça ! s’exclama-t-elle entre deux bouchées.
Il se tourna vers elle et plongea un regard interrogateur dans le sien.
-Ca fait longtemps ?
-Oh ! Non ! Seulement depuis quelques mois.
-Ah bon. Vous en avez une autre ? questionna-t-il. La regarder manger lui avait donné faim.
-Non, désolée !
-Vous m’en donner un bout ? demanda-t-il en lui lançant un regard implorant. En principe ça marche toujours quand il fait ça !
-Non ! s’exclama-t-elle. Elle n’allait quand même pas partager !
-Carter, s’il vous plaît, supplia-t-il.
-J’ai dit non ! Un point c’est tout !
-Mais…
-Rah ! l’interrompit-elle, imitant sans le vouloir une mimique typique de son supérieur. Vous, vous ne partagez jamais la votre, je ne verrai pas pourquoi moi je dois le faire !
-Quoi ? s’exclama-t-il. Comment ça, je ne partage pas ?!
-Vous n’avez jamais voulu, murmura-t-elle, tout en reprenant une bouchée, le regard planté dans le sien.
-Mais c’est quand vous voulez ! comprenant enfin les paroles de la jeune femme.
-C’est vrai ? dit-elle surpris, un sourire sur les lèvres.
-Bien sûr, puisque vous aimez tant ça.
-Je pourrais avoir de la chantilly avec ?
-Mais naturellement, ça fait partie du lot, murmura-t-il sensuellement en se penchant vers Sam...

Et c’est ainsi que le Major Carter et le Colonel partirent manger ensemble leur banane…

FIN


0019 Nanoo
- Carter
- Oui mon général
- Prête pour le Minessota ?
- Presque, ma valise m’attend chez moi, je rentre, je me douche et on pourra partir
- Très bien, je passe vous prendre dans 2h
- A tout à l’heure alors

Il commençait à tourner les talons mais se ravisa et lui tendit un bout de papier.

- Je vous ai fait une liste des choses à ne pas oublier pour nos vacances

Sur ce il quitta précipitamment le labo de la scientifique. Sam s’intéressa alors à ce petit bout de papier, le lut et arbora un sourire éclatant. Elle glissa la note dans son journal, se dirigea vers la sortie et ferma son labo à clef.

Tous les militaires qui croisèrent le colonel alors qu’elle se dirigeait vers la sortie de la base furent étonnés de voir la jeune femme si souriante et rêveuse.

Dans le journal la note du général indiquait :

*lunettes de soleil
*crème solaire
*maillot de bain
*robe de soirée
*dessous sexy, très sexy
*dessous sexy, très sexy de rechanges (les premiers risquent d’être déchirés à un moment ou a un autre)

FIN


0020 Chewbacca
-Tenez Carter, cadeau ! s’exclama le Colonel O’Neill en tendant une bouteille de whisky au Major Carter.
-Pourquoi vous m’offrez ça ? demanda-t-elle intriguée.
-Parce que vous êtes accessible uniquement quand vous êtes bourrée !

FIN


0021 Chewbacca
-Mon Colonel ? Vous savez ce que c’est ? demanda le Major Carter dans les quartiers de celui-ci, en étirant un objet sous son nez.
-Euh bien sûr Carter ! répondit-il, troublé par cette question.
-C’est vrai ? demanda-t-elle enthousiaste.
-Ben… oui ! dit-il, maintenant intrigué par son insistance.
-Vous pouvez me montrez comment on s’en sert, je m’en rappelle plus… demanda-t-elle, avec un sourire séducteur étirant ses lèvres, sûre d’elle.
-Avec plaisir Carter ! s’exclama-t-il, en attrapant l’objet en question des mains de la jeune femme. Je vais tout vous raconter. Alors pour votre information, ceci s’appelle un préservatif et…

FIN


0022 Sganzy
Assis sur son trône, le colonel Carter se triturait tranquillement les doigts en attendant que CA passe. Fixant le sol carrelé sous ses pieds elle souffla en regrettant de ne pas avoir apporté le rapport de P3X829 sur ce fameux minerai inconnu avec elle.
Ca l'aurait occupé au moins...

Son nouveau soupir se bloqua dans sa gorge quand elle entendit la porte s'ouvrir. Sniffant rapidement l'air, elle fut soulagée de constater que ce n'était pas trop horrible.

Tendant l'oreille, elle tenta de deviner qui cela pouvait bien être. Les femmes n'étaient pas tellement nombreuses à la base.
Alors voyons...Rebecca? Non, le pas était trop pressé.
Pourtant ce pas, elle le connaissait, c'était....
Ses yeux s'écarquillèrent alors que la salive qu'elle était en train d'avaler stoppa son chemin en plein milieu de son œsophage.
Laissant ses yeux roder autour d'elle, elle vérifia les alentours. Bon sang, elle était bien dans les toilettes des filles! Alors qu'est ce qu'Il faisait là!

La porte à côté d'elle se ferma dans un claquement, et elle ne put se retenir de tendre l'oreille en entendant une ceinture se défaire, un pantalon se baisser, le froissement de tissus…Malgré elle, son brillant cerveau imagina des images associées aux sons.
Elle grimaça cependant au son de son général qui...se lâche. Pas très sexy...
Sentant un nouveau flot de reste de gelée bleue périmée mélangée à ses sucs gastriques arriver, elle se concentra pour le retenir. Mais sans qu'elle ne puisse rien faire, ses barrières cédèrent.

Le son parut résonner des minutes dans la pièce au silence soudain complet et pesant.
De chaque côté du mur de bois, les protagonistes fermaient les yeux, se concentraient, mais non, cette gelée était vraiment tenace.

Dans un nouveau son, pour le moins peu ragoûtant, le général O'neill se promit de renvoyer ce maudit cuisinier dés qu'il sortirait de là.
Mais très vite, il laissa l'importun hors de la pièce et se concentra sur les sons difficilement retenus qui provenaient d'à côté.
La situation était pour le moins gênante. Humiliante même, et pourtant il était curieux de savoir qui était l’autre victime de cette gelée monstrueuse….

Quand un soupir désespéré parvint à ses oreilles, sa bouche s'ouvrit. Il eut soudain peur d'avoir reconnu la personne qu'il croyait avoir reconnu…
A cet instant, n’importe quel Homme raisonnable se serait contenté de se taire, de remonter son pantalon et de partir en courant. Malheureusement pour lui, il s'appelait Jack O'neill et il n'avait jamais su la définition de raisonnable.

J, la voix étranglée: Ca...Carter?

Le silence qui lui répondit lui donna l'occasion de sa frapper la tête contre la plaque de bois bleuté à côté de lui. Ce qui ne passa pas inaperçu…

S: qu'est que vous faites?

J: je m’apprête à assassiner un mec avec une toque blanche et à me trouver un bunker d'où je ne ressortirais plus jamais.

S: si vous en avez un en rabe, je suis volontaire

J: franchement Carter, je crois que c'est la situation la plus gênante à laquelle j'ai dû faire face.

S: idem ici

J: celle là je pense qu'elle va rester dans les annales

S, souriant malgré elle: Comment arrivez vous faire de l'humour dans cette situation?

J: ba je sais pas, ça sort tout seul.

S: ... …

J, grimaçant: ok c'était de mauvais goût

Un silence pesant s'en suivit et, réalisant que la honte était pire en silence, Sam tenta de relancer une conversation.

S: vous savez, c'est les toilettes des femmes ici …

J: je sais, mais je me disais que vu qu’il n’y a pas beaucoup de femmes à la base, je pourrais être seul.

S: raté

J: ouais.

Silence....

J: dites...je sais que ça peut paraître incongru et plutôt malvenu mais...bizarrement cette paroi entre nous...elle me donne l'impression que là tout de suite je pourrais dire des choses que je n’aurais jamais osé dire dans un autre contexte...

S: heu... mon général...je suis désolée pour ce qui va suivre, mais...j'arrive plus me retenir

J: de quoi parlez v...

le fort bruit qui lui provint le coupa dans son élan et il ne put, malgré lui, se retenir d'esquisser une grimace.

S, se raclant la gorge: vous pouvez continuer

J: merci. alors voilà...ça fait plus de huit ans qu'on se connaît maintenant...dont plus de sept que je tente de faire ce que je suis en train de faire....

S:

J: enfin...au niveau des paroles seulement hein….....fin bref! Donc...voilà...je tiens énormément à vous vous savez...alors je me disais que ça serait vraiment...mieux si on devenait plus...intimes...

S: sans vouloir vous offensez je crois qu'on vient d'atteindre le paroxysme de l'intimité là

J: oui enfin...j'ai mal utilisé mes mots je voulais dire...qu'on se livre un peu plus l'un à l'autre...

S: ….

J: eh merde j'y arriverais jamais!...oups...désolé je...rah c'est trop dur

S: pas pour moi.

J, grimaçant : non carter je ne parlais pas de votre...

S: je sais ! Je voulais dire que...je comprends ou vous voulez en venir et...je suis d'accord.

J: c'est vrai? rahhh jsuis heureux, vraiment heureux, d'ailleurs si je le pouvais je sauterais de joie.

S: pitié abstenez vous

J: Je...venez chez moi ce soir, on dîne, je vais vous faire le grand jeu.

S, gênée: c'est que...si ça ne vous dérange pas...avant d'aller plus loin...je crois qu'on devrait s'éloigner quelque temps juste le temps...de...disons...évacuez tout ce qui vient de se passer...

J: vous avez raison...on sert encore un peu puis on se lâchera.

S: oui voilà c'est là que je voulais en venir.

Un sourire béat vint alors illuminer les visages crispés des deux militaires et en dessous de la porte des toilettes de l'étage -18 de Cheyenne Mountain, deux mains se lièrent ….


FIN


023 Chewbacca
Un jour…

-Carter ! J’ai mal aux genoux, vous ne voulez pas me masser ? demanda le Colonel O’Neill sous la tente, lors d’une mission de routine, après avoir crapahuté toute la journée.

-Bien sûr, mon Colonel ! répondit-elle, serviable.



Un autre jour…

-Mon Colonel ! J’ai mal au dos, vous ne voulez pas me masser ? demanda le Major Carter dans son labo à son supérieur alors qu’il passait par-là.

-Bien sûr Carter ! répondit-il, un sourire sur les lèvres.



Une nuit…

-Carter ! J’ai mal aux fesses, vous ne voulez pas me masser ? demanda le Colonel O’Neill après être tombé par terre sur une planète inconnue alors qu’il était seul avec la jeune femme, Daniel et Teal’c étant restés dans un temple.

-Bien sûr, mon Colonel ! répondit-elle, intéressée.



Un après-midi…

-Mon Colonel ! J’ai mal à la poitrine, vous ne voulez pas me masser ? demanda-t-elle, en posant une grosse cantine qu’elle avait du porter seule sur plusieurs mètres dans une terre boueuse, le Colonel O’Neill étant déjà chargé.

-Bien sûr Carter ! répondit-il sensuellement en s’approchant.



Et enfin…

-Carter ! J’ai mal, vous ne voulez pas me masser ? gémit le Colonel, plia en deux par terre, après s’être pris un magistral coup de pied de la part de la jeune femme, alors qu’ils faisaient un combat amical.

-Bien sûr mon Colonel ! répondit-elle aussitôt. Elle était cependant inquiète. Je n’aurais pas du taper si fort, mais j’ai pas pu m’en empêcher ! pensa-t-elle alors qu’elle aidait son malheureux Colonel, heureuse tout de même de sa manœuvre.



Bon sang, elle m’a sûrement castré cette traîtresse ! songea-t-il, un sourire sur les lèvres.



FIN


024 Rauz
J: Carter, si un homme vous dit: "j'ai envie de vous", qu'est-ce que vous faites?
S: Je lui mets adroitement mon poing dans la figure.
J: Et si c'est moi qui vous dit:"j'ai envie de vous", qu'est-ce que vous faites
S: Je vous dis: "qu'est-ce que vous attendez"?


025 Nanoo
- Carter !
- Oui mon colonel.
- Vous vous rappelez les Argonians ?
- Bien sur mon colonel, on les a rencontrés sur P8X 527 l’année dernière.
- Justement je réfléchissais, vous vous rappelez la façon dont les femmes juraient obéissance à leur chef ?
- Eh bien oui, elles …s’offraient « corps et âmes » à leur chef lors du rituel de soumission, je trouve ça particulièrement dégradant d’ailleurs, c’est un abus de pouvoir si vous voulez mon avis.
- Dommage que vous y soyez opposée, je pensais mettre en application ce rituel pour SG-1
- Oh … bien … comme on dit, on ne peux pas juger tant qu’on a pas essayer. Ou doit se dérouler ce rituel, mon colonel ?
- Dans mes quartiers, dans 2 minutes 30, mon major !


026 Marine
Jack s'intalla à la table du mess où était assise Sam avec un énorme soupir.
Sam : Qu'est-ce qu'il se passe Mon colonel ?
Jack : J'ai pas baiser depuis trop longtemps je suis en manque !
Sam : Dans 2 minutes dans mes quartiers, on soigne ça !!!


027 Chewbacca
Je voudrais tellement un enfant ! s’exclama désespérément le Major Carter à son supérieur, alors qu’ils étaient séparés du reste de l’équipe.

-Je le sais bien, Carter ! Mais que voulez-vous que j’y fasse ? dit-il, tristement.

-Aidez-moi à en faire un ! répondit-elle, pragmatique.

-Ah bah oui, c’est pas idiot…

Et c’est ainsi que le Major Carter et le Colonel O’Neill partirent faire un enfant. Malheureusement, la fabrication demanda plusieurs semaines d’essai avant d’arriver à un résultat satisfaisant.


028 Chewbacca
-Carter, je vous ai déjà dis que j’adorais le chocolat ?
-Euh… Non, mais je l’avais deviné. Pourquoi ? demanda-t-elle, intriguée.
-Parce que vous en avez sur les lèvres.
Mais le Major Carter ne put jamais répondre car son supérieur le lui empêcha, et ce pendant plusieurs heures…

FIN


029 Chewbacca
-Carter, vous avez un bout de salade coincé entre les dents, murmura le Colonel O’Neill à l’oreille de celle-ci, afin d’éviter de la ridiculiser devant Teal’C et Daniel qui étaient un peu plus loin.
-Oh ! répondit-elle, rougissant tout de même. Et là, c’est bon ? demanda-t-elle en souriant à son supérieur après avoir triturer ses dents.
-Non, c’est toujours là.
-Rah… Et là ?
-Non plus.
-Bon sang ! Vous voulez pas m’aider ? s’énerva-t-elle, de plus en plus gênée.
-Mais bien sûr Carter ! répondit le Colonel en fondant sur la jeune femme, étouffant ainsi le cri de surprise que Sam laissa échapper.



Quelle bonne idée le coup de la salade, songea-t-il en sentant son Major répondre passionnément à son baiser.

FIN


030 N’KA’K
Suite à l'un de leur pari, le Général O'Neill rendit au Colonel Carter sa grille de mots croisés en lui précisant qu'il attendait le résultat dans ses quartiers. Sam commença à lire:

Corps exerçant une attraction O'Neillienne: Samantha Carter
Personne ne pouvant plus tenir: Moi maintenant

En voyant, l'expression du Colonel, Daniel demanda :" Alors cette fois-ci a-t-il réussi ?"
S: "......"
" Sam !!!?"
" Désolé Daniel, vous disiez ?"
" Les mots croisés, ca donne quoi ?"
" Le Général a besoin d'aide, je vais aller lui en donner de ce pas."
" Mais !!! C'est de la triche !!"
" Ohhh Non Daniel !!! Juste un besoin urgent..."


031 SiresS
- Carter salua t-il
- Bonjour, mon général
- Carter, répétat-il faisant mine de réfléchir, vous aimez ce nom ?
- C'est le miens, et ce le sera toujours, ajouta-elle a doucement
- Qu'es ce que vous pensez de le changer pour O'neill ?
- O'Neill ?! Pourquoi pas
- Mais avec deux "L"


032 Sita
SG-1 était réunie pour un briefing et Carter était partie dans ses explications scientifiques. Jack essayait de trouver un moyen de la stopper:
-Carter! J'ai trouvé un moyen très plaisant pour nous deux de vous faire taire?
-Ah oui et c'est quoi?
-CA!!!
Et sur cela il bondit sur ses lèvres. Etrangement SG-1 partie 2 jours après la date prévue sur cette planète!


033 Rauz
Un petit papier traînait sur le bureau de Carter. La jeune femme n'eût aucun mal à reconnaître l'écriture ronde et volontaire d' O'Neill.

"Carter, j'ai une petite charade pour vous; intelligente comme vous l'êtes, je suis sûr que vous comprendrez très vite:

Mon premier est le premier de "mon premier".

Mon second est ce que vous faites en ce moment même.

Mon troisième est introuvable au Mess.

Mon quatrième peut être de Lune.

Mon tout est dans deux minutes."

Laissant le mot tomber telle une feuille morte, la jeune femme quitta précipitamment son labo.


034 Chewbacca
-Mon Colonel, j’ai un énorme problème ! s’écria le Major Carter en entrant dans les quartiers de celui-ci après y avoir été invité.
-Que se passe-t-il ?
-Voilà, il est tombé en panne hier soir, expliqua-t-elle en lui tendant une boîte. Et j’ai beau avoir passé la journée dessus, impossible de le réparer.
-Et ?
Une couleur rouge vint soudain se loger sur les joues de la jeune femme.
-Et bien voilà, comme vous le savez, la base est en quarantaine…
-Et ?
-Et donc, je n’ai pas pu aller dans un magasin en racheter un autre…
-Et ? répéta-t-il, agacé de la voir tourner autour du pot.
-Et bien, j’ai pensé que pour ce soir…
-Oui ? encouragea-t-il un sourire confiant sur les lèvres.
-Vous pourriez m’aider, finit-elle mystérieusement, incapable de continuer plus en détails.
-Je ne comprends pas ! s’exclama-t-il alors, une lueur taquine dans les yeux.
-Et bien ! C’est simple ! Ca ne marche plus, s’énerva-t-elle en désignant la boîte, alors vous me prêter le vôtre !
-Oh, mais il fallait me le dire avant que vous viviez avec ça ! gronda-t-il gentiment en secouant la fameuse boîte. J’aurais pu le partager bien avant !
Un sourire éclaira le visage rouge de Sam, alors qu’elle n’était plus qu’à quelques centimètres de son supérieur.
-Oui, je savais bien que ce serait plus intéressant, mais je n’ai pas osé…
-Allez, vous verrez bien, il est fantastique parait-il, et facile d’emploi ! dit-il en comblant l’espace qui les séparait encore.
Et c’est ainsi que le Major Carter et le Colonel O’Neill finirent dans les bras l’un de l’autre, alors que la mystérieuse boîte tombait par terre, dévoilant son contenu : un vibromasseur.



FIN


035 Nanoo
-Approchez Carter !

La jeune colonel obéit et Jack la prit en photo.

-Pourquoi me prenez vous en photo mon colonel ?
-Pour vous rajouter dans mon album de conquêtes féminines

Sam n'eut le temps de réagir qu'un colonel la basculait en arrière et l'embrassait passionnément. La politesse veut bien sûr que l'on réponde à ce baiser. Sam est une jeune femme très poli !

FIN


036 CLD
Jack frappa à la porte de chez Sam

- Oh, vous avez une sale tête Carter
- Ca fait toujours plaisir
- Que puis-je pour vous? Siler m'a dit qu'il fallait que je vienne immédiatement vous voir chez vous
- J'ai une terrible migraine Mon Général
- Et? C'est d’un docteur dont vous avez besoin
- Je viens de lire dans un magazine, qu'il y avait un remède infaillible, vous serez donc le plus à même de m'aider
- Quel genre de remède?
- Tenez, lisez...
- Ok, je suis votre homme où est la salle d'opération? dit il en jetant le magazine au sol ou l'on pouvait lire "un orgasme soigne la migraine"

Elle lui attrapa la main et ils allèrent jouer au docteur à l'étage


037 N’KA’K
Le Major Carter était penchée sur un objet qu'elle essayait de réparer quand le Colonel O'neill entra dans son Labo.
" Carter un problème !?" dit-il en se penchant afin de mieux voir l'objet sur lequelle elle était concentrée.
" Non ca va, merci"
" Ne me dîtes pas que vous allez emmener ceci dans mon chalet !!!!"
" Justement c'est pour cela que je le répare"
Voyant l'expression de son Colonel elle s'empressa d'ajouter "Je sais que vous ne voulez pas être dérangé mais on ne sait jamais"
" Justement, je ne veux pas être déranger alors si c'est cassé tant mieux"
" Il n'est pas cassé, j'ai juste un problème avec le vibreur !!!"
" Si ce n'est que ca, je peux vous aider sur ce coup là"
" Vous....! Quoi !!?"
" Si ce n'est que ca je peux vous faire vibrer moi !!!!"
Sur ce le Major Carter abandonna la réparation de son téléphone portable.

Et oui, n'ayant plus de vibreur sur mon téléphone, je vous laisse imaginer ce qu'on a pu me dire


038 Sita
Le général O'Neill observait son second en train de travailler dans son labo quand Sam le remarqua:
-Je peux faire quelque chose pour vous, mon général?
-En fait oui! Je voudrais que vous m'expliquiez 2 phénomènes de physique: l'attraction des corps et la mécanique des fluides d'un point de vu pratique!
-Avec plaisir. Quand et ou?
-Ce soir dans mes quartiers à 21h!
Et sur ce il partit. Ce soir là la physique fut considérée comme une activité très épuisante par deux personnes!


039 Chewbacca
-Mon Colonel ! gronda le Major Carter à voix basse dans l’oreille de son supérieur. Retenez-vous voyons !
-Je suis désolé… mais je n’y arrive pas ! s’exclama-t-il, alors qu’à nouveau, un son désagréable retentit, heureusement couvert par la conversation animée qu’entretenait son ami avec le chef de la tribu.
En effet, SG1 était arrivé sur une planète pacifique, certes, moins avancée technologiquement parlant, mais détenant de grandes ressources historiques. C’est pourquoi ils étaient restés, et qu’ils étaient maintenant attablés avec le chef et autres personnes importantes.
-Bon sang ! s’exclama-t-elle cependant faiblement afin de ne pas attirer les regards vers son supérieur, tout en lui donnant un coup de coude dans ses côtes. Faîtes un effort !
-Je ne… s’arrêta-t-il cependant au milieu de sa phrase évitant ainsi que le bruit soit encore plus fort.
-Taisez-vous !
Alors, tournant un visage dépassé vers son subalterne, il rougit légèrement d’embarras lorsqu’il remarqua que de plus en plus de personnes se rendaient compte de la situation pour la moins embarrassante qui venait de se créer. Il commença à se lever lorsqu’il sentit une main se poser sur sa cuisse. Tournant la tête vers la propriétaire, il la questionna du regard, ce par quoi elle répondit par un signe négatif de la tête. Haussant les deux sourcils et les deux épaules, il fit un geste du menton dans sa direction, lui demandant implicitement son aide. Réfléchissant rapidement à la situation, elle mit en place son plan pour le moins stupide lorsqu’elle entendit à nouveau son supérieur.
Alors, se tournant vers lui, elle passa les deux mains autour de sa nuque, l’attira à elle et posa fougueusement ses lèvres sur celle de Colonel. Bien que surpris dans les premières secondes suivant l’attaque, il finit par répondre fougueusement à la jeune femme, sans réfléchir d’avantage au pourquoi de ce geste. S’écartant d’elle, il prit conscience du lourd silence qui régnait dans la salle et rougissant tous les deux, ils se reculèrent vivement l’un de l’autre. Il constata en tout cas que son problème d’origine était au moins réglé.
-Il existe une règle, ici, en Cantha, que si deux amants souhaitent fusionner, ils peuvent quitter la table sans que cela soit pris comme une impolitesse, expliqua le chef, diminuant ainsi la tension de la pièce.
-C’est que… commença le Major vite, cependant vite interrompue par son Colonel.
-C’est parfait ! s’exclama-t-il alors en se levant, attrapant la main sa voisine et l’entraînant avec lui. Si vous permettez…

Et c’est ainsi que nos deux amis partirent… fusionner.


Petite note pour plus tard : acheter du coca pour son anniversaire ! songea-t-elle avec un sourire niais sur les lèvres.

FIN


040 Rauz
Sam: Je fais souvent un rêve.
Jack: Ah oui? Lequel?
Sam: Eh bien vous êtes avec moi et vous vous décidez enfin à disons ... faire avancer les choses, alors vous vous avancez pour m'embrasser et là ... mon réveil sonne.
Jack: Aïe.
Sam: Ouais.
Jack: Venez.
Sam: Où ça?
Jack: Dans mes quartiers, y a pas de réveil.


041 Miss O’Neill
Jack et Sam étaient côte à côte dans un ascenseur et écoutaient les deux scientifiques devant eux qui avaient une conversation assez animée. Au départ, les deux jeunes femmes parlaient à voie basse mais leur engouement les avait dépassés et elles ne se gênaient plus pour les voisins de derrière qui devinrent les témoins mal à l'aise de leurs échanges.

FEMME 1 : Non mais tu les as vu tous les deux ? ça en devient vraiment pathétique !
FEMME 2 : Pathétique ? Je crois que le mot est faible. Elle, elle est complètement stupide face à lui et fait l'idiote alors qu'elle nous a prouvé maintes et maintes fois qu'elle ne l'était pas tant que ça...
FEMME 1 : ça reste une opinion.
FEMME 2 : Et lui reste de marbre en sa présence et la regarde se pavaner au bras d'un autre comme si ça ne lui faisait rien !
FEMME 1 : Tu veux que je te dise : c'est un beau gosse et il le sait. Malheureusement comme beaucoup d'entre eux, il est stupide !

L'autre scientifique acquiesça. Jack sentait la moutarde lui monter au nez. Il fallait être stupide pour ne pas avoir reconnu dans les deux héros de ces deux femmes, son second et lui-même. Sam restait stoïque à ses côtés et il ne comprenait pas comment elle pouvait ainsi se maîtriser.
Lorsqu'il entendit l'une des femmes évoquer sa possible homosexualité ou impuissance, il n'y tint plus.
Sans un mot, il attrapa son second par la taille, la fit basculer et captura ses lèvres dans un baiser que tout Hollywood allait envier pendant des siècles. Il sourit dès qu'il sentit que son action avait eu l'effet escompté sur les deux scientifiques et se redressa ainsi que sa collègue.

JACK : Ah ça vous en bouche un coin ça ! Oui j'aime cette femme et je viens juste de l'embrasser et ne croyez pas que j'ai fait ça pour la forme : je suis tout à fait apte à remettre ça quand je veux.

Les deux scientifiques le regardèrent avec des yeux ronds et s'enfuirent bien vite dès l'ouverture des portes.

Jack se retrouva seul avec son second et le malaise commença à l'envahir. La voix de Sam le ramena à la réalité.

SAM : Vous avez conscience, Monsieur, qu'elles discutaient d'une série télé ?

Le silence de Jack et son insulte intérieure à lui-même furent sa seule réponse.

SAM : Est-ce que je peux savoir quand vous comptez le réitérer, Monsieur ? J'aimerais pouvoir participer plus activement la prochaine fois.

JACK : S'il n'y a que ça pour vous servir, Carter, on a qu'à dire... maintenant !

Et sans attendre, le général O'Neill montra à son second qu'il n'était nullement rouillé et même très prometteur.

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